"Alors que «Le Cheval de Turin», son dernier film, vient de sortir en DVD en France, retour sur la carrière du cinéaste hongrois.
Un authentique génie du septième art a pris l'an passé sa retraite, à
seulement 56 ans. La nouvelle n’a pas fait la Une des magazines grand
public mais le petit monde de la cinéphilie, lui, est en émoi. Et pour
cause, si le réalisateur hongrois n’a jamais cherché le succès public ou
l’adhésion du grand nombre, même si son cinéma hypnotique peut séduire
le profane comme une cantate de Jean-Sébastien Bach ou un tableau de
Jackson Pollock, il est considéré comme l’un des derniers Dieux de la
mise en scène. Pourquoi un tel statut? Réponse possible en cinq
éléments." La suite sur parismatch.com
jeudi 26 juillet 2012
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