mercredi 7 octobre 2015

Avec la disparition d’Árpád Göncz, c’est l’esprit de 1989 qui est mort

"L’ancien président de la Hongrie Árpád Göncz est mort mardi 6 octobre. Le philosophe Gáspár Miklós Tamás a publié le même jour un texte très beau et important dans l’hebdomadaire HVG. En voici la traduction.
Il ne faut pas se mentir, il n’était pas « le président de tous ». Non. Il n’était pas le président des nouveaux horthystes. Il n’était pas le président des désormais populaires néofléchistes. Il n’était pas non plus le président des traîtres – comme on en compte beaucoup – à la république démocratique.
Árpád Göncz, le seul dirigeant de ce pays que la majorité du peuple hongrois aimait sans ressentiment caché ni arrière-pensées malveillantes, est mort." La suite sur hu-lala.org

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