"Viktor Orbán s’oppose à une décision de justice qui prévoit d'indemniser
des élèves victimes de ségrégation à l’école. Les Roms ont peur de
devenir un nouveau bouc émissaire pour le gouvernement. Reportage à
Gyöngyöspata.
Gyöngyöspata (Hongrie), envoyé spécial.– Le
portable de Géza Csemer sonne souvent. Des journalistes veulent parler
au représentant local de la minorité rom qu’il est. Ce n’est pas bon
signe. La dernière agitation de ce genre remonte au début de l’année
2011, quand le Jobbik d’extrême droite avait lancé ses « associations d’autodéfense » contre la « criminalité tsigane », pour défier le Fidesz de Viktor Orbán, trop laxiste à son goût." La suite sur mediapart.fr (article payant)
jeudi 28 mai 2020
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