"Tourné juste après la chute de la dictature en 1989, ce polar impressionniste en noir et blanc est enfin visible en salles.
À l’exception des films de Béla Tarr, le cinéma hongrois des années 1990, pourtant prolifique, est rarement parvenu jusqu’en France. Une injustice que la sortie de Crépuscule, trente-quatre ans après sa réalisation, atténue cette semaine. Dans ce polar impressionniste en noir et blanc, un tueur en série assassine des enfants au nom de la religion, en laissant leurs corps au pied d’une croix.
Dépéchés de Budapest, deux policiers vont devoir résoudre l’enquête en
plongeant dans les abîmes de la folie. Au cours de leurs
interrogatoires, ils vont se retrouver face à des habitants fragilisés
par la famine, les problèmes sociaux et la démence. Mais plutôt que de
se focaliser entièrement..." La suite sur telerama.fr (article payant)
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