"Analyse - Alors que le pape est ce vendredi à Budapest pour une
visite dominée par la guerre en Ukraine, le commandant des forces armées
hongroises a été soudainement démis de ses fonctions la veille, jeudi
27 avril. Une décision rarissime qui survient après une série de départs
de hauts gradés. Au profit, selon l’opposition, d’officier moins
atlantistes." La suite sur la-croix.com
dimanche 30 avril 2023
Hongrie : le pouvoir soupçonné de « purges » dans le commandement de l’armée
samedi 29 avril 2023
Balade sur les traces des Hongrois du Quartier Saint-Germain le 10 juin 2023 à 09h30 - Institut Liszt
Institut Liszt 92 Rue Bonaparte 75006 Paris
Nous avons le plaisir de vous convier à une balade culturelle sur les traces des Hongrois célèbres du quartier Saint-Germain, le samedi 10 juin prochain. Cette balade organisée par l’AAIH Paris 3 et Paris 4, est due au grand succès du rallye de 2019.
Sur votre parcours, des plaques et des lieux célèbres vous aideront à remplir un questionnaire que nous vous remettrons à l’Institut Liszt le samedi10 juin à 9h30.
Nous nous retrouverons de nouveau à l’Institut vers midi pour écouter les bonnes réponses aux questions posées autour d’une collation (apportez vos sandwiches, les boissons vous seront offertes).
Venez nombreux avec vos amis ou votre famille pour découvrir ou redécouvrir, tout en vous amusant, le quartier Saint-Germain, notre association et l’Institut Liszt.
Inscription obligatoire avant le 15 mai 2023 !
Téléchargez le formulaire d’inscription d'ICI.
Participation aux frais :
Gratuit pour les étudiants et les jeunes de moins de 26 ans
10 euros pour les adultes.
Dénes, animateur d’une paroisse engagée dans l’aide aux démunis
"Alors que l’Église catholique hongroise semble souvent plus proche du
pouvoir que du peuple, dans le 9e arrondissement de Budapest, l’église
Saint-Pierre Canisius se distingue par son engagement social . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Journal pour mon père et ma mère : 16 mai 2023 à 19h30 Institut Liszt
Institut Liszt 92 Rue Bonaparte75006
Nous continuons notre cycle-hommage à l'actrice hongroise Lili Monori avec la projection du film Journal pour mon père et ma mère, réalisé par Márta Mészáros.
Journal pour mon père et ma mère (Napló apámnak, anyámnak, 1990) de Márta Mészáros
Clôturant une trilogie autobiographique débutée avec Journal à mes enfants (1984) et poursuivie avec Journal à mes amours
(1987), Márta Mészáros continue de tracer à travers une écriture
diariste le parcours de Juli, une jeune orpheline dans la Hongrie
d’après-guerre. Au lendemain de l’échec de la Révolution hongroise de
1956, Juli rentre à Budapest pour y découvrir un monde brisé où la peur
et l’anxiété sont omniprésentes. L’une des questions que la cinéaste se
pose dans cette œuvre réalisée au moment de l’effondrement du socialisme
: Comment être cinéaste et femme dans un État autoritaire ?
Présenté par Mathieu Lericq
Entrée libre
Pour la réservation en ligne : cliquez ICI
Vidéo de la lecture publique en hommage à Sándor Ferenczi
Nous sommes heureux de partager avec vous la vidéo de notre événement
inoubliable en hommage à Sándor Ferenczi, qui a eu lieu le 22 avril à
l'Institut Liszt Paris.
Nous remercions tous ceux qui sont venus
nombreux pour participer à cette lecture publique de textes de Ferenczi,
suivie d'une discussion passionnante.
Cette soirée faisait partie d'un programme mondial de célébration du
150ème anniversaire de la naissance du célèbre psychanalyste Sándor
Ferenczi, organisé par la Free Association. Nous sommes fiers d'avoir pu contribuer à cette initiative en rassemblant des passionnés de psychanalyse dans notre institut.
Merci à tous pour votre participation !
Zsigmond Móricz : Les barbares - 11 mai 2023 à 19h30 Institut Liszt
Institut Liszt 92 Rue Bonaparte 75006 Paris
Dans chacune des nouvelles qui composent ce recueil, la violence affleure, implacable, et met au jour les traumatismes engendrés par la Première Guerre mondiale. Zsigmond Móricz, l'une des figures majeures de la littérature hongroise du début du xxe siècle, fut aussi correspondant de guerre, une expérience qui le marqua de façon irrémédiable. Sous sa plume, bourreaux et victimes se confondent et sont autant d'âmes égarées en quête de sens. Mais cette brutalité est aussi le symptôme d'une société qui se débat avec ses propres fantômes : superstitions et mauvais sorts ne sont jamais bien loin, dans une campagne hongroise qui lutte pour survivre et peine à faire face aux bouleversements que la modernisation charrie avec elle.
Zsigmond Móricz (1879-1942) est le fils d'un paysan, petit propriétaire protestant. D'abord journaliste, il participe au mouvement de collecte des chansons populaires, devenant l'un des premiers à se consacrer à l'ethnologie rurale magyare. Infatigable explorateur, il arpentera toute sa vie les plaines de la Hongrie, des voyages dont il tirera de nombreux romans, nouvelles et pièces de théâtre.
Présenté par András Kányádi maître de conférences en littérature hongroise à l'Inalco et György Tverdota, chercheur et professeur émérite, ancien directeur-adjoint du Centre Interuniversitaire d’Études Hongroises, auteur de nombreux ouvrages en hongrois et en français sur la littérature hongroise du 20e siècle. Animé par Ákos Cseke, attaché de coopération scientifique et éducative de l’Institut Liszt Paris.
Entrée libre
Le culte des saints en Hongrie et en Europe Centrale au Moyen Age - 3 mai 2023 à 19h30 Institut Liszt Paris
Institut Liszt Paris 92 Rue Bonaparte75006
Table-Ronde avec :
Marie-Madeleine de Cevins (Université de Rennes)
Gábor Klaniczay (Central European University, Budapest/Wien)
Olivier Marin (Université Sorbonne Paris Nord)
Cet entretien a comme point de départ la parution (au début de 2023)
d’une nouvelle édition bilingue (latin-anglais) des légendes des saints
hongrois Étienne, Emeric, Gérard et Ladislas, dans la compagnie d’autres
saints importants d’Europe Centrale : Procope de Sázava, Jean de Trogir
et Stanislas de Cracovie. Sanctitas Principum. Sancti reges, duces, episcopi et abbates europae centralis (saec. xi-xiii) / The Sanctity of the Leaders. Holy kings, princes, bishops, and abbots from central europe (eleventh to thirteenth centuries). Éd. Gábor Klaniczay, Budapest – New York: CEU Press, 2023.
La
discussion cherchera de situer cette sélection de documents
hagiographiques dans le contexte des nouvelles recherches historiques
sur le sujet, rassemblées dans un recueil d’études édité par
Marie-Madeleine de Cevins et Olivier Marin : Les saints et leur culte en
Europe centrale au Moyen Âge (XIe-début du XVIe siècle. Turnhout :
Brepols, 2017.
Entrée libre
Pour la réservation en ligne : cliquez ICI
contact@instituthongrois.fr | 01 43 26 06 44
Breuer.121- exposition 25 mai - 8 juillet 2023 - Institut Liszt
Institut Liszt 92 Rue Bonaparte 75006 Paris
Exposition
et conférence à l'occasion du 120e anniversaire de Marcel Breuer.
L'exposition présente l'ensemble de l'œuvre de Breuer.
En
parallèle, l'Institut Liszt lance un concours de création d'affiches
destinés aux étudiants d'universités d'art en France et en Hongrie sur
le thème de l'influence de Breuer sur le design contemporain.
Finissage le 28 juin 2023 et visite guidée par le commissaire Valéria Fekete à 19h30.
Marcel Breuer, né en 1902 à Pécs, diplômé à l'école du Bauhaus dans les années 1920, acquiert une réputation internationale grâce à ses meubles tubulaires. A partir des années 1950, il reçoit beaucoup de commandes aux États-Unis et en Europe et devient l'un des architectes vedettes de son temps.
