dimanche 31 décembre 2023
samedi 30 décembre 2023
Inondations en Europe : la Hongrie, les Pays-Bas et la Lituanie se préparent
"Certaines parties du nord et du centre de l’Europe ont continué à être aux prises avec des inondations jeudi après de fortes pluies...
...Le Danube atteint son niveau le plus élevé depuis les inondations de 2013
Les niveaux d’eau à Budapest ont atteint leur plus haut niveau au cours de la dernière décennie.
Mercredi soir, le niveau maximal du Danube qui traverse la capitale hongroise était de 6,93 mètres.
Les voitures abandonnées sur les quais inférieurs fermés de Buda et de Pest ont dû être évacuées en raison de la montée des eaux, a indiqué le bureau du maire.
Certaines parties de Budapest ont été inondées à plusieurs endroits.
Les fortes pluies et la neige, qui ont ensuite fondu sous un temps exceptionnellement doux, ont aggravé les inondations"
Source : observatoiredeleurope.com
Viktor Orbán et Volodymyr Zelensky devraient bientôt se rencontrer sur fond de tensions
"L’Ukraine et la Hongrie préparent une rencontre entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le Premier ministre hongrois Viktor Orbán qui devrait avoir lieu prochainement, a déclaré le chef de cabinet du président ukrainien jeudi (28 décembre), alors que de récentes décisions prises par Budapest ont détérioré les relations entre les deux pays.
Au début du mois, tous les États membres de l’Union européenne, à l’exception de la Hongrie, ont accepté d’entamer des négociations d’adhésion avec l’Ukraine. Les dirigeants de l’UE ont alors contourné l’opposition de M. Orbán en lui demandant de quitter la salle lorsque la décision a été prise.
Toutefois, les dirigeants n’ont pas pu
surmonter la résistance de M. Orbán à la réorganisation du budget de
l’UE et l’allocation de 50 milliards d’euros à Kiev, ce dernier ayant
décidé d’opposer son veto. Ils devraient réexaminer la question lors
d’un sommet le 1er février 2024. Le chef de file du Fidesz hongrois souhaite que les fonds destinés à Kiev proviennent d’autres sources que le budget européen." La suite sur euractiv.fr
Sándor Márai, la vie qui résiste
Sándor Márai | Journal. Les années d’exil (1968-1989). Trad. du hongrois par Catherine Fay. Albin Michel, 555 p., 25 €
"par Gabrielle Napoli
Le troisième et dernier tome de la traduction en français d’extraits choisis du Journal de Sándor Márai (1900-1989) couvre les vingt dernières années d’un écrivain majeur du XXe siècle, l’un des principaux auteurs hongrois lus en France. De 1968 à 1989, sa vie se partage entre Salerne et San Diego où il met fin à ses jours en 1989, quelques mois avant la chute du Mur de Berlin et trois ans après la disparition de son épouse, L. On ne peut que se féliciter de ce travail colossal qui permet au lecteur francophone de compagnonner avec le vif et impitoyable Márai à qui peu de choses échappent. Ces trois volumes donnent au passage une idée de ce que peuvent représenter les dix-huit du Journal publiés aux éditions Hélikon, à Budapest. Il fallait la passion et la patience de deux grands passeurs de la littérature hongroise, Catherine Fay et András Kányádi, pour que cette immense entreprise aboutisse. Immense tant au point de vue du choix des extraits qu’à celui de la traduction et de l’accompagnement du texte.
C’est entre l’Europe et l’Amérique que se déroulent les dernières
décennies de la vie de Sándor Márai, ces années d’un exil entamé dès
1948, lorsque l’écrivain et son épouse quittent la Hongrie pour émigrer
en Suisse, puis s’établissent à Naples avant de s’installer à New York
en 1952. En 1967, année à laquelle débute ce troisième volume français
du Journal, le couple revient en Europe, à Salerne, alors que
János, leur fils adoptif, est resté en Amérique. Ces décennies sont
traversées par une interrogation récurrente : où est-on chez soi ? Márai
oscille entre deux pôles, l’Amérique et l’Europe, mais, en Europe même,
il oscille aussi, entre l’Est et l’Ouest. Kassa, ville natale de
l’écrivain, surgit au gré des souvenirs, plus présente peut-être au fur
et à mesure que la vieillesse s’installe." La suite sur en-attendant-nadeau.fr
vendredi 29 décembre 2023
L’eau du Danube est sortie de son lit à Budapest (photos)
"Le temps humide et chaud de ces derniers jours n’y est pas étranger.
Ce jeudi 28 décembre, l’eau du Danube est sortie de son lit à Budapest en raison du temps humide et chaud de ces derniers jours. Le niveau du Danube est, aujourd’hui, le plus élevé depuis 10 ans.
Les quais inférieurs de la capitale hongroise sont inondés mais les
habitants semblent s’en accommoder, certains discutent notamment sur les
bancs entourés par les eaux de crue." La suite et images sur lesoir.be
jeudi 28 décembre 2023
Dora Votin ‘…thereof one must be silent’ Galerie Le pavé d'Orsay du 19 au 28 janvier 2024
VERNISSAGE : Le jeudi 18 janvier 2024 de 18h30 à 21h
EXPOSITION :
Du vendredi 19 au dimanche 28 janvier inclus
Tous les jours sauf lundi de 14h à 18h
L’ARTISTE : Site web Instagram
Le Pavé d’Orsay
48 rue de Lille,
75007 Paris
France
Métro / RER
Ligne 12 – Rue du Bac
RER C – Musée d’Orsay
Ligne 1 – Musée du Louvre-Palais Royal / Tuileries
La Hongrie prévoit des attaques DDoS contre les fournisseurs illégaux d’IPTV
"Les services IPTV illégaux constituent un gros problème pour les titulaires de droits et leur utilisation dans le monde ne diminue pas malgré les mesures accrues des titulaires de droits. Le gouvernement hongrois prévoit donc une action très particulière : des attaques DDoS légales seront utilisées pour mettre les fournisseurs à genoux.
La Hongrie prévoit des attaques DDoS légalesAttaques par déni de service distribué (DDoS) légales et soutenues
par le gouvernement contre les fournisseurs IPTV illégaux, qu’est-ce qui
pourrait bien se passer ? C’est exactement ce que semble faire le
gouvernement hongrois à l’heure actuelle, comme le rapporte le magazine
Torrentfreak." La suite sur metatrone.fr
mercredi 27 décembre 2023
Un nouvel éclairage sur l’évolution de la tuberculose
"Des recherches récentes suggèrent que l’émergence de l’infection tuberculeuse dans les populations humaines remonte à des dizaines de milliers d’années plus tôt que les cas précédemment connus au Moyen-Orient. En collaboration avec une équipe de recherche internationale, des chercheurs hongrois ont édité et publié un numéro spécial de la revue Tuberculose.
En juillet 2022, le Département d’anthropologie de l’Université de Szeged a organisé une conférence sur la paléopathologie et l’évolution de la tuberculose. La conférence ICEPT3 était étroitement liée au projet de recherche de György Pálfi (Département d’anthropologie, Université de Szeged), le mieux financé par le NRDI, et les présentations de chercheurs du monde entier ont fourni un aperçu complet de l’histoire de l’agent pathogène, allant au-delà des connaissances antérieures.
