17-ème année
Master class de piano classique et Musique de chambre par Livia Rév
Du 8 au 15 septembre 2008
Institut Hongrois - 92 rue Bonaparte 75006 Paris
RECITAL LIVIA RÉV : le 8 septembre à 20 heures
Mozart - Beethoven - Chopin - Bartók
Bartok : Este a Székelyeknél
Mozart : Sonate en la majeur K.331
Beethoven : Sonate OP.31 N° 2 " La tempête
Chopin : Nocturnes si bémol mineur & mi bémol majeur
Concert de clôture par les élèves le 15 septembre à 20 heures
Le Master Class a lieu chaque jour de 10 h à 12 h30 et de 15 h à 17h30 - il est ouvert au public Les cours et les concerts ont lieu à l'Institut Hongrois - 92 rue Bonaparte 75006 Paris.
Tél : 00 33 (01) 43 26 06 44 Métro St Sulpice ou Mabillon
Et le week-end chez Livia Rév : 00 33 (0)1 39 69 70 12
Réservation aux concerts : Institut Hongrois par téléphone ou sur place 30 mn avant les concerts
BULLETIN D’INSCRIPTION
A retourner avant le 4 septembre 2008 à Livia Rev* accompagné du règlement.
To be returned completed by the 1 st of September 2008 to Livia Rev* together with the settlement
Ou par (or by) e mail à b.lanson@free.fr
Nom – Name : ………………………………………
Prénom – Surname : ……………………………
Nationalité – Nationality : ………………………….
Date de naissance – Date of birth : ………………………..
Adresse – Address : ……………………………..
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email address: ……………………………………………………
numéro de Tél. – Tél. number : …………………………….
Etudes musicales – musical studies : ……………………………………….
Nom du professeur – teacher’s name : …………………………………………….
Diplômes obtenus – diplomas : …………………………………………………………
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Titres – status : …………………………………………….
Sélection proposée pour le master class – pieces chosen for the master class : 2 maximum: 1 for the class and 1 for the concert
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Observations particulières – special requirements : ……………………………
Avez vous déjà participé à un master class de Livia Rev ou autre? Have you already joined one of Livia Rev’s master classes or any other classes?
…………………………………………….
Date et signature – date and signature : ……………………………………
dimanche 31 août 2008
Rénovation urbaine au bulldozer - Conférence de presse le 2 septembre à 11 heures à Budapest
Városrehabilitáció helyett
buldózeres városrekonstrukció
nagykoalícióban
az UNESCO által is védett, műemléki jelentőségű területen,
a pesti zsidó negyedben!!!
AZ ÓVÁS!
A NAGYDIÓFA ÉS A SZINDIKÁTUS EGYESÜLET
MEGHÍVJA ÖNT
2008. SZEPTEMBER 2-ÁN
KEDD DÉLELŐTT 11 - ÓRAKOR TARTANDÓ
KÖZÖS
SAJTÓTÁJÉKOZTATÓJÁRA
Helyszín: Spinoza kávéház, VII. Dob utca 15.
A sajtótájékoztatón - a híres Spinoza tejeskávé és croissant mellett - szó esik a zsidó negyeddel kapcsolatos 2008. május 29-i és az augusztus 28-i fővárosi közgyűlési döntések építészeti örökséget érintő súlyos és szégyenteljes hatásáról, nemzetközi következményeiről, de a konkrét veszélyben lévő házakról is: többek között a Nagydiófa utca 8. veszélyeztetettségéről és az Akácfa utcai műemlék - rombolásról.
buldózeres városrekonstrukció
nagykoalícióban
az UNESCO által is védett, műemléki jelentőségű területen,
a pesti zsidó negyedben!!!
AZ ÓVÁS!
