"Le gouvernement hongrois diffuse des doctrines sexistes à l'école et dans les médias, et pratique une politique qui fragilise la condition des femmes. Grazia a rencontré des chercheuses et militantes qui luttent dans l'un des contextes les plus contraints d'Europe.
"Dans leur manuel de sciences naturelles, les collégiens hongrois apprennent que 'les garçons et les filles (...) n'ont pas les mêmes capacités physiques et aptitudes intellectuelles'". C'est par ces mots que L'Obs sonnait l'alerte sur une inquiétante dérive sexiste,
en avril dernier, peu avant les législatives hongroises. Un scrutin
remporté par le parti de Viktor Orbán, Premier ministre
ultraconservateur, aux manettes du pays depuis 2010 (et que l'Union
européenne a accusé en septembre de violation des principes
démocratiques et des droits de l'homme). Cette victoire est une mauvaise
nouvelle pour les ONG hongroises, en particulier pour celles qui se
soucient des droits des femmes. Le gouvernement leur mène la vie dure,
en stigmatisant par exemple les financements venus de l'étranger, vitaux
pour elles." La suite sur grazia.fr
lundi 15 octobre 2018
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