Au cours des dernières décennies, le bassin historique des Carpates est devenu la région la mieux étudiée au monde en termes d’infection tuberculeuse, principalement grâce aux travaux des chercheurs du Département d’anthropologie biologique de la Faculté des sciences et d’informatique de l’Université de Szeged, le Département d’anthropologie biologique de la Faculté des sciences de l’Université Eötvös Loránd et le Département d’anthropologie du Musée hongrois d’histoire naturelle. Des analyses récentes de György Pálfi, Ildikó Pap et de leurs collègues suggèrent que des spécimens néandertaliens de la grotte de Subalyuk (Hongrie), qui vivaient il y a plus de 32 000 ans, pourraient également avoir souffert d’une infection tuberculeuse. Ces nouvelles découvertes scientifiques placent l’apparition de la tuberculose dans les populations humaines des dizaines de milliers d’années plus tôt que les premiers cas connus." La suite sur ma-clinique.fr
mardi 26 décembre 2023
Hongrie. Erika Varga : comment j’ai fondé Romani Design, la première maison de mode rom
La créatrice de mode Erika Varga, cofondatrice de la marque hongroise
Romani Design, Budapest, en mars 2019. Photo : Attila Kisbenedek/AFP
"Depuis 2010, la Hongroise Erika Varga crée des vêtements et des accessoires haut de gamme dont les motifs aux couleurs éclatantes exaltent l’identité rom. Avec sa griffe, Romani Design, elle espère combattre les préjugés dont souffre la communauté tsigane dans son pays, raconte le magazine “Jelen”, publié à Budapest.
“L’oisiveté ne mène à rien. J’ai appris cela de mes parents. Tout petit, mon père transportait déjà de l’eau contre quelques sous. Il avait quitté l’école avant la grande section. Ses ancêtres étaient commerçants. Il a suivi leur voie, mais a aussi appris à poser du torchis, ferrer des chevaux et a travaillé comme livreur. La famille de ma mère travaillait la terre et élevait des animaux”, raconte Erika Varga en guise d’introduction.
La créatrice de mode poursuit : “Nous sommes de la région de Szabolcs [dans le nord-est de la Hongrie]. Mes frères et moi avons grandi entourés de proches aimants, baignant dans la culture tsigane olah [valaque] et le respect des traditions. Ma grand-mère adorée m’a raconté des histoires et chanté des chansons durant toute mon enfance. Elle avait une collection de poupées et nous leur avons cousu ensemble de nombreux habits. Elle fabriquait aussi de belles tenues pour nous, les filles.”
À l’école de l’exclusionErika n’a été scolarisée qu’à partir du cours préparatoire, où elle a appris le magyar – à la maison, on parlait le cerhar [dialecte tsigane]. La famille vivait en ville, pas dans le quartier tsigane, et l’école n’accueillait que quelques élèves roms. “C’est là que j’ai découvert l’exclusion. L’institutrice faisait asseoir les Tsiganes au fond de la classe. J’ai raconté ça à ma mère, qui est allée régler la situation”, se souvient Erika.
“En troisième [l’équivalent du CE2 français], j’étais l’unique Rom. Quand les autres me brimaient, ma professeure principale me disait d’être fière d’être tsigane et punissait mes harceleurs.”“J’aimais étudier. Mes parents m’ont soutenue et j’ai intégré un lycée technique à Budapest”, enchaîne Erika." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
Dans son restaurant à Rennes, on mange un plat hors du commun
"Avec son gâteau hongrois qu’il revisite dans des recettes salées ou sucrées, le restaurant Kôlochô est un petit OVNI dans le paysage gastronomique rennais.
Kü-rtö-ska-lács : c’est le nom parfaitement imprononçable d’une des spécialités culinaires les plus originales d’Europe centrale. Cuite sur une broche au feu de bois, cette brioche hongroise dénote par son étrange forme cylindrique. Dans les grandes villes comme Budapest ou Prague, on trouve ce dessert auprès de n’importe quel vendeur ambulant installé sur un marché. Si vous n’avez pas prévu de voyager là-bas prochainement, pas de panique, il est également possible de déguster cette spécialité à Rennes.
Pour cela, il faut se rendre au 8 rue Saint-Melaine, chez Kôlochô. Dans
ce restaurant aux faux airs de chalet avec ses poutres en bois
apparentes, Yoann Vannier décline cette drôle de brioche à toutes les
sauces avec des recettes sucrées et salées. Et ça marche !" La suite sur letelegramme.fr
Hongrie : des milliers de personnes font la queue pour une distribution de denrées alimentaires
"Des milliers de personnes ont fait la queue à Budapest lors d'une distribution de denrées alimentaires. De plus en plus de Hongrois dont des retraités ont besoin d'une aide alimentaire. L'inflation plonge certains dans la précarité.
Ce 24 décembre, dans la capitale hongroise, Budapest, des milliers de personnes ont fait la queue sous le froid pour une distribution de denrées alimentaires offertes à l’occasion de noël par l'association Food for Life Krichna, dans le quartier de Nepliget.
Dès
4 heures du matin, certains bénéficiaires faisaient déjà la queue. Tous
les paniers alimentaires avaient été épuisés à 10 heures du matin." La suite sur euronews.com
lundi 25 décembre 2023
Adoption - Un film de Márta Mészáros le 15 janvier 2024 à 20 h Cinéma Reflet Médicis
Cinéma Reflet Médicis, 3, rue Champollion 75005 Paris
Kata, une ouvrière en usine dans la Hongrie des années 1970, désespère de convaincre son amant Joska, de lui faire un enfant. Elle fait la rencontre d’Anna, une jeune délinquante abandonnée par ses parents. La jeune fille a fui le foyer local dans le but de pouvoir rester avec son petit ami Sanyi. Attendrie par cette jeune fille démunie, Kata décide de l’héberger et de lui prodiguer tout l’amour qu’elle n’a jusque-là pu donner.
Drame 1h29
Le
Reflet Médicis en partenariat avec l'Institut Liszt Paris vous présente
une rétrospective dédiée à la réalisatrice Márta Mészáros (1931),
figure incontournable du cinéma hongrois et européen. Márta Mészáros fut
pionnière en étant la première réalisatrice à obtenir l’Ours d’or à
Berlin en 1975, elle était également première à recevoir le Grand Prix à
Cannes en 1984. Son parcours singulier a ouvert la voie du féminisme
non seulement dans la Hongrie communiste mais aussi au niveau
international.
Nous vous invitons à venir découvrir huit de ses films du 16 octobre 2023 jusqu'au 6 mai 2024.
Entretien. Caroline de Gruyter : “Les valeurs européennes, l’État de droit et la démocratie, sont devenues bien plus importantes depuis la guerre en Ukraine”
"Dans un entretien avec le site budapestois “Valasz Online”, la spécialiste des affaires européennes et correspondante du quotidien “NRC Handesblad” à Bruxelles évoque les parallèles entre l’Autriche-Hongrie d’autrefois et l’UE d’aujourd’hui. Elle est interrogée à l’occasion de la parution en hongrois de son livre “Monde d’hier, monde de demain. Un voyage à travers l’empire des Habsbourg et l’Union européenne” [Actes Sud, 2023].
Valasz Online : La monarchie austro-hongroise était un État avec une armée unifiée et une bureaucratie, dirigée par un empereur roi qui se sentait investi par la grâce de Dieu. Quel rapport avec l’Union européenne [UE], association volontaire d’États-nations ?
