"En Hongrie, le pays qui déplore le plus grand nombre de morts du Covid-19 par rapport à sa population, avec 26.000 décès pour près de 10 millions d'habitants, le gouvernement de Viktor Orbán a pourtant annoncé un assouplissement des mesures de restrictions. L'État mise sur la vaccination avec les produits russes et chinois, deux vaccins pas encore homologués par l'Union européenne.
Reportage
La
Hongrie allège ses restrictions, malgré une mortalité très élevée. Le
pays d'Europe centrale, qui compte environ 10 millions d'habitants, est
celui qui déplore le plus grand nombre de morts du Covid-19
par rapport à sa population, avec 26.000 décès enregistrés à ce jour.
Pourtant, le Premier ministre Viktor Orbán a décidé de rouvrir samedi
dernier les terrasses des cafés et des restaurants. Suivront ensuite les
hôtels, théâtres, cinémas, salles de gym, bains publics ainsi que les
salles intérieures des restaurants, sous présentation d'un "certificat
d'immunité". Europe 1 s'est rendue sur place, où la politique semble
prendre le pas sur le sanitaire." La suite sur europe1.fr
"CHRONIQUE. En lieu et place de l’« université Soros », poussée dehors par Viktor Orban en 2019, va se dresser à Budapest le campus européen de l’université Fudan, la prestigieuse institution de Shanghaï. L’alliance sino-hongroise est un terrible défi posé à l’UE.
Pour conquérir Troie, assiégée sans succès depuis dix ans, les
guerriers grecs, à l’initiative d’Ulysse, se cachent dans un grand
cheval de bois pour pénétrer dans la ville et battre enfin leurs
ennemis. La Hongrie de Viktor Orban est en train de devenir le cheval de
Troie de la Chine en Europe, mais sans même avoir besoin de cacher les
« envahisseurs ».
Le Premier ministre hongrois n’aime rien de plus
que les provocations qui agacent ses adversaires, ceux de l’intérieur
du pays comme ceux de « Bruxelles », cette « nouvelle Moscou » qu’il
exècre sans pour autant en refuser les subsides. Après avoir fini par
larguer les amarres du Parti populaire européen (PPE, le groupe
conservateur au Parlement européen) pour s’ancrer plus fermement à
l’extrême droite, Viktor Orban renforce désormais ses liens avec la
Chine communiste, à contre-courant de l’Union européenne.
On pourrait y voir une vraie contradiction pour celui qui a émergé en
politique comme jeune libéral anticommuniste, au moment où le bloc de
l’Est se fissurait, à la fin des années 1980 ; mais l’homme a évolué et
il existe désormais une vraie convergence entre deux visions
autoritaires du monde et de la société, et une complicité entre
ex-empires s’estimant malmenés par l’histoire et par les puissants de ce
monde." La suite sur nouvelobs.com
"Bence Boldizs aura l'opportunité de disputer une seconde saison en WTCR - FIA World Touring Car Cup, alors que son directeur d'écurie Zoltán Zengő s'attend à ce que le jeune Hongrois ne confirme son potentiel au volant d'une CUPRA Leon Competición chaussée de Goodyear.
Boldizs, 23 ans, a été promu par l'équipe Zengő Motorsport en WTCR pour la saison 2020 et a fait ses débuts en mondial après avoir disputé quatre saisons dans la Suzuki Swift Cup en Hongrie, une saison dans le championnat de rallycross du pays, un test et une course TCR Eastern Europe sur une CUPRA TCR de la génération précédente.
Malgré son manque d'expérience, Boldizs a remporté une victoire dans la catégorie Rookie lors de la WTCR Race of Germany et a pris le départ de la course 2 de la WTCR Race of Hungary en Pole Position DHL"." La suite sur eurosport.fr
"La Chine est prête à continuer de
renforcer sa coopération vaccinale avec la Hongrie et tient fermement à
honorer sa promesse de faire des vaccins un bien public mondial, a
déclaré jeudi le président chinois Xi Jinping.
M. Xi a fait ces remarques au cours d'une conversation téléphonique avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban.
Depuis
le début de la pandémie de COVID-19, les deux pays et leurs populations
se soutiennent mutuellement et mènent une coopération solide dans des
domaines tels que la prévention et le contrôle de l'épidémie ainsi que
la reprise du travail et de la production.
Les
deux parties ont en particulier travaillé en étroite collaboration sur
les vaccins, démontrant une confiance politique mutuelle de haut niveau
et une relation bilatérale plus résiliente et dynamique, a fait
remarquer M. Xi." La suite sur china.org.cn
A l'occasion de la Journée internationale du jazz, notre amie des Mardis hongrois, Ramona Horvath, nous offre ce petit cadeau que je vous invite à déguster.
"La grande chanteuse Nina Simone disait : "Le Jazz n'est pas qu'une musique, c'est une façon de vivre, une façon d'être et de penser". L'histoire du Jazz s'inscrit dans celle des combats pour la dignité humaine, la démocratie et les droits civiques. Le Jazz a donné son rythme et sa force aux luttes contre les discriminations et le racisme. L'UNESCO croit dans le pouvoir du Jazz comme force de paix, de dialogue et de compréhension mutuelle et c'est pourquoi en Novembre 2011, la conférence générale de l'UNESCO a proclamé le 30 avril "Journée internationale du Jazz".
L'ambition de cette journée est de sensibiliser le monde aux vertus de la musique Jazz comme un outil pédagogique et comme un moteur d'empathie, de dialogue et de coopération entre les peuples. A l'occasion de cette journée, de nombreux gouvernements, organisations de la société civile, établissements et citoyens de tous pays unissent leurs efforts afin de promouvoir la musique, et plus généralement sa contribution à la construction de sociétés inclusives.
- Le Jazz fait tomber les barrières et encourage la tolérance et la compréhension mutuelle.
- Le Jazz est un vecteur de liberté d'expression
- La pratique du Jazz est un art de l'improvisation et d'écoute de l'autre
- Le Jazz encourage l'innovation artistique et l'inclusion de formes musicales traditionnelles dans la modernité"
HU
Április 30. – A Jazz Világnapja alkalmából meghívjuk önöket Ramona Horvath rövid koncertjére
Minden év április 30-án több mint 190 országban egyszerre ünnepeljük a Jazz Világnapját, amelynek célja, hogy egyesítse a világ számos pontján élő közösségeket, iskolákat, művészeket, zenetörténészeket és -szakértőket és természetesen a rajongókat is a kultúrák közötti tisztelet, a kölcsönös megértés és a párbeszéd jegyében.
"Les enchères de vins étrangers affichent une belle croissance. L'analyse d'Angélique de Lencquesaing (Idealwine).
De la Grèce aux contreforts de l’Himalaya,
la viticulture s’étend et justifie un attrait mondial pour des crus
européens, fruits d’une tradition ancestrale, mais aussi pour ce que
l’on appelait auparavant les vins du Nouveau Monde. Ainsi, en 2020, les
enchères de vins étrangers affichent une belle croissance. Sur la plateforme d’iDealwine, leur part a bondi de 1 à 5 % des volumes échangés.
Si des grands noms comme Screaming Eagle ou le super toscan Masseto de la Tenuta dell’Ornellaia sont difficiles à obtenir autrement que par le biais d’un système d’allocation, les tokaji hongrois
affolent salles des ventes et sites spécialisés. Ces nectars de 50 cl
se distinguent désormais du pinot gris alsacien, puisqu’ils ont depuis
2007 le monopole de l’usage de ce nom magique, à la fois cépage et
terroir.
L'eszencia atteint des sommets
Sans surprise, l’eszencia atteint des
sommets, à l’image du 1889 (Berry Bros, 1 474 €, + 20 %). Difficile à
dénicher en dehors de sa région natale ou des marchés anglo-saxons, ce
vin dont la fermentation dure plusieurs années est doté d’un potentiel
de garde centenaire. Les vieux millésimes sont sous les feux des
projecteurs, en attestent les adjudications du 1901 du même négociant et
du 1866 de Bekeny à 1 228 € chacun.
