"Privés de jeu, les handballeurs cherchent à sortir de leur pré carré.
L’emblématique arrière dunkerquois, à l’USDK depuis neuf ans, décrit le
manque du vestiaire, du ballon. Et la quête d’une nouvelle source
d’adrénaline et de fatigue : pour lui, ce sera le tennis.
« À la fin de la journée, je suis plus fatigué que dans la vie normale avec les entraînements !
Les enfants ont beaucoup d’énergie, l’aîné surtout ne sait pas jouer tout seul…
» A Malo, avec sa femme Ivett, une ancienne handballeuse, Artur 6 ans
et Isabel 3 ans, Kornel Nagy (33 ans) apprend tant bien que mal à se
passer du handball qui rythme son quotidien depuis tellement d’années. «
Au début, pendant une, deux semaines, tu es content d’être à la
maison, tranquille avec la famille. Mais avec le temps, ça devient plus
difficile. »" La suite sur lavoixdunord.fr
mardi 19 mai 2020
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