samedi 31 octobre 2009
"Ruptures" de Lajos Nyéki
De l'élégie à l'épopée, Lajos Nyéki conduit le lecteur des rives de son Ipoly natale en Hongrie aux berges de la Seine. Long chemin où s'entremêlent ses sentiments, ses émotions, les scènes de la vie quotidienne et sa vision intérieure du monde.
«Témoin de son temps» (comme d'autres avant lui), il fixe dans les résonances d'un expressionnisme nostalgique et parfois douloureux l'aventure de sa propre vie.
Préface : Catherine et Pierre Nyéki Maria Nyéki Körösi
Traducteur : Yves Gaignard Gaignard Clara Tessier
Genre : Poésie
Editeur : A. Zurfluh, Bourg-la-Reine, France
Collection : Cahiers bleus
Prix : 15.00 €
Sorti le : 13/08/2009
vendredi 30 octobre 2009
Freylekh Trio & Amsterdam Klezmer Band, jeudi 26 novembre 2009 à La Bellevilloise
LA BELLEVILLOISE 19,21 rue Boyer, 75020 Paris
T. 0146360707
infos@labellevilloise.com
Réunissant le violoniste Jacques Gandard (membre du quatuor Bedrich), le guitariste Toma Feterman (membre de La Caravane Passe) et le contrebassiste David Feterman (membre du Toubab All Stars) Le Freylekh Trio voyage en musique au travers d’improvisations enragées.
Des compositions qui métissent le traditionnel esprit Yiddish avec le style gitan, en passant par l’Europe et l’Orient. On croise parfois quelques airs connus relookés où s’entremêlent énergiquement la joie (= freylekh en yiddish) et la nostalgie
Goulash System’ est la réunion de musiciens français, klezmer, tsiganes, américains, hongrois, camerounais, serbe, roumain. Tous ont été rencontrés à Paris. Parfois de passage, parfois pour un an, une vie… le tout enrobé de la voix magique de la jeune franco-roumaine Erika Serre (Emigrantes)
Jacques Gandard : violon, Toma Feterman : guitare, David Feterman : contrebasse, Erika Serre : chant, Florin Gugulica : clarinette
http://www.myspace.com/lefreylekhtrio
VIIIè festival Jazz'n'Klezmer du 14 novembre au 3 décembre 2009 à Paris
Source http://jazznklezmer.over-blog.fr/article-36238639.html
"Le Miracle de San Gennaro", de Sandor Maraï : Sandor Maraï devant saint Janvier
LE MIRACLE DE SAN GENNARO (SAN GENNARO VÉRE) de Sandor Maraï. Traduit du hongrois par Georges Kassai et Zéno Bianu. Albin Michel, 400 p., 20,90 €.
Voir aussi le Blog des Mardis hongrois de Paris
Traité de Lisbonne: Hongrois et Slovaques réservés sur la demande tchèque
Avec la Slovaquie, "nous considérons qu'une dérogation sous sa forme actuelle est quelque chose de très dangereux, et c'est pourquoi nous allons avancer des arguments contre cette dérogation", a-t-il souligné." La suite sur romandie.com du 29 octobre 2009
mercredi 28 octobre 2009
Hongrie : une ville veut démettre les dirigeants désignés par Suez
Budapest refuse l’exception pour la République tchèque et la République slovaque dans le Traité de Lisbonne
lundi 26 octobre 2009
Classique - Livia Rév donne un récital à l’Institut hongrois de Paris le 26 octobre 2009
Marginale, diront ceux, nombreux, qui ignorent, jusqu’à son nom. Pudique, rétorquent ses aficionados qui jurent leurs grands dieux qu’elle demeure « l’un des secrets les mieux gardés de l’histoire de la musique ». " La suite de l'article sur Francesoir.fr
Œuvres de Haydn, Mozart, Chopin, Institut hongrois de Paris, aujourd’hui, lundi 26 octobre 2009 à 20 heures.
dimanche 25 octobre 2009
Katalin Varga - Film de Peter Strickland au Reflet Médicis
"Varga Katalin" : Magyar film, oktober 26-an hétfön Parizsban
a Reflet Médicis-ben (3 rue Champollion 75005 Paris) M°Saint-Michel, Cluny, Luxembourg:
http://reflet.cine.allocine.fr/films-et-horaires/alaffiche.html
Voir aussi le Blog des Mardis hongrois
samedi 24 octobre 2009
Le Prix Manes-Sperber à l'écrivain hongrois Peter Esterhazy
Le prix lui sera remis mardi 27 octobre à Vienne par la ministre autrichienne ude la Culture, Claudia Schmied.