Vernissage le 25 mai à 19h !
Plus d'informations : contact@instituthongrois.fr
Viktor Orban, un « libéral agnostique » devenu défenseur des valeurs chrétiennes
"Le pape François effectue ce week-end une visite dans la Hongrie de Viktor Orban. Défenseur affiché des « valeurs chrétiennes » de l’Europe, le premier ministre entretient pourtant un rapport ambigu aux religions.
Lorsque Viktor Orban avait mis le cap sur le Vatican, en avril 2022, lors de son premier voyage à l’étranger après sa troisième réélection à la tête du gouvernement, il avait déclaré s’inscrire dans « une grande tradition hongroise ». Mais cette tradition ne trouvait guère grâce à ses yeux il y a de cela trois décennies. A l’occasion de la visite du pape François en Hongrie, du 28 au 30 avril, Le Monde des religions revient sur l’itinéraire spirituel de celui qui se présente aujourd’hui comme le grand défenseur des « valeurs chrétiennes » de l’Europe.
Le membre aux cheveux mi-longs de l’Alliance des jeunes démocrates qui évoquait, à 26 ans, « le départ des troupes russes » sur la place des Héros en 1989, n’avait alors que peu de considération pour la religion. « Viktor Orban se définissait comme libéral agnostique », se souvient ainsi Istvan Hegedus, ancien compagnon de route et député du Fidesz, le parti de Viktor Orban, qu’il a rejoint quelques jours après sa formation, en 1988 et quitté six ans plus tard.
« La majorité des membres du parti, y compris Viktor Orban et Laszlo Kover (président du Parlement hongrois depuis 2010), était même contre la restitution des biens de l’Église après le communisme », ajoute ce sociologue, à la tête du cercle de réflexion Société hongroise pour l’Europe.
Lors de son premier mandat parlementaire, entre 1990 et 1994, Viktor Orban n’a pas hésité à multiplier les commentaires désobligeants envers les « soutanes », surnom qu’il donnait à ses adversaires, les chrétiens-démocrates. Le vingtenaire n’a pas non plus tenu à assister à la venue de Jean Paul II en Hongrie, en 1991, qualifiée de « visite de requin » par le Magyar Narancs, considéré comme le journal du Fidesz.
De tradition familiale calviniste, l’étudiant en droit fait bénir, en 1986, son union avec Aniko Lévai − une catholique − par Gabor Ivanyi, pasteur méthodiste et député libéral, qui baptisera aussi ses deux premiers enfants." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Hongrie : Budapest gracie un leader d'extrême droite, à «l'occasion» de la visite du pape
"La Hongrie a gracié le leader d'un groupuscule d'extrême droite condamné pour des attaques contre des hommes politiques à la fin des années 2000, à «l'occasion» de la visite du pape arrivé vendredi à Budapest.
«La semaine de la visite papale fournit une occasion spéciale pour exercer le droit de grâce», a écrit jeudi soir dans un communiqué la présidente Katalin Novak, une proche du premier ministre nationaliste Viktor Orban.
Parmi les personnes qui ont bénéficié de cette mesure, a-t-elle précisé, «il a été décidé de suspendre la peine d'emprisonnement» des membres de la formation d'extrême droite baptisée «Hunnia», aujourd'hui disparue. Son leader, György Budahazy, 53 ans, avait écopé en 2016 d'une peine de 13 ans de prison ferme pour «actes terroristes», aux côtés de 16 autres militants.
Ils avaient tous été reconnus coupables d'avoir mené une série d'attaques entre 2007 et 2009, avec des armes à feu et des cocktails Molotov, contre des députés socialistes et libéraux alors au pouvoir, à leur domicile. Selon le parquet, l'objectif du groupe était d'intimider les parlementaires pour influencer leur vote." La suite sur lefigaro.fr
En Hongrie, l'anti-migrants Viktor Orbán ouvre les bras aux «travailleurs invités»
"Intraitable envers l'immigration illégale, le pouvoir national-conservateur facilite l'arrivée de personnes étrangères, recrutées jusqu'en Indonésie.
Été 2015. Alors que le flux de migrants explose sur la route des Balkans, Viktor Orbán devient l'idole des droites radicales en barrant la frontière avec la Serbie avec une clôture de 175 kilomètres. L'année suivante, le Premier ministre hongrois assure que son pays, fortement touché par l'immigration, «n'a pas besoin d'un seul migrant pour que son économie fonctionne». Aujourd'hui, derrière le vernis nationaliste de Budapest, des «travailleurs invités» pallient le manque de bras locaux.
Depuis septembre 2021, un décret –poussé par le patronat
magyar– permet aux Vietnamiens, Mongols, Philippins, Indonésiens,
Biélorusses, Kazakhs, Macédoniens, Bosniens et Monténégrins d'obtenir en
quelques semaines des visas de travail de deux ans, renouvelables.
L'été dernier, Budapest
décidait d'assouplir les conditions d'embauche des ressortissants de
quinze États non-membres de l'Union européenne (UE), notamment d'Asie et d'Amérique du Sud." La suite sur slate.fr
Voyage du pape en Hongrie : la leçon de pacifisme de François à toute l’Europe
"Analyse - Au premier jour de son voyage en Hongrie, vendredi 28 avril, le pape a regretté l’« infantilisme belliqueux » de l’Occident, reprenant l’argumentaire de Budapest. Mais il a aussi invité le gouvernement de Viktor Orban à accueillir les migrants et les réfugiés." La suite sur la-croix.com (article payant)
Exclusif-Le groupe pétrolier MOL conteste l'augmentation des tarifs des oléoducs traversant l'Ukraine et la Croatie
"Le groupe pétrolier hongrois MOL espère pouvoir choisir entre du brut russe ou non russe pour ses raffineries d'ici 2026, a déclaré à Reuters son président-directeur général Zsolt Hernadi, en réalisant des investissements substantiels.
MOL possède des raffineries en Hongrie et en Slovaquie, deux pays enclavés alimentés par l'embranchement sud de l'oléoduc Druzhba.
Les
importations via Druzhba ont été disruptives en novembre dernier
lorsqu'une roquette russe a frappé une centrale électrique en Ukraine
qui fournissait de l'électricité à une station de pompage, mettant en
évidence les risques d'approvisionnement." La suite sur zonebourse.com
vendredi 28 avril 2023
En Hongrie, le pape François s’interroge : « Où sont les efforts créatifs pour la paix ? »
"Le pontife est arrivé à Budapest, vendredi 28 avril, pour une visite de trois jours. Devant le premier ministre, Viktor Orban, il a déploré que la politique internationale « régresse vers une sorte d’infantilisme belliqueux ».
Il a fallu que la présidente, Katalin Novak, s’assoie sur sa chaise, devant le palais présidentiel hongrois, pour que le pape fasse de même. Debout, appuyé sur sa canne pendant ce qui a semblé un long moment, le chef de l’Eglise catholique a tenu à recevoir les honneurs militaires de la Hongrie, pays dans lequel il est arrivé vendredi 28 avril pour une visite de trois jours, loin de sa chaise roulante. Hospitalisé pendant plusieurs jours en mars pour une bronchite, le souverain pontife a voulu apparaître en bonne forme.
François est venu rencontrer le premier ministre, Viktor Orban, avec qui il s’est entretenu pendant une vingtaine de minutes après avoir échangé une longue poignée de main. Le jésuite argentin s’est ensuite rendu, à quelques pas, dans un ancien couvent des carmélites, pour prononcer son discours d’arrivée devant des membres du gouvernement et du corps diplomatique. C’est aussi debout qu’il s’est adressé aux Hongrois et, à travers eux, à toute l’Europe.
Budapest, joyau architectural de l’Europe centrale, se situe à trois cents kilomètres de la frontière ukrainienne. Pour le souverain pontife, c’était l’occasion d’admonester les dirigeants européens et, plus globalement, les Occidentaux sur leur gestion du conflit, dont il estime qu’elle l’alimente plus qu’elle ne l’éteint. Une ligne proche de celle de Viktor Orban, qui garde des liens avec la Russie de Vladimir Poutine, dont il dépend économiquement et avec laquelle il partage des valeurs identitaires.
