Prochaine rencontre
à partir de 20 h
au café Le Zimmer
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
2024 június 4.-én este 8-kor kezdődik
a Le Zimmer kávéházban
1, place du Châtelet 75001 Paris
Métro : Châtelet
Prochaine rencontre
"A quelques jours des élections européennes, le gouvernement de Viktor
Orbán lâche un tapis de bombes informationnelles sur sa population . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"Un rapport de la sécurité nationale de septembre 2021, récemment divulgué par le site “444”, confirme une vaste cyberattaque russe à l’encontre du ministère des Affaires étrangères hongrois que le pouvoir national conservateur, proche du Kremlin, niait jusqu’à présent. L’affaire défraie la chronique dans les médias magyars.
Le 16 mai, grâce à un rapport de la sécurité nationale datant de septembre 2021, le site 444 confirmait l’hypothèse d’un hacking russe, une hypothèse qui préoccupait les Hongrois depuis deux ans. “Quatre mille postes de travail” et “plus de 930 serveurs auraient été compromis”, de la messagerie aux documents internes, en passant par les données des collaborateurs et des comptes administrateurs. Le document attribue ces attaques au GRU (le service de renseignements de l’armée russe), au FSB (le Service fédéral de sécurité) ainsi qu’au SVR (le renseignement extérieur russe).
En mars 2022, l’exécutif a qualifié de “mensonge de campagne” la divulgation de l’affaire par le portail d’investigation Direkt 36, relève le magazine Magyar Hang. Sauf que le ministère des Affaires étrangères, parfaitement au courant, “avait mis en place un groupe de travail sur la cybersécurité en novembre 2021”. Un mois plus tard, un rapport d’experts “plaidait pour une modernisation informatique, un renforcement des effectifs et une hausse du budget”. Mais “ces développements n’ont..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
"ANALYSE - Le 20e anniversaire de l’entrée de la Hongrie dans l’Union européenne est passé totalement inaperçu au pays de Viktor Orban.
Nous sommes en 2034, dans le Centre de réadaptation et d’intégration Imre Steinmetz, créé à la demande du ministère des Ressources humaines pour aider les citoyens à consolider leur identité et à se connecter à la communauté. Le peuple hongrois, épris de paix et de liberté, a voté en faveur de la sortie de l’Union européenne sept ans plus tôt.
Le pays a atteint l’étape finale de la restauration de sa souveraineté nationale et de sa pleine indépendance. Son dirigeant dispose enfin des moyens de réaliser sa Hongrie idéale, une «île de la Paix» qui s’est extraite aux tumultes du monde. Pour réaliser son expérience théâtrale ce printemps - car c’en est une -, le metteur en scène Árpád Schilling a investi les locaux de ce qu’il reste de l’université d’Europe centrale, îlot libéral du milliardaire d’origine hongroise George Soros, boutée hors de Hongrie à la fin de la décennie 2010.
Retour à la réalité de 2024. Le «Huxit» n’est pas à l’ordre du jour, malgré la rhétorique du dirigeant hongrois Viktor Orbán..." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
"Les élections européennes du 9 juin sont « historiques » et seront « probablement vues comme celles qui ont décidé de la paix ou de la guerre en Europe », estime le Premier ministre hongrois Viktor Orbán dans un entretien au Point jeudi (30 mai).
« Outre le nombre de sièges qu’obtiendra tel ou tel parti, la chose à mon sens la plus importante sera le nombre de députés disposés à aller plus loin dans la guerre en Ukraine et le nombre de ceux qui seront pour y mettre un terme », déclare M. Orbán, dont le pays est le plus réticent au sein de l’UE à soutenir l’Ukraine face à la Russie.
« Si je souhaite une victoire des
députés pro-paix, j’espère aussi qu’il y aura davantage de députés
souverainistes en faveur d’une Europe des nations », poursuit le Premier ministre hongrois, qui prendra la présidence tournante du Conseil européen en juillet." La suite sur euractiv.fr
"Jeudi soir 30 mai, quelques milliers de Hongrois ont manifesté à Budapest, devant un édifice proche du Danube où la télévision publique organisait un débat électoral. La manifestation était organisée par Péter Magyar, un ancien cadre du régime, devenu en trois mois la nouvelle figure de proue de l'opposition à Viktor Orban. Il attaque avec virulence le gouvernement, qui a transformé les médias publics en une machine de propagande. Il réclamait depuis des semaines un débat à la télévision d'État, finalement accepté, mais dans des conditions jugées très imparfaites par les candidats aux européennes.
Acclamé par ses sympathisants, Péter Magyar dit quelques mots avant de rejoindre les autres candidats qui participent au débat de la télévision publique hongroise. Cette télévision répand des mensonges, accuse Péter Magyar : « Elle dit que je suis pour la guerre et que je veux envoyer les Hongrois se battre en Ukraine. »
En Hongrie, personne n'est pour la guerre, on est tous pour la paix. Ils ont beau mentir, c'est la vérité !" La suite sur rfi.fr
La cargaison a été interceptée à bord d’un camion de transport de marchandises immatriculé dans un pays européen, dont le conducteur tentait de traverser vers le sud de l’Espagne.
Selon des sources bien informées, le succès de cette opération
résulte d’une étude et d’une analyse minutieuse des images provenant du
scanner, qui ont révélé des cavités suspectes dans la structure du
camion chargé de produits agricoles destinés à l’exportation." La suite sur hespress.com
"Malgré le discours anti-immigration du gouvernement, la Hongrie fait face à un manque de main-d'œuvre : le pays a besoin de 500 000 travailleurs supplémentaires pour faire tourner ses usines.