Peter Esterhazy, né à Budapest, âgé de 59 ans, est issu d'une vieille famille aristocratique dépossédée de ses biens en 1948 après la prise du pouvoir par le Parti communiste." La suite de l'article sur tv5.org
Sajókaza polgára
jeudi 22 octobre 2009
Le camion hongrois bloque la route
C'est une drôle de mésaventure que vit depuis mardi matin un chauffeur hongrois dans un petit coin du Ségala, sur la commune de La Salvetat Peyrales près du village de Tayrac en Aveyron.
Il est aux alentours de 6 heures du matin lorsque, la journée de travail de Ferenc a pris une tournure des plus inattendue.
Au volant de son semi-remorque au sortir de Tayrac, le chauffeur hongrois cherche la direction de Mirandol Bourgnougnac dans le Tarn où il doit effectuer sa première livraison. Naturellement il branche son GPS. Lequel lui indique de suivre la D 85 pour rejoindre la D 905.La suite des aventures de Ferenc sur ladepeche.fr
mercredi 21 octobre 2009
Éva Füzesséry au Forum 104 le 22 octobre 2009
FORUM-104 - 104 rue Vaugirard - 75006 Paris
le 22 octobre à 20h
"Un livre, un auteur"
EVA FUZESSERY
Le Tango de l'Archange
de Budapest au 5 rue de Lille Ed. ERES
*
" Si je suis Dieu le Père, j'arrête de croire en moi "
(In “Paroles d'enfant à un psychanalyste” d'Eric Didier)
Ce cri d’enfant singulier, dans un monde de violence et de perte de sens,
avive la question brûlante : comment ne pas se laisser effacer ?
Comment réaliser “sa présence”, malgré tout ?
Que peut apporter la psychanalyse dans cet univers désenchanté ?
L'auteur s’appuie sur l’épopée de sa propre traversée sous un régime totalitaire
jusqu’au 5, rue de Lille, traçant une voie de liberté.
Avec la participation de José Valverde, homme de théâtre, et Jean-Yves Montagu, journaliste, écrivain
lecture d'extraits du Tango de l'Archange
Concert en mémoire de la révolution hongroise de 1956 Márta Sebestyén et son orchestre
23 octobre 2009 à 19h30
Institut hongrois de Paris
Márta Sebestyén a obtenu toutes les distinctions importantes dans son pays pendant ses trente ans de carrière (Prix Kossuth, Prix Ferenc Liszt, Prix Prima Primissima, Croix de l’Ordre de Mérite de la République Hongroise). Véritable ambassadrice de la chanson traditionnelle hongroise, elle a chanté devant l’empereur de Japon, le roi d’Espagne et la reine d’Angleterre. Voix inoubliable de la bande originale du film Le patient anglais, elle a collaboré entre autres avec Peter Gabriel et le groupe Deep Forest.
MÁRTA SEBESTYÉN – chant, flûte, tambour basque
BALÁZS SZOKOLAY DONGÓ – cornemuse, flûtes, saxophone
MÁTYÁS BOLYA– kobza, cithares
dimanche 18 octobre 2009
Concert exceptionnel en hommage de Roch Serra (1921-2009) à l'Institut hongrois de Paris le 3 novembre 2009
Ce concert est donné par deux de ses meilleurs amis hongrois, Klara Csordas-Witt (mezzo-soprano) et Karoly Mocsari (piano) à l'Institut Hongrois de Paris, 92 rue Bonaparte, 75006 le 3 novembre à 20 heures 30 précise.
Entrée libre.