Caroline de Gruyter : Le territoire de l’UE rassemble des nations très différentes toujours en désaccord, particulièrement lors d’une crise. Leurs dirigeants doivent constamment trouver des compromis. L’empire Habsbourg fonctionnait exactement de cette manière.
Un jour, on demanda au comte Eduard Taffe, ministre de la partie autrichienne de l’empire entre 1879 et 1893, quelle était son activité principale. Sa réponse ? “Fortwursteln”, c’est-à-dire bricoler sans but précis ni plan. C’est ce qu’aurait pu dire au mot près Jean-Claude Juncker, l’ancien président de la Commission européenne.
Les dirigeants d’empires avec de nombreux intérêts nationaux, régionaux, économiques et ethniques contraires passent l’essentiel de leur temps à chercher des compromis. Ils travaillent de sorte que tout le monde reste à bord du projet.
Dans l’UE, les chefs d’État et de gouvernement décident. En Autriche-Hongrie, c’était l’empereur.
Oui,
mais lui aussi devait prendre en compte les intérêts divergents !
Lorsque les Hongrois estimaient qu’ils dépensaient trop pour l’armée
commune et donnaient trop de soldats, même François-Joseph ne pouvait
pas ignorer leurs doléances. Et même si le dualisme était très critiqué
par ses contemporains, les analyses postérieures sont bien plus
compréhensives. J’ai beaucoup lu au sujet des empires ottoman, russe,
allemand et austro-hongrois." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
Hongrie: à 80 ans, une sonneuse de cloches perpétue la tradition
"Terény (Hongrie) (AFP) – Sur les pas des traditions familiales depuis cinq générations, Jozsefne Szedlak, également appelée Tante Ilonka, quitte son domicile deux fois par jour pour se rendre à l'église de son village hongrois et y faire sonner les cloches.
Elle fait partie des très rares sonneuses de cloches en Hongrie et s'emploie à faire résonner celles de l'église catholique de Terény, un petit village d'environ 350 habitants, à quelque 60 kilomètres au nord de Budapest.
La cloche la plus lourde pèse environ 450 kilogrammes. "Tant que mes mains et mes pieds pourront la gérer, il n'y aura pas de mécanisme automatique", explique la grand-mère de 80 ans.
"Les
gens disent, et c'est vrai, que les cloches meurent lorsqu'elles sont
automatisées, donc une cloche qui fonctionne en appuyant sur un bouton
ne sonne pas de la même manière", assure-t-elle." La suite sur france24.com
dimanche 24 décembre 2023
Prochaine rencontre des Mardis hongrois de Paris le 2 janvier 2024 à partir de 20 h au Café Le Zimmer
à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
2024 január 2.-én este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
Hongrie : Victor Orban, le dirigeant de la pression permanente
"Controversé, au sein de l’Union européenne, pour nombre de ses réformes, le premier ministre hongrois Victor Orban sait cependant comment user de sa position pour privilégier les intérêts de son pays. Notamment vis-à-vis de l’Ukraine.
Il a le poids de celui qui dirige la Hongrie depuis treize années consécutives maintenant, après avoir été premier ministre une première fois entre 1998 et 2002. Il a l’élan de celui qui a été largement réélu pour un quatrième mandat successif en avril 2022. Enfin, il a l’expérience pour savoir mettre la pression sur ses partenaires européens afin de mettre en avant ses intérêts propres.
Victor Orban, chantre de « l’illibéralisme », s’est encore illustré
au mois de décembre 2023 en exigeant que soit versée à son pays « la totalité des fonds »
européens dont des milliards d’euros restent bloqués, avant d’envisager
de lever son veto à une nouvelle aide de 50 milliards d’euros en faveur
de l’Ukraine en guerre." La suite sur lanouvellerepublique.fr (article payant)
Saurez-vous retrouver les personnages et objets cachés dans ces dessins ?
"Connu sous le pseudo de Dudolf, le dessinateur hongrois Gergely Dudás partage régulièrement avec ses milliers d’abonnés sur Instagram des images où des personnages sont cachés dans des décors. Saurez-vous les retrouver ?
Vous avez aimé jouer à « Où est Charlie ? » ? L’édition du soir vous propose un défi similaire en ces fêtes de fin d’année. Voici dix images du dessinateur Dudolf. À l’intérieur, dix personnages sont cachés… À vous de les retrouver !" La suite sur ouest-france.fr
L’avant-dernière tuile du puzzle Georg Solti
"Avec un coffret Solti Europe. The Orchestral Recordings,
Decca boucle la boucle de ses rééditions orchestrales consacrées à
Georg Solti (1912-1997), chef hongrois que Yannick Nézet-Séguin a dans
sa ligne de mire puisqu’il détient le record du plus grand nombre de
victoires aux Grammy Awards, un prix qu’il a remporté à 31 reprises
entre 1963 et 1998, ce qui fait de lui l’artiste le plus honoré, jusqu’à
ce que Beyoncé lui ravisse ce titre en 2023.
Le coffret Solti Europe, qui fait suite à Solti. Chicago Complete Recordings, paru en 2017, et au flamboyant Solti London. The Orchestral Recordings, qui nous incita à faire un premier portait du chef en février 2022, couvre toute la carrière du chef sur cinquante années.
Un distributeur visionnaireC’est, de manière symbolique et émouvante, à Zurich, que tout se noue
et se dénoue, dans les CD 1 et 4 de ce coffret. Le premier CD regroupe
des enregistrements de janvier et juillet 1947. Georg Solti, né György
Stern à Budapest en 1912 (comme pour Ormandy,
le patronyme Solti se réfère à une ville hongroise, Solt), est à
l’époque encore connu comme pianiste en Suisse, où s’est réfugiée sa
famille après avoir fui la Hongrie en 1939 et où György a remporté le
Concours de piano de Genève en 1942." La suite sur ledevoir.com
Ils font Vandœuvre : le Hongrois Csaba Nagy, amoureux de la France
"Cela fait 29 ans que Csaba Nagy a quitté sa Hongrie natale pour s’installer en France. 22 ans qu’il est marchand de vins à Vandœuvre. Son histoire est celle d’un passionné d’œnologie, francophile aussi.
Après des études au lycée viticole installé sur les rives du lac Balaton, il devient caviste producteur dans une, coopérative viticole. En 1992 il fait connaissance d’une jeune Française, se marie et part à Nancy deux ans plus tard. Il réussit à apprendre la langue en parlant tout simplement avec les gens et grâce aux livres.
Au bout d’un an, Csaba Nagy trouve un emploi de chauffeur-livreur. Sans jamais oublier sa..." La suite sur estrepublicain.fr (article payant)samedi 23 décembre 2023
En Hongrie, une loi de « protection de la souveraineté » pour intimider la société civile
"La loi sur la protection de la souveraineté votée par le parlement le 12
décembre est vivement dénoncée par les ONG et les médias ciblés . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
BYD s’installe en Hongrie, l’Europe est à ses pieds
BYD est devenu en octobre le plus grand constructeur de voitures électriques rechargeables au monde, égalant Tesla
en termes de volumes de ventes. Une telle fiancée ne peut laisser
indifférent, et il serait plus facile de nommer les pays qui ne lui font
pas les yeux doux, plutôt que ceux qui ont déclaré être prêts à
accueillir une usine ! Pour comprendre la puissance de ce groupe, il
faut garder à l’esprit que la fabrication de voitures n’est pas
l’activité industrielle principale de BYD, mais une diversification de
son coeur d’activité qui reste la production de batteries." La suite sur mobiwisy.fr
vendredi 22 décembre 2023
Hommage à Véra Molnar- samedi 13 janvier 2024 de 16 h à 20 h Bernard Chauveau Édition / Galerie 8+4
Bernard Chauveau Édition / Galerie 8+4 13, rue d'Alexandrie 75002 Paris
L’immense
artiste Véra Molnar aurait eu 100 ans le 5 janvier 2024. Elle vient de
nous quitter, et pour lui rendre hommage, la Galerie 8+4 propose une
série de mini-concerts au cours de l’après midi, au cœur de l’exposition
« Cent (ou mille) manières de faire » de l’artiste.