Classé sur une échelle de trois à six puttonyos (unité qui exprime la
sucrosité du vin), le tokaji aszú réalisé à partir de baies botrytisées
est aussi très recherché. Citons le tokaji azsú
5 puttonyos 1989 de Disznóko (74 €), l’une des signatures les plus
réputées. Après des années de disette, la Hongrie devient une mine d’or,
ces terroirs historiques étant enfin valorisés après cinquante longues
années de collectivisme. Le château Pajzos, créé en 1991 seulement, et
Zoltán Demeter, réputé pour valoriser les plus grands terroirs viticoles
régionaux, sont à surveiller de très près..." La suite sur larvf.com (article payant)
"Traverser l'Europe centrale à plus de 300 km/h : un projet de ligne
ferroviaire à grande vitesse prévoit de relier - enfin ! - les capitales
d'Europe centrale. Mais il faudra attendre 2030 pour le début des
travaux . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"Une crise de mortalité sans précédent a frappé l'Europe de l'Est il y a
30 ans, au moment où les anciens pays socialistes passaient au
capitalisme, et laissé de profondes inégalités de santé, rappelle
l’universitaire Gábor Scheiring. Elles ne sont peut-être pas sans lien
avec la forte mortalité causée actuellement par le Covid-19 . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"Radio Classique vous emmène à l’opéra, vendredi à 20h30, avec Le Château de Barbe-Bleue de Béla Bartók joué par l’Orchestre de l’Opéra de Lyon sous la direction de Titus Engel Zoltan Kodaly : « Cette œuvre est un volcan musical qui fait éruption pendant soixante minutes de tragédie condensée »
C’est à l’Opéra de Lyon qu’a été enregistré l’unique opéra de Béla Bartók : Le Château de Barbe-Bleue.
Composé en 1911, il n’a été créé qu’en 1918, à l’Opéra de Budapest. La
Commission des Beaux-Arts de Budapest avait refusé l’ouvrage, en
estimant qu’il était « injouable ». Le livret, tiré du conte de
Charles Perrault, a été écrit par un jeune poète hongrois, Béla Balazs,
qui l’a proposé à Bartók, mais aussi à Zoltan Kodaly. Ce dernier a
décliné la proposition, laissant la voie libre à Bartók. Le Château de Barbe-Bleue
est un opéra en un acte, mettant en scène deux personnages : le Duc
Barbe-Bleue et Judith, sa quatrième épouse. Judith se trouve dans une
immense pièce du château de son mari, entournée de sept portes. En dépit
des mises en garde de Barbe-Bleue, elle va ouvrir toutes les portes. La
dernière, celle de la chambre des trois premières épouses de
Barbe-Bleue, lui sera fatale." La suite sur radioclassique.fr
Après le décès de sa mère, le narrateur découvre dans les archives des
services secrets hongrois qu’elle a joué dans les années 1970-1980 un
rôle d’informatrice. C’est une deuxième vie, jusque-là tenue secrète,
qui est révélée au fil des documents qu’il parcourt : cette femme qu’il
croyait connaître a rédigé quantité de rapports sur des éléments et des
personnes intéressant la police. Il lui faut se rendre à l’évidence :
elle a pendant toute cette période travaillé comme espionne. Dans un
récit protéiforme où alternent narration romanesque, documents et élégie
d’un fils désormais orphelin, András Forgách nous révèle toute
l’ambivalence de cette figure maternelle. Partagé désormais entre
l’amour et l’effroi, l’auteur nous invite à l’accompagner dans cette
enquête personnelle qui vise à comprendre les ressorts de la trahison. Portrait entre ombre et lumière d’une mère autrefois adorée, Fils d’espionne est aussi une passionnante plongée dans l’histoire hongroise du XXe
siècle, posant la question de la place des engagements politiques, de
la duplicité des êtres et de notre possibilité de connaître vraiment
ceux qui nous entourent.
"Interview avec Georges Kassai, doyen des
traducteurs de la littérature hongroise, linguiste, auteur de méthodes
de langue, ancien directeur de recherche au CNRS.
Le catalogue de la BNF comporte 94
entrées au nom de Georges Kassai. Une performance de traduction qui
donne le vertige. Sauf erreur de ma part, le nombre de vos ouvrages
égale presque celui de vos années. D’où vient votre attirance pour la
littérature ? Comment avez-vous commencé votre carrière de traducteur
littéraire ?
Le catalogue en question énumère cent
titres, y compris les manuels de langue co-écrits avec Tamás Szende,
mais ne tient pas compte des traductions non publiées : une œuvre de
Déry, une autre de Bíbó chez Gallimard, etc. Mon intérêt pour la
littérature s’explique à la fois par mes lectures d’enfance, (Jules
Verne, Charles May, Les étoiles d’Eger, de Géza Gárdonyi ou encore, en poésie, Médaillons
d’Attila József, dont je récitais certains poèmes dès l’âge de cinq
ans) et par l’influence de mon père adoptif, Andor Németh. Ma première
traduction imprimée, publiée en 1942, est d’ailleurs un extrait de sa
biographie de Marie-Thérèse." La suite sur litteraturehongroise.fr
"Au programme des nouvelles parutions (ou rééditions) de mai, des
traductions du polonais, du hongrois et du russe. Ça fait longtemps que
je n’ai pas vu autant de traductions du hongrois d’un coup, alors je
commence par celles-là.
Cambourakis continue d’étoffer sa collection hongroise avec le recueil de nouvelles Echec et mat ou Le Gambit hongrois
contenant douze nouvelles écrites « au fil d’un siècle et demi ». Leurs
auteurs (tous des hommes – à croire qu’il n’y a pas d’écrivaines en
Hongrie ?) sont tous très connus en Hongrie, certains le seront beaucoup
moins en dehors des frontières du pays : Sándor Márai (dont j’avais par
exemple présenté le Journal en conversation avec sa traductrice Catherine Fay), Endre Ady, Gyula Krúdy (présent sur ces pages avec notamment N.N.), Mór Jókai (découvert avec Les Baradlay), Dezső Kosztolányi (dont j’adore les romans Alouette et Anna la douce), Lajos Grendel (dont j’ai déjà chroniqué Les cloches d’Einstein), István Örkény (auteur notamment des sympathiques Minimythes), Jenő Heltai, Frigyes Karinthy (que j’avais accompagné pour un Voyage autour de [s]on crâne), Géza Gárdonyi, Lajos Bíró et Gyula Juhász. Présentation du recueil par l’éditeur ici. Les textes sont traduits du hongrois sous la direction d’András Kányádi, qui signe aussi la préface." La suite sur passagealest.wordpress.com
"BUDAPEST, Hongrie – Des artistes humains et à quatre pattes se
préparent à remettre sur la route le plus grand cirque ambulant de
Hongrie après que la pandémie COVID-19 ait interrompu ses spectacles
pendant plus d’un an.
Depuis son domicile hors saison à Sada, un petit village juste à
l’extérieur de la capitale, Budapest, le cirque Florian Richter organise
des répétitions dans une anticipation prudente du moment où les
représentations pourraient reprendre.
L’état d’urgence a été déclaré en Hongrie seulement un jour avant que
la troupe ne commence sa saison printanière l’année dernière, et les
restrictions pandémiques limitant les événements et les rassemblements
publics ont fait que le cirque n’a rapporté aucun revenu depuis." La suite sur lesactualites.news
"Être un journaliste en Hongrie n’est pas chose aisée. Les missions clichées mais authentiques du journaliste, dire la vérité, écrire un résumé équilibré sur une première ébauche de l’Histoire, sont difficiles à atteindre dans une « démocratie illibérale ».
Ádám Magyar est un jeune journaliste d’Euronews basé à Budapest. Intéressé par les relations internationales et amateur d’écriture, le journalisme semblait être la voie professionnelle à suivre. Kimberley Mannion, du New Federalist, a discuté avec lui pour comprendre à quoi ressemble le début d’une carrière journalistique dans un tel climat d’hostilités.
Travaillant pour Euronews, Ádám fait partie d’une minorité de journalistes indépendants dans le pays. Pour un organe de presse international, certains des défis que d’autres journalistes indépendants pourraient avoir avec l’administration Orbán ne sont pas si intéressants pour l’entreprise. La rédaction couvre surtout les informations étrangères, ce qui n’attire pas une audience importante dans le pays, ainsi le gouvernement ne la considère pas comme un « ennemi important », comme l’explique Ádám. De plus, elle a le soutien de l’Union européenne, ce qui n’est pas négligeable dans le contexte des relations tendues entre le pays et l’Union." La suite sur taurillon.org
"Depuis que le Premier ministre Andrej Babiš a accusé la Russie et ses
services secrets dans l’affaire des explosions de Vrbětice, les
relations entre la République tchèque et la Russie se sont fortement
détoriorées. En Europe centrale et de l’Est, Prague peut compter sur le
soutien de plusieurs pays anciens satellites de l’URSS. En revanche,
comme le notent certains médias tchèques, la solidarité affichée par le
groupe de Visegrád est moins évidente. Essentiellement en raison de la
position ambigüe de la Hongrie.
