"Anna Ornstein est née en Hongrie, en 1927. En 1944, elle a été déportée à
Auschwitz avec ses parents et sa grand-mère de 96 ans. Elle témoigne de
son expérience et s'interroge sur ce que nous pouvons en penser alors
que l'idéologie d'extrême-droite se répand de nouveau sur le monde. Par
Alexandra Senfft.
Dans la continuité des billets précédents de cette édition sur Gaza, puis sur le nazisme et le déni de la mémoire familiale, nous partageons aujourd'hui un nouvel article paru le 11 mai 2020 dans le magazine allemand Freitag de la journaliste et essayiste Alexandra Senfft. Autrice de plusieurs livres non traduits en France, dont notamment "Schweigen tut weh" (littéralement "Taire fait mal"),
sur son grand-père, le criminel de guerre nazi Hanns Ludin, elle a
interviewé à l'occasion du 75e anniversaire de la victoire contre le
nazisme, le 8 mai dernier, la survivante de l'holocauste Anna Orstein.
Une démarche qui s'inscrit dans la démarche de son dernier essai, "Der lange schatten der Täter"
("L'ombre longue des coupables"), qui remet en perspective les destins
croisés d'enfants de criminels de guerre nazis et de certaines de leurs
victimes.
Anna Ornstein est née en Hongrie, en 1927. En 1944, elle a été
déportée à Auschwitz avec ses parents et sa grand-mère de 96 ans.Ses
frères avaient déjà été déportés dans des camps de travail." La suite sur mediapart.fr
jeudi 14 mai 2020
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