"Prix
du Livre Inter "Sombre dimanche" d'Alice Zeniter raconte la Hongrie
contemporaine à travers une famille un peu foutraque. Mélancolie et
fantaisie escortent des personnages bancals saisis par une écriture très
visieulle. Avez-vous déjà observé ces jardins ferroviaires qui bordent
les rails? De drôles d'histoires y poussent parmi les bouteilles de
plastique jetées par les passagers des trains.
Trois générations de Mandy partagent la maison de bois construite au
bord de la voie ferrée de la gare Nyugati à Budapest. Il y a le
grand-père, qui se saoule chaque 2 mai, jour anniversaire du décès de sa
femme "morte d'un excès de communisme"; Pal, son fils
silencieux, veuf depuis que Ildiko a été écrasée par un train en
rentrant de son travail au guichet de la gare, et Imre, le petit-fils,
en attente de quelque chose de nouveau avec la chute du Mur. Si
possible, une blonde Américaine car «se taper des Californiennes était la seule revanche valable sur l’Histoire après plus de quarante ans d’occupation russe» assure Zsolt, le meilleur ami d'Imre." La suite sur lemainelibre.fr
mardi 24 février 2015
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