Melaine Dalibert interprétera des pièces de J.S Bach, B.Bartók, G.Ligeti, A.Pärt, P.Glass et M.Dalibert.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Autour de Peter Eötvös Table ronde 10 janvier 2024 à 18h30 Philharmonie de Paris
Philharmonie de Paris, Amphithéâtre - Cité de la musique 221 Av. Jean Jaurès, 75019 Paris
Photo : Szilvia Csibi
A l'occasion du 80e anniversaire de Peter Eötvös, nous organisons, en partenariat avec la Philharmonie de Paris, une table ronde autour de son œuvre musicale.
Intervenants: Benoît Sitzia, Márta Grabócz, Maxime Joos
Table ronde animée par Lionel Esparza
information : philharmoniedeparis.fr
Bon anniversaire, Péter Eötvös ! Colloque international - Théâtre musical, théâtre instrumental dans l'œuvre de Péter Eötvös 12 janvier - 13 janvier 2024 09h30 Ircam - Salle Stravinsky
Ircam - Salle Stravinsky 1 Place Igor Stravinsky, 75004 Paris
Né le 2 janvier 1944 en Transylvanie, Péter Eötvös mène une triple carrière de compositeur, chef d'orchestre et pédagogue. Sa musique, jouée par les orchestres et les festivals du monde entier, compte à ce jour - en plus d’environ 90 œuvres instrumentales et vocales important - douze opéras (et deux opéras de chambre), parmi lesquels : Trois Soeurs (1996-1997), Love and Other Demons (2007), Paradise Reloaded (Lilith) (2012/13), Der goldene Drache/Golden Dragon (2013/14), Sleepless (2020) et le dernier qui sera créé en 2023 : Valuska. Depuis ses premières pièces et les musiques de film de sa jeunesse, le caractère théâtral, dramaturgique et visuel de ses oeuvres prédomine, jusque dans son catalogue instrumental. Aussi sa production dans le domaine du théâtre musical (ses œuvres instrumentales et vocales, puis ses opéras) mérite-t-elle d’être interrogée du point de vue esthétique, analytique et dramaturgique. Ce sera l’objet de ce colloque réunissant des spécialistes de sa musique venant de plusieurs pays : France, Hongrie, Allemagne, Autriche, Portugal, États-Unis ou encore la Chine.
Organisation scientifique Márta Grabócz
Organisation institutionnelle Institut Liszt, Ircam
Programme
12 janvier : d'une scène (ou d'un opéra) à l'autre
09h30 - 9h45 | Accueil des participants
9h45 - 10h00 | Ouverture du colloque
Président de séance : Laurent Feneyrou
10h00 - 10h30 | Zoltán Farkas (Budapest) : Twelve Operas in Search of an Author
10h30 - 11h00 | Giordano Ferrari (Paris) : Trois Sœurs : la recherche d’une écriture vocale et instrumentale dans l’espace théâtral
Pause Café
11h15 - 11h45 | Dr. Simon Obert (Basel) : The Sound
Dramaturgy of Dreams. On Péter Eötvös’s “Sound Theater” As I Crossed a
Bridge of Dreams (1998–99)
11h45 - 12h15 | Claude Coste (Paris) : Prosodier Le Balcon
Pause Déjeuner
Présidente de séance : Márta Grabócz
14h30 - 15h00 | Krisztina Megyeri (Budapest) : Le jeu musico-dramatique des rôles doublés de Angels in America
15h00 - 15h30
| Zsuzsanna Könyves Tóth (Budapest) : „Erinnerst du dich nicht?” Myths
and intertextuality in Die Tragödie des Teufels and Paradise reloaded
(Lilith)
15h30 - 16h00 | Jolán Orbán (Pécs) : Hospitalité, hospitalité, hospitalité - Péter Eötvös Sleepless (2021)
Pause Café
16h15 - 16h45 | Szabolcs Molnár (Budapest) : The intonation of the grotesque in Valuska, Péter Eötvös’ first Hungarian-language opera
16h45 - 17h15 | Jane Forner (Toronto) : Dystopia, Parody, and Reimagining Myth in Peter Eötvös’s Operas
13 janvier : d'une dramaturgie musicale à l'autre
Président de séance : Pierre Michel
09h30 - 10h00 | Béatrice Ramaut-Chevassus (Saint-Etienne) : Cricket Music et Insetti galanti, deux « idées » de théâtre
10h00 - 10h30 | Chen Fan (Strasbourg) : Une dramaturgie abstraite dans Chinese opera de Péter Eötvös : geste invisible et groupement auditive
10h30 - 11h00
| Péter Laki (New York) : « Von Paris aus geht der Ruhm » : Théâtre
imaginaire et encodage dans Korrespondenz de Peter Eötvös (1992)
Pause Café
11h15 - 11h45 | György Kurtág Jr (Bordeaux) :
Elektrochronik (1974): un moment-clé dans l’histoire de la musique
électroacoustique « live ». Création à partir d’un microscope à
intervalles
11h45 - 12h15 | Márta Grabócz
(Strasbourg) : De Now Miss à Octet Plus. La renaissance d’une
dramaturgie musicale dans l’atelier de Péter Eötvös entre 1972 et 2017
(cinq pièces)
Pause Déjeuner
Président de séance : Giordano Ferrari
14h30 - 15h00 | Geneviève Mathon (Paris/Marne-La-Vallée) : On Sirens Cycle
15h00 - 15h30
| Andreas Krause (Mainz) : Aspects du théâtre instrumental et choral
dans Halleluja de Péter Eötvös, avec quelques réflexions sur l’ « École
de Cologne ».
15h30 - 16h00 | Pedro Amaral (Evora) : Écriture/réécriture - à la recherche d’un drame
Pause Café
16h30 - 17h30 | Table ronde. Intervenants : Stefano Gervasoni, Philippe Manoury, Benoît Sitzia, Pedro Amaral, Andreas Krause, Simon Obert, Márta Grabócz
Entrée libre
Réservation ici
La Hongrie fermement opposée à la réforme prévue par le Pacte migratoire européen
"Mercredi 20 décembre, le Parlement européen et les États membres ont finalement adopté le Pacte asile et migration. L'objectif est de mieux gérer les flux migratoires vers l’Europe. Le pacte prévoit un mécanisme de solidarité afin de soulager les pays en première ligne, comme l’Italie ou la Grèce, en relocalisant les arrivants dans d’autres pays. Un accord salué par la Grèce et l’Italie, mais refusé par un pays : la Hongrie de l’irréductible Viktor Orban.
La Hongrie n’a pas pu s’opposer au vote sur le
pacte migratoire parce qu’il avait lieu à la majorité qualifiée. Mais
dès l’accord conclu, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter
Szijjarto, a déclaré : « Nous rejetons ce pacte migratoire avec force. Nous ne laisserons entrer personne contre notre volonté.»
