"Cette mesure vise les travailleurs transfrontaliers issus de l’ancien
bloc soviétique ayant laissé leur famille dans leur pays d’origine.
Pendant la campagne, il avait promis de mettre fin au « tourisme social » :
le chancelier conservateur autrichien Sebastian Kurz (ÖVP, Parti
populaire), qui a formé en décembre 2017 une coalition avec l’extrême
droite (FPÖ, Parti de la liberté), a tenu parole. Mercredi 24 octobre,
alors que Vienne préside le Conseil de l’Union européenne jusqu’en
décembre, le Parlement autrichien a voté une loi qui indexe, à partir du
1er janvier 2019, les allocations familiales sur le niveau
de vie du pays d’origine des personnes employées en Autriche, lorsque
ces dernières ont laissé leurs enfants derrière elles à l’étranger.
Immédiatement, la Commission européenne a annoncé qu’elle pourrait enclencher une procédure d’infraction, « l’indexation étant interdite en droit européen » selon Christian Wigand, un porte-parole : « Lorsqu’un employé verse des cotisations, il est en droit de bénéficier des mêmes allocations que les autres. »" La suite sur lemonde.fr
dimanche 28 octobre 2018
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