"Les attaques politiques contre la réponse du gouvernement hongrois au
coronavirus travaillent contre une Europe forte et unifiée, fait valoir
Judit Varga.
Judit Varga est la ministre hongroise de la justice
Le 29 avril, la vice-présidente de la Commission, Věra Jourová, a
confirmé – et pas pour la première fois – qu’il n’y avait aucune raison
d’engager une procédure d’infraction contre la Hongrie en raison de
notre loi sur l’endiguement de la pandémie de COVID-19. Pour être
exacte, elle a dit qu’il n’y avait pas encore de raison de le faire.
Bien sûr, on pourrait faire valoir que le mot «encore» se moque du
principe de l’égalité de traitement des États membres. Soit la
Commission engage une procédure d’infraction, soit elle ne le fait pas.
Il n’existe pas de troisième voie – à l’exception de la Hongrie où la
«présomption de culpabilité» continue d’être appliquée. Mais il faut
aussi admettre qu’après des semaines d’attaques politiques coordonnées
sans précédent contre le gouvernement hongrois pendant la crise la plus
grave de l’histoire de l’intégration européenne, il a fallu du courage
au vice-président Jourová pour dire non. Les petits moments de vérité
doivent également être chéris. Même un timide – presque apologétique –
aucun compte pour un non." La suite sur africadaily.news
dimanche 10 mai 2020
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.