Cette opposition de la Hongrie n’est pas une surprise. Le Premier
ministre Viktor Orban avait affirmé à plusieurs reprises que la Hongrie
n’accepterait pas de réfugiés sur son sol. Mais en principe, la Hongrie
ne peut pas bloquer l’application de cet accord. Elle ne peut pas
refuser de recevoir des réfugiés qui seraient par exemple relocalisés de
la Grèce vers la Hongrie." La suite sur rfi.fr
Mandarin Oriental Gellert, Budapest : une transformation luxueuse dévoilée pour 2027
"Le groupe hôtelier Mandarin Oriental s'apprête à marquer de son empreinte le paysage hôtelier de Budapest avec l'annonce de l'ouverture du Mandarin Oriental Gellert, Budapest, prévue pour 2027. Il redonne vie à l’hôtel Gellért, un joyau architectural Art nouveau, à la suite d'une rénovation complète et d'un changement de marque.
Inauguré en 1918, l'hôtel Gellért est situé du côté de Buda, près du pont de la Liberté, à Budapest. Acquise par le groupe BDPST, cette propriété fera l'objet d'une transformation sous la direction du groupe hôtelier Mandarin Oriental, connu pour la restauration de propriétés, notamment le Mandarin Oriental Ritz à Madrid, le Mandarin Oriental Savoy à Zurich et le Mandarin Oriental Palace à Lucerne.
Laurent Kleitman, directeur général du Mandarin Oriental Hotel Group,
met en avant l'engagement à préserver l'artisanat local et le
patrimoine culturel hongrois tout en intégrant le luxe moderne, le
confort et les normes de développement durable qui font la renommée de
la marque." La suite sur hospitality-on.com
Face à la presse internationale, Viktor Orbán a défendu son seul contre tous sur l’Ukraine et la loi de « défense de la souveraineté »
"Le premier ministre hongrois a tenu sa conférence de presse internationale annuelle au quartier du Château. Nous y étions . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
« Le mal ronge les démocraties occidentales », déclare le Premier ministre hongrois Orban
"Le dirigeant hongrois a critiqué la récente décision du Colorado de retirer Trump de son scrutin, ainsi que la suppression d’une chaîne de télévision d’État polonaise.
Viktor Orban a affirmé que « le mal ronge les démocraties occidentales » lors de sa conférence de presse annuelle à Budapest.
Le Premier ministre hongrois s’exprimait à la suite de la décision du Colorado de déclarer Donald Trump inéligible à la présidence américaine, ainsi que des mesures prises par le dirigeant polonais visant à retirer une chaîne de télévision publique.
« Nous voyons des choses étranges aujourd’hui, disons dans le monde démocratique occidental », a déclaré Orban.
« Nous devons être attentifs car il existe une grande démocratie
occidentale où, si je comprends bien, ils veulent bloquer un candidat à
la présidentielle en lui mettant des obstacles juridiques », a déclaré
le Premier ministre hongrois, faisant référence à son allié Trump." La suite sur observatoiredeleurope.com
Hongrie : les routiers mettent fin à leur blocus à la frontière ukrainienne
"Dix jours qu’ils bloquaient la frontière avec l’Ukraine. Les routiers hongrois ont décidé de mettre fin à leur blocus, sans avoir obtenu gain de cause. Le gouvernement n’a pas cédé à leurs revendications. Ce qu’ils dénoncent : une concurrence qu’ils jugent déloyale, de la part de leurs collègues ukrainiens.
"Nous avons entendu le discours de
notre gouvernement qui affirme qu'il ne laissera personne sur le côté.
Aujourd'hui, il semble que ce ne soit pas le cas", explique Károly
Szamosfalvi, un routier hongrois." La suite sur euronews.com
Guerre en Ukraine : Viktor Orban qualifie à nouveau l'invasion russe d'«opération militaire»
"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a de nouveau qualifié jeudi l'invasion russe de l'Ukraine "d'opération militaire", reprenant la formule utilisée par Moscou. Au début du mois, il avait utilisé son droit de veto au sein de l'UE pour bloquer une aide européenne de 50 milliards d'euros en faveur de Kiev.
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a de nouveau qualifié jeudi l'invasion russe de l'Ukraine
"d'opération militaire", reprenant la formule utilisée par le
Kremlin. "Il s'agit d'une opération militaire tant qu'il n'y a pas eu de
déclaration de guerre entre les deux pays", a déclaré le dirigeant
nationaliste lors de sa conférence de presse annuelle." La suite sur europe1.fr
Le chef d’état-major des Armées reçoit la visite de son homologue hongrois
"Le 13 décembre, le chef d’état-major des Armées (CEMA), le général d’armée Thierry Burkhard, a reçu la visite de son homologue hongrois, le général Gábor Böröndi, à Paris.
Les deux homologues ont partagé leurs appréciations de situation en
Afrique et sur le flanc Est et ont échangé sur les perspectives de
coopération futures entre les armées française et hongroise. Ils ont
notamment évoqué les ambitions européennes en matière de défense suite à
la réussite de MILEX 23 en octobre et l’importance du pilier européen
de l’OTAN, en vue du sommet de Washington." La suite sur defense.gouv.fr
jeudi 21 décembre 2023
Réforme migratoire de l'UE: les pays méditerranéens satisfaits, la Hongrie furieuse
"En première ligne dans l'accueil des migrants en Europe, Rome, Madrid et Athènes ont salué mercredi l'accord trouvé par les 27 États membres de l'UE pour modifier en profondeur le système migratoire et d'asile européen, qui crée une solidarité obligatoire entre les pays, une mesure rejetée en bloc par la Hongrie.
Après des années de difficiles discussions et de longues tractations, les eurodéputés et représentants de l'UE sont parvenus à un accord sur la réforme du système migratoire européen, qualifié d'"historique" par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, mais dénoncé par les défenseurs des droits humains.
La présidente du Parlement européen, la Maltaise Roberta Metsola, s'est dite "très fière", estimant qu'il s'agissait "probablement de l'accord législatif le plus important de ce mandat".
Pour
aider les pays méditerranéens, où arrivent de nombreux exilés, un
système de solidarité obligatoire va être organisé en cas de pression
migratoire." La suite sur lavenir.net
Les États-Unis fustigent la Hongrie pour sa loi sur la souveraineté
"Les États-Unis ont dénoncé mercredi une loi hongroise sur la «protection de la souveraineté nationale», la qualifiant d'«incompatible avec l'État de droit».
Le Parlement hongrois a adopté la semaine dernière une série de mesures
instaurant une autorité de surveillance chargée de prévenir «les interférences étrangères» dans le processus électoral, avec des peines de prison à la clé. Destiné à «protéger la souveraineté» du pays d'Europe centrale, ce paquet législatif est vu par les détracteurs du premier ministre nationaliste Viktor Orban comme une nouvelle offensive pour museler les contre-pouvoirs." La suite sur lefigaro.fr
Les dirigeants européens continueront-ils à contourner Orbán en lui demandant de quitter la salle ?
"Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán est souvent l’éléphant dans la pièce lorsque les dirigeants de l’Union européenne se réunissent à Bruxelles.
Mais la semaine dernière, le chancelier allemand Olaf Scholz a empêché Orbán de bloquer à lui seul l’ouverture des négociations sur l’adhésion de l’Ukraine à l’UE en demandant au Premier ministre hongrois de quitter la salle.