À quelques jours des élections européennes le 9 juin, franceinfo se penche mercredi 29 mai sur la Hongrie connue pour sa politique drastique contre l'immigration. Mais le pays est confronté à un manque de main-d'œuvre à tel point qu’elle a assoupli sa législation pour faire venir des travailleurs immigrés. Le pays oscille donc entre dureté et souplesse.
Fusil chargé sur la banquette arrière, Erik Molnár se gare au pied du
mur d'Asotthalom : deux clôtures barbelées d’environ cinq mètres de haut
qui séparent le pays de la Serbie depuis 2015. Le garde champêtre en
treillis, à l'allure de rugbyman montre des morceaux coupés puis
rafistolés après des passages clandestins. Il n'y en a plus depuis
quelques mois, remarque Erik, mais grâce aux Serbes insiste-t-il, pas
grâce à l'Union européenne. "Ici c'est la frontière d'un pays, ce n'est pas la clôture d'un terrain de jeu, s'indigne-t-il, partout
dans le monde les frontières sont défendues par des gardes armés". "Si
quelqu'un veut rentrer illégalement, ils lui disent de s'arrêter et s'il
ne s'arrête pas, ils l'abattent", soutient-il. "Maintenant,
sous la pression de l'Union européenne, on ne défend pas nos frontières,
on ne peut même pas le frapper, on ne peut pas l'abattre, on ne peut
pas le taper, se plaint-il. Ça n'existe nulle part ailleurs." La suite sur francetvinfo.fr
"Les derniers sondages pour les élections européennes illustrent la montée de l'extrême droite en Europe, notamment en Hongrie et en Autriche.
À quelques jours des élections européennes, de nombreux sondages donnent en tête le Rassemblement national, en France. Mais plusieurs autres parties d'extrême droite sont en tête des intentions de vote, comme le FPÖ en Autriche alors qu'en Hongrie, le Fidesz, parti de Viktor Orban, mène une campagne agressive.
Le
FPÖ, le parti d'extrême droite autrichien, est actuellement crédité de
27% des voix, soit 10 points de plus que le score que le parti avait
fait lors des précédentes élections européennes en 2019. Cependant, le
scrutin avait eu lieu quelques jours seulement après l'Ibizagate,
retentissant scandale de corruption qui concernait le FPÖ et qui avait
provoqué la chute de la coalition entre le parti et les conservateurs." La suite sur radiofrance.fr
"Le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Peter Szijjarto, en visite en Biélorussie, a déclaré mercredi à Minsk que la Hongrie n'enverrait pas de troupes en Ukraine, et qu'il était "horrifié" par l'idée d'envoyer des troupes de l'UE en Ukraine.
Il a fait cette
déclaration lors de sa rencontre avec le ministre biélorusse des
Affaires étrangères Sergueï Aleïnik. M. Szijjarto a déclaré que le
conflit russo-ukrainien ne pouvait être résolu par des moyens
militaires, et qu'il était choqué par les propos de certains hommes
politiques européens qui "visent à intensifier le conflit"." La suite sur china.org.cn
"Le gouvernement hongrois a signe un accord avec la Biélorussie pour aider a la construction de la deuxième centrale nucléaire hongroise, a déclaré Peter Szijjarto, ministre hongrois des affaires étrangères, dans un communique publie mercredi a Minsk.
Le réacteur hongrois PAK 2 est en cours de construction par la société
russe Rosatom depuis 2014. L'entreprise russe construit deux réacteurs
d'une capacité de 1,2 gigawatt chacun a PAKS 2, dans le centre de la
Hongrie." La suite sur zonebourse.com
"Vingt ans après son adhésion, la Hongrie, dirigée par le nationaliste Viktor Orban, est accusée de dérives autoritaires.
La Hongrie fait l'objet de nombreuses critiques pour ses lois jugées liberticides. La loi de souveraineté est la dernière en date, votée au mois de décembre dernier : elle vise à lutter contre les ingérences étrangères. Or, elle a beaucoup inquiété les ONG, comme Helsinki, la plus ancienne organisation de défense des droits de l'homme du pays.
András Kádár, le coprésident d'Helsinki, s'alarme : cette loi crée un
office d'État, sans adresse, sans téléphone, aux pouvoirs quasiment
illimités. "L'office est censé avoir un accès très large à des
données, il peut demander tout type d'informations à des personnes, à
des organisations... y compris des informations sensibles soumises à des
règles de confidentialité, explique-t-il. Je veux dire, c'est
tout nouveau, mais l'office de souveraineté vient de contacter
l'association du barreau d'avocats hongrois avec une lettre leur
demandant de coopérer." La suite sur francetvinfo.fr
"La banque centrale hongroise a demandé mercredi a OTP Bank de réduire davantage son exposition a la Russie et de prendre plusieurs mesures de précaution que l'autorité de surveillance financière hongroise contrôlera en permanence.
Le plus grand préteur indépendant d'Europe centrale a progressivement réduit son empreinte en
Russie depuis l'invasion de l'Ukraine voisine par Moscou en février
2022, bien que son exposition soit toujours la troisième plus importante
parmi les banques européennes, derrière Raiffeisen Bank et UniCredit, d’après un classement effectue par Morningstar DBRS." La suite sur zonebourse.com
"De
la Pologne au Portugal, de l’Italie à l’Irlande, qu’ils soient rompus
aux arcanes de Strasbourg et Bruxelles, ou complètement novices en
politique : à un mois des élections européennes, Libé tire le portrait
d’un candidat par Etat membre de l’Union, en dehors de la France.
