"De Bruxelles à Budapest, le ras-le-bol contre le dirigeant hongrois atteint son paroxysme. Son rival Péter Magyar, porté par l’opinion, pourrait le renverser lors des élections de 2026. Les rassemblements de la fête nationale, samedi, sont l’occasion pour chaque camp de montrer ses forces.
Un contre vingt-six. Le 6 mars à Bruxelles, Viktor Orbán refusait, seul, de soutenir l’Ukraine. Même son allié slovaque, Robert Fico, s’est désolidarisé, sur le fil. De quoi aggraver l’isolement du dirigeant hongrois pro-Kremlin, expert ès blocages au sein de l’Union européenne, outrances, chantages et autres coups d’éclat.
Privé de fonds européens et marginalisé sur le dossier ukrainien, Orbán est devenu indésirable. À Bruxelles, on se réjouirait de le voir perdre les élections de 2026 après quinze ans de règne illibéral de plus en plus autoritaire, avec la mise au pas des contre-pouvoirs et l’instauration une autorité de surveillance contre ce qu’il estime être des sortes d’agents de l’étranger. Considérant qu’il s’agit d’une «violation» du droit européen, l’UE a saisi la justice à ce sujet." La suite sur leparisien.fr (article payant)
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