« Retrouver l’âme européenne »François a semblé regretter que l’Europe ne cherche pas assez, selon lui, une voie diplomatique pour sortir de la guerre. Il ne cesse de répéter que l’Ukraine et la Russie doivent se mettre autour d’une table de négociation qui, pour l’instant, n’existe pas. « Au niveau international, il semble même que la politique ait pour effet d’enflammer les esprits plutôt que de résoudre les problèmes. Elle oublie la maturité acquise des horreurs de la guerre et régresse vers une sorte d’infantilisme belliqueux », a regretté le pape." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Terrible nouvelle pour l’UE : après l’Italie, la Hongrie se révolte et accuse l’Europe d’avoir appauvri les Européens
Rien ne marche plus au sein de l’Union Européenne. En effet, 24 heures après la victoire historique des droites italiennes dirigées par Giorgia Meloni, c’est au tour d’un autre pays d’Europe de déclarer la guerre à l’UE, l’accusant d’avoir rendu les populations européennes de plus en plus pauvres à travers ses sanctions infligées à la Russie.
Ce pays n’est autre que la Hongrie qui, depuis l’invasion militaire
russe en Ukraine, n’a jamais été favorable aux sanctions infligées à
Moscou. Et le bras se poursuit. Car, à en croire le média hongrois DailyNewsHungary.com,
un éminent député membre du parti de Viktor Orban a tenu des propos
durs envers l’Europe lors d’une interview accordée à une radio
hongroise. L’homme en question n’est autre que Mate Kocsis, chef du
groupe parlementaire du parti Fidesz." La suite sur lecourrier-du-soir.com
Hongrie : la France prête à participer au projet de centrale nucléaire du russe Rosatom
"L’exécutif a donné son feu vert à Framatome pour prendre part à la
construction de deux nouveaux réacteurs à la centrale de Paks, en
faisant valoir que l’industrie nucléaire n’est pas visée par les
sanctions internationales contre la Russie.
En pleine guerre en Ukraine, l’implication d’opérateurs français dans la construction de deux réacteurs nucléaires en Hongrie pilotée par le groupe public russe Rosatom peut paraître inopportune. L’extension de la centrale de Paks, dans le centre du pays, fait pourtant l’objet de discrètes discussions entre Paris et Budapest et a même été abordé lors d’un dîner entre Emmanuel Macron et le premier ministre Viktor Orban à l’Elysée, le 13 mars.
Peu après, le ministre hongrois des affaires étrangères, Peter Szijjarto, a confirmé que la Hongrie comptait sur l’aide de la France afin de contourner les réticences allemandes à livrer le système de contrôle des réacteurs, initialement confié, depuis 2019, à un consortium constitué de Siemens Energy et de Framatome. « Puisque le gouvernement allemand bloque pour des raisons politiques la participation contractuelle de Siemens Energy, nous souhaitons donc nous appuyer davantage sur les Français », a affirmé M. Szijjarto.
Si les dirigeants français et hongrois s’opposent sur différents sujets européens, comme la question de l’Etat de droit ou les livraisons d’armes à Kiev, ils partagent une croyance commune dans le nucléaire. M. Szijjarto s’est même rendu le 13 mars à Flamanville (Manche) pour visiter le chantier de l’EPR. « Le gouvernement français a donné l’autorisation à Framatome, mais le gouvernement allemand ne l’a pas fait pour Siemens. Nous étudions donc aujourd’hui ce problème en étroite collaboration avec Framatome », indique une source hongroise à propos de la centrale de Paks.
Accord avec Vladimir Poutine« Les acteurs français de l’industrie nucléaire appuient nos partenaires européens, et notamment la Hongrie, dans toutes leurs démarches et dans tous les projets qu’ils portent sur leur sol dès lors qu’ils respectent strictement le cadre européen des sanctions internationales », dit au Monde l’entourage d’Agnès Pannier-Runacher, ministre de la transition énergétique. Or, « à ce jour, les sanctions européennes [contre la Russie] ne visent pas l’industrie nucléaire, rappelle le ministère. Si des acteurs français souhaitent s’engager dans des partenariats avec d’autres acteurs européens, nous n’allons pas les en empêcher ».
L’empressement à honorer le contrat semble aujourd’hui beaucoup plus modéré..." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Enesco : Rapsodie roumaine nº1 / Liszt : 6 Rapsodies hongroises
Antal Doráti fait partie de la prestigieuse école de chefs d’origine hongroise
à l’instar de Fritz Reiner, George Szell, Eugene Ormandy et Georg
Solti. Artiste mondialement reconnu se définissant lui-même comme un
« médecin de l’orchestre », il enchaîne et cumule, tout au long de sa
carrière, les postes de directeur musical, avec pour seul objectif de
faire avancer et progresser les formations musicales." A écouter (24 mn) sur radiofrance.fr
Le Pape François chez le hongrois Viktor Orban : deux visions de la chrétienté aux antipodes
"Le Pape arrive vendredi 28 avril en Hongrie pour une visite de trois jours. Il rencontrera notamment le premier ministre hongrois Viktor Orban. Et le moins que l’on puisse dire c’est que les deux hommes n’ont pas la même vision de la chrétienté.
Il faut s’attendre à quelques formules bien senties du Souverain Pontife, il en a l’habitude. Lors de ce déplacement qui constitue son 41e voyage apostolique en 10 ans, le pape, dont la santé est devenue fragile, prononcera six discours et une messe en plein air dimanche. Nul doute qu’il lancera un nouvel appel à accueillir les migrants et les réfugiés.
Alors que sur ce sujet, le Premier ministre hongrois est surtout spécialiste de la construction des murs. Viktor Orban, peu croyant au départ, instrumentalise désormais la religion pour consolider son pouvoir. Et dans son esprit, protéger les valeurs chrétiennes de la Hongrie et de l’Europe, c’est surtout fermer les portes. L’an dernier, la Hongrie n’a accordé le statut de réfugiés qu’à 18 personnes en 12 mois. Elle a certes été plus accueillante avec les Ukrainiens, elle en a vu passer un million. Mais ils ne restent pas car ils ne se sentent pas les bienvenus en Hongrie : ils ne sont que 35.000 à avoir sollicité le statut de protection temporaire.
Autre sujet de discorde entre les deux hommes : les questions
d’orientation sexuelle. Le pape a développé un discours d’ouverture sans
précédent pour l’Église catholique. Pour lui criminaliser
l’homosexualité est une erreur et le fait d’être homosexuel n’est pas un
crime. Viktor Orban, lui, stigmatise la communauté LGBT, en bafoue ouvertement les droits et se veut le défenseur de la "famille traditionnelle"." La suite sur francetvinfo.fr
jeudi 27 avril 2023
En Hongrie, le pape François veut dénoncer « les vents glaciaux de la guerre »
"Le chef de l’Eglise catholique se rend à Budapest du vendredi 28 au dimanche 30 avril. Il y rencontrera le premier ministre, Viktor Orban, qui refuse de soutenir militairement l’Ukraine.
Cent trois kilomètres de frontière surplombée par l’imposant massif des Carpates. Pour saisir le contexte prégnant de la visite du pape François en Hongrie, du vendredi 28 au dimanche 30 avril, il faut regarder dans cette direction. Au pied de la chaîne montagneuse d’Europe centrale et orientale se rencontrent en effet les territoires hongrois et ukrainiens. Une géographie bien opportune pour le 41e voyage apostolique de Jorge Bergoglio, qui ne cesse de lancer des appels à la paix depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le 24 février 2022.
« Je vous demande à tous de m’accompagner avec vos prières dans ce voyage » au « centre de l’Europe, sur laquelle continuent de s’abattre les vents glaciaux de la guerre, alors que les déplacements de tant de personnes mettent à l’ordre du jour des questions humanitaires urgentes », a demandé François aux fidèles rassemblée place Saint-Pierre, dimanche 23 avril. « N’oublions pas nos frères et sœurs ukrainiens encore affligés par cette guerre », a-t-il ajouté.