A NAGYDIÓFA ÉS A SZINDIKÁTUS EGYESÜLET
MEGHÍVJA ÖNT
2008. SZEPTEMBER 2-ÁN
KEDD DÉLELŐTT 11 - ÓRAKOR TARTANDÓ
KÖZÖS
SAJTÓTÁJÉKOZTATÓJÁRA
Helyszín: Spinoza kávéház, VII. Dob utca 15.
A sajtótájékoztatón - a híres Spinoza tejeskávé és croissant mellett - szó esik a zsidó negyeddel kapcsolatos 2008. május 29-i és az augusztus 28-i fővárosi közgyűlési döntések építészeti örökséget érintő súlyos és szégyenteljes hatásáról, nemzetközi következményeiről, de a konkrét veszélyben lévő házakról is: többek között a Nagydiófa utca 8. veszélyeztetettségéről és az Akácfa utcai műemlék - rombolásról.
Libellés :
Architecture,
Erzsébetváros,
Patrimoine,
Quartier juif,
Urbanisme
Le choeur d'hommes Saint-Ephraïm - 25, 26 et 27 septembre 2008
LE CHOEUR D'HOMMES SAINT-EPHRAÏM (Hongrie), pour la première fois en France !
Jeudi 25 septembre 2008 à 20h30
PARIS, église Saint-Séverin (rue des Prêtres St Séverin, 5e arr. Métro Saint-Michel ou Maubert-Mutualité)
Byzantine Spirit
Vendredi 26 septembre à 20h45
SAINT-GERMAIN-EN-LAYE, église Saint-Germain (4, place Charles de Gaulle, à la sortie du RER)
SAINT-GERMAIN-EN-LAYE, église Saint-Germain (4, place Charles de Gaulle, à la sortie du RER)
Byzantine Spirit
Samedi 27 septembre à 15h30
ROYAUMONT (Saison Musicale), cloître de l’abbaye (à quelques km de Chantilly et de Viarmes)
Musique sacrée d’Europe centrale et d’Europe de l’Est au XIXe siècle
En 2002, alors qu’il effectue des recherches sur les origines et variantes des mélodies grecques-catholiques de Hongrie et des Carpathes, Tamás Bubnó tombe sur une partition inconnue : une liturgie de Saint Jean Chrysostome du prêtre-compositeur János Boksay. Tamás Bubnó est chanteur, chef de choeur, codirecteur de la Schola Cantorum Budapestiensis et directeur artistique du Festival International de Musique Sacrée Notre-Dame des Hongrois. Désireux de faire vivre l’oeuvre qu’il a mise au jour, il réunit des amis choristes professionnels, membres des choeurs hongrois les plus prestigieux (Choeur National, Choeur de l’Armée, Choeur de la Radio…) et l’aventure commence. L’ensemble de 15 membres ainsi formé choisit comme patron le Syrien Saint Ephraïm (306-373), l’un des premiers grands poètes d’hymnes, celui qu’on appelait déjà de son vivant « la harpe du Saint-Esprit ». Le choeur est d’abord invité à participer aux services religieux grecs-catholiques, puis il donne ses premiers concerts, enregistre en 2005 la liturgie de Boksay, et enrichit vite son répertoire. Le choeur a aujourd’hui pour vocation principale d’interpréter les trésors de la musique sacrée européenne de rite bizantin au sens le plus riche du terme. À côté d’hymnes grecs byzantins du Moyen Âge, et de chants slaves-orthodoxes bien connus du XIXe siècle et du début du XXe (de Bortnianski, Rachmaninov, Tchesnokov…), il nous fait découvrir des chants liturgiques et paraliturgiques de Hongrie inconnus à ce jour en Europe Occidentale (chants du rite grec-catholique hongrois ; unique morceau que Liszt ait composé en slavon…), ainsi que des oeuvres de compositeurs contemporains slaves ou hongrois : il crée notamment le chant bouleversant composé sur le psaume 137 par le jeune pétersbourgeois Ekimov. Il enregistre en 2006 son deuxième disque : Byzantine Spirit. Le Choeur d’Hommes Saint-Ephraïm intègre parfois à ses concerts des chants appartenant à d’autres traditions religieuses (chants grégoriens, chants protestants, gospels…), ou des chants profanes. Son interprétation de Liszt et de Bartók est unanimement saluée au Festival de Schleswig-Holstein (Allemagne) 2007. Après s’être déjà produit en Russie, Serbie, Slovaquie, Pologne, Italie et Allemagne, le choeur donnera les 25, 26 et 27 septembre prochains ses premiers concerts en France.