Depuis mardi, la République tchèque, au même titre que les Etats-Unis,
l’Ukraine, la Pologne, les Pays baltes ou encore le Royaume-Uni, figure
donc sur la liste des pays hostiles établie récemment par le
gouvernement russe, sur ordre de Vladimir Poutine. La principale
conséquence de cette inscription ne sera pas tant l’interdiction des
importations de bière tchèque, parmi les sanctions économiques
envisagées, que la limitation du nombre d’employés locaux qui seront
autorisés à travailler à l’ambassade et dans les consulats tchèques en
Russie." La suite sur radio.cz
"Un an avant les législatives de 2022, annoncées plus compliquées que les
précédentes face à une opposition unie, le gouvernement cède
entreprises et institutions à des organismes liés au pouvoir en place. “Manœuvre politique”, clament les médias d’opposition. “Intérêt national”, répond la presse pro-Fidesz.
Mardi 27 avril, le Parlement hongrois a entériné la cession d’une
portion considérable des actifs de l’État – universités, fournisseurs
d’énergie, firmes pharmaceutiques, ports, palais, musées, théâtres – à
des fondations dites “d’intérêt public”, créées et contrôlées par le
Fidesz, parti conservateur du Premier ministre Viktor Orbán. Des
conseils d’établissement composés de membres ou fidèles du gouvernement
l’assistent dans cette stratégie d’accaparement. Selon l’opposition,
cette décision instaure un “État parallèle” à un an d’élections
législatives annoncées plus difficiles que les précédentes pour le
Fidesz, au pouvoir depuis 2010.
“Orbán bétonne des positions importantes pour le Fidesz en cas
d’éventuelle défaite en 2022. De cette façon, le pouvoir actuel veut
compliquer la tâche du prochain gouvernement s’il venait à basculer dans
l’opposition”, observe le portail Telex.“Les universités réclamaient plus d’autonomie, elles sont devenues des institutions privées sous contrôle politique”, assène 444.“L’intention est claire : la patrie ne peut pas être dans l’opposition..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
"Sébastien Pagani, chef d'entreprise basé à Villefranche-sur-Saône, a
bien failli perdre 270.000 euros. Le PDG d'Avona a été visé par une
"arnaque au président" début avril 2021. Il a porté plainte. Il a
surtout lui-même traqué les escrocs agissant depuis la Hongrie.
L'arnaque consiste à usurper l'identité d'un chef d'entreprise, puis de
prendre contact avec son service comptable pour obtenir des transferts
de fortes sommes d'argent. Sébastien Pagani, responsable d'une
entreprise basée à Villefranche-sur-Saône, a bien failli en faire les
frais début avril 2021. Il aurait tout simplement pu perdre 270.000
euros s'il n'avait pas eu le réflexe de jouer lui-même les enquêteurs." La suite sur francetvinfo.fr
"(Washington) Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a exprimé son
inquiétude mercredi face à la détérioration de la liberté de la presse
en Hongrie, et a promis de pousser le premier ministre Viktor Orban à
respecter le pluralisme.
Lors d’une
table ronde en amont de la Journée mondiale de la liberté de la presse,
Antony Blinken a prévenu que la Russie et la Chine tentaient de « saper
la volonté démocratique et souveraine » des nations d’Europe centrale et
orientale, auprès desquelles il a lancé un appel à préserver les
principes d’ouverture.
« Nous
avons une véritable inquiétude, partagée par les défenseurs
internationaux de la liberté de la presse et beaucoup de Hongrois, à
propos du déclin du pluralisme, de la diversité et des voix
indépendantes », a affirmé le chef de la diplomatie américaine, en
réponse à une question du média hongrois indépendant Telex.
« C’est
l’étoffe même de la démocratie », a-t-il déclaré, appelant le
gouvernement hongrois à « promouvoir un environnement ouvert »." La suite sur lapresse.ca
"Le gouvernement hongrois prolongera un moratoire sur le remboursement
des prêts aux ménages et aux entreprises jusqu’en juillet et divisera
par deux une taxe professionnelle locale perçue par les municipalités,
une décision vivement critiquée samedi par le maire de l’opposition de
Budapest. Le Premier ministre Viktor Orban a annoncé que la taxe locale
pour les petites et moyennes entreprises serait réduite de moitié à
partir du 1er janvier pour soutenir l’emploi pendant la crise des
coronavirus. La taxe professionnelle locale est une source vitale de
revenus pour les communes. Les chefs de l’opposition ont déclaré que la
réduction des impôts mettrait en péril les services publics et
permettrait au gouvernement nationaliste d’exercer une pression
politique sur les villes. Orban a déclaré que les villes de moins de 25
000 habitants recevraient un soutien du gouvernement, tandis que la
situation financière des plus grandes municipalités serait « considérée
une par une »." La suite sur bruxelles.marketing
"Après « M le maudit », premier film parlant de Fritz Lang [1931] et «
La Nuit du chasseur » de Charles Laughton [1955], le réalisateur
hongrois Ladislao Vajda nous raconte à son tour la terrifiante histoire
d’un tueur d’enfants psychopathe traqué par un policier acharné. Et « Ca
s’est passé en plein jour », sorti en 1958, étrange fiction policière à
la lisière du conte fantastique et de la tragédie intime, n’a pas à
rougir de la comparaison. Coécrit par le cinéaste avec le grand auteur
suisse Friedrich Dürrenmatt (lequel en fera un roman « La Promesse »
publié un peu plus tard), tourné dans le pays de l’écrivain, le récit
-par l’originalité de la mise en scène travaillant les ombres et les
lumières d’un noir et blanc presque blafard, soutenue par une partition
musicale au sombre lyrisme- suggère l’ambivalence de l’enquêteur hanté,
au bord de la folie, au point de mettre en danger l’enfant à protéger,
au nom d’une promesse faite à la mère endeuillée d’une fillette
assassinée. Un film rare au bord des ténèbres.
L’horrible crime, le faux coupable et l’ombre du doute
Dans la forêt aux hauts arbres les troncs rectilignes s’élèvent découpés
par des raies de lumière blême, un lent travelling latéral suit la
marche laborieuse d’un vieux colporteur à l’attirail pesant. Un
travelling avant nous fait avancer vers une clairière. Brusquement, le
pas du vieil homme s’arrête. Son corps vouté vient de heurter le cadavre
d’une petite fille assassinée. Terrifié, il s’enfuit en courant sous
l’orage qui gronde tout soudain et la pluie qui tombe dru, et gagne le
café le plus proche de Magendoff dans le Canton de Berne. Jacquier
(Michel Simon) réclame une rasade de Kirsch puis une autre avant de
demander à téléphoner pour prévenir immédiatement la police. Bourru,
maladroit dans son expression (‘c’est par hasard que j’ai pris ce
chemin’), confus dans ses explications lorsqu’il est transporté en
voiture par les policiers accourus après son appel sur le lieu du crime,
Jacquier, déjà suspect, est le coupable idéal." La suite sur cafepedagogique.net
« Ca s’est passé en plein jour », film de Ladislao Vajda , visible sur arte.tv jusqu’au 18.05.21
Un petit carrousel de fête (Manège/ Körhinta, 1955) réalisé par Zoltán Fábri
Le 30
avril nous fêtons la journée du film hongrois. A cette occasion nous
rendrons hommage à Mari Törőcsik, une légende qui nous a quittés
récemment. Sa brillante performance dans le film Un petit carrousel de
fête (présenté à Cannes en 1956) a attiré beaucoup d'attention en France
:
« - Une dernière question, Monsieur le Président [...] Si
une image du cinéma passe devant vos yeux, à l’instant, une image, ce
serait laquelle ? - Il y a un film [...] hongrois. C’était des gens qui dansaient. Cette image n’est pas sortie de mon esprit. [...] Le film hongrois [...] date des années cinquante, et s'intitule Manège. » (Christophe Barbier, Les derniers jours de François Mitterrand, 2007)
« la
scène du bal, au mariage, une danse échevelée, tourbillonnante, qui
rappelle étrangement le rythme affolant du carrousel, et contient cette
fois-ci une violence latente prête à exploser, une violence qui est à la
fois amour limpide et désir passionné de possession. » (Claude B. Levenson, ibid.)