Après le concert, nous vous invitons pour un verre amical. Vous dégusterez quelques bouteilles de vin de Liszt qui viennent de la région de Szekszard en Hongrie
Programme de concert:
Bach: Erbarme Dich
Bach: Chorale du Cantate No.147
Schubert: Ave Maria
Mozart-Liszt: Confutatis et Lacrymosa
Liszt: Le Crucifix
Brahms: Intermezzo en mi bemol mineur
Brahms: Quatre lieder- Der Tod, das ist die kühle Nacht- Immer leiser wird mein Schlummer- Nicht mehr zu dir zu gehen- Von ewiger Liebe
Liszt: Funerailles
Pas d'entracte.
vendredi 16 octobre 2009
Mon père s'appelle Zoltán - un film d'Agnès Szabó
École européenne, l'art de la liberté, la liberté de l'art 1945-1948
Exposition : du 24 octobre au 9 décembre 2009
Entrée libre
Présent conditionnel - Quatre galeries hongroises - acb - Inda - Vidéospace - Viltin
Entrée libre
jeudi 15 octobre 2009
Liliom (ou la vie et la mort d’un vaurien) Texte Ferenc Molnar au Théâtre de la Tempête du 13 novembre au 13 décembre 2009
Mise en scène Marie Ballet
Assistée de Nelson Rafaëll Madel
Avec Naidra Ayadi (Julie)
Olivier Bernaux (Secrétaire du ciel / Musicien)
Noémie Develay-Ressiguier (Détective 2 / Louise)
Boutaïna Elfekkak (Marie)
Matthieu Fayette (Balthazar)
Jean-Christophe Folly (Liliom)
Nelson Rafaëll Madel (Détective 1)
Emmanuelle Ramu (Madame Muscat / Tante Hollunder)
Geoffroy Rondeau (Dandy)
Scénographie et costumes Marie La Rocca, assistée de Peggy Sturm
Création lumières Emmanuel Jarousse
Lors d’une fête foraine, Julie tombe amoureuse de Liliom, le bonimenteur. Ils se mettent en ménage, mais Liliom, maintenant au chômage, se montre de plus en plus violent et se laisse entraîner dans un braquage qui tourne mal : il se suicide plutôt que d’être arrêté et se retrouve au ciel. Après seize ans dans l’au-delà, il est autorisé à revenir sur terre pour accomplir une bonne action… Légende du théâtre populaire hongrois, la pièce, qui date de 1909, a été portée à l’écran par Fritz Lang. L’écriture à la fois violente, aride et poétique traduit aussi un drame du langage : les personnages comme en exil d’eux-mêmes, incapables de se dire, tentent de trouver dans le rêve et dans l’imaginaire une issue à leur détresse. Le réalisme du début de la pièce, son contexte social à forte résonance contemporaine, laisse place à une féerie qui n'est pas seulement naïve et joyeuse : c'est aussi une "une histoire de banlieue" brutale et désespérée.
Théâtre de la Tempête
http://www.la-tempete.fr/
Route du Champ de Manoeuvre 75012 Paris
Théâtre : "Le grand cahier" Agota Kristof du 10 au 21 novembre 2009 au Théâtre Jean Arp à Clamart
Éditions Le seuil
adaptation & mise en scene : paula giusti
compagnie toda via teatro
avec
dominique cattani
sonia enquin
louis fortier
nathalie franenberg
florent le chapellier
laure pagès
isabelle turschwell
luciana velocci silva
florian westerhof création son
julien gauthier
octavio lopez
création lumière
leslie desvignes
musiques empruntées à
jean-jacques lemetre
pascale comelade
du mardi 10 au samedi 21 novembre 2009 20h30
jeudi 19h30 - dimanche 16 h
relache lundi 16 novembre
Théâtre Jean Arp : 22 rue Paul Vaillant Couturier 92140 Clamart
réservation : 01 41 90 17 02
informations : www.theatrearp.com
tarifs : 21€ / 15€ / 10€
formule : « billets jumeaux agota kristof » Vous permet d’assister à deux spectacles du même auteur :
Le Grand Cahier et C’est Egal à un tarif spécial : 26€ / 20 € /15€
Comment venir :
NAVETTES DEPUIS PARIS
Mise à disposition de navettes aller /retour les mercredi et vendredi soir : À l’aller (départ à 19 h devant le Théâtre de La Ville, Place du Châtelet) et au retour (départ après lespectacle pour la place du Châtelet)
POUR VENIR EN VOITURE
Périphérique, sortie Porte de Châtillon, D906, suivre fléchage Clamart, centre ville puis Théâtre Jean Arp
EN TRANSPORT EN COMMUN
Gare de Clamart en train depuis Montparnasse puis Bus189, arrêt Centre Culturel Jean Arp. Arrêt Marché deClamart pour le retour.