Le chef de l’Eglise catholique, qui ne s’est pas rendu à Kiev, contrairement à nombre de dirigeants occidentaux, devrait, selon toute vraisemblance, évoquer la guerre en Ukraine avec le premier ministre hongrois, Viktor Orban. Les deux hommes doivent se voir juste après l’atterrissage de François à Budapest, vendredi matin. Leur rencontre sera particulièrement scrutée, tant leurs rapports ont jusqu’ici été froids, voire tendus. En septembre 2021, à l’occasion d’un rapide passage du pape à Budapest, où se tenait un congrès eucharistique, ils s’étaient entretenus brièvement à l’abri de la presse. Au cœur de leur discorde figurent la version identitaire du christianisme mise en avant par M. Orban et sa politique très restrictive envers les migrants, propre à ulcérer François, qui appelle au contraire à les accueillir, depuis son élection en 2013.
Renvoyer dos à dos Moscou et KievMais entre eux, si les désaccords persistent, l’invasion de l’Ukraine par la Russie a changé la donne. Pour François, d’un coup, Viktor Orban, dont les opinions sur la guerre en cours sont proches des siennes, est « redevenu fréquentable », remarque un diplomate en place auprès du Saint-Siège.
Le souverain pontife, qui a mis..." La suite sur lemonde.fr (article payant)
L’Ukraine au cœur de la visite du pape en Hongrie
"À Budapest, François veut soigner ses relations avec Viktor Orban pour faire avancer l’idée d’une conférence internationale de paix.
La Hongrie attend François de pied ferme. Ce pays de haute tradition chrétienne - les deux tiers de sa population se disent catholiques - n’avait pas apprécié le comportement du pape, le 12 septembre 2021. Le chef de l’Église catholique, plutôt en froid avec le premier ministre, Viktor Orban, et sa politique en matière d’immigration, avait semblé dédaigner ce pays. Il s’y était arrêté seulement quelques heures pour y célébrer la messe de clôture d’un congrès eucharistique international avant de redécoller aussitôt vers la Slovaquie, visitée elle pendant plusieurs jours. De vendredi à dimanche, à Budapest, François va rattraper cet affront. Il avait promis de revenir.
Le schéma de ce 41e voyage hors d’Italie depuis son élection en 2013 apparaît classique, mais il ne l’est pas, compte tenu de son enjeu: il rencontre vendredi les autorités politiques, dont la présidente de la République, Katalin Novak, puis, séparément, le premier ministre Orban et, plus tard, le monde religieux." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
La BCE déclare que le décret du gouvernement hongrois a porté atteinte à l'indépendance de la banque centrale
"Le gouvernement hongrois a porté atteinte à l'indépendance de la Banque nationale de Hongrie (NBH) avec un décret restreignant l'accès au bon d'escompte de la banque et en prolongeant un plafond sur les dépôts des grandes banques commerciales jusqu'à la fin du mois de juin, a déclaré la Banque centrale européenne mercredi.
Le mois dernier, le gouvernement hongrois a étendu un plafond sur les dépôts des grandes banques commerciales jusqu'à la fin du mois de juin et a imposé des restrictions sur le transfert des bons d'escompte de la banque centrale afin de réduire les revenus "injustes" générés par les facilités de la banque centrale.
Un porte-parole du gouvernement n'a pas immédiatement répondu à une
demande de commentaire envoyée par courriel. Un porte-parole de la NBH
s'est refusé à tout commentaire." La suite sur zonebourse.com
mercredi 26 avril 2023
Le président azerbaïdjanais : Nous prévoyons de lancer la fourniture de gaz à la Hongrie et la Slovaquie dès la fin de cette année
"« En 2021,
nous avons livré 8 milliards de mètres cubes de gaz à l’Europe. Et cette
année, notre objectif est de porter ce chiffre à 12 milliards », a
précisé le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev lors de la cérémonie de
signature du « mémorandum d’accord visant à encourager la coopération
entre Bulgartransgaz (Bulgarie), Transgaz (Roumanie), FGSZ (Hongrie),
Eustream (Slovaquie) et la Société pétrolière nationale de la République
d’Azerbaïdjan (SOCAR) » à Sofia." La suite sur azertag.az
Que penser de la visite du pape à Budapest ?
"Le pape François effectuera en fin de semaine une visite de trois jours
dans la capitale hongroise. Outre des discussions avec des dignitaires
gouvernementaux et des entretiens avec des représentantes et des
représentants de l'Eglise hongroise, François rencontrera également des
réfugiés, des enfants et des jeunes. Les chroniqueurs discutent du sens
de cette visite pour le pays." La suite sur eurotopics.net
Les eurodéputés exhortent la Commission européenne à ne pas débloquer les fonds pour la Hongrie
"Les dirigeants des groupes politiques représentant plus de 70 % du Parlement européen ont exhorté la Commission européenne à rejeter la demande de la Hongrie de bénéficier des fonds européens gelés par l’UE dans le cadre du conflit entre Bruxelles et Budapest sur l’État de droit.
Dans une lettre commune rédigée lundi (24 avril) par tous les groupes politiques, à l’exception des Conservateurs et Réformistes européens (CRE), les eurodéputés ont exhorté l’exécutif de l’UE à bloquer les fonds destinés à Budapest.
« Selon nous, il est clairement
impossible de donner une évaluation positive de la première demande de
paiement dans le cadre du plan de relance et de résilience », conclut la lettre." La suite sur euractiv.fr
Un village hongrois, lieu de pèlerinage prisé des Juifs ultra-orthodoxes
"Prières en yiddish psalmodiées les yeux fermés et foule vêtue de noir: des dizaines de milliers de juifs ultra-orthodoxes convergent toujours plus nombreux chaque année vers la tombe d'un célèbre rabbin thaumaturge, dans le nord de la Hongrie.
"On dit que quiconque vient ici aura une vie bénie", lance Tobi Ash, 57 ans, rencontrée par l'AFP à Bodrogkeresztur, village de 800 âmes niché au coeur des vignobles de Tokay.
Cette
arrière-arrière-petite-fille du rabbin Yéchaya Steiner, mort en
avril 1925 après avoir consacré sa vie aux pauvres, lui a rendu hommage
trois jours durant." La suite sur lepoint.fr
mardi 25 avril 2023
Fleuves et rivières : un Hongrois cartographie les veines de la Terre
"En mettant en évidence les cours d’eau qui sillonnent notre planète, Robert Szucs fait apparaître des cartes aux allures de système sanguin…
Aussi fascinantes que somptueuses, ces cartes nous rappellent combien notre planète est unique, précieuse et complexe. Sur chacune d’entre elles, on y observe la multitude des cours d’eau qui parcourent le monde avant de se jeter dans la mer.
Résultat ? On a l’impression d’observer les veines de la Terre…
On doit ces cartes à Robert Szucs, un Hongrois qui s’était mis en tête de cartographier tous les bassins versants du monde, autrement dit, les territoires drainés par un même fleuve, ses affluents et les rivières.
Un travail de fourmi qui a abouti à de superbes images, aussi
étonnantes sur un plan scientifique que surprenantes d’un point de vue
artistique." La suite sur mediacongo.net
Entre le Saint-Siège et Budapest, des affinités électives
"À quelques jours du départ du Pape François pour la Hongrie, tour d’horizon des thèmes communs à Budapest et au Vatican avec l’ambassadeur hongrois près le Saint-Siège, Édouard Habsbourg-Lorraine.
Un millénaire lie la couronne d’Étienne au trône de Pierre. Au fil de dix siècles d’histoire tourmentée, de l’occupation ottomane à l’oppression soviétique, avec un intervalle de quatre siècles de catholicisme habsbourgeois, la Hongrie s’est bâtie une foi solide indissociable de son identité et unité nationale. Un pays d’Europe centrale marqué depuis toujours par la coexistence de diverses nations et ethnies en son sein.
