"Dans la prestigieuse avenue Andrassy, au centre de Budapest, d'innombrables devantures vides affichent des écriteaux "A louer". Les magasins proposent des soldes de 50 % à 70 % pour tenter d'attirer le chaland. Ces dernières années, le pouvoir d'achat s'est réduit comme peau de chagrin en Hongrie où le taux de chômage dépasse toujours les 11 %.
Propriétaire d'une boutique de prêt-à-porter, Miklos Balla résume l'état d'esprit général : "Les affaires marchent mal partout. Les gens ont beaucoup payé. Maintenant c'est au tour des banques, et c'est bien." Il approuve à 100 % la mesure emblématique annoncée par le nouveau gouvernement conservateur de Viktor Orban : une taxe sur les actifs des établissements financiers qui doit contribuer à renflouer les caisses de l'Etat à hauteur de 700 millions d'euros par an jusqu'en 2013. Ce projet est l'un des points de friction ayant conduit à la spectaculaire rupture des négociations avec le Fonds monétaire international (FMI) mi-juillet." La suite sur lemonde.fr
lundi 30 août 2010
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