À ne pas manquer !
http://www.saintephraim.orpheia.hu/
À ne pas manquer !
http://www.saintephraim.orpheia.hu/
Un voyage musical en Europe centrale à l'Abbaye royale du Moncel le 18 octobre 2008
Entrée 12€, incluant la visite de l'abbaye à 17h 30, le concert et un buffet à la fin du spectacle
Réservations à l'Abbaye : 03 44 72 33 98
POLYPHONOS : polyphonos@orange.fr - Tél. : 06 60 07 39 78
Accès : Autoroute A1 sortie n°8 puis prendre la N17 Direction Pont Ste Maxence
SNCF : Gare du Nord direction Pont Ste Maxence
Réservations à l'Abbaye : 03 44 72 33 98
POLYPHONOS : polyphonos@orange.fr - Tél. : 06 60 07 39 78
Accès : Autoroute A1 sortie n°8 puis prendre la N17 Direction Pont Ste Maxence
SNCF : Gare du Nord direction Pont Ste Maxence
Danièle Georget : Une passion hongroise
"1956, un monde tremble, vacille et sa peau épaisse de vieux dinosaure se fendille douloureusement. Quelque part en Europe Centrale, un désir fou de vivre vient d'exploser, imprévu et magnifique. Un soleil radieux et sanglant déferle soudain sur les plaines hongroises défigurées par les miradors, et les rues se remplissent d'enfants armés, heureux. Partout, des trous sont découpés dans le drapeau national et sa silhouette mutilée flotte avec le parfum de la victoire, au milieu des volutes de poussières qui s'élèvent des décombres de l'étoile rouge, systématiquement effacée à coup de mitraillette de tous les bâtiments qu'elle surplombait.
«Ruszkik haza!», «Les Russes, dehors!», ce sont les premiers mots de la langue locale qu'apprennent les reporters envoyés par Paris-Match afin de couvrir l'évènement. En effet, c'est ce qui interpelle les observateurs extérieurs : comment un peuple minuscule, ancré à un territoire exigu et dépourvu de tout appui extérieur, peut-il faire plier la deuxième puissance mondiale, l'immense Union Soviétique, le vainqueur de cette Deuxième Guerre Mondiale dont l'ombre de souffrance revient hanter les consciences tout au long du roman?
Malgré tout, pour François comme Anna, deux reporters-photographes que le hasard d'une panne automobile a poussés à échanger les premiers mots, le regard géopolitique n'est pas le plus parlant. Ils ont choisi ce métier par goût de la beauté et de l'aventure, et finalement qu'importe si l'intervention française sur le canal de Suez augure mal de la publicité donnée à leur travail ; ils ne sont pas là pour ramener des images de cadavres, mais des instantanés de la joie, de l'énergie, même désespérée, qui coulent à si gros bouillons sur les pavés noyés de chaux par précaution sanitaire.
Cette vitalité, ils la trouvent sur le visage des combattants, épuisés, amoureux, emportés par le jeu à échelle géante de la guerre – échelle pourtant si étroite puisque, au-delà des frontières, l’indifférence est aussi violente que l’enthousiasme dans les rues de Budapest. Mais surtout, la rage d’être enfin vivants leur apparaît à l’endroit où ils l’attendaient le moins : au creux d’eux, dans leurs cœurs, leurs ventres, tout autant que dans leurs yeux. Après la jouissance extrême de la rébellion, extase et héroïsme dont ils veulent témoigner à tout prix, même la servitude n’aura plus jamais le même goût, entachée d’amertume et d’orgueil qu’elle est désormais. Et l’on n'imagine pas l’éclair de lucidité provoqué par l’embrasement, laisser indemnes ceux qu’il a, un temps, brûlés.
