"Comment les autorités hongroises vont-elles agir face à un symbole de la continuité de l’antisémitisme officiel, une réalité aujourd’hui publiquement oubliée, voire niée ?
Laszlo Csatary n'était pas le pire des criminels nazis. Pourtant, sa localisation dans la capitale hongroise revêt une importance particulière. Pour les victimes qui attendent un procès bien sûr. Pour la Hongrie de Orban aussi, pour laquelle c'est un test, comme l'explique l'historien Paul Gradvohl." La suite sur nouvelobs.com
mercredi 18 juillet 2012
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