Cette décision, qui permet aux 26 dirigeants restants de prendre une décision unanime en l’absence d’Orbán, a été saluée par certains comme une manœuvre ingénieuse, mais par d’autres comme un dangereux précédent qui pourrait briser définitivement l’unité de l’UE.
Les décisions critiques de l’UE en matière de politique étrangère, de
sécurité, d’élargissement et de finances nécessitent la bénédiction
unanime des 27 États membres, mais l’abstention n’empêche pas qu’une
décision soit prise." La suite sur observatoiredeleurope.com
En Hongrie, une nouvelle loi pour intimider la société civile, qui “vise à étouffer toute dissidence et à faire taire les voix critiques”
"Approuvée le 12 décembre par le Parlement hongrois, cette législation de “protection de la souveraineté” crée un organe qui a tout pouvoir pour enquêter sur quiconque serait soupçonné de vouloir influencer les processus politiques en Hongrie.
Au centre de l’attention et dans sa position favorite du “seul contre tous” lors du conseil européen la semaine dernière, Viktor Orban a tout de même pris le temps de répondre à son interview hebdomadaire sur la radio publique Kossuth le vendredi matin pour rassurer son électorat après l’ouverture officielle, la veille, des négociations d’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne : “Il y aura environ soixante-quinze occasions où le gouvernement hongrois pourra arrêter ce processus”, a-t-il insisté. Dans la foulée, le journaliste, docile, a donné au chef du gouvernement l’occasion de louer la nouvelle loi de “protection de la souveraineté” votée par le Parlement hongrois le 12 décembre, prévoyant la création d’un Bureau pour la protection de la souveraineté qui pourra enquêter sur quiconque représente à ses yeux une menace." La suite sur lalibre.be (article payant)
Les actions hongroises affichent leur bonne santé en 2023
"La Bourse de Budapest a rebondi de près de 40% cette année alors que bon
nombre des éléments qui avaient causé sa chute en 2022 ont disparu ou
ne se sont pas matérialisés." La suite sur agefi.fr (article payant)
Amélie Poinssot : “Viktor Orbán veut être le défenseur de la grandeur hongroise perdue”
"Tour à tour conciliant et agitateur au sein de l’Union européenne, fasciné par les régimes autoritaires, la pensée politique du dirigeant hongrois Viktor Orbán est difficile à saisir. La journaliste Amélie Poinssot, autrice du livre Dans la tête de Viktor Orbán (Actes Sud, 2019), nous aide à comprendre ce libéral anticlérical devenu au fil du temps un chrétien illibéral.
Viktor Orbán, hostile à l’entrée de l’Ukraine dans l’Union européenne, n’a pas voté contre l’ouverture des négociations sur son adhésion. Comment l’expliquer ?
Amélie Poinssot : On n’a jamais vu cela au Conseil européen. Il s’est entendu avec le chancelier allemand Olaf Scholz pour quitter la salle au moment du vote. Pourtant, quelques instants plus tard, le Premier ministre hongrois a bloqué l’aide financière de 50 milliards d’euros destinée à Kiev. On aurait pu prédire l’inverse : qu’il marque une opposition symbolique mais ne condamne pas à court terme l’Ukraine. Orbán joue un double jeu difficile à saisir depuis le début de l’invasion russe. Jusque-là, il s’est opposé à toutes les sanctions contre la Russie mais les a votées tout en bénéficiant d’exemptions, comme l’importation du pétrole russe.Comment comprendre cette hostilité ambiguë de la Hongrie vis-à-vis de l’Ukraine ?
Orbán et Poutine se sont rapprochés à l’occasion d’un accord en 2014 portant sur l’extension de la centrale nucléaire de Paks : deux réacteurs nucléaires fabriqués par le groupe public russe Rosatom et financés grâce à un prêt russe de 10 milliards d’euros. Depuis le début de conflit en février 2022, il n’y a que deux chefs d’État européens qui ont serré la main de Poutine : le chancelier autrichien Karl Nehammer et Viktor Orbán." La suite sur philomag.com
mercredi 20 décembre 2023
Gabor Ivanyi, nouvel ennemi de Viktor Orban: «Nous ne courbons pas l'échine»
"En Hongrie, le pouvoir persécute une association évangélique et d'aide
aux démunis. À sa tête, le pasteur Gabor Ivanyi, un ancien proche du
Premier ministre Viktor Orbán, qui est depuis devenu un critique féroce
du régime. Il a porté plainte devant la justice européenne et il a
gagné. Mais son œuvre sociale est menacée." A écouter sur rfi.fr (02:35)
Varsovie et Budapest devant la justice belge
"Pfizer a confirmé à l’AFP les deux actions en justice contre les gouvernements polonais et hongrois, sans évoquer de montants pour son préjudice financier.
Les firmes Pfizer et BioNTech, qui ont produit en commun un vaccin anti-Covid très utilisé durant la pandémie, accusent la Pologne et la Hongrie de refuser de payer certaines doses commandées et poursuivent ces deux pays devant la justice belge, a appris l’AFP mardi.
Selon le cabinet d’avocats qui défend les intérêts de la Pologne, il est réclamé à Varsovie plus de 5,6 milliards de zlotys (plus d’1,3 milliard d’euros), sans compter les intérêts, pour cette rupture contractuelle présumée.
Le montant exigé à la Hongrie est bien
moindre, de l’ordre de 60 millions d’euros – pour trois millions de
doses non réglées, à 20 euros l’unité –, a-t-on indiqué de source proche
du dossier." La suite sur lesoir.be
UE : comment gérer Viktor Orbán ?
"Un nouveau débat sur l'UE et la Hongrie fait couler beaucoup d'encre dans la presse européenne. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, avait quitté la salle au moment du vote crucial sur l'ouverture de négociations d'adhésion avec l'Ukraine et la Moldavie. Les uns appellent à serrer la vis à Orbán, les autres pointent la nécessité de réformer l'UE.
Financial Times (GB) - 18 décembre 2023
Recadrer les fauteurs de trouble
Financial Times conseille aux chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE d'exploiter à fond le levier de la pression financière :
«Depuis 2021, la Hongrie a été privée de milliards en raison de ses entraves à l'Etat de droit. La semaine passée, pour débloquer ces fonds gelés, le Premier ministre hongrois a mis dans la balance sa position sur l'Ukraine. Il sait par ailleurs qu'une future adhésion de Kyiv à l'UE réduirait la part du gâteau européen qui reviendrait à la Hongrie. ... Orbán a démontré qu'il était en mesure de 'gâcher le jeu'. C'est pourquoi l'UE devrait employer tous les moyens à sa disposition pour le mettre hors d'état de nuire.» La suite sur eurotopics.net
mardi 19 décembre 2023
Gaz russe : Sofia cède à la pression hongroise dans l'espoir de rejoindre l'espace Schengen
"La Bulgarie, qui espère enfin être admise dans l'espace Schengen après des années d'attente, a consenti à une demande hongroise de suppression d'une taxe exceptionnelle sur le gaz russe acheminé via son territoire vers la Hongrie et la Serbie.