Avec ce remarquable roman richement documenté (qui a l’élégance de refuser d’enfermer l’évènement dans des problématiques purement stratégiques), Danièle Georget dresse le tableau saisissant de dix jours qui portaient en eux le germe d’une révolution trop abasourdissante pour que le monde prête attention à ce qu’avec sa myopie habituelle il a pris pour un portrait sépia. Évidemment, à côté du beau spectacle offert par les soldats bronzés, propres et solidement armés qui prenaient position près du canal de Suez, sur fond de ciel bleu, «les héros de Budapest, avec leurs bérets, leurs mitaines, en avaient pris un sacré coup de vieux». Ils n’étaient pas photogéniques. Et pourtant, l’écriture souple, riche de comparaisons, visuelle et venant du cœur recrée pour nous leurs silhouettes et leurs rêves, tout cela à partir de l’histoire véridique de Jean-Pierre Pedrazzini dont la statue sur la place Köztarsasag rappelle aux Hongrois qu’il y a eu un étranger pour partager leur combat."
Aurore Lesage
Source : Parutions.com
Danièle Georget : Une passion hongroise
Plon 2008 / 21 € - 137.55 ffr. / 379 pages
ISBN : 9782259208321
FORMAT : 13.5 x 20.5 cm
Date de parution : 21/08/2008.
Libellés :
Histoire,
Littérature,
Révolution de 1956
Búsuló Juhász restaurant
"Durant l'été et jusqu'à la fin de l'automne, le restaurant Búsuló Juhász est presque une institution à Budapest. Les clients affluent dans ce lieu qui jouit d'une vue absolument exceptionnelle que l'on ne se lasse pas d'admirer, qu'on soit à l'intérieur ou sur les terrasses"
La suite de l'article sur lepetitjournal.com
Búsuló Juhász restaurant
1118 Budapest Kelenhegyi u. 58
Tél : 209-1649
www.busulojuhasz.hu
La suite de l'article sur lepetitjournal.com
Búsuló Juhász restaurant
1118 Budapest Kelenhegyi u. 58
Tél : 209-1649
www.busulojuhasz.hu
samedi 30 août 2008
Béla Osztojkán : Jóska Átyin n'aura personne pour le lui rendre
"Inspiré de faits réels qui touchèrent dans les années 1950 la communauté tsigane d'un village de Hongrie, le récit s'ouvre sur les prémonitions d'une vieille centenaire: la fin du monde est proche, "un fléau digne du Jugement dernier" guette les habitants du quartier et s'abattra sur eux "comme la résultante de banals agissements". Mais nul n'écoute cette vieille femmee excentrique qui, quelques heures plus tard, mettra fin volontairement à ses jours, laissant orphelin son petit protégé Mojna, âgé d'une dizaine d'années.A la fois roman historique, fable, comédie humaine, épopée visionnaire où se mêlent souvenirs, légendes et récits connexes, Jóska Átyin n'aura personne pour le lui rendre introduit le lecteur dans l'univers d'une petite communauté tsigane pleine de contradictions, où des hommes et des femmes en marge de la société, faute de comprendre ce qui leur arrive, réinventent un monde. C'est aussi une réflexion sur le pouvoir, la société, la vulnérabilité des hommes et leurs limites, la délicate coexistence entre tradition et monde moderne, pragmatisme et irrationalisme.