Vingt-six pays, vingt-six personnalités, pour présenter les enjeux
domestiques et les vents contraires qui soufflent sur le continent.
L’enseignante
de français, licenciée en 2022 pour avoir fait grève contre la réforme
de l’éducation, qui a «ôté toute autonomie aux professeurs» est entrée
en politique aux côtés du parti satirique du «Chien à deux queues».
Sur
la place Jaszai, à quelques jets de pierre du Danube qui sépare Buda de
Pest, le stand ne désemplit pas. En un flot continu, les passants
s’arrêtent pour prendre un tract et encourager Katalin Törley d’un «On vous soutient». Bien qu’elle se lance pour la première fois en politique – elle est numéro 2 sur la liste pour les européennes du petit parti d’opposition «Le chien à deux queues»
– cette professeure de français âgée de 54 ans est connue de tous les
Hongrois. Lunettes perchées sur le crâne, visage souriant encadré de
grosses boucles d’oreilles et cigarette à la main, elle est la figure de
proue du mouvement de contestation qui a poussé des dizaines de
milliers d’étudiants et d’enseignants à descendre dans la rue depuis
huit ans." La suite sur liberation.fr (article payant)
"Elle s'est fait connaître grâce à son slam, qui dénonce la politique du gouvernement hongrois et la vision de Viktor Orban. Dans ce pays au niveau de vie modeste, Lili Pankotai n'hésite pas à s'affirmer.
La Hongrie fait face à un exode de ses jeunes : 33 700 Hongrois ont quitté le pays l’année dernière, selon l’Office central des statistiques. C’est 4,6 fois plus qu’en 2010, quand le nationaliste Viktor Orban est arrivé au pouvoir. La catégorie d’âge la plus représentée est celle des 20-49 ans, mais certains jeunes font de la résistance, comme Lili Pankotai, devenue le poil à gratter du gouvernement hongrois.
Il faut voir dans la rue ces regards qui la fusillent, les personnes qui
se retournent à son passage... Lili Pankotai, 19 ans, allure frêle,
cheveux blonds tirés en arrière est connue dans tout le pays. Elle a
fait la une des médias il y a deux ans pendant les manifestations contre
la réforme de l’Éducation nationale, avec son slam incendiaire,
grossier contre le gouvernement. "Vous pensez pouvoir effacer la pensée ? Mon cul !", scande-t-elle." La suite sur francetvinfo.fr
"Le Hongrois Viktor Orbán et le Belge du Vlaams Belang sont en tête du peloton dans une folie publicitaire sur les réseaux sociaux avant le scrutin de juin.
À peine deux semaines avant les élections européennes, les principaux partis se démènent pour attirer votre attention sur les réseaux sociaux.
Une nouvelle analyse de L’Observatoire de l’Europe, basée sur les
données publiées par les principaux fournisseurs de publicité en ligne,
montre lesquels paient le plus pour garantir votre vote avant les
élections paneuropéennes de juin." La suite sur observatoiredeleurope.com
"Suite à sa rencontre avec le ministre des Affaires étrangères, Olivér Várhelyi a déclaré que si le Hamas échappe au châtiment, le 7 octobre pourrait se produire n'importe où.
Le ministre des Affaires étrangères, Israel Katz, a déclaré mardi au commissaire de l’Union européenne (UE) chargé du voisinage et de l’élargissement que la reconnaissance d’un État palestinien équivalait à « l’abandon des otages ».
« L’Espagne, la Norvège et l’Irlande ont choisi
de coopérer avec les terroristes de la Nukhba et de nourrir le monstre
du terrorisme », a déclaré Katz au diplomate hongrois Olivér Várhelyi,
en faisant référence au bataillon de Khan Younès de l’unité dite
« Nukhba » (« élite » en arabe) du groupe terroriste palestinien du
Hamas." La suite sur timesofisrael.com
"Fort d’une majorité absolue au Parlement hongrois, Viktor Orban entretient des relations tumultueuses avec Bruxelles, qui continue de bloquer quelque 20 milliards d'euros de fonds, en raison des atteintes répétées à l'État de droit. En croisade contre les valeurs libérales de l’UE, le dirigeant hongrois entend bien changer l’Union de l’intérieur. Son parti mène la course en tête pour les élections européennes du 9 juin. Le Fidesz, qui avait obtenu 12 sièges sur 21 lors du scrutin précédent, espère en emporter autant. Après avoir quitté le Parti populaire européen en 2021, ses élus pourraient rejoindre l’un des grands groupes de l’extrême-droite au Parlement de Strasbourg.
« Il faut renverser toute la clique, en commençant par Ursula ! Qu’est-ce qu’elle a trafiqué avec ces histoires de vaccins ? À Bruxelles, ils travaillent contre la Hongrie et ils bloquent les fonds qui nous reviennent », maugrée Zsuzsanna, une retraitée, arrivée avec quelques minutes de retard à un rassemblement électoral organisé par le Fidesz, dans un quartier résidentiel du sud-est de Budapest.