Pour le diplomate en poste depuis 2015, ce 41e voyage apostolique du Pape François constitue «une troisième rencontre» avec le peuple hongrois; confer la messe au sanctuaire marial de Csíksomlyó -nom hongrois de Sumuleu Ciuc- lors
de son voyage en Roumanie en 2019, où avaient participé près de 100 000
Hongrois, puis le congrès eucharistique de Budapest en 2021. Entretien
avec Édouard Habsbourg-Lorraine depuis la Villa Franknoi, abritant
l’ambassade hongroise près le Saint-Siège à Rome." La suite sur vaticannews.va
Hongrie : L’Ordre des médecins se sauve
"La grande majorité des médecins exerçant en Hongrie ont choisi de rester membres de l’Ordre des médecins (MOK).
C’est une victoire pour l’Ordre des médecins (MOK), un contre-pouvoir
critique des réformes menées dans le domaine de la Santé, qui aurait pu
sortir très affaibli d’une loi obligeant ses membres à faire la
démarche volontaire d’y adhérer, alors que l’adhésion était automatique
jusqu’alors." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
Rod Dreher, l'Américain qui veut soulever l'Europe conservatrice depuis la Hongrie
"L'écrivain à l'origine du concept de «pari bénédictin» s'est établi à Budapest à l'automne 2022, séduit par le pays de Viktor Orbán.
En Europe ou aux États-Unis, le terreau est fertile pour une mobilisation des conservateurs, mais dans ce monde vibrionnant, il manque souvent des pensées et des stratégies de référence. D'un côté comme de l'autre de l'Atlantique, l'écrivain américain Rod Dreher parvient à aimanter lecteurs et adeptes de sa pensée stratégique.
On croit trop souvent que la pensée conservatrice américaine est à l'image des punchlines des conventions de l'association de défense du port d'armes, la National Rifle Association of America (la NRA), ou de la réunion annuelle organisée par les conservateurs, la Conservative Political Action Conference
(la CPAC). En vérité, il existe nombre de penseurs conservateurs
américains à l'œuvre substantielle et structurée. C'est le cas de Rod
Dreher, qui s'est fait connaître voici quelques années en France avec la
parution de son ouvrage Comment être chrétien dans un monde qui ne l'est plus – Le pari bénédictin, édité dans l'Hexagone en 2017." La suite sur slate.fr
Gel des fonds européens: Budapest annonce un accord préliminaire
"Près de 22 milliards d'euros de fonds européens destinés à la Hongrie ont été gelés par Bruxelles, qui réclame des réformes judiciaires dans le pays.
La ministre hongroise de la Justice Judit Varga a annoncé lundi un "accord technique" avec la Commission européenne sur les réformes judiciaires demandées par Bruxelles, disant espérer un déblocage des fonds européens dans les mois à venir. "J'ai eu une discussion constructive avec le Commissaire à la Justice" Didier Reynders, a écrit la ministre sur Twitter. "Les négociations techniques sur nos engagements judiciaires ont été conclues", a-t-elle ajouté, disant désormais attendre la décision de l'ensemble de la Commission.
Didier Reynders a salué sur le même réseau social des avancées. "Des étapes internes vont suivre pour analyser les progrès réalisés", a-t-il souligné. "La balle est dans le camp de la Commission européenne", a poursuivi Judit Varga dans la soirée, lors d'une rencontre organisée à Bruxelles par le "think tank" MCC Brussels, financé par le gouvernement du Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orban. "De notre côté, nous avons fait de notre mieux", a-t-elle dit.
"Je
crois qu'avec ce résultat aujourd'hui, nous pourrons nous tenir à
l'agenda que [le négociateur hongrois Tibor Navracsics] a mis en avant,
c'est-à-dire que dans la deuxième partie de ce semestre nous puissions
entrer véritablement dans la procédure d'obtention des fonds de
cohésion, d'une partie des fonds de cohésion", a-t-elle dit." La suite sur bfmtv.com
En Hongrie, des promotions obligatoires contre la hausse des prix alimentaires
"Après avoir gelé les prix de plusieurs denrées de base, Budapest va imposer des remises hebdomadaires sur vingt catégories de produits afin de contenir l’inflation. “Coup de pouce” pour la presse favorable au pouvoir en place, “coup de com’” selon les médias d’opposition.
Après les prix bloqués, les promotions imposées. Jeudi 20 avril, outre la prorogation du gel des prix de plusieurs denrées de base jusqu’au 30 juin, Budapest a annoncé de futures remises hebdomadaires obligatoires sur vingt catégories de produits – parmi lesquels la volaille, le fromage, le pain, les fruits et les légumes. Une manière de contenir l’inflation. Les grandes enseignes concernées par cette mesure “devront spécifier les produits en question [au moins un par catégorie] à l’entrée des commerces et dans leurs catalogues de promotions”, rapporte Telex.
La mesure “prendra effet le 1er juin au plus tard”, précise Magyar Nemzet. Le quotidien proche du pouvoir applaudit “une bonne nouvelle pour les clients et une mauvaise pour l’inflation”, qui atteignait 25,2 % sur un an en mars, selon les chiffres de l’Office central des statistiques (KSH) hongrois. La Hongrie est le pays d’Europe subissant le plus fortement ce phénomène. Les produits soldés “devront coûter au minimum 10 % moins cher que dans les trente..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
lundi 24 avril 2023
Le pape appelle à ne pas oublier les Ukrainiens avant son voyage en Hongrie
"Le pape François a appelé dimanche à ne pas oublier les Ukrainiens confrontés à la guerre avant son départ vendredi en Hongrie, un pays d'Europe centrale dirigé par le premier ministre nationaliste et russophile Viktor Orban.
«Je vous demande à tous de m'accompagner avec vos prières dans ce voyage» au «centre de l'Europe, sur laquelle continuent de s'abattre les vents glaciaux de la guerre, alors que les déplacements de tant de personnes mettent à l'ordre du jour des questions humanitaires urgentes», a-t-il déclaré à l'issue de sa traditionnelle prière dominicale en public place Saint-Pierre. «N'oublions pas nos frères et sœurs ukrainiens encore affligés par cette guerre», a-t-il affirmé.
Le pape s'est aussi adressé directement et «avec affection» aux fidèles hongrois : «Je sais que vous préparez avec beaucoup de zèle ma venue et je vous en remercie de tout cœur»." La suite sur lefigaro.fr
Économie. La méthode Orban pour bouter les entreprises allemandes hors de Hongrie
"Au nom de la souveraineté nationale, le Premier ministre hongrois fait tout pour pousser certaines sociétés étrangères à quitter le pays. Selon “Der Spiegel”, l’Union européenne s’apprête à répliquer.
Voilà près d’un an, les patrons de Heidelberg Materials et de Schwenk Zement, deux entreprises [allemandes] de matériaux de construction, ont reçu un courrier pour le moins insolite en provenance de Hongrie. Son auteur s’y présentait d’abord comme le patron d’un “groupe en plein essor” avant d’entrer rapidement dans le vif du sujet.
Son groupe avait d’ores et déjà acquis une “position dominante dans le secteur des matériaux de construction en Hongrie”, écrivait l’homme qui, selon l’organisation de lutte contre la corruption Transparency International, serait un proche du Premier ministre hongrois, Viktor Orban. Il expliquait ensuite qu’il cherchait à “étoffer” sa “palette professionnelle” en prenant une participation dans la filiale hongroise commune des deux entreprises allemandes, qui exploite actuellement deux cimenteries dans le pays.
L’auteur du courrier préconisait l’ouverture rapide de “négociations privées” en vue de cette transaction, concluant sur une formule de politesse : “En vous remerciant par avance de votre aimable coopération.” Il était manifestement convaincu qu’il faisait là une offre que les deux entreprises ne pouvaient pas refuser.
Après tout, nul n’ignorait, dans le milieu du BTP hongrois, que la filiale commune des deux firmes allemandes – la société Duna-Drava Cement – allait à l’encontre des projets du gouvernement hongrois. Tout ce que les Allemands avaient à faire, c’était de lire entre les lignes.
Une méthode bien rodée
La démocratie antilibérale d’Orban met en péril de plus en plus d’entreprises allemandes. Pendant des années, beaucoup d’entre elles pensaient que les attaques du Premier ministre contre le pouvoir judiciaire, le monde scientifique et les médias ne les concernaient pas.
