"À la tombée du mur de Berlin en novembre 1989, les habitants des États satellites européens de l’URSS – la Pologne, la Tchécoslovaquie, la Hongrie, la Roumanie et la Bulgarie (pour ne pas parler de l’Allemagne de l’Est) étaient, dans leur grande majorité, aux anges. Aujourd’hui, plus de 30 ans plus tard, ils sont déçus. Rares sont ceux qui souhaiteraient revenir au communisme, mais l’avenir ne s’est pas montré aussi « radieux » que prévu.
La première déception
des pays de l’Est, qui ont fini par rejoindre l’Union européenne en
2004-2007, soit une bonne quinzaine d’années après l’effondrement du
communisme, a été provoquée par le constat que les « anciens » membres
de l’UE ne montrèrent guère d’empressement à les accueillir. Les pays de
l’Est, qui avaient fidèlement suivi les nombreux changements juridiques
réclamés par Bruxelles, se sentaient pourtant profondément européens.
Certainement pas moins que la Grèce, avec laquelle ils partageaient
certaines affinités, et qui avait rejoint l’Union en 1981, sept ans à
peine après la chute de sa dictature militaire." La suite sur theconversation.com
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