Si cette fidèle électrice du Fidesz, qui a noué un ruban aux couleurs du drapeau hongrois sur son sac à main, évoque spontanément la présidente de la Commission européenne, c’est peut-être parce que son image est partout, dans les rues, au bord des routes, sur les abribus. Les affiches électorales du Fidesz mettent en scène Ursula von der Leyen, assise dans un fauteuil rouge, entourée de ses « fidèles serviteurs », des figures de l’opposition, déguisés en majordomes, l’ex-Premier ministre Ferenc Gyurcsany, son épouse Klara Dobrev, tête de liste de l’alliance de gauche aux élections européennes, Gergely Karacsony, le maire écologiste de Budapest, et la nouvelle figure de l’opposition, Peter Magyar. Ils portent sur des plateaux en argent les mots « guerre », « immigration » et « genre », trois thèmes qui mobilisent l’électorat Fidesz." La suite et à écouter (19:30) sur rfi.fr
"Entre le 6 et le 9 juin, les citoyens des vingt-sept États membres de l’Union européenne se rendront aux urnes pour élire leurs eurodéputés. Durant toute cette semaine, La Libre consacre une série qui aborde ce scrutin et ses enjeux dans une dizaine de pays européens. Deuxième volet avec la Hongrie, où les troupes de Viktor Orban, en campagne pour les élections européennes, agitent le spectre d’une Troisième Guerre mondiale qui serait fomentée par les forces libérales et se posent en pacifistes.
Le visiteur en Hongrie est immédiatement saisi par la profusion d’affiches électorales. Le regard peut en saisir d’un coup plusieurs dizaines, pour les élections européennes et municipales organisées le même jour. Sur chaque poteau, chaque arrêt de bus, elles saturent l’espace public. Des grands posters d’une organisation pro-Fidesz (le parti au pouvoir) vilipendent “Les laquais de Bruxelles” et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen." La suite sur lalibre.be (article payant)
Erzsébet Gódor est née à Budapest en 1991. Elle est diplômée en 2016 avec distinction de la faculté d'artiste de cimbalom et de professeur de l'Académie de musique Liszt Ferenc. Elle est lauréate de nombreux concours hongrois et étrangers. Elle s'est produite en tant que soliste dans des salles de concert célèbres non seulement en Hongrie, mais aussi en Autriche, aux Pays-Bas, en Italie, en Corée du Sud, en République tchèque, en Slovaquie, en Russie, en Roumanie, en Allemagne, en Slovénie et en Argentine. Depuis 2018, elle travaille comme professeur de cimbalom, à partir de 2023, elle poursuit son doctorat à l'Académie des Arts de Banská Bystrica, chez le professeur Viktoria Herencsár.
Programme :
Ferenc Farkas : Danses Hongroises Anciennes du 17ème Siècle
E. Satie : I. Gymnopédie
W. A. Mozart: Fantaisie en ré mineur K 397
Béla Bartók : Pour les enfants, extraits
Ferenc Liszt : Rhapsodie hongroise n°2
Jarmilá Mazourová : Preludium e Toccatina
A. Piazzolla : Oblivion
Entrée libre
Cliquez ici pour la RÉSERVATION
"Budapest sera à nouveau accessible en vol direct depuis l’aéroport
Toulouse-Blagnac à compter du 28 octobre 2024, d’après les données du
site de réservation de Ryanair. La compagnie low-cost irlandaise avait
déjà lancé une liaison directe Toulouse-Budapest en octobre 2019,
suspendue au printemps 2020 lors de la pandémie de Covid-19. Deux
allers-retours par semaine relieront l’aéroport de Toulouse-Blagnac à
l’aéroport Liszt Ferenc de Budapest, les lundis et vendredis. La
capitale hongroise sera à 2h30 de vol de la Ville rose. Ces vols seront
opérés par Malta Air, une filiale de Ryanair." La suite sur touleco.fr
"Deux élèves hongrois, Szabó Zétény et Sebok Lilla, ont remporté les premiers prix du concours de peinture sur le thème "Le Vietnam vu par les enfants", organisé pour les élèves de plus de 50 écoles de Hongrie.
Deux élèves hongrois, Szabó Zétény et Sebok Lilla, ont remporté les premiers prix du concours de peinture sur le thème "Le Vietnam vu par les enfants", organisé pour les élèves de plus de 50 écoles de Hongrie.
Le concours, qui s'est déroulé de mars à fin avril, a reçu 364 participations, tandis que sa page Facebook a vu 87.867 publications de participants.
Selon le président de l'Association des femmes
vietnamiennes en Hongrie, la Dr Phan Bich Thien, le concours visait à
promouvoir l'image du Vietnam auprès des amis hongrois, en particulier
des jeunes. Outre des élèves vietnamiens et hongrois, ceux de nombreux
autres pays comme la Chine, le Danemark et la Suède ont également
répondu activement à ce concours." La suite sur vietnamplus.vn
"La ministre belge des Affaires étrangères, Hadja Lahbib, s'en est prise lundi à la Hongrie à propos de la compensation financière pour les livraisons d'armes à l'Ukraine que le pays continue à bloquer.