Métro Mairie D’Issy puis Bus 190, arrêt Trosy.
Métro Corentin Celton puis Bus 189, arrêt Centre Culturel Jean Arp.
LE GRAND CAHIER
AGOTA KRISTOF
LES STRATÉGIES DE LA SUBSISTANCE.
Dans un pays de l’est, pendant la dernière guerre mondiale, deux frères jumeaux sont laissés chez leur grand-mère, une femme sèche et dure, afin de subsister jusqu’à la fin du conflit. Pour survivre à cet univers déshumanisé et violent, ils inventent leurs propres règles pour résister, chercher leur nourriture, se procurer de l’argent. Pour surmonter la cruauté de leur existence, Ils vont consigner dans un cahier, chaque événement de cette nouvelle vie, s’appliquant à bannir toute expression de sentiments pour ne s’en tenir qu’aux seuls faits.
Une épreuve supplémentaire à leurs exercices d’endurcissements que les jumeaux s’imposent.
Agota Kristof nous raconte au travers des yeux de l’enfance, la guerre et les destins brisés par l’étau totalitaire. Dans un espace épuré où les comédiens multiplient les personnages dans une émouvante chorégraphie des corps, Paula Giusti fait naître un spectacle envoûtant ponctué d’instants d’une rare poésie.
La Trilogie d’Agota Kristof nous raconte une période terrible de l’Histoire et nous présente, en même temps, une métaphore de la solitude de l’Homme et de toutes les armes subtiles, parfois dangereuses, qu’il développe pour subsister envers et contre tout.
Que faisons-nous face à la douleur ?... c’est peut-être la grande question que ce texte de Kristof dans son style épuré et simple nous renvoie avec une efficacité féroce.
Grande question, car les stratégies que nous choisissons et développons pour y faire face, font de nous des âmes plus au moins cuirassées, des êtres plus au moins aptes à l’amour.
Mais… Pourquoi nous obstinons-nous à aimer si cela nous rend faibles ?
Pourquoi voulons-nous comprendre si cela est parfois impossible ?
Pourquoi voulons-nous savoir si cela est souvent douloureux ?
Les jumeaux de cette trilogie sont les personnages fascinants qui cristallisent tous ces paradoxes. Entité double par définition, ces jumeaux nous font réfléchir à l’idée de frontière, de séparation, à l’idée de rupture, à l’extérieur de nous, avec les autres, et à l’intérieur de nous, dans nos humaines contradictions.
« Le Grand Cahier », « La Preuve » et « Le Troisième Mensonge » entrent dans cette catégorie de livres presque doués d’une âme, qui nous poursuivent, qui nous hantent, que nous avons peur de donner en cadeau par crainte d’offrir des insomnies....
Inutile de chercher à comprendre pourquoi : peut être parlent-ils mieux de nous-mêmes que nous ne sommes capables de le faire !
Peut être ont-ils quelque chose qui leur échappe, peut-être sont-ils tellement personnels et sincères qu’ils en sont devenus universels.
La trilogie des jumeaux est une de ces histoires qui nous habite et ne nous quitte pas.
Comment faire pour qu’elle arrête de nous poursuivre ?
Faire une pièce permettait d’abandonner cette histoire dans les labyrinthes de la fiction.
Paula Giusti
AGOTA KRISTOF, une écrivaine francophone des plus singulières.
Née en Hongrie en 1935, elle fuit sa patrie lors de la répression soviétique en 1956 pour se réfugier en Suisse, où elle réside toujours à Neuchâtel. Ayant déjà commencé à écrire des poèmes en hongrois avant de s’expatrier, elle passe d’abord par une longue période d’adaptation à son nouveau pays où elle apprend le français à l’université, avant de commencer timidement à écrire dans cette langue. Elle se fait connaître en 1987 par la publication d’une oeuvre qui obtient un succès immédiat et sera traduite en 33 langues, « Le Grand Cahier » (1986), « La Preuve » (1988) et « Le Troisième Mensonge » (1991). Un quatrième roman, « Hier », s’y ajoute en 1995 et son autobiographie, « L’analphabète » (2004). Des livres, rares, peu bavards et d’un inquiétant humour noir, qui mettent en scène des personnages insolites, souvent des déracinés s’interrogeant sur leur identité, leur enfance.