« à
partir d'une histoire sans prétention, Fábri a réussi à recréer le
monde, comme un musicien qui, à partir de quelques notes, écrit une
symphonie. » (Claude B. Levenson, Premier Plan, décembre 1956).
«Voici
enfin, à toutes fins utiles mon palmarès personnel. Grand prix : Un
petit carrousel de fête. Prix de la meilleure interprétation : Mari
Töröcsik pour Un petit carrousel de fête. » (François Truffaut, Arts, 16 mai 1956)
Un petit carrousel de fête (Manège/ Körhinta, 1955) réalisé par Zoltán Fábri
Dans
la Hongrie rurale en transition vers la collectivisation, Mari Pataki
et Máté Bíró sont deux jeunes gens amoureux. Mais le père de Mari décide
de la marier à un homme plus mûr, avec qui il entretient des relations
d’affaires. Zoltán Fábri signe ici un film humaniste où l'amour prime
sur les valeurs paysannes liées à la terre : parviendra-t-il pour autant
à triompher ?
Attention, le film ne sera disponible que pendant 24h !
"En Hongrie, une initiative juridique émanant d’un juge de la Cour
régionale de Budapest-Capital visait à contester la loi du pays en
matière d’avortement. Pour ce membre de la Cour, l’article 6§ (3) de la
loi LXXIX de 1992 qui dispose que « la grossesse peut être
interrompue jusqu’à la 20e semaine – et jusqu’à la 24e semaine en cas de
prolongation de la procédure de diagnostic – si la probabilité de
dommages génétiques et de malformations du fœtus atteint 50 % » est inconstitutionnel. Saisie en octobre dernier, la Cour constitutionnelle a rejeté cette initiative.
Un couple, parent d’un enfant handicapé, avait poursuivi l’hôpital où est né leur enfant, estimant « qu’ils
auraient pu être informés plus tôt d’un risque de malformation de leur
enfant, puisque l’hôpital était censé s’en apercevoir pendant les soins
de grossesse », et « au plus tard pendant le dépistage du deuxième trimestre », ce qui aurait rendu possible un avortement « dans les délais ». Pour les parents, il s’agit d’un viol de « leur droit au planning familial » et, « surtout », du « droit à l’autodétermination de la mère »." La suite sur genethique.org
"Fermés depuis six mois, les cafetiers et restaurateurs peuvent de
nouveau accueillir des clients en extérieur depuis le samedi 24 avril
sur l’ensemble du territoire magyar. Motivée par l’avancée rapide du
programme de vaccination, cette décision divise la classe politique, le
milieu médical et les médias locaux.
La mesure soulage les cafetiers et les restaurateurs de l’ensemble de
la Hongrie, restés portes closes depuis novembre 2020. Après 165 jours
de fermeture en raison de la situation sanitaire, les terrasses ont de
nouveau pu accueillir des clients samedi 24 avril, comme promis par
l’exécutif une fois la barre des 3,5 millions de primovaccinés franchie.
Pour marquer le coup, le Premier ministre Viktor Orbán publiait le jour
même, sur sa page Facebook officielle, une photo le montrant de dos
avec une chope de bière à la main.
“Grâce au succès du
programme magyar de vaccination, les terrasses ont enfin pu rouvrir ce
samedi. La Hongrie est non seulement le pays le plus vacciné de l’Union
européenne derrière Malte en proportion de population, mais elle devance
en outre les autres États membres sur la réouverture des terrasses”, salue le site progouvernemental Origo, décrivant une “ambiance de Saint-Sylvestre” aux abords des bars. “Les
cafetiers et restaurateurs attendaient vraiment ce moment. Nous sommes
restés à leurs côtés et avons épaulé le secteur afin de maintenir le
plus d’emplois possible”, souligne une porte-parole de l’exécutif reprise par le journal conservateur Magyar Hírlap." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
"En vertu d'une loi votée ce mardi au parlement par la majorité de
droite, l’Etat va opérer un transfert massif d’actifs et de biens
publics vers des institutions parallèles contrôlées par le Fidesz. Il
s’agit de parer à une éventuelle défaite électorale en 2022, selon la
presse indépendante hongroise . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"Après des mois de fermeture en raison de la
pandémie, les espaces extérieurs des bars et des restaurants rouvraient
samedi 24 avril. Sur ces terrasses mais aussi dans les rues
Budapestoises, l’ambiance extatique qui régnait ce soir-là n’est pas
sans rappeler celle bien connue du festival Sziget.
Quelque chose se passe à Budapest. Cela se sent,
s’entend et se voit. C’est dans l’air. On avait oublié ces rues qui
pouvaient être tant peuplées, le brouhaha des gens qui parlent fort,
rient et surtout, boivent un verre et mangent en terrasse, entassés par
groupes autour de tables trop petites. Samedi soir, sans réservation,
trouver une place assise relevait de la mission quasi-impossible. Tout
établissement ouvert et disposant d’un espace extérieur était pris
d’assaut.
Près de Madách Tér, dans le septième
arrondissement, le nombre de personnes était encore plus impressionnant.
On se disputait le moindre siège se libérant en terrasse. Débordés, les
serveurs apostrophés de toute part servaient même les clients debout." La suite sur jfb.hu
"Les Premiers ministres hongrois et tchèque rencontreront jeudi le
Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour discuter des
politiques de lutte contre le COVID-19 en tant que troisième vague de la
pandémie de coronavirus balaie l’Europe centrale. « Le thème principal
de la réunion sera l’effort de lutte contre la pandémie », a déclaré le
chef de presse du Premier ministre hongrois Viktor Orban dans un
communiqué. Netanyahu, qui a déclaré que 90% des Israéliens éligibles
avaient reçu au moins une dose du vaccin Pfizer / BioNTech ou se sont
rétablis du virus, a fait du programme de vaccination d’Israël une
vitrine de sa campagne de réélection le 23 mars. La semaine dernière,
Israël , L’Autriche et le Danemark ont déclaré qu’ils créeraient un
fonds commun de recherche et de développement, et éventuellement des
installations de production de vaccins COVID-19, afin de s’assurer
qu’ils disposaient de fournitures à long terme pour les rappels ou pour
lutter contre les mutations virales." La suite sur bruxelles.marketing
"Les pays du
groupe de Visegrád (V4) – la République tchèque, la Pologne, la
Slovaquie et la Hongrie – ont approuvé lundi (26 avril) une déclaration
officielle condamnant l’opération militaire secrète russe récemment
révélée en République tchèque, à savoir l’explosion d’un dépôt de
munitions en 2014. Mais ils ont rejeté une version plus sévère de la
déclaration, jugée inacceptable par le Premier ministre hongrois Viktor
Orbán.
La version initiale de la déclaration
rédigée par la Pologne était beaucoup plus dure, appelant à l’annulation
du projet de gazoduc Nord Stream 2 et exprimant un fort soutien à
l’Ukraine et au Belarus. Elle affirmait que le Nord Stream 2 aurait « un effet négatif sur la sécurité énergétique de l’Europe »." La suite sur euractiv.fr
"Le ministre hongrois des Affaires étrangères a été reçu par son homologue libanais Gebran Bassil.
Le chef de la diplomatie hongroise, Peter Szijjártó, en visite à
Beyrouth, a critiqué lundi la politique de "pression" contre les
responsables libanais dont discute actuellement l'Union européenne (UE),
affirmant que Budapest n'accepterait pas que des sanctions soient
imposées "au plus grand parti politique chrétien" au Liban, à savoir le
courant aouniste.
A la demande de la France, qui s'est fortement impliquée dans le dossier
libanais ces derniers mois, l'Union européenne discute de la situation
au pays du Cèdre et des moyens de pression qui peuvent être exercés sur
les responsables libanais qui "bloquent" la formation du nouveau
gouvernement. La mise sur pied de ce cabinet, attendu depuis août 2020,
et notamment le nombre et la répartition des portefeuilles entre les
différentes formations politiques, a provoqué des tensions entre le chef
de l'Etat Michel Aoun et son courant politique, le Courant patriotique
libre, et le Premier ministre désigné, Saad Hariri, qui s'accusent
mutuellement de l'impasse. La mise sur pied de cette équipe
ministérielle est nécessaire afin de lancer des réformes attendues
depuis des années, afin de voir se débloquer des aides promises par la
communauté internationale, alors que le Liban connaît une grave crise
financière et socio-économique." La suite sur lorientlejour.com
"Bien qu´ayant choisi de présenter des airs de bravoure, ce n´est pas tant la performance physique qui m´attire, que mon souci de restituer le lyrisme, le drame et la passion que recèlent ces morceaux qui offrent des valeurs uniques au plan musical."