"Nous sommes confrontés au blocage des facilités européennes qui sont
dédiées à l'Ukraine. Cinq milliards d'euros d'aide militaire à l'Ukraine
qui sont bloqués par la Hongrie à un moment où l'Ukraine en a
cruellement besoin. La position de la Belgique est claire: on ne peut
pas accepter qu'un seul pays qui, en plus, a signé en faveur de ce
montant il y a quelques mois bloque cette aide cruciale pour l'Ukraine",
a-t-elle déclaré lors de son arrivée au conseil Affaires étrangères de
l'UE." La suite sur lalibre.be
"Lors d’une réunion lundi (27 mai), les ministres des Affaires étrangères de l’UE ont exprimé leur colère face au comportement de la Hongrie, qui bloque de plus en plus souvent les décisions de l’UE en matière de politique étrangère et empêche toute avancée sur l’aide militaire à l’Ukraine.
Les discussions des ministres ont porté sur le déblocage des fonds de la Facilité européenne pour la paix (FEP), un instrument hors budget européen doté d’environ 9 milliards d’euros et bloqué par Budapest depuis presque un an. Ce blocage empêche l’utilisation d’une partie des fonds pour le remboursement des armes fournies par les gouvernements de l’UE à l’Ukraine.
Budapest a d’abord justifié son blocage par le fait que l’agence
ukrainienne de lutte contre la corruption avait inscrit la banque
hongroise OTP sur la liste noire des « soutiens internationaux de la
guerre ». Depuis, la banque a été retirée de la liste, mais la Hongrie a
maintenu son veto." La suite sur euractiv.fr
L'histoire du cinéma hongrois a plein de pépites, et on vous les fait
découvrir dans notre série "Ciném'à la Maison". Tous les troisièmes
mardis du mois à 19h30, on vous propose un classique grâce aux Archives
de l'Institut National Hongrois de la Cinématographie (NFI).
Pour voir les films, rejoignez notre groupe Facebook en cliquant ici : Ciném'à la Maison.
Le 18 juin, on vous invite à regarder Remous (Sodrásban), un film de István Gaál.
Hongrie / 1963 / 90 min
Photographie : Sándor Sára
Avec Andrea Drahota, Marianna Moòr, András Kozák, Sándor Csikòs, János Harkányi, Istvánné Zsipi, Gyula Szersén
Synopsis
L’été
dans un village au bord du fleuve Tisza. Cinq jeunes hommes et deux
filles, camarades d’école qui viennent de passer leur baccalauréat, vont
s’y baigner dans une atmosphère ludique et détendue. Mais, une des
jeunes filles, Vadocz, s’aperçoit de l’absence de son ami Gabi depuis le
jeu de duel dans l’eau. Ils vont le chercher jusqu’à la tombée de la
nuit, mais en vain. La couleur de la vie change pour tout le monde et
cet événement tragique contraint les amis à faire une sorte d’examen de
conscience et une révision de leur rapports réciproques. Les adolescents
commencent à apprendre le sens des responsabilités…
Prix et sélections :
1964 - Festival international du film de Karlovy Vary - Prix principal
1964 - Prix de la critique de cinéma hongroise - pour la meilleure réalisation, la meilleure photographie.
1965 - Festival international du film de Pesaro - Prix de la jeune critique
1968 - Fait partie des 12 de Budapest - Un des meilleurs films hongrois
2019 - Venice Classics - Sélection officielle
Projection gratuite
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Cliquez ici pour vous inscrire : Ciném'à la Maison
"La fête de l’Europe s’est déroulée du 21 au 26 mai 2024 à Craon (Sud-Mayenne). Au programme de la semaine : diverses animations et notamment des danses hongroises.
La fête de l’Europe, organisée par la maison de l’Europe, s’est tenue à Craon. Le thème : La Hongrie. « C’est la seule commune du département jumelée à une ville hongroise, Iszkaszentgyörgy », expose Quentin Lanvierge, adjoint en charge de la communication à la ville de Craon.
Elle a démarré mardi 21 mai, par un ciné débat, et des
animations ont eu lieu toute la semaine. Une quinzaine de Hongrois sont
venus quelques jours faire des démonstrations de danses hongroises. Mais
le grand temps fort avait lieu samedi 25 mai 2024." La suite sur ouest-france.fr
"En 2015, pour mettre fin à la crise migratoire et couper dans leur élan les milliers d’exilés qui empruntaient la route des Balkans, le Premier ministre Viktor Orban fait construire un immense mur le long de la frontière avec la Serbie. Une décennie plus tard, les riverains le jugent utile, mais pas suffisant.
Sous un ciel d’un bleu azur, l’obstacle métallique, planté au milieu des champs tachetés de milliers de coquelicots, semble incongru. Haut de 4 mètres, garni de plusieurs couches de barbelés acérés comme des lames de rasoir, il paraît infranchissable. Dans le petit village de Rötzke (Hongrie), où s’alignent des serres et des maisons aux jardins fleuris, Regina, 27 ans, rentre chez elle. Avec son mari et leurs deux enfants, elle vit à une cinquantaine de mètres des imposants grillages. La toiletteuse était adolescente, au plus fort de la crise migratoire de l’été 2015.
La
« route des Balkans » voyait passer des flots humains. Venus
principalement du Moyen-Orient, ils transitaient par la Serbie,
entraient dans l’espace Schengen par la Hongrie : plus de 500 000
passages entre août et décembre à la frontière, celle où se dresse
depuis la gigantesque barrière de 175 km. Achevée à l’automne 2015, elle
a été doublée en 2017. Pour justifier ce que beaucoup qualifiaient
alors de « mur de la honte », le Premier ministre populiste Viktor Orban avait accusé l’UE de ne pas faire le nécessaire pour contenir ces flux migratoires." La suite sur leparisien.fr (article payant)
"Équipe émergente sur les dernières années en Europe, la Hongrie tentera une nouvelle fois de surprendre son monde lors de cet Euro 2024. Avec un collectif solide et des individualités de plus en plus intéressantes, les Trikolór ne seront pas à sous-estimer.
