"DÉCRYPTAGE - Le premier ministre hongrois a reçu la salve de critiques lâchée par le vice-président américain comme un encouragement à poursuivre et à intensifier la guerre culturelle qu’il mène depuis 2010.
Avec le discours du vice-président des États-Unis, JD Vance, lors de la conférence de Munich sur la sécurité, « Bruxelles a reçu une nouvelle gifle », a considéré le directeur politique du premier ministre hongrois, Viktor Orban, Balazs Orban (sans lien de parenté). « Selon JD Vance, la plus grande menace pour l’Europe à l’heure actuelle n’est pas une force extérieure comme la Russie ou la Chine, mais bien l’élite politique libérale européenne », a ajouté celui qui est la cheville ouvrière de l’influence hongroise sur l’Administration Trump. À Budapest, berceau de l’« illibéralisme », on boit du petit-lait. La salve de critiques lâchée par le vice-président américain a été reçue comme un encouragement à poursuivre et à intensifier la bataille culturelle que mène le Fidesz depuis 2010.
La Roumanie voisine a été nettement plus ébranlée par les mots de JD Vance, brandie par l’Américain comme la preuve du mauvais état de la démocratie européenne. JD Vance a reproché aux autorités…" La suite sur lefigaro.fr (article payant)
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