Récemment tombée gravement malade, la soprane colorature hongroise Klára Kolonits avait dû pour un temps quitter la scène. Non sans renoncer à se vouer à son art, nous offrant, tout au long de la pandémie, des récitals à domicile, diffusés sur son site. Soirées de lieder, accompagnées au piano par son mari, genre vers lequel elle a choisi d´élargir sa palette. Une chanteuse que nous avions déjà eu maintes fois l´occasion d´entendre et d´apprécier par le passé. Sans nul doute l´une des plus en vue sur la scène hongroise." La suite sur francianyelv.hu
"Un reconfinement décrété trop tard, une population plus âgée et plus
sujette à l’obésité qu’en Europe de l’Ouest, et un système hospitalier
déficient expliquent largement la surmortalité hongroise, comme celle de
l’ensemble de l’Europe centrale.
Avec plus de 26 000 morts, soit 2 719 par
million d’habitants, la Hongrie présente, depuis le 22 avril, la plus
mauvaise « performance » du monde en termes de mortalité due
au Covid-19. Même si les classements internationaux sont à prendre avec
précaution faute de méthode de comptabilité harmonisée, le pays a
dépassé, ce jour-là, la République tchèque. Les deux Etats d’Europe
centrale arrivent loin devant la France, qui affiche 1 562 morts par
million d’habitants depuis le début de l’épidémie.
Ces
mauvais chiffres ont commencé une timide décrue ces derniers jours,
mais la Hongrie compte par ailleurs toujours environ 200 morts par jour
avec plus de 7 000 personnes hospitalisées.
Malgré
cela, vendredi, le premier ministre nationaliste, Viktor Orban,
a décrété la fin du confinement et la réouverture des terrasses de café
dès samedi. Dénonçant « un débat indécent de l’opposition » sur les chiffres de mortalité, il a expliqué qu’ils seraient dus au fait que « la Hongrie ne fait pas la distinction entre les personnes mortes directement du Covid et celles mortes avec le Covid ».
Le
premier ministre préfère insister sur les chiffres de la campagne
vaccinale. Avec 3,5 millions de Hongrois qui ont reçu leur première
dose, le pays de dix millions d’habitants affiche un taux de vaccination
de 40 % de sa population adulte, soit le deuxième d’Europe. « Nous sommes dans une très bonne position »,
s’est vanté M. Orban à ce sujet, en annonçant que les lieux publics
seraient rouverts aux personnes vaccinées dès le milieu de la semaine.
« La science ne compte plus »
Cette
très bonne position est largement due au vaccin chinois de Sinopharm,
que la Hongrie a décidé d’importer sans attendre d’autorisation
européenne, tout comme le vaccin russe Spoutnik V. Qualifiés de
« vaccins orientaux », ils ne cessent pas d’être vantés par le pouvoir
face aux « vaccins occidentaux »(de Pfizer-BioNtech, Moderna,
AstraZeneca, Janssen) autorisés par l’Union européenne (UE), mais
systématiquement dénigrés pour la lenteur de leur approvisionnement.
L’efficacité du Sinopharm a pourtant été remise en cause de la Chine
à la Serbie voisine, où les chercheurs en immunologie de l’Institut
d’application de l’énergie nucléaire de Belgrade ont établi qu’avec ce
vaccin « les anticorps mettent beaucoup plus de temps à apparaître [qu’avec les autres], deux ou trois semaines après la deuxième dose »." La suite sur lemonde.fr (article payant)
"The Last Days," consacré à l'histoire des Juifs hongrois, sera remasterisé avant d'être présenté en streaming à partir du 19 mai.
Un documentaire, lauréat d’un Oscar et consacré à l’histoire des
Juifs hongrois pendant la Shoah, sera présenté en streaming sur Netflix.
Ce documentaire a été produit par Steven Spielberg.
« The Last Days » sera remasterisé à partir du film original qui
avait été initialement tourné en 35 mm avant sa diffusion en streaming,
prévue à partir du 19 mai.
Le documentaire, qui avait remporté l’Oscar du meilleur film
documentaire en 1998, raconte les histoires de cinq Juifs de Hongrie
ayant survécu au génocide. L’un d’entre eux est Tom Lantos, qui devait
devenir membre du Congrès de Californie de 1981 à 2008." La suite sur timesofisrael.com
"Les autorités
hongroises, qui ont comparé cinq vaccins contre le coronavirus utilisés
en Hongrie, ont publié un tableau montrant que la meilleure préparation
est celle faite en Russie, le Spoutnik V.
Le
vaccin anti-Covid russe Spoutnik V a été reconnu comme le meilleur en
termes d’innocuité et d’efficacité en Hongrie, le premier pays européen à
l’utiliser, a annoncé le Fonds d’investissements directs de Russie
(RFPI), chargé de la commercialisation du vaccin à l’étranger.
«Les données hongroises montrent qu’il y a 20 à 32 fois moins de décès
et deux à six fois moins de cas d'infection au Covid-19 pour 100.000
injections du Spoutnik V par rapport aux vaccins à ARNm utilisés en
Hongrie», note le RFPI." La suite sur sputniknews.com
"L’entraîneur hongrois Zsolt Petry a été licencié du Hertha Berlin pour
avoir critiqué son compatriote, le gardien de but du RB Leipzig, Péter
Gulácsi, qui s’était exprimé en faveur des droits des homosexuels. Et a
causé une crise diplomatique entre les deux pays.
Les
Hongrois Zsolt Petry et Péter Gulácsi, respectivement entraîneur de
football et gardien de but, n’avaient jamais fait de vagues en
Allemagne, où ils travaillaient. Mais la politique de restriction des
droits des homosexuels menée par Viktor Orbán dans leur pays d’origine a
subitement rattrapé les deux sportifs et fait d’eux le symbole des
divisions des Hongrois sur les questions de genre et de diversité.
Entraîneur de gardiens au Hertha Berlin, Zsolt Petry, 54 ans, a en effet été limogé mardi 6 avril pour avoir « fait des déclarations qui ne correspond[ai]ent pas aux valeurs du club » dans une interview à un quotidien de propagande du gouvernement hongrois, Magyar Nemzet. En cause : la façon dont il a critiqué son compatriote Péter Gulácsi, 30 ans, qui, lui, est gardien du RB Leipzig.
Post Facebook
Tout
est parti, le 23 février, d’un bref post Facebook. Au-dessus d’une
photo le montrant avec un symbole défendant les familles homoparentales
dessiné sur la main, Péter Gulácsi, international hongrois passé par le
FC Liverpool, rédige un bref plaidoyer « pour les familles arc-en-ciel ». « Plus
vous passez de temps à l’étranger ou parmi des personnes différentes,
plus vous vous rendez compte que le fait de ne pas être identique ne
fait que rendre le monde plus coloré et que la chose la plus importante
est l’amour, l’acceptation et la tolérance envers les autres », affirme-t-il, en hongrois, avant d’implorer : « Dénonçons la haine, soyons plus tolérants et plus ouverts ! »
« Vivant à l’étranger depuis plus de quatorze ans », le
gardien du club de Leipizig ne s’attendait probablement pas à ce que
son message soit accueilli par un tombereau de haine et d’intolérance
dans son pays d’origine, devenu de plus en plus homophobe depuis le
retour au pouvoir, en 2010, du premier ministre nationaliste Viktor
Orbán. A son initiative, le pays d’Europe centrale a progressivement
réduit les droits des homosexuels, jusqu’à faire inscrire, en décembre, dans la Constitution que « la mère est une femme, le père est un homme » pour interdire l’adoption aux couples homosexuels. Tout cela au nom de la défense des « valeurs chrétiennes » de la Hongrie, dont Orbán se veut un farouche défenseur.