Le parcours de qualification et le groupe
Sixième participation à un Euro et la troisième d’affilée pour la Hongrie.
Présente en 1964, 1968 et 1972, la sélection d’Europe Centrale aura
attendu 44 ans pour retrouver le chemin d’une participation à cette
compétition. Profitant de l’élargissement de l’Euro de 16 à 24 équipes
lors de l’édition 2016, la Hongrie a su retrouver une compétitivité
grâce à des joutes plus régulières contre les grosses écuries. Huitième
de finaliste en 2016 en terminant devant le Portugal et l’ennemi
historique autrichien, la Hongrie a joué les trouble-fêtes en 2020 en
posant de gros problèmes au Portugal, à la France et à l’Allemagne
malgré une élimination en phase de poules. Pour cette troisième
qualification de rang à un Euro, la Hongrie tentera de créer de nouveau
la sensation. Dans un groupe homogène avec la Suisse, l’Écosse et le
pays hôte, l’Allemagne, qui part avec une longueur d’avance, les
Magyarok auront un coup à jouer. La qualification a été plutôt facile
avec une première place acquise sans la moindre défaite dans un groupe
peu relevé avec la Serbie, le Monténégro, la Lituanie et la Bulgarie.
Les choses sérieuses débuteront le samedi 15 juin pour la bande de Marco Rossi." La suite sur footmercato.net
"Si, comme en attestent les chiffres, la plupart des pays de l’Union européenne [UE] ont multiplié les commandes d’équipements militaires américains [voire sud-coréens et israéliens], ce n’est pas le cas de la Hongrie, qui privilégie des solutions européennes pour moderniser ses forces armées. Ces dernières, ce pays s’est en effet tourné vers l’Allemagne, pour se procurer des chars Leopard 2A7+, des obusiers PzH2000, des véhicules de combat d’infanterie KF41 Lynx ainsi que des munitions téléopérées [MTO] Hero. En outre, il a aussi acquis des hélicoptères H145M et H225M Caracal auprès d’Airbus Helicopters.
S’agissant de son aviation de combat, la Hongrie a soldé l’héritage
du Pacte de Varsovie en signant un accord avec le constructeur suédois
Saab pour se procurer 14 avions de chasse JAS-39 Gripen C/D, via un
crédit-bail d’une valeur de 555 millions d’euros. En février, malgré des
relations diplomatiques tendues avec Stockholm, Budapest a fait part de
son intention d’en acquérir quatre de plus." La suite sur opex360.com
"Le dirigeant hongrois n’en voit tout simplement plus l’utilité.
L’incompréhension de Viktor Orban face au soutien de l’UE à l’Ukraine n’est pas une nouveauté. “Nous
sommes derrière un pays qui ne peut pas gagner la guerre. Il ne s’agit
pas de s’allier à Poutine, mais de parvenir à un cessez-le-feu et de se
conformer à la réalité géopolitique”, avait-il déclaré en avril lors d’une conférence.
Ses propos faisaient suite à la proposition de Jens Stoltenberg,
Secrétaire général de l’OTAN, d’une nouvelle aide à l’Ukraine." La suite sur lalibre.be
"Côté face, l’arrivée d’industriels étrangers a permis à la Hongrie de se développer économiquement. Côté pile, le clan Orban a mis le pays en coupe réglée pour en conserver les leviers et s’enrichir de manière éhontée. « Viktor », c’est la marque de fabrique d’une certaine idée du pouvoir.
Libérons la Hongrie ensemble ». Le slogan sonne comme les trompettes de la reconquête. Mercredi, à Kecskemét, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées sur la place Kossuth pour soutenir le candidat aux élections européennes Péter Magyar, le phénomène politique du moment. Inconnu du grand public il y a quelques mois encore, cet ancien du parti au pouvoir Fidesz taille des croupières à Viktor Orban et s’apprête à phagocyter l’électorat des formations politiques d’opposition. Les sondages le donnent second. Une alliance de gauche réunissant le parti Coalition Démocratique, le MSZP socialiste et les écologistes de Dialogue est troisième." La suite sur lesoir.be (article payant)
"Le procès d'une Italienne, accusée d'avoir attaqué des néo-nazis présumés et qui était apparue enchaînée devant un tribunal, débute vendredi en Hongrie, une affaire qui a suscité une forte émotion dans la péninsule et des tensions diplomatiques.
Ilaria Salis, 39 ans, comparaîtra libre: elle est sortie de prison à la veille de l'audience, se trouvant désormais assignée à résidence dans la capitale Budapest.
Cette enseignante de Monza, près de Milan a passé de longs mois en détention, sous haute sécurité, le parquet hongrois l'accusant de "tentatives d'agression mettant en danger la vie d'autrui dans le cadre d'une organisation criminelle".
Il a requis onze ans de prison avec le
soutien bruyant du gouvernement, qui évoque souvent son cas publiquement
en disant vouloir "défendre les Hongrois" contre la "violence de
l'extrême gauche" venue de l'étranger." La suite sur information.tv5monde.com
"D'après ls premières informations communiquées, elle va être assignée à résidence à Budapest et devra porter un bracelet électronique.