Après tout, Orban – que l’ancien président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avait accueilli un jour fameusement en s’exclamant : “Voilà le dictateur !” – s’est longtemps posé en ami des entreprises. Il s’employait à attirer en Hongrie les constructeurs automobiles et les sociétés d’électronique allemandes, les appâtant avec une fiscalité avantageuse et une administration à leur écoute.
Mais dans le même temps, Orban appelait de ses vœux une augmentation de la “présence hongroise” dans un certain nombre de secteurs stratégiques – comme il l’a fait savoir dans un discours tenu devant un parterre de chefs d’entreprise voilà un peu plus d’un an à Budapest. Télécoms, commerce, assurances, matériaux de construction, autant de secteurs dans lesquels le Premier ministre jugeait que la participation étrangère s’élevait au-delà du “niveau souhaité”. Partout, assurait-il, son gouvernement “veillerait à ce que cela change”.
Les chefs d’entreprise allemands ont depuis lors une assez bonne idée des méthodes du gouvernement hongrois. Pour commencer, les investisseurs indésirables sont noyés sous les tracasseries administratives et les réglementations. Ensuite, ils reçoivent des offres de rachat de la part d’entreprises hongroises, notamment celles qui ont le plus bénéficié de la longévité d’Orban au pouvoir.
L’impression de “ne pas être les bienvenues”
Une bonne douzaine d’entreprises qui se jugent maltraitées par les pouvoirs publics hongrois se sont regroupées au sein du Comité oriental de l’économie allemande. Rares sont celles qui acceptent d’évoquer publiquement leur contrariété, de crainte de représailles de Budapest.
Mais Philipp Haußmann, le porte-parole de leur groupe de travail et directeur général de la maison d’édition Ernst Klett Verlag à Stuttgart, se propose de parler. Dans les secteurs où le gouvernement hongrois entend créer des “champions nationaux”, “les entreprises étrangères se voient..." La suite sur courrierinternational.com (article payant)
Hongrie : 15 000 cyclistes ont défilé dans les rues de Budapest
"Près de 15 000 cyclistes ont défilé dans les rues de Budapest ce samedi, à l’occasion du Jour de la Terre, l’évènement annuel mondial consacré à la protection de l’environnement.
Le rassemblement dans la capitale hongroise était organisé par l’ONG Hungarian Bicycle Club. Les participants ont notamment longé les quais du Danube, sous le soleil.
"Bien sûr, j'aimerais qu'il y ait plus de pistes cyclables mais les automobilistes ont aussi besoin de circuler", dit l'un d'entre eux." La suite sur euronews.com
dimanche 23 avril 2023
Hongrie: les agriculteurs hongrois face à l'afflux de céréales ukrainiennes
"Comme la Pologne et la Slovaquie, la Hongrie a décidé d’interdire les importations de céréales et autres denrées alimentaires en provenance d’Ukraine. Pour les agriculteurs hongrois, l’interdiction des importations et les aides de la Commission européenne (qui a annoncé cette semaine débloquer 100 millions d’euros, après une première enveloppe de 53 millions, pour soutenir les agriculteurs d’Europe centrale les plus affectés), ne résolvent pas le problème de fond : la déstabilisation des marchés locaux.
Depuis plusieurs jours, la Hongrie a mis en place des contrôles très stricts à sa frontière avec l’Ukraine. « Nous interdisons provisoirement, jusqu’au 30 juin, l’importation de produits ukrainiens : comme les céréales, la viande de poulet, les œufs, le miel, et les oléagineux », déclare Istvan Nagy, ministre de l’Agriculture.
Pour Andras Mahr, secrétaire général adjoint de l’Association nationale des producteurs agricoles (MOSZ), la décision du gouvernement hongrois est bien tardive. Car cela fait des mois que la Hongrie voit affluer des céréales bon marché.
« Nous ne sommes pas contre l’Ukraine ! Le problème n’est pas que le maïs vient d’Ukraine. Le problème, c’est qu’il arrive chez nous à un prix tellement bas qu’il fait chuter les prix locaux. Aujourd’hui, à la Bourse des céréales de Paris, le maïs se vend à 250 euros la tonne. Mais en Hongrie, le prix est tombé à 170 euros la tonne », indique-t-il." La suite sur rfi.fr
samedi 22 avril 2023
Le monde en cause : les Hongrois toujours plus nombreux dans les écoles autrichiennes
"C’est un phénomène qui prend de plus en plus d’ampleur. Le nombre
d’élèves hongrois qui fréquentent des écoles autrichiennes ne cesse
d’augmenter. Il est passé d’environ 2'000 enfants en 2010 à plus de
10'000 l’an dernier. La dégradation du système éducatif hongrois est en
cause. Certains parents dénoncent un « lavage de cerveau nationaliste ».
Les précisions d’Alexandre Rossé :" A écouter sur rtn.ch
Le Fidesz s’oppose à un mandat d’arrêt contre Poutine
Les députés du Fidesz ont rejeté mercredi une proposition de l’opposition lors d’une réunion de la commission parlementaire des affaires étrangères, qui permettrait l’arrestation du président russe Vladimir Poutine s’il venait à entrer en Hongrie, comme l’autorise le mandat récemment délivré par la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
En Hongrie, une militante transgenre s’auto-dénonce aux autorités
"La militante transgenre Flóris Balta a déposé une plainte contre
elle-même pour dénoncer une nouvelle législation controversée en Hongrie
. . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Un membre de l’OTAN remet en question la position de Stoltenberg concernant l’Ukraine
"Le Premier ministre hongrois remet en question la position de Stoltenberg sur l’Ukraine
Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a exprimé son scepticisme quant au soutien universel de l’OTAN à l’inclusion de l’Ukraine dans le bloc dirigé par les États-Unis. Orban a partagé un article de Politico sur la visite du secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, à Kiev, où il a proclamé que l’Ukraine était un “lieu légitime” au sein du bloc. En réponse à l’article, Orban a simplement écrit : “Quoi?!”.
Stoltenberg
a fait une apparition surprise à Kiev jeudi, lors d’une première visite
dans le pays depuis le début des hostilités entre la Russie et
l’Ukraine en février 2022. S’exprimant lors d’une conférence de presse
conjointe avec le président ukrainien Vladimir Zelensky, Stoltenberg a
salué la poursuite de l’aide militaire apportée par les États membres de
l’OTAN à l’Ukraine. Il a également fait pression pour une initiative de
soutien pluriannuelle à Kiev “la preuve de l’engagement à long terme de
l’OTAN” pour le pays." La suite sur ebene-magazine.com
vendredi 21 avril 2023
Le labyrinthe hongrois de Krasznahorkai
Le baron Wenckheim est de retour, László Krasznahorkai, Traduit du hongrois par Joëlle Dufeuilly, Cambourakis, 528 p., 27€
« Le baron Wenckheim est de retour », et les changements sont en cours, pour le pire plutôt que pour le meilleur.
On a déjà dit plusieurs fois combien l’écrivain hongrois László Krasznahorkai comptait dans le paysage littéraire mondial. Il le confirme de livre en livre, et de belle manière avec Le baron Wenckheim est de retour, roman épique, comique, politique, poétique, ajoutez à peu près tout ce que vous voudrez. Il englobe une multitude de genres, propose sous de nombreuses facettes la vision d’une localité et décourage le résumé. Le tour du paysage mental autant que physique se fait par sauts entre les différents personnages, tous saisis dans la toile serrée de phrases le plus souvent très longues, voire interminables, avec incises et dérivations. Le changement de perspective est marqué par un saut de paragraphe et l’on croyait être encore ici que l’on est déjà ailleurs." La suite sur lesoir.be (article payant)
Milos Kerkez, le latéral hongrois supersonique qui a tapé dans l’œil des grands d’Europe
"Parti cet été de l’AC Milan pour les Pays-Bas et plus précisément à l’AZ Alkmaar, Milos Kerkez (19 ans) est un des hommes forts de la saison. Performant et régulier, le néo-international hongrois marche sur l’eau, au point d’avoir de nombreux prétendants de gros calibres pour cet été.