Débat relancé
Le
post de Péter Gulácsi a été aussitôt vivement critiqué dans les médias
pro-gouvernementaux et sur les réseaux sociaux, au point que le
footballeur a depuis préféré se réfugier dans un prudent silence. Dans
le football hongrois, on se tient d’autant plus à distance de la
politique que Viktor Orbán abreuve largement son sport préféré de fonds
publics. Un commentateur de football d’une chaîne de télé proche d’Orbán
a ainsi été licencié après avoir pris la défense du gardien et salué « son courage »." La suite sur lemonde.fr (article payant)
"La quatrième livraison de vaccins mis
au point par la société pharmaceutique chinoise Sinopharm contre la
COVID-19 acquis par la Hongrie est arrivé samedi à Budapest où elle a
été réceptionnée à l'aéroport par le ministre hongrois des Affaires
étrangères et du commerce.
Péter
Szijjártó a déclaré que ces vaccins "nous permettent d'accélérer encore
notre programme de vaccination, ce qui nous aidera à atteindre 4
millions de Hongrois vaccinés la semaine prochaine".
"C'est
un grand pas vers la victoire, un grand pas pour mettre notre
population en sécurité, pour relancer l'économie hongroise et pour
prendre de nouvelles mesures afin de ramener la vie à la normale",
a-t-il poursuivi.
Lorsque sera
atteint le seuil des 4 millions, attendu en milieu de semaine prochaine,
le gouvernement hongrois prévoit d'ouvrir un large éventail de services
à la population." La suite sur china.org.cn
"Depuis ce samedi 24 avril, les cafés et restaurants ont rouvert leurs
terrasses. Le Premier ministre Viktor Orban avait annoncé que
l’ouverture aurait lieu dès que 3,5 millions de Hongrois seraient
vaccinés avec une première dose. Or, 36% de la population a reçu une
première injection, contre 19% en France. Mais avec 200 morts par jour,
la Hongrie, pays grand comme la Belgique, a aussi le taux de mortalité
le plus élevé au monde en pourcentage de la population. Dans ce
contexte, la réouverture des terrasses inquiète les médecins.
Déjeuner en terrasse sous le ciel bleu, face au Danube. Pour Nandor,
étudiant en lettres, c’est ce qui s’appelle une journée parfaite. « Ah… C’est vraiment bien ! Je n’avais pas mangé en terrasse depuis l’été dernier. Et cerise sur le gâteau : il fait beau ! »
Avec son mari et ses deux enfants, Emese savoure une liberté retrouvée. « On a pris des hamburgers, raconte-t-elle. Quel plaisir de pouvoir enfin enlever le masque ! Il n’y a pas trop de monde, donc c’est sans risque. »" La suite sur rfi.fr
"BUDAPEST, 24 avril (Xinhua) -- La
direction du Parti communiste chinois (PCC) et sa défense d'un
socialisme à la chinoise sont fondamentales pour le succès de ce pays, a
estimé l'ancien Premier ministre hongrois Peter Medgyessy dans un
entretien récemment accordé à Xinhua.
Alors que cette année marque le centenaire de la fondation du PCC, il
rappelle que "chaque société est en quête d'un ordre social qui
corresponde le mieux à sa propre histoire, à ses propres traditions
culturelles et au caractère de son peuple".
Pour la Chine, le modèle de construction du socialisme à la chinoise
garantit que la Chine puisse continuer de progresser dans les années à
venir, ajoute l'ex-chef de gouvernement hongrois.
Le succès de la Chine est étroitement lié à celui du PCC, selon lui.
Il "repose sur deux choses : l'une est qu'il a représenté un ensemble
stable de valeurs qui peuvent être maintenues à long terme, et l'autre
est sa très bonne capacité à se renouveler"." La suite sur xinhuanet.com
"L’association Lisztomanias International organise un festival de musique
autour du compositeur hongrois Franz Liszt. Il aura lieu du 21 au
23 juin 2022.
Lisztomanias International est optimiste : l’association croit en son festival de musique au Château de la Vérie
en 2022. Ce dernier devrait durer trois jours, du 21 au 23 juin 2022,
durant lesquelles se mêleront cocktails, galas, concerts et conférences
sur le thème du compositeur hongrois Franz Liszt, célèbre durant la
seconde moitié du XIXe siècle. « Ce sera l’occasion de parler de l’auteur qui est assez mal connu, explique Christine Sesboüé, membre de l’association organisatrice. Beaucoup de choses inexactes ont circulé sur sa vie. »" La suite surouest-france.fr
Pour plus d’information ou pour réserver :
lisztomanias.international@gmail.com – 06 81 98 45 05. Tarif : environ
350 € pour 3 jours de musique + 4 repas + 2 nuits à l’hôtel du Château
de la Vérie à Challans.
"L’écrivain Tristan Ranx revient sur l’étrange destinée de la chanson Sombre dimanche.
Composée par le musicien hongrois Rezső Seress, ce célèbre morceau,
réputé maudit en Hongrie pendant des années, a depuis été repris par des
artistes du monde entier.
En cette nuit enneigée du 11 janvier 1968, au 46/b de la rue Dob à
Budapest, un homme vient de sauter dans le vide, depuis sa fenêtre, et
toujours vivant, il rampe sur le sol et laisse derrière lui une traînée
de sang sur la neige. Les secours arrivent et le vieil homme est emporté
vers l’hôpital le plus proche, ou ses blessures s’avèrent sans gravité
malgré sa chute.
Le soir même, il s’étrangle à mort avec un câble.
Certains diront qu’il fut clown, d’autres évoqueront le trapéziste et
sa première chute qui lui brisa la main droite et on se souviendra
ensuite du pianiste qui avait appris à jouer de la main gauche, et le
médecin légiste remarquera le numéro de déporté tatoué sur son
avant-bras." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
"Depuis l’annonce officielle, en janvier, de l’implantation d’un campus
de l’université chinoise Fudan à Budapest, les protestations se
multiplient. En plus des recours juridiques que les élus de l’opposition
vont mobiliser, l’accord passé entre le gouvernement hongrois et la
Chine pourrait devenir un sujet décisif pour les élections à venir l’an
prochain . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"L'écrivain Serge Joncour, auteur d’une dizaine de romans, a reçu le prix Femina en 2020 pour Nature humaine (éd. Flammarion). Il ne prend plus l’avion depuis trente ans, mais n’a pas perdu le goût du voyage, l’Europe constituant pour lui «un territoire d’exploration infini». Il se rend régulièrement en Hongrie, un pays qui le fascine.
GEO : Puisque vous ne prenez plus l’avion, comment vous rendez-vous en Hongrie ?
Serge Joncour :
En train depuis Paris car, pour moi, le voyage compte autant que le
séjour. Je passe la nuit à l’hôtel à Munich, ville dont la gare,
remplie de restaurants et donc d’odeurs de cuisine, est un monde en soi.
Je repars au matin, dans ce qui était, jusqu’à il y a dix ans
environ, un vieux train avec un restaurant extraordinaire. Un TGV
autrichien l’a remplacé mais il ne roule pas à grande vitesse sur
cette ligne et il faut sept heures pour arriver à destination.
Parcourir Paris-Budapest sur les rails permet de comprendre quelque
chose de l’Europe. On longe la chaîne blanche des Alpes, la Forêt-Noire, puis le Danube et on en prend plein les yeux. Dès la première gare hongroise, à Hegyeshalom, aux quais déserts et hors d’âge, on est immédiatement dépaysé. On passe de maisons
autrichiennes parfaitement alignées et bien tenues à la campagne avec
des carrioles tirées par des mules. En quelques poignées de
kilomètres, on fait un bond en arrière de plusieurs décennies. A
chaque arrêt du train dans les gares, une voix métallique venue de
haut-parleurs très puissants délivre des annonces interminables en
hongrois. Cette langue – rugueuse, anguleuse et incompréhensible –,
c’est ce qui vous attrape en premier, avant même d’arriver à Budapest." La suite sur geo.fr
"La Hongrie va rouvrir ses terrasses de cafés et restaurants, a annoncé
vendredi le Premier ministre, alors que plus d’un tiers de la population
a déjà reçu au moins une dose de vaccin contre le Covid-19.
La barre des "3,5 millions" dans ce pays de 9,8 millions d’habitants a été franchie, "donc à compter de samedi, les espaces de restauration pourront de nouveau accueillir des clients à l’extérieur",
a déclaré Viktor Orban lors de son interview radiophonique
hebdomadaire, se réjouissant de savourer bientôt sa première bière en
terrasse depuis novembre.