Ilaria
Salis est sortie de prison ce jeudi matin à Budapest, où elle se
trouvait depuis février 2023, et a été transférée au foyer où elle devra
être assignée à résidence en attendant la fin du procès dans lequel
elle est inculpée en Hongrie. Salis devra porter le bracelet
électronique pendant la période qu'elle passera en résidence surveillée.
"L'assignation à résidence est due à notre ambassade", a commenté le ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani." La suite sur euronews.com
"Au terme d'une saison très disputée, le club du FTC Ferencvzaros, où évolue l'internationale française Béatrice Edwige, a décroché le titre de champion de Hongrie face à l'ogre de Gyor.
C'est une soirée dont les supporters du FTC Ferencvaros se souviendront longtemps. 27 ans après le dernier doublé coupe/championnat réalisé par le club du 9ème arrondissement de Budapest, l'équipe du danois Allan Heine (ancien coach des Neptunes) s'est adjugée le championnat de Hongrie devant l'ogre Gyor et sa constellation d'internationales." La suite sur handnews.fr
"BUDAPEST – Le pays affirme que la CPI est "utilisée comme un outil politique", rappelle que ce qui se passe à Gaza a été provoqué par "une attaque terroriste impitoyable contre Israël"
La demande du procureur de la Cour pénale internationale (CPI) d’émettre un mandat d’arrêt contre le Premier ministre Benjamin Netanyahu est « inacceptable » et ne saurait être appliquée à Budapest, a affirmé le chef de cabinet du Premier ministre hongrois Viktor Orban.
Gergely Gulyas, qui occupe la fonction de ministre au sein du Bureau
du Premier ministre, a expliqué lors d’une conférence de presse que,
bien que la Hongrie ait ratifié le Statut de Rome de la CPI celui-ci
« n’a jamais été intégré à la législation hongroise », ce qui signifie
qu’aucune mesure de la Cour ne peut être mise en œuvre en Hongrie." La suite sur timesofisrael.com
"Le premier constructeur mondial sur le marché ferroviaire, CRRC, déjà très présent dans les marchés émergents, pousse ses pions en Europe et va se doter d'un outil industriel en Hongrie. Bruxelles enquête depuis février sur de possibles méthodes de dumping.
Il n'y a pas que le marché européen des voitures électriques à subir les assauts des producteurs chinois . Le secteur ferroviaire fait aussi partie des cibles explicites de l'ex-empire du Milieu, à travers son bras armé CRRC (China Railway Rolling Stock corp.) - le leader mondial du secteur qui compte plus de 50 filiales et plus de 180.000 salariés.
Celui-ci lorgne divers appels d'offres, souvent dans les pays de l'ex-Europe de l'Est, n'hésitant pas à casser les prix. Au point que Bruxelles a ouvert une enquête approfondie en février dernier contre CRRC, en faisant jouer son nouvel arsenal juridique sur les subventions excessives des pays tiers, de nature à créer une concurrence déloyale dans l'UE." La suite sur lesechos.fr (article payant)"L'affrontement entre le ministre hongrois de l'économie et le gouverneur de la banque centrale s'est ravivé mardi après une trêve de courte durée, le ministre accusant la banque d'être incapable de coopérer en matière de stratégie économique.
La banque centrale hongroise, qui a réduit les coûts d'emprunt de 1 025 points de base à 7,75 % au cours de l'année écoulée, a subi de fortes pressions de la part du gouvernement du premier ministre Viktor Orban pour réduire les taux d'intérêt de manière plus agressive afin de favoriser la reprise économique.
Le gouvernement a également lancé diverses politiques, telles que des
plafonds sur les taux de prêt aux entreprises et aux particuliers, et a
proposé plusieurs mesures qui, selon la banque centrale, dirigée par le
gouverneur Gyorgy Matolcsy, un ancien allié d'Orban, porteraient
atteinte à son indépendance." La suite sur zonebourse.com
"À Budapest, le quartier de Józsefváros sert de laboratoire au premier ministre nationaliste. Expulsés, les Roms et les plus pauvres dénoncent une politique de discrimination qui profite aux géants de la construction proches du Fidesz.
Budapest (Hongrie), envoyée spéciale.
Le face-à-face dit tout des tensions qui parcourent le quartier populaire de Józsefváros. Au numéro 6 de la rue Tavaszmező, une entrée monumentale décrépie, de style néo-Renaissance, ornée de deux sculptures. Sur le trottoir opposé, un hôtel moderne, en briques mais sans charme, et un parking souterrain monofonctionnel.
À Budapest, la gentrification avance à bon train, non sans résistance. En attestent les graffitis ornant désormais la porte du numéro 6, qui abritait jusqu’en 2016 la Maison de la culture rom avant que ses locataires n’en soient expulsés et le dessin de leur drapeau, orné d’une roue symbolisant le voyage, effacé. « Les vies des Roms comptent aussi », « Rendez-nous ce que vous nous avez pris », « Vous nous avez volé notre culture ».
Comme autant de missives adressées à l’ancien maire du 8e arrondissement, affilié au Fidesz, le parti du premier ministre Viktor Orban. Aladár Horváth observe, dépité, le bâtiment désespérément vide. « Ils ont parlé de prostitution, de toxicomanie pour expliquer que nous étions déviants. La gentrification du quartier est le visage urbanistique d’un système néocolonial et d’une ségrégation où les minorités n’ont pas le droit de cité. Ils utilisent la criminalité, les problèmes d’hygiène dans une politique de nettoyage ethnique », dénonce l’écrivain et responsable de la Fondation pour les droits civiques des Roms et premier député de sa minorité en Hongrie." La suite sur humanite.fr
"C'est une opposition que le Fidesz n'a sans doute pas vu venir. Celle incarnée par l'un de ses anciens fidèles, Peter Magyar, qui surfe sur l'ire populaire et opère un grand déballage sur les ficelles du régime.
