La crise freine la frénésie de consommation des Hongrois, tout en creusant les écarts abyssaux qui séparent encore les différentes classes sociales...
Les besoins du pays sont énormes. « La plupart des Hongrois ont beaucoup de mal à boucler les fins de mois. Beaucoup ont plusieurs boulots, certains retraités doivent continuer à travailler parce que leur pension ne suffit pas. Ils sont trois millions… », précise Veronika. Protégés jusqu’en 1988 par l’État communiste, beaucoup d’habitants n’ont pas su résister aux sirènes du capitalisme à l’occidentale qui a pris d’assaut le marché hongrois. À Budapest, de gigantesques panneaux publicitaires faisant la promotion de marques étrangères défigurent les façades des merveilles architecturales de l’empire austro-hongrois, et les centres commerciaux sont taillés à l’américaine : XXL. Dans la grande distribution, Tesco est le plus implanté, suivi par Cora et Auchan." Extraits d'un article paru dans lepays.fr
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