Suivront ensuite les hôtels, théâtres, cinémas, salles de gyms, bains
publics ainsi que les salles intérieures des restaurants, dès que le
chiffre de 4 millions sera atteint, a priori en milieu de la semaine
prochaine. Il faudra cependant présenter un "certificat d’immunité".
La Hongrie affiche un des taux de vaccination les plus élevés de
l’Union européenne, dont elle est le seul membre à utiliser les produits
russe Spoutnik et chinois Sinopharm même si ceux-ci n’ont pas encore
reçu le feu vert du régulateur européen." La suite sur rtbf.be
"Les autorités mènent la vaccination contre le Covid-19 tambour battant pour détourner l’attention d’une mortalité record.
Budapest (Hongrie).– C’est le paradoxe hongrois : le pays
connaît la mortalité causée par le Covid-19 la plus élevée au monde
depuis plusieurs semaines, mais elle est aussi le membre de l’Union
européenne (UE) où la vaccination progresse le plus rapidement,
exception faite de la petite île de Malte." La suite sur mediapart.fr (article payant)
"Le 21 avril au soir, le gouvernement magyar publiait au Journal officiel
un accord stratégique avec l’université chinoise d’élite Fudan, qui
ouvrira un campus en 2024 à Budapest. Un chantier symbole de l’intense
rapprochement entre la Hongrie et Pékin, décrypté par l’hebdomadaire de
référence HVG.
“Le gouvernement enchaîne le pays à la Chine”, tacle le sous-titre à la une de l’hebdomadaire HVG,
qui se penche, dans son édition du 22 avril, sur les multiples signes
de rapprochement entre l’administration Orbán et Pékin. En l’occurrence,
la ligne ferroviaire à grande vitesse Budapest-Belgrade financée par la Chine et l’achat de respirateurs et de vaccins chinois afin de lutter contre le Covid-19.
Mais aussi la construction, d’ici à 2024, par des entreprises chinoises
avec l’aide d’un crédit chinois, d’un campus budapestois de
l’université Fudan, située à Shanghai." La suite sur courrierinternational.com
"Anima Musicæ est un orchestre de chambre fondé à Budapest en 2010 par
des étudiants du conservatoire Franz-Liszt. Ce CD est le troisième d’une
série pour Hungaroton consacrée à des sérénades pour cordes. Dans une
acoustique un peu sèche, mais très précise et au spectre large (graves
très riches), les jeunes professionnels sous la direction de László G.
Horváth nous livrent un programme rêvé, à la fois rare et irrésistible." La suite sur ledevoir.com
Revenue seule des camps de la mort avec ses deux petits frères, c'est
avec ses yeux d'enfant que Lili revit chaque jour les longs mois de
survie au coeur de la barbarie nazie.
Quand nous sommes revenus,
nous ne pouvions parler à personne de cet enfer, de ces souffrances
quotidiennes, de cette vie de bêtes battues que nous avions menée
pendant près de deux ans dans une inhumanité indigne et impardonnable.
Nous étions traumatisés et nous nous taisions. Et si, par hasard, nous
nous risquions à évoquer ce passé si cruel, on ne nous croyait pas, on
doutait de nos dires, on pensait que nous rajoutions des souffrances. De
n'être pas crus nous vexait terriblement et, pendant longtemps, nous
nous sommes tus. Puis j'ai beaucoup réfléchi : afin que la vie ait un
sens après ce passé ignominieux, il me fallait témoigner pour révéler à
tous, au monde, cette tragédie à nulle autre pareille. " Plus jamais ça
", ont dit tous les déportés au retour des camps, et pourtant...
Lili Keller-Rosenberg, 89 ans, vit à Lille. Elle consacre sa vie à
témoigner auprès de collégiens et de lycéens dans toute la France. Un
collège porte son nom à Halluin (Nord).
Format Broché EAN13 9782259284271 ISBN 978-2-259-28427-1 Éditeur Plon Date de publication 08/04/2021 Nombre de pages 144 Dimensions 18 x 12 cm Poids 152 g Langue : français Prix : 15 €
************
"Lili Leignel est née le 15 septembre 1932, à Croix (Nord), dans une famille juive d'origine hongroise. Fille de Joseph Rosenberg et Charlotte Keller, la famille est composée de 3 enfants, Lili, Robert et André. Seconde Guerre mondiale
Jusqu'en 1943, les enfants sont cachés dans différentes familles de Tourcoing (Nord).
Pensant le danger écarté, ils reviennent vivre avec leurs parents. Le , la famille est arrêtée.
De la prison de Loos (Lille) (Nord), ils sont conduits à la Prison de Saint-Gilles de Bruxelles et transférés au Camp de rassemblement de Malines (Belgique).
La famille y est séparée : le père est envoyé à Buchenwald, la mère et ses 3 enfants sont transférés à Ravensbrück et au début de 1945,à Bergen-Belsen.
Libérés par l'armée britannique, le , les 3 enfants sont rapatriés jusqu'à Paris. Les enfants sont pris en charge par leur tante.
Leur mère, atteinte du typhus, intransportable, reste à l'infirmerie du camp. Elle parvient à les rejoindre plus tard dans un préventorium d'Hendaye (Pyrénées-Atlantiques) où ils sont soignés.
Ils apprendront que leur père a été fusillé en à Buchenwald, quelques jours avant la libération du camp.
"Le tracé hongrois accueillera le championnat électrique de tourisme en lieu et place de Zolder.
Dévoilé en février dernier, le calendrier provisoire a subi une première modification en vue de la saison inaugurale de l’ETCR.
Se déroulant en support des 24 Heures de Zolder, la manche prévue sur
le circuit belge (2 au 4 juillet) a été annulée ont confirmé les
organisateurs ce mercredi 21 avril. « Les nouveaux défis logistiques
ont rendu la course en Belgique impossible malgré les efforts de
l’organisation et de la direction du circuit pour trouver une solution », peut-on lire dans le communiqué." La suite sur autohebdo.fr
"Le verdict du classement mondial de la liberté de la presse en 2021 est
cinglant : l’Union européenne peine à défendre ses valeurs à l’intérieur
de ses frontières. "Les mécanismes de protection des libertés
fondamentales mis en place dans l’UE tardent à contrecarrer la mainmise
du régime du Premier ministre hongrois, Viktor Orban, sur les médias ou à
freiner les mesures liberticides de certains autres pays d’Europe
centrale", déclare Reporters sans frontières (RSF), auteur du rapport
publié mardi. Un constat qui sonne comme un échec pour une Union censée
être en première ligne de la défense de la liberté de la presse." La suite sur lalibre.be (article payant)
"La Hongrie va retirer sa loi imposant des restrictions au financement
des ONG après une mise en demeure de l’UE, tout en instaurant des
contrôles jugés mercredi « inquiétants » par les associations, selon un
projet d’amendement mis en ligne sur le site internet du Parlement." La suite sur mediapart.fr (article payant)
"Un an avant les prochaines législatives, annoncées plus difficiles que
les précédentes face à l’opposition unie, le pouvoir Fidesz assure ses
arrières en confiant entreprises et institutions à des fondations amies." La suite sur lesoir.be (article payant)
"Selon ses détracteurs, le texte adopté en 2017 visait à épingler et à
décrédibiliser les organisations bénéficiant de dons internationaux. En
juin dernier, la Cour de justice de l’Union européenne jugeait ce
dispositif contraire au droit communautaire.
Près d’un an après avoir été mis à l’index par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), l’exécutif hongrois abroge sa loi controversée d’avril 2017 sur les ONG
étrangères. Une proposition en ce sens a été déposée dans la soirée du
20 avril par le gouvernement. Le Parlement devrait rapidement
la valider." La suite sur courrierinternational.com
"Le journal d'investigation 444.hu revient avec humour sur un phénomène
qui en dit pourtant long sur l'actuel régime en place en Hongrie :
l'intelligentsia gravitant autour du pouvoir produit à rythme effréné
des livres louant le système Fidesz et son dirigeant, "le Tigre hongrois
. . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"L’un des joueurs les plus utilisés par son équipe cette saison,
l’international tunisien, Aïssa Laïdouni, a toutefois été récompensé par
un titre de champion de Hongrie obtenu avec le Ferencváros TC.
Cette formation a remporté le titre, avant terme, après avoir battu hier Ujpest (3-0). Il s’agit du 32e titre du club de Fradi." La suite sur tunisienumerique.com
"Une pâtisserie hongroise a lancé une gamme de mousses sucrées
sur le thème du vaccin COVID-19 comme antidote léger à l’angoisse face
aux différents types de vaccins et aux implications de la réception de
l’un ou l’autre d’entre eux.