Ecrivain hongrois tsigane, Béla Osztojkán (1948-2008) est né à Csenger, dans le nord-est de la Hongrie, près de la frontière roumaine. Très marqué par ses origines, il a situé tous ses récits dans cette région pauvre où vivent de nombreux Tsiganes. Egalement auteur de recueils de poèmes, du roman Le bon Dieu n'est pas chez lui (Fayard, 2008) et d'un conte théâtral, il est considéré comme une figure majeure de l'élite culturelle et politique rrom."
Ecrivain hongrois tsigane, Béla Osztojkán (1948-2008) est né à Csenger, dans le nord-est de la Hongrie, près de la frontière roumaine. Très marqué par ses origines, il a situé tous ses récits dans cette région pauvre où vivent de nombreux Tsiganes. Egalement auteur de recueils de poèmes, du roman Le bon Dieu n'est pas chez lui (Fayard, 2008) et d'un conte théâtral, il est considéré comme une figure majeure de l'élite culturelle et politique rrom."
Date de Parution : 27/08/2008
Collection : Littérature Etrangère
Prix public TTC : 23,00 €
Code ISBN / EAN : 9782213632315 / hachette : 3534716
Format (153 x 235)
Nombre de pages : 399
Copyright de l'œuvre : Librairie Arthème Fayard, 2008, pour toutes les langues sauf le hongrois.
L'homme de Londres de Béla Tarr
"Il aura fallu près d'un an et demi depuis sa projection cannoise pour qu'arrive sur les écrans l'adaptation de L'homme de Londres par Béla Tarr. Cinéaste peu prolifique, le Hongrois a donc tenté de transposer l'univers poisseux de Georges Simenon dans ses expérimentations formelles. La trame pourrait être résumée en quelques mots: un aiguilleur dans une gare maritime, Maloin, est témoin d'un meurtre. Cet événement va bouleverser sa profonde solitude et les fondements de sa morale. Ce qui compte, ici, c'est un climat singulier, aussi oppressant que fascinant, et un art exceptionnel du plan-séquence. Si l'on peut être décontenancé par le rythme très lent et un noir et blanc quasi expressionniste (et une bande-son décalée), la puissance visuelle de L'homme de Londres en fait l'un des films les plus impressionnants et radicaux qu'on puisse voir ces temps-ci. A découvrir absolument. (En salle le 24 septembre.)"
Sauvegarde du quartier juif, Acte II, scène 1
"En février dernier, nous consacrions un article sur la tentative de sauvegarde du quartier juif par l’association hongroise ÓVÁS!, épaulée par l’association française Les Mardis Hongrois de Paris et les signataires d’une pétition lancée par cette dernière. En juillet dernier, le Comité du Patrimoine mondial de l'UNESCO a inscrit le problème du Quartier juif de Budapest à son ordre du jour. Il exprime son inquiétude et cherche à mettre les autorités hongroises devant leurs responsabilités."
La suite de l'article du 25 août 2008 dans le Journal français de Budapest
La suite de l'article du 25 août 2008 dans le Journal français de Budapest
Libellés :
Architecture,
Erzsébetváros,
Patrimoine,
Quartier juif,
Urbanisme
Parno Graszt à la Java samedi 6 septembre 2008 à 21 heures
Ailleurs t’es à l’Ouest présente
Samedi 6 Septembre 2008
De 21H à l’aube
LA JAVA – 105 rue du Faubourg du Temple – 75010 PARIS – M° Belleville
Soirée BALKANBEATS
Samedi 6 Septembre 2008
De 21H à l’aube
LA JAVA – 105 rue du Faubourg du Temple – 75010 PARIS – M° Belleville
Soirée BALKANBEATS
Le RDV entre mélange traditionnel et musique électro.
Depuis septembre 2006, Balkanbeats devient la soirée mensuelle incontournable consacrée à la musique de l’Est…
Mis en place par l’association Ailleurs t’es à l’Ouest, chaque mois un groupe de la scène tzigane européenne est invité à se produire et la soirée se poursuit avec les sélections bien connues de Dj TAGADA qui à l’occasion en profite pour inviter des compères Dj européen.