En Hongrie, une nouvelle opposition incarnée par Péter Magyar se mobilise pour défier Viktor Orbán.
Au
pouvoir depuis quatorze ans, Viktor Orbán et le Fidesz semblent
indétrônables. Mais depuis quelques mois, un certain Péter Magyar ne
cesse de faire parler de lui et mobilise une partie de la population
hongroise, désabusée par le régime actuel." La suite sur euronews.com
"Budapest, 20 mai 2024 (AFP) – Le police hongroise a annoncé lundi avoir arrêté le capitaine d’un navire de croisière naviguant sous pavillon suisse impliqué dans une collision sur le Danube avec un bateau à moteur qui a fait deux morts samedi dernier.
Cinq personnes qui se trouvaient à bord du bateau à moteur étaient toujours portées disparues, et la police poursuivait lundi ses opérations de recherche.
La police a indiqué avoir interrogé le capitaine du navire de croisière et l’avoir arrêté sous le soupçon d’avoir commis plusieurs délits.
Le capitaine est soupçonné « de ne pas avoir alerté l’équipage de son
propre navire après l’accident, de ne pas avoir mis en oeuvre le
protocole de sauvetage, de n’avoir pris aucune mesure pour secourir les
personnes ayant besoin d’être secourues et ne pas avoir mis le navire à
l’arrêt », a précisé la police dans un communiqué." La suite sur marine-oceans.com
"Un jour de printemps 1974, dans sa chambre emplie d'un bric-à-brac de papiers et ficelles, Erno Rubik eut l'idée de relier des petits cubes en bois. Sans se douter que son invention allait conquérir le monde
Un parcours "incroyable", souffle toujours étonné, le Hongrois de 79 ans lors d'un rare entretien accordé à l'AFP à Budapest.
Cinquante ans plus tard, le Rubik's Cube est comme son "enfant prodige", qu'il est "épuisant" de suivre partout et dont la "gloire" éclipse ses géniteurs, raconte le discret personnage, en jeans et sandales.
Alors simple
professeur d'architecture et de design, il n'avait "pas l'ambition de
laisser une marque dans le monde", avouait-il dans un livre publié en
2020. Mais sa curiosité et son goût des puzzles et défis géométriques le
propulseront dans une autre dimension." La suite sur laprovence.com
Dans le cadre de l'Olympiade culturelle qui explore le lien entre l'art, le sport et les valeurs olympiques, l'Institut Liszt Paris, en partenariat avec le Centre Tchèque de Paris, le FICEP et l’UNESCO, vous invite à la projection du documentaire consacré à Áron Szilágyi, triple champion olympique hongrois en escrime.
Le film intitulé Un pour tous (Egy Mindenkiért)
raconte la période clé d'une carrière de grande envergure avec la
densité d'un long métrage. Il présente la personnalité complexe derrière
l'histoire d’Áron Szilágyi, et aide le spectateur à comprendre comment
et pourquoi quelqu'un devient une légende du monde sportif, quels sont
les facteurs qui l'emmènent au sommet du monde.
Film en hongrois, sous-titré en anglais
Réalisateur : András Pires Muhi
Europa Expérience 28 Place de la Madeleine, 75008 Paris
L'installation vidéo Swinging in the Garden du vidéaste hongrois Tamás Waliczky sera présentée lors de la Nuit Blanche à Europa Experience. Venez nous rejoindre le 1er juin à partir de 19h pour une soirée exceptionnelle, combinant musique électronique et œuvres visuelles ! Ce programme résulte d'un partenariat entre la Ville de Paris, l'Europa Expérience et l'Institut Liszt Centre Culturel Hongrois de Paris.
Tamas Waliczky, né en 1959 à Budapest, est un artiste multimédia basé à Budapest, Hong Kong et Vienne. Passionné par l'animation depuis son enfance, il exerce également les métiers de peintre, illustrateur et photographe. Son exploration de l'informatique a débuté en 1983. En collaboration avec sa compagne Anna Szepesi, conseillère artistique, il a remporté plusieurs prix internationaux, dont le Golden Nica du Prix Ars Electronica. Ses œuvres sont exposées dans des collections prestigieuses telles que le Centre Georges Pompidou à Paris et le Musée Ludwig de Budapest. En 2019, il a représenté la Hongrie à la Biennale de Venise.
Le parcours de Katalin Karikó semble aussi invraisemblable qu’une épopée littéraire. Issue d’une famille de bouchers en Hongrie communiste de l’après-guerre, elle vit son enfance dans un foyer sans eau courante, et dans lequel ils vivent en autosuffisance.
Assidue et passionnée, elle concrétise progressivement son rêve : investir une carrière scientifique. D’abord en Hongrie, elle s’envole ensuite pour les États-Unis avec 1000 dollars dissimulés dans la peluche de sa fille, intimement convaincue du potentiel révolutionnaire de l’ARN messager, une molécule qu’elle juge sous-estimée, qui pourrait considérablement améliorer et guérir les maladies." La suite sur actualitte.com
Autobiographie disponible sur fnac.com à partir du 30 mai 2024
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