Du côté de l’AC Milan tout n’est pas forcément rose, mais une
chose est sûre, le club lombard peut bénéficier d’un solide latéral
gauche en la personne de Theo Hernandez (25 ans). Arrivé du Real Madrid à
l’été 2019, l’international français est vite devenu incontournable
pour devenir une référence mondiale à son poste. Dès lors, difficile de
se frayer un chemin derrière lui. Au club depuis deux ans, Fodé
Ballo-Touré (26 ans) ne compte que 21 apparitions et dispose d’un rôle
limité dans l’effectif. Derrière les deux hommes en début de saison
dernière, le jeune hongrois Milos Kerkez
(19 ans) savait son avenir bouché et a opté pour un départ. Grand bien
lui en a pris. Révélé au sein de l’ETO FC Győr, le natif de Vrbas en
Serbie a vite convaincu sur son fort potentiel et a été approché à
l’hiver 2021 par l’AC Milan. Parti pour la Primavera avec qui il
disputera 26 rencontres (2 passes décisives), il verra son passage à
l’équipe première bouché et quittera le club italien après seulement un
an. Direction les Pays-Bas et l’AZ Alkmaar. Après six mois passés au
sein de la réserve, Milos Kerkez est devenu incontournable lors de
l’exercice 2022/2023." La suite sur footmercato.net
Hongrie : face à la pénurie de main-d’œuvre, le pays qui a dressé un mur anti-migrants est obligé de recruter des étrangers
"En Hongrie, alors que certaines entreprises peinent à recruter localement, le gouvernement a ouvert les portes du pays à des travailleurs étrangers, surtout venus d'Asie. Extrait du magazine "Nous, les Européens" du 20 avril 2023.
En 2015, le gouvernement de Viktor Orbán a dressé un mur de barbelés pour se protéger des migrants. Aujourd'hui, Budapest lance des invitations aux travailleurs étrangers via des agences d'intérim. Au sud de la Hongrie, à Kistelek, une usine de la multinationale Prysmian, qui produit des câbles pour l'industrie automobile, a ainsi vu 20 nouveaux salariés intégrer ses rangs. Tous viennent d'Indonésie. Face à une demande croissante de main-d'œuvre, il fallait à tout prix recruter.
Une aubaine pour Hamdani, un Indonésien de 20 ans venu travailler après avoir obtenu un visa de deux ans renouvelable. "J'ai
des avantages comme une chambre où dormir, ils me paient le transport,
et mon salaire est bien meilleur qu'en Indonésie. Je touche à peu près
700 euros, c'est deux ou trois plus qu'en Indonésie." Une rémunération supérieure au smic hongrois, fixé à 490 euros brut." La suite sur francetvinfo.fr
Google rend hommage à la « Reine Soleil » de l’énergie solaire
Mária Telkes est née à Budapest, en Hongrie, le 12 décembre 1900, et elle a reçu une formation approfondie en sciences, y compris un doctorat de l’Université de Budapest en 1924. Plus tard cette année-là, Telkes a rendu visite à un parent aux États-Unis et a décidé pour y immigrer peu de temps après.
Dans les premières années de la carrière de Mária Telkes, elle a fait
des recherches en biophysique et en particulier sur l’énergie créée par
les êtres vivants. Avant longtemps, ses intérêts se sont déplacés vers
la recherche de moyens de convertir la chaleur en énergie et,
finalement, en 1939, elle a rejoint le nouveau groupe de recherche du
MIT axé sur l’énergie solaire." La suite sur techtribune.net
Hongrie : une aide psychologique pour les réfugiés ukrainiens
"Des dizaines de réfugiés ukrainiens vivent dans une ancienne maison d’hôtes à Szeged, en Hongrie. Depuis un an, ils doivent porter un lourd fardeau psychologique : faire face aux mauvaises nouvelles, être loin de leur famille et vivre dans un pays qui leur est étranger.
Des ateliers artistiques sont organisés par des psychologues dans la maison d'hôte gérée par la Croix Rouge. Ici, il n'y a pas de consultations individuelles, car certains réfugiés sont réticents à recevoir une aide psychologique.
Pour Krisztina Sasvári, directrice de
l'organisation de la Croix-Rouge hongroise du comté de Csongrád, les
réfugiés accueillis font face à de nombreuses difficultés." La suite et vidéo sur euronews.com
jeudi 20 avril 2023
Otan: les États-Unis appellent Turquie et Hongrie à faire entrer la Suède d'ici juillet 2023
"En visite en Suède, le ministre américain de la Défense a appelé,
mercredi 19 avril, la Turquie et la Hongrie à ratifier la candidature de
la Suède à l'Otan «dès que possible» et avant le prochain sommet de
l'alliance début juillet, relate l'AFP." Source : rfi.fr
La Hongrie étend l'interdiction des produits agroalimentaires d'Ukraine
"La Hongrie, qui avait déjà annoncé l'interdiction des importations de céréales ukrainiennes accusées de déstabiliser le marché national, va également appliquer la mesure à des dizaines de produits agroalimentaires à compter de mercredi.
Selon un décret publié dans la nuit au Journal officiel, ne pourront plus être vendus sur le sol hongrois, outre les céréales et oléagineux, la farine, le miel, le vin, le pain, la viande et les légumes en provenance de Kyïv. Ces restrictions sont en vigueur jusqu'au 30 juin.
Le gouvernement du premier ministre nationaliste Viktor Orban a décidé samedi de bannir les céréales, dans la foulée de la Pologne, afin de protéger ses agriculteurs.
Cette décision a été jugée «inacceptable» par la Commission européenne.
La Slovaquie a également pris une mesure similaire, tandis que la Bulgarie devrait faire une annonce ce mercredi." La suite sur journaldemontreal.com
"J'ai honte", le Premier ministre luxembourgeois dénonce la loi hongroise anti-LGBT
"C’est devant le Parlement européen que le Premier ministre luxembourgeois a lancé mercredi une attaque contre son homologue hongrois. Xavier Bettel conteste la loi anti-LGBT introduite par le Premier ministre Viktor Orbán.
"J'ai honte que certains collègues veulent gagner des voix sur le dos de minorités, ça a déjà commencé comme ça dans notre histoire", souligne Xavier Bettel qui n'a jamais caché son homosexualité.
La loi hongroise, adoptée en juin 2021 et officiellement appelée loi sur la protection de l'enfance, contient une disposition qui interdit ou restreint fortement les représentations de l'homosexualité et du changement de genre dans les médias et le matériel éducatif destinés aux moins de 18 ans.
Cette
disposition a déclenché une vive réaction politique. La Commission
européenne, soutenue par 15 Etats membres, a lancé une action en justice
devant la Cour de justice de l'UE." La suite sur euronews.com
mercredi 19 avril 2023
Crédit Mutuel en discussion avec BNP Paribas pour acheter Cetelem en Hongrie
"Crédit Mutuel Alliance Fédérale, via sa filiale Cofidis, s'intéresse aux activités de crédit à la consommation de BNP Paribas en Hongrie. En Europe centrale, ce dernier a décidé de se séparer de certaines entités, voire de les fermer.
BNP Paribas s'apprête à tourner une page de plus de 25 ans en Hongrie. Le groupe bancaire est en discussion en vue de céder son activité hongroise de crédit à la consommation - Magyar Cetelem Bank - au Crédit Mutuel Alliance Fédérale (CMAF), selon plusieurs sources confirmant une information de Bloomberg. Les discussions en cours peuvent encore échouer, précise l'agence. Contactés, aucun des deux groupes bancaires n'a souhaité réagir.
Plus précisément, l'opération permettrait de renforcer Cofidis, filiale consacrée au « crédit conso » du Crédit Mutuel." La suite sur lesechos.fr (article payant)
Les « Antifas », nouveaux ennemis imaginaires en Hongrie
"Un 'like' sur Facebook et la couleur d’un blouson. Voilà ce qui a suffi à
la police hongroise pour détenir une activiste de gauche pendant deux
semaines. De façon que les médias pro-gouvernementaux d'extrême-droite
se déchaînent contre l'activiste, l’« ultra-gauche » et la « terreur
Antifa . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Gel des prix, TVA à 0%... La Hongrie et l'Espagne ont-elles réussi à endiguer l'inflation alimentaire ?