Depuis septembre 2006, Balkanbeats devient la soirée mensuelle incontournable consacrée à la musique de l’Est…
Mis en place par l’association Ailleurs t’es à l’Ouest, chaque mois un groupe de la scène tzigane européenne est invité à se produire et la soirée se poursuit avec les sélections bien connues de Dj TAGADA qui à l’occasion en profite pour inviter des compères Dj européen.
PARNO GRASZT - Musique traditionnelle tzigane Hongrois
Originaire de Paszab, un petit village hongrois boudé par le développement économique, Parno Graszt est l’exemple même de la convivialité, de la fête et des traditions. Parno graszt «
On s’imprègne et on fait aller ses pieds !!
Un plongeon jubilatoire dans la musicalité quotidienne de la campagne magyare.
www.myspace.com/parnograszt
DJ ROBERT SOKO
D'Origine Bosniaque, Robert SOKO fonde le collectif BalkanBeats en 2001. Il est l'un des premiers Dj en Europe à jouer la musique des Balkans. Il organise, depuis 7 ans, ses soirées BalkanBeats au Mudd Club de Berlin.
Depuis 2 ans, il se lie avec Dj Tagada et se produit régulièrement dans les salles parisiennes notamment la Java.
Robert Soko cherche l’émotion. Spécialiste des fanfares des Balkans, Gypsy Punk, électro Tzigane, son set s’étend entre musique traditionnelle et son nouveau. La révolution du Dance Floor sur une musique riche qui vacille entre la joie et la mélancolie, un vrai moment de bonheur et de paix entre les cultures et les peuples.
www.myspace.com/balkan_beats
Contact Presse : margo.ailleurs@yahoo.fr – 06 68 42 60 82
mercredi 6 août 2008
Soirée des Mardis hongrois de Paris du 5 août 2008 - Quelques images
Un toast en l'honneur de Julie, dont la maman est très fière et qui vient de réussir son concours d'entrée dans une grande et prestigieuse école d'ingénieurs.
(petite précision : le breuvage dans les verres est du Chinon bien frais)
D'autres images de cette soirée sur le site photos des Mardis hongrois de Paris
Libellés :
Photographie,
Soirée des Mardis hongrois
Hongrie: dédommagement de 12,3 M EUR pour des survivants de l'Holocauste
"Quelques 6.500 survivants hongrois de l'Holocauste recevront 12,3 millions d'euros de l'Etat allemand, soit environ 1.900 euros par personne, a annoncé mercredi une organisation juive à Budapest.
"Suite aux négociations avec le gouvernement allemand, le +Claims Conference+ -- une ONG qui s'occupe du dédommagement des Juifs depuis 1951 -- payera un dédommagement aux personnes juives qui ont survécu à l'Holocauste à Budapest en guise de reconnaissance pour leur souffrance", indique le communiqué de l'organisation envoyé à l'AFP, précisant que ces fonds sont destinés aux personnes qui n'ont encore à ce jour pas reçu de dédommagement."
Extrait du quotidien Le Monde du 6 août 2008
vendredi 1 août 2008
C'est aujourd'hui l'anniversaire du forint
"Moyen de paiement actuel, le forint a remplacé le pengő, le 1er août 1946 après l'hyper-inflation ayant suivi la seconde guerre mondiale. Depuis, il s'est transformé en vraie monnaie, il est devenu convertible, et son successeur est même déjà connu, mais la date de "son départ à la retraite" ne l'est pas."
"Ma van a forint születésnapja
Jelenlegi fizetőeszközünk, a forint, 1946. augusztus elsején, a második világháború utáni hiperinflációt követően váltotta a pengőt. Azóta igazi pénzzé vált, konvertibilis lett, és már az utódja is ismert, csak a "nyugdíjba vonulásának" dátuma nem."
La suite de l'article en hongrois sur hvg.hu
Hyperinflation. Les prix doublaient toutes les quinze heures
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