La prise du pouvoir absolu par Viktor Orbán, début avril – sous prétexte de pandémie de coronavirus – n’est que l’aboutissement d’une décennie de dérive autoritaire. Orbán et son parti au pouvoir, Fidesz, ont progressivement politisé les tribunaux, décimé les médias indépendants, détruit la liberté académique, entravé le travail de la société civile et favorisé la xénophobie. Même après que le Parlement européen a lancé la « procédure de l’Article 7 », qui permet d’infliger des sanctions aux États bafouant les valeurs de l’Union, la Commission et les États membres n’ont pratiquement rien fait pour arrêter Orbán. Ce sont les atermoiements qui ont prévalu." La suite sur hrw.org
mardi 28 avril 2020
Stopper la gangrène de l’autoritarisme en Europe
La prise du pouvoir absolu par Viktor Orbán, début avril – sous prétexte de pandémie de coronavirus – n’est que l’aboutissement d’une décennie de dérive autoritaire. Orbán et son parti au pouvoir, Fidesz, ont progressivement politisé les tribunaux, décimé les médias indépendants, détruit la liberté académique, entravé le travail de la société civile et favorisé la xénophobie. Même après que le Parlement européen a lancé la « procédure de l’Article 7 », qui permet d’infliger des sanctions aux États bafouant les valeurs de l’Union, la Commission et les États membres n’ont pratiquement rien fait pour arrêter Orbán. Ce sont les atermoiements qui ont prévalu." La suite sur hrw.org
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