"Sur BFMTV, Bruno Le Maire a fustigé les oppositions qui préconisent des gels de prix ou des taux de TVA à 0% pour endiguer l'inflation alimentaire. Prenant les cas de deux pays qui ont tenté cette stratégie.
Alors que l'inflation alimentaire n'en finit pas de grimper en France, frôlant les 16% en mars, l'exécutif devrait-il s'inspirer d'initiatives mises en place par nos voisins européens pour éteindre la flambée ?
C'est ce qu'estiment les oppositions au Parlement qui du côté du RN réclament une TVA à 0% sur les produits de première nécessité ou encore un blocage des prix dans les rangs de la Nupes.
Et le ministre de l'Economie de prendre deux exemples en Europe: ceux de l'Espagne et de la Hongrie." La suite sur bfmtv.com
Le diplomate suisse Carl Lutz honoré à titre posthume à Washington
"L'ancien diplomate suisse Carl Lutz devrait recevoir la Médaille d'or du Congrès des Etats-Unis. Le vice-consul de Suisse à Budapest a sauvé des dizaines de milliers de Juifs de la déportation pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Carl Lutz a été recommandé pour cette distinction avec d'autres sauveteurs de l'Holocauste, a indiqué mardi la société Carl Lutz dans un communiqué. Ils seront récompensés pour leurs efforts inlassables de sauvetage au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Une nouvelle législation est actuellement soutenue par un effort bipartisan pour honorer à titre posthume les sauveteurs américains et binationaux de l'Holocauste. La confirmation par le vote du projet de loi par les deux chambres du Congrès peut prendre un à deux ans, mais son issue positive ne fait pas de doute, a précisé le président de l'association Carl Lutz, Xavier Cornuz, à Keystone-ATS.
Dizaine de milliers de personnes sauvées"
La suite sur rfj.ch
Les concerts pour les 120 ans de Harley-Davidson
"The Darkness rejoint Wolfmother, Glenn Hughes, Airbourne, Larkin Poe...
Du 22 au 25 juin au Puskas Aréna Park de Budapest
Cette année, Harley-Davidson fête son 120e anniversaire. Pour marquer le coup, comme chaque décennie, le constructeur de Milwaukee a prévu un grand nombre de célébrations, passant par exemple par les éditions spéciales de sa gamme 2023, mais aussi avec un grand rassemblement européen qui se tiendra à Budapest fin juin.
Des expositions, des bike shows, des essais, une grande parade, des balades... Le Festival Européen du 120e Anniversaire Harley-Davidson prévoit un large programme pour ses quatre jours de fête et l'événement reste avant tout orienté autour de la musique." La suite sur lerepairedesmotards.com
mardi 18 avril 2023
Jazzdor à Budapest donne raison à l’Europe
Isabel Sôrling © Balint Hrotko / BMC
Le festival Jazzdor, vitrine du jazz français en Europe et lieu d’échanges permanents, inaugurait sa première édition hongroise, longtemps attendue. Philippe Ochem et Tamás Bognár (manager du label BMC et programmateur du club) se connaissent depuis une vingtaine d’années et les occasions de parler de la circulation européenne des artistes n’ont pas manqué. Aussi, comme il l’explique dans cet entretien, Philippe Ochem ; directeur de la SMAC Jazzdor de Strasbourg, cherche à diffuser l’esprit du festival Jazzdor en Europe. L’expérience du Jazzdor Berlin qui dure avec succès a été étendue à Dresde en 2022 et Budapest en 2023.
Philippe Ochem et Tamás Bognár © Balint Hrotko / BMC
Le principe est le même : choisir un lieu et des partenaires ouverts aux échanges et proposer une programmation en grande partie française avec des projets mêlant les musicien.ne.s locaux. Et le Budapest Music Center, un bâtiment et une structure exemplaires en Europe, a été l’écrin parfait pour cette première édition.
Le Budapest Music Center est situé à un jet de saxophone du Danube, non loin de la grande halle Rákóczi tér, emblématique de la capitale hongroise. Lieu privé dédié à la musique contemporaine, classique et au jazz, il abrite un auditorium très modulable, des studios d’enregistrement, une bibliothèque musicale, des salles de concert ou de réception, une immense terrasse, des chambres pour les artistes et au sous-sol le fameux Opus Jazz Club, dont la programmation est assurée par Tamás Bognár et l’organisation et les relations internationales par la dynamique et très européenne Csenge Hamod. [1]Budapest commémore les victimes hongroises de la Shoah
À la veille de la Marche des Vivants qui se tient chaque année en Pologne pour commémorer la Shoah, une célébration a eu lieu ce dimanche en Hongrie, en présence de l'ambassadeur des États-Unis et de la coordinatrice de la Commission européenne pour la lutte contre l'antisémitisme.
Une marche de deux kilomètres reliant deux mémoriaux du centre de Budapest a eu lieu pour commémorer les victimes juives des déportations qui se sont principalement tenues entre 1944 et 1945.
Face à la foule, composée notamment de survivants de l'Holocause, l'ambassadeur américain, David Pressman, a appelé à un "réengagement" face aux personnes "ciblant les vulnérables" et utilisant "la haine pour diviser, marginaliser et déshumaniser".
Source et vidéo sur euronews.com
Hongrie : une nouvelle loi prévoit d'autoriser la dénonciation anonyme des familles homoparentales
"Un projet de loi adopté par les élus hongrois pourrait bientôt permettre aux citoyens de dénoncer anonymement les familles homoparentales, interdites dans le pays dirigé par Viktor Orban.
Une nouvelle mesure anti-LGBT en Hongrie ? Les législateurs hongrois ont adopté la semaine dernière un projet de loi qui permet aux citoyens de signaler anonymement aux autorités les couples de même sexe qui élèvent des enfants, rapporte Bloomberg.
Le texte consacre le «rôle
constitutionnellement reconnu du mariage et de la famille» et s'en prend
à ceux qui contestent les droits des enfants «à une identité appropriée
à leur sexe à la naissance»." La suite sur cnews.fr
Concert de Viviánn 5 mai 2023 à 20h00 - Institut Liszt Paris
Institut Liszt 92 Rue Bonaparte, 75006 Paris
Viviane
Szabó, dite Viviánn, est une chanteuse franco-hongroise. Son répertoire
réunit ses deux mondes en mêlant poésie française et héritage culturel
hongrois. Autodidacte et éprise de liberté, son processus de composition
est instinctif. Son imagination marie avec sensibilité thèmes originaux
et airs folkloriques. De l'instrumentation acoustique aux sons
contemporains, des mélodies traditionnelles aux harmonies teintées de
jazz, elle n'hésite pas à croiser les genres au gré de son inspiration.
L'univers de Viviánn surprend par son esthétique singulière, celle d'une
artiste multiple de ses origines et de ses pérégrinations musicales.
www.viviann.fr
Photo : Luis Alberto
Il
y a dans la voix si singulière de Viviane Szabo fluidité et
déchirement, force et fragilité et, par-dessus tout, un accent unique
inclassable, celui d'une chanteuse multiple de ses origines et de ses
voyages. L'accent d'une âme douce et rocailleuse, où s'embrassent
moments de joie et de spleens suaves.
Alexis Dombrovszky
- Viviánn (FR/HU): chant, clavier, percussions
- Andrea György (HU): violon, chœur
- Cécile Cappozzo (FR): piano
- Barna Gabos (HU): flûtes, chœur
- Roman el Afilao (FR): guitare
- Arpàd Vajdovich (HU): basse électrique
- Paul Brousseau (FR): batterie
Entrée libre
Pour la réservation en ligne : cliquez ICI
contact@instituthongrois.fr | 01 43 26 06 44
Budapest : nos meilleurs hôtels à moins de 200 euros la nuit
"LA SÉLECTION DU FIGARO - Budapest est depuis longtemps une destination prisée pour un city-break culturel, musical ou de baignades dans les thermes. Voici une sélection de 5 hôtels accessibles, choisis pour leur histoire, leur calme ou leur service et hors des sentiers battus.