"Dans les « zones de transit » hongroises où sont enfermés les demandeurs
d’asile, les enfants sont majoritaires. Avant 2017, les autorités
pouvaient les garder un mois, elles n’ont plus de limites aujourd’hui.
Troisième volet de notre série sur les mineurs étrangers aux portes de
l’UE.
«Désolé de ne pas vous avoir rappelé plus tôt… J’étais malade, j’ai dû être emmené chez le médecin hier. » À l’autre bout du fil en Hongrie, Reza, 17 ans, la voix grave encore adolescente, répond dans un anglais balbutiant : « Depuis
que ma dernière demande d’asile a été rejetée il y a trois jours, je ne
dors plus… Le médecin m’a donné des comprimés en me disant de ne pas
stresser, mais c’est dur. »" La suite sur mediapart.fr (article payant)
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