Le Parlement a voté lundi
l'abandon de cette mesure entrée en vigueur le 13 octobre, se chiffrant
à 20 levas (10 euros) par mégawattheure (MWh) de gaz transporté par le
gazoduc TurkStream. Il s'agissait initialement de "réduire les profits"
de Gazprom, mais elle s'est avérée compliquée à mettre en œuvre et le
géant russe n'a jamais versé la somme due." La suite sur connaissancedesenergies.org
Le président turc Erdogan en visite en Hongrie pour rencontrer son allié Orban
"Tous les jours, le club des correspondants décrit comment un même fait d'actualité s'illustre dans plusieurs pays. Ce lundi, on s'intéresse à deux pays proches du Kremlin.
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, rencontre son homologue hongrois, Viktor Orban, à Budapest pour célébrer, lundi 18 décembre, les 100 ans de l’établissement des relations diplomatiques entre les deux pays. Les deux dirigeants ont en commun la pratique d’un pouvoir fort qui muselle la presse et l’opposition, mais ils se distinguent aussi par leur amitié pour le président russe Vladimir Poutine.
Un contrat important vient d’être signé entre les deux pays : Budapest va acheter à la Turquie 300 millions de m3 de
gaz. Rappelons que la Hongrie en est un grand consommateur puisque les
deux tiers des Hongrois se chauffent au gaz, et surtout au gaz russe. La
Hongrie en importe déjà via le gazoduc Turkstream, qui transite par la
Turquie. Avec ce nouveau contrat, Budapest renforce sa sécurité
énergétique et s’assure de voir ses besoins couverts, si jamais l’hiver
était très rude." La suite sur francetvinfo.fr
Budapest : Turquie et Hongrie signent un ensemble d’accords à l'occasion de la visite du président Erdogan
"Recep Tayyip Erdogan et Viktor Orban scellent une déclaration politique conjointe portant sur un partenariat stratégique renforcé entre la Turquie et la Hongrie.
Dans le cadre de la visite du président turc Recep Tayyip Erdogan en Hongrie, les deux pays ont signé, lundi, un accord de coopération visant à porter les relations bilatérales au niveau de partenariat stratégique renforcé.
L'accord en 17 points a été signé dans la capitale Budapest, où Erdogan et le Premier ministre hongrois Viktor Orban ont présidé la sixième réunion du conseil de coopération stratégique de haut niveau entre les deux pays.
Plusieurs
hauts responsables, dont le ministre turc des affaires étrangères Hakan
Fidan, le ministre de l'intérieur Ali Yerlikaya, le ministre de la
défense nationale Yasar Guler et des représentants hongrois, étaient
présents lors de la cérémonie de signature." La suite sur aa.com.tr
Justice. Une militante antifasciste italienne détenue dans des conditions “inhumaines” en Hongrie
"Accusée d’avoir agressé des militants néonazis à Budapest, Ilaria Salis est détenue depuis plusieurs mois dans la capitale hongroise, dans l’attente de son procès. Son père demande une intervention de Giorgia Meloni, la Première ministre italienne.
Anciens alliés proches en Europe, Giorgia Meloni et Viktor Orban cultivent de bonnes relations, bien que celles-ci se soient légèrement refroidies depuis que Giorgia Meloni a accédé au poste de Première ministre et souhaite montrer un visage plus modéré. Pourtant, une affaire judiciaire pourrait bien alimenter des tensions entre les deux dirigeants.
L’affaire en question, précise Il Post, concerne Ilaria Salis, “une militante antifasciste milanaise qui se trouve depuis dix mois en détention provisoire dans une prison de sécurité maximale à Budapest dans des conditions qui ont été décrites, par elle-même et par les personnes qui lui ont rendu visite, comme ‘inhumaines’”.
Cette femme de 39 ans, poursuit le site d’information transalpin, “est accusée d’avoir agressé avec d’autres personnes des néonazis qui se trouvaient du 9 au 12 février [2023] à Budapest, où ils célébraient le ‘jour de l’honneur’, manifestation qui honore le souvenir d’un bataillon nazi”.
Si Ilaria Salis reconnaît avoir..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
lundi 18 décembre 2023
Hommage à Sándor Márai 17 janvier 2024 à 19h00 - Le neuvieme pays
Le neuvieme pays 84 rue Bonaparte, 75006 Paris
A l'occasion de la Journée de la culture hongroise que nous célébrons
chaque année le 22 janvier, nous vous invitons à une rencontre autour du
troisième volume du Journal de Sándor Márai paru en 2023 chez les éditions Albin Michel, suivie d'un cocktail amical.
Présenté par Catherine Fay
Textes de Márai lus par Sophie Semin Handke et Fanni Endrodi-Engel
Ce troisième volume du Journal de Sándor Márai vient conclure une œuvre à part entière : faite d’observations, de réflexions, de sensations saisies sur le vif, elle atteste du talent de diariste du grand écrivain hongrois autant que de la valeur littéraire du témoignage historique qu’il nous est donné de lire. Après l’exil à Naples et New York, Márai promène son regard lucide et caustique sur l’Europe et les États-Unis. Du printemps de Prague à l’enterrement de De Gaulle, de 1984, l’année orwellienne, aux premiers frémissements d’un bloc de l’Est à bout de souffle, des analyses politiques et littéraires pénétrantes se mêlent aux souvenirs de son pays natal et aux « choses vues ». L’écrivain, qui se dévoile de plus en plus dans sa fragilité, poursuit son exil dans un isolement déchirant jusqu’à sa fin, à San Diego, où il se donnera la mort, quelques mois avant la chute du Mur. Apparaît au fil des pages, dans toute sa vérité, un témoin du XXe siècle, un homme, un écrivain qui a vu s’effondrer tout ce en quoi il croyait, mais qui reste à l’écoute des bouleversements du monde.
Source : culture.hu
Face à Viktor Orbán, Von der Leyen écarte discrètement une Franco-Hongroise d'une direction sensible de la Commission
"Une fonctionnaire franco-hongroise devait prendre la tête de la
direction "Balkans occidentaux", chargée de l'élargissement à la
Commission européenne. Dans un revirement inédit, le collège d'Ursula
von der Leyen en a décidé autrement, afin d'éviter que ce poste soit
attribué à la Hongrie de Viktor Orbán." La suite sur lalettre.fr (article payant)
Exposition à Pécs - Absence et mémoire commémorative à Marcel Breuer
"Architecte de renommée mondiale, Marcel Breuer (1902-1981) est connu en tant que designer de mobiliers qui a créé la première chaise en acier tubulaire, et en tant que personnage influent de l'architecture moderne du XXe siècle. Non seulement il a contribué à définir le modernisme américain du milieu du XXème siècle, mais il a également laissé ses empreintes partout en France.
Né à Pécs, en Hongrie, le 21 mai 1902, il reste lié à sa ville natale jusqu'à sa mort. Il fait ses études au Bauhaus, il y conçoit la fameuse chaise « Wassily », également connue sous le nom de « chaise modèle B3 ». La chaise est conçue en 1925 en s'inspirant d'un cadre de bicyclette, comme le designer le dit lui-même dans l'interview que les visiteurs peuvent écouter en entrant dans la salle d'exposition.
Bien qu'il émigre aux États-Unis en 1937, il réalise des bâtiments uniques en France.
Le siège de l'UNESCO (1955-1958) conçu en collaboration avec Bernard Zehrfuss et Pier Luigi Nervi, est un complexe de trois bâtiments à ossature en béton, dont la peinture et la sculpture sont des œuvres de Pablo Picasso, Joan Miró, Henry Moore, Jean Arp, Isamu Noguchi, Alexander Calder." La suite sur jfb.huOrban-Erdogan, rencontre entre autocrates à Budapest
"Les deux leaders mènent des régimes autoritaires et bloquent l’entrée de la Suède dans l’OTAN. Proches depuis 2013, ils s’entretiennent ce lundi dans la capitale magyare pour solidifier les relations bilatérales.