À la pâtisserie de la famille Sulyan dans la petite ville de
Veresegyhaz, au nord-est de Budapest, on trouve une sélection de mousses
avec des garnitures de gelée colorées, présentées dans de petits
verres, avec des seringues décoratives sur le dessus.
Chaque couleur de gelée représente un vaccin COVID-19 différent :
jaune citron pour AstraZeneca et un jaune légèrement plus foncé pour
Sinopharm, vert matcha pour Pfizer, orange pour Sputnik V et un bleu vif
pour Moderna." La suite sur eurasiatimes.org
Vous
avez entre 18 et 35 ans et des origines hongroises ? Vous souhaitez
découvrir la Hongrie, ou en apprendre la langue ? Découvrez ces
opportunités de bourses ! Appel à candidature en anglais :
"RSF publie ce mardi son rapport annuel sur la liberté de la presse dans
le monde. Même si l'Europe reste le continent le plus favorable à
l'exercice du métier de journaliste, l'épidémie de Covid-19 a eu des
conséquences négatives sur la liberté des médias.
Sans surprise, comme chaque année, les pays scandinaves – Norvège
(1e), Finlande (2e) et Suède (3e, 1) – trustent les premières places du
classement établi par Reporter sans Frontières (RSF).
Mais la pandémie de COVID a cette année impacté très sérieusement la
liberté la presse, constate Pauline Ades-Mevel, porte-parole de RSF : "La
Hongrie a été a première dans l’Union européenne à mettre en place une
législation liberticide, avec des peines de prison pour la diffusion de
soi-disant fausses informations." En Hongrie, les médias étrangers
ont été visés par une campagne d’intimidation de la part des autorités.
Le régime de Victor Orban n’a pas cessé de censurer des médias
indépendants comme le site Index, dont la quasi-totalité des
journalises a démissionné à la suite de sa prise de contrôle par des
hommes proches du Premier ministre." La suite sur franceinter.fr
"La valeur des exportations a atteint 104,5 Mds EUR et celle des
importations s’est élevée à 98,7 Mds EUR . La structure du commerce
extérieur reste stable : les machines et matériels de transport dominent
les exportations (57,04%) comme les importations (48,43%). Les
principaux partenaires de la Hongrie sont les pays de l’UE avec le rôle
majeur de l’Allemagne (26,35 % du total des échanges). La France est le
9ème partenaire de la Hongrie en 2020, avec 4,01% des échanges globaux.
En 2020, le montant des exportations a atteint 104,5 Mds EUR (36 656 Mds HUF) et celui des importations s’est élevé à 98,7 Mds EUR (34 610 Mds HUF). Alors que le volume des exportations en EUR connait une baisse de 4,2%, celui des importations diminue de 5,8%. L’excédent commercial s’élève à 5,8 Mds EUR (2 046 Mds HUF), en hausse de 1,5 Md EUR (633 Mds HUF) par rapport à l’année 2019." La suite sur economie.gouv.fr
La championne magyare Judit Polgar. BETTINA FLITNER/LAIF-REA
"La joueuse la mieux classée de l’histoire des échecs, huitième mondiale
en 2005, se bat pour l’égalité des sexes dans la discipline. Judit
Polgar a été l’une des sources d’inspiration pour le personnage de Beth
Harmon, héroïne du Jeu de la dame.
Sacrée grand maître à l’âge de 15 ans et seule femme à avoir vaincu la
légende russe Garry Kasparov, Judit Polgar, née en 1976 à Budapest, a
bouleversé une discipline qui, encore aujourd’hui, reste très masculine.
“Je ne serai satisfaite que lorsque les entraîneurs arrêteront de
différencier les garçons et les filles concernant les perspectives de
succès. J’ai réussi à me hisser parmi les meilleurs car je n’avais pas
d’objectif plus modeste que de décrocher le titre de champion du monde
au masculin”, explique au portailhongrois Qubit cette ambassadrice de l’ONU pour l’égalité hommes-femmes.
Pas “d’enfance sacrifiée” Son père, un
psychologue et enseignant d’échecs qui a scolarisé ses trois filles à
domicile, l’a très tôt initiée à la discipline, comme ses aînées,
Zsuzsanna et Zsofia. Il voulait montrer que l’on pouvait, à force
d’entraînement, atteindre l’excellence dans n’importe quel domaine. “Je n’ai pas eu l’impression d’une enfance sacrifiée, car le succès est arrivé très..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
"Les organisateurs ont été choisis pour les tournois finaux de 2023 et 2024.
La Hongrie et Chypre ont été choisies par le Comité exécutif de l'UEFA
lors de sa réunion à Montreux pour accueillir les tours finaux du
Championnat d'Europe des moins de 17 ans de l'UEFA en 2023 et 2024
respectivement." La suite sur uefa.com
"Adversaires politiques sur la scène européenne, le président français et le Premier ministre hongrois ont trouvé un terrain d’entente. Sportivement vôtre.
Il est à noter que le jour où la Commission lance la Conférence sur l'avenir de l'Europe (à travers un site ouvert à tous les citoyens),
le seul sujet qui rassemble dirigeants et piliers de comptoirs est le
football. Les « sachants » feront la fine bouche. Grave erreur ! L'Europe,
au concret, pour les « vraies gens », c'est le ballon rond, la Ligue
des champions, le Championnat d'Europe… La confrontation pacifique
autour d'une baballe quand, pendant des siècles, les boulets de canon
ont abattu tant de forteresses sur le Vieux Continent." La suite sur lepoint.fr
L’exposition
de l'Institut culturel hongrois permet pour la première fois de
s’intéresser aux coulisses de la recherche hongroise sur le cubisme.
Son
objectif principal est d’attirer l’attention sur les œuvres cubistes
hongroises dont une fraction incroyablement importante reste toujours
introuvable. Il est d’autant plus justifié de lancer cette initiative en
France qu’une grande partie de ces œuvres recherchées ont été réalisées
et ont disparu à Paris ou dans la province française. Notre exposition
tente de créer un cadre susceptible de favoriser leur réapparition et
invite le milieu professionnel parisien ainsi que le grand public à
participer à cette passionnante « chasse aux œuvres d’art ».
En
même temps, l’exposition propose également un aperçu des succès déjà
remportés : elle propose une quarantaine d’œuvres cubistes originales,
dont plusieurs douzaines de peintures et de dessins, ainsi que quelques
statues jusqu’ici ignorées, y compris des professionnels hongrois.
La
Galerie nationale de Hongrie prépare en 2023 une exposition de grande
ampleur consacrée à ce thème. Elle s’accompagnera d’un catalogue
monographique. Nous espérons que le succès de notre exposition
parisienne anticipera celui de l’événement budapestois !
Association laïque qui a pour but de réunir les personnes intéressées par la Hongrie, qu’elles en soient originaires ou non, quelles que soient leurs opinions philosophiques, politiques ou religieuses. Elle a aussi pour but de permettre leur rencontre à Paris, l’échange d’informations, le partage des cultures, la conversation magyare et toutes autres activités communes.
Contact :
mardishongrois(AT)hotmail.com
Suivez nous sur Twitter :
https://twitter.com/mardishongrois
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Petite précision nécessaire compte tenu de demandes récurrentes qui nous parviennent.
L'association des Mardis hongrois se veut laïque, ouverte à tous, mais se refusant à relayer ou favoriser quelque prosélytisme religieux, mystique, sectaire, philosophique ou politique que ce soit. Par conséquent toute demande visant à faire de la publicité à des évènements de ce type ou utilisant de tels supports sera automatiquement rejetée sans autre justification.
Calendrier des soirées des Mardis hongrois de Paris
- mardi 7 janvier 2025
- mardi 21 janvier 2025
- mardi 4 février 2025
- mardi 18 février 2025
- mardi 4 mars 2025
- mardi 18 mars 2025
- mardi 1er avril 2025
- mardi 15 avril 2025
- mardi 29 avril 2025
Un mardi sur deuxà partir de 20hau café Le Zimmer, 1, place du Châtelet 75001 Paris Métro - Châtelet Párizsi magyar találkozó minden második kedden este 8 órakor kezdődik. Helyszin :Zimmer kávéházban, 1, place du Châtelet Métro Châtelet ************
Les Mardis hongrois sur France 2 émission Télématin