Dirigeants à poigne de leurs pays respectifs, Recep Tayyip Erdogan et Viktor Orban se rencontrent ce lundi 18 décembre à Budapest. La date correspond quasiment au centenaire du traité d’amitié magyaro-turque (15 décembre 1923). Derrière cet anniversaire, Orban reçoit Erdogan quelques jours après un sommet européen historique. Le trublion magyar de l’UE n’a pas pu empêcher l’ouverture des négociations d’adhésion avec l’Ukraine, mais il s’est néanmoins opposé à une aide de 50 milliards d’euros pour Kiev.
Erdogan vient en Hongrie pour la deuxième fois en 2023. Le 20 août, il discutait énergie, commerce et sécurité avec Orban, assistait aux mondiaux d’athlétisme avec un aréopage de leaders autoritaires des Balkans et d’Asie centrale, puis admirait le feu d’artifice de la Fête nationale depuis les hauts de Buda." La suite sur letemps.ch (article payant)
dimanche 17 décembre 2023
En Hongrie, la stratégie de Viktor Orban au sommet de l'UE fait mouche
"Le Premier ministre hongrois, le nationaliste Viktor Orban, a fait cavalier seul au sommet de l’Union européenne des 14 et 15 décembre. Il a répété qu’il était contre l’ouverture de négociations d’adhésion avec Kiev, même s’il a évité de saboter l’invitation de l’Ukraine en s’abstenant de participer au vote des 26 autres États membres. Toutefois, Viktor Orban a décidé de bloquer le soutien financier de 50 milliards d’euros prévu pour le pays en guerre contre Poutine. Viktor Orban paraît isolé sur la scène européenne. Mais en Hongrie, sa diplomatie trouve un écho favorable, et pas seulement chez ses électeurs.
« L’argent du contribuable hongrois n’ira pas à l’Ukraine ».
Cette phrase triomphante de Viktor Orban, qui a bloqué l’aide européenne
à l’Ukraine, on la trouve dans tout l’empire médiatique du Premier
ministre hongrois. « Viktor Orban a gagné sur tous les plans » titre Mandiner, un journal conservateur." La suite sur rfi.fr
Andris Jász : « Le saxophone, ça part de ton âme et ça sort directement sous forme de musique. »
"Andris Jász est un saxophoniste et professeur de musique hongrois que nous avons rencontré lors d’un dîner au restaurant Mazel Tov de Budapest. Présent tous les lundis pour ambiancer les clients de l’enseigne, nous avons pu nous entretenir avec lui sur sa vision de la musique et son parcours d’artiste.
Lundi 13 novembre, vers 19h, une table est réservée au-devant de la petite scène du Mazel Tov, le restaurant israélien mitoyen de la boîte de nuit Instant, dans le 7e arrondissement de Budapest. Andris Jász s’y installe sereinement, après avoir salué chaque serveur un par un. L’homme arbore un large sourire, il est détendu. Cheveux bien coiffés, lunettes sur le nez et chemise à carreaux blanche et bleue. Il demande son habituel pichet de punch et l’entretien peut débuter dans une ambiance festive et musicale.
Journal francophone de Budapest : Bonsoir Andris. D’où vous provient l’amour de la musique ?
Andris Jász : C’est une longue histoire, une histoire de famille musicienne. Mon père était un violoniste professionnel. Il a joué à l’Opéra de Budapest. Durant mon enfance, la musique était partout, il nous emmenait même à ses concerts... C’est comme ça que j’ai débuté la musique, en commençant par jouer du piano, et j’en suis heureux car c’est toujours bénéfique pour un musicien de savoir en jouer. J’en ai pratiqué pendant 8 ans. Le saxophone est arrivé à mes 15 ans, alors que toute ma famille est tournée vers la musique classique. Moi, mon style, c’est le jazz." La suite sur jfb.hu
La Hongrie menace de bloquer l'entrée de la Bulgarie dans l'espace Schengen
"BUDAPEST (Reuters) - La Hongrie opposera son veto à l'entrée de la Bulgarie dans l'espace Schengen à moins que cette dernière ne supprime une taxe de transit sur le gaz russe, a déclaré samedi le ministère hongrois des affaires étrangères.
Cette menace fait suite à l'accord conclu jeudi entre les 27 États membres de l'Union européenne, à l'exception de la Hongrie, pour entamer des négociations d'adhésion avec l'Ukraine, malgré l'invasion russe.
La résistance du Premier
ministre hongrois Viktor Orban à Bruxelles lui a permis de gagner
quelques points à Moscou, avec qui son gouvernement nationaliste a
maintenu des contacts réguliers, même pendant la guerre en Ukraine, et
qui fournit toujours à la Hongrie, pays enclavé, la majeure partie de
son gaz." La suite sur investing.com
Emmanuel Macron attend d’Orban qu’il « se comporte en Européen » et « ne prenne pas en otage » l’UE
"Le président français appelle le Premier ministre hongrois Viktor Orban à
se « comporter en Européen » et à ne pas prendre l’UE « en otage » sur
l’Ukraine.
Le président français Emmanuel Macron a appelé vendredi 15 décembre 2023 le Premier ministre hongrois Viktor Orban à se « comporter en Européen » et à ne pas prendre l’UE « en otage » sur l’Ukraine.
« J’attends de Viktor Orban dans les prochains mois
qu’étant respecté, ses intérêts légitimes étant pris en compte, il se
comporte en Européen et ne prenne pas en otage nos avancées politiques », a déclaré Emmanuel Macron à l’issue d’un sommet européen." La suite sur ouest-france.fr
samedi 16 décembre 2023
Comment une partie de la minorité hongroise d’Ukraine, instrumentalisée par Budapest, s’est retournée contre Orbán
"Contre toute-attente, des représentants ukraino-magyars ont appelé
Budapest à soutenir l’Ukraine lors du sommet européen cette semaine,
prenant le contrepied de Viktor Orbán . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Aide à l'Ukraine : malgré le veto hongrois, l'Europe s'engage "quoi qu'il arrive" à maintenir son soutien financier
"Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a mis son veto à un nouveau soutien européen à l'Ukraine de 50 milliards d'euros sur quatre ans. Un veto qui a à ce stade une portée assez limitée.
L’Ukraine va-t-elle se voir priver du soutien financier des Européens
après le veto mis par le Premier ministre hongrois sur l’aide massive de
50 milliards promise aux Ukrainiens ? A l’issue de leur sommet à
Bruxelles, la plupart des dirigeants de l’Union ont été rassurants.
Jeudi 14 décembre, les 27 Etats membres avaient réussi à contourner
l'opposition de Viktor Orban, qui n'avait finalement pas usé de son
droit de veto, pour ouvrir les négociations d’adhésion avec l’Ukraine.
Un message politique fort salué par Kiev. Mais dans la nuit de jeudi à
vendredi, le Premier ministre hongrois a usé de son droit de veto, cette
fois pour s'opposer à l'adoption d'un nouveau soutien budgétaire de
l'UE à l'Ukraine. Ce blocage ne remet pourtant pas en question le
soutien financier immédiat." La suite sur franceinfo.fr