PAULA GIUSTI, metteur en scène, est originaire de Tucumán en Argentine, où elle a étudié le théâtre à la faculté des Arts et la danse contemporaine auprès de Beatriz Labatte.
En France elle fait son DEA à Paris VIII, dans le domaine de l’analyse de textes dramatiques, et suit une formation pratique à l’école « L’oeil du Silence », dirigée par Anne Sicco. Elle suit des stages avec Ariane Mnouchkine, Julia Varley Larsen, Mamadou Dioume. En Argentine, elle reçoit le prix Iris Marga pour son interprétation dans « Chronique de l’errante et invincible fourmi argentine ». Elle est gratifiée d’une bourse de la Fondation Calouste Gulbenkian pour étudier le théâtre de Fernando Pessoa.
Elle a écrit et mis en scène « Autour de la stratégie la plus ingénieuse pour s’épargner la pénible tâche de vivre ». Une introduction à la vie et l’oeuvre de Fernando Pessoa qui sera présentée en 2004/2005 en Argentine, en Italie, à Paris (Festival Premiers Pas au Théâtre du Soleil), en Espagne (Festival de Otoño de Madrid). Auparavant, elle a mis en scène « Les méfaits du tabac » d'Anton Tchekhov présentée en Argentine.
Comédienne, elle a joué en Argentine, dans « Chronique de l’errante et invincible fourmi argentine » et « La guerre des ordures » écrit et mis en scène par Carlos Maria Alsina ; dans «Camalma » et « Le Marin » de Fernando Pessoa mis en scène Emiliano Alonso ; «Autobiographie non autorisée », une création collective présentée au 1er Festival de l'humour au théâtre de Buenos Aires.
En France, elle a joué « Un dialogue entre les arts », une création collective présentée à La Cité Universitaire de Paris.
Elle sera dans la prochaine création d’Ariane Mnouchkine, au Théâtre du Soleil, prévue en novembre prochain.
Elle dirige la compagnie « TODA VIA TEATRO » qui naît spontanément en Argentine, en 2004, au cours du travail de création de la pièce « Autour de la stratégie la plus ingénieuse pour s’épargner la pénible tâche de vivre » écrite et mise en scène par Paula Giusti.
Pierre Kende : "La Hongrie est plutôt mécontente de ces vingt dernières années"
mercredi 14 octobre 2009
« Intégration, assimilation et identité en Hongrie au XIXe et XXe siècles » à l'Institut hongrois de Paris le 10 novembre 2009
Nous tenterons de répondre à ces questions, lors d'un débat organisé par
l'Association des Mardis hongrois à l'Institut Hongrois de Paris
La vie d’Adolf Engel (1820-1903) est une vraie sucess-story du XIXe siècle. Le très jeune orphelin a connu un sort difficile. Après des débuts comme enfant marchand des rues, menant une vie de combats, il est devenu un célèbre grand entrepreneur qui a obtenu la reconnaissance pour lui et son entreprise en Hongrie et sur le plan international. Il a créé une scierie et une parqueterie à Pécs. C’est lui qui pourvoyait en bois les mines de charbon fournissant les bateaux à vapeur navigant sur le Danube et, à la fin de sa vie, il est le fondateur des mines de charbon de Komló. François Joseph Ier l’a anobli au titre de ses activités de capitaine d’industrie (avant la fondation des mines de Komlò en 1886).
L’autobiographie en langue hongroise d’Adolf Jánosi Engel vient d’être publiée aux éditions Pro-Pannonia.
Cette biographie constituera le point de départ et le prétexte d’un débat sur l’intégration ou l’assimilation des Hongrois juifs et d'autres minorités, comme les Allemands, les Roms, les Slovaques, etc. à travers le XIXe et le XXe siècles en Hongrie.
La lecture de ce texte suscite une série d'interrogations : Comment la conception de la nation hongroise s'est-elle transformée au XIXème siècle ? Quel a été l'impact de cette transformation sur les populations non-magyares pendant la période du Compromis (1867-1918) ? Après 1918 comment ce projet a pu déboucher sur l'exclusion de certaines composantes de la nation ? Qu'en est-il du projet national aujourd'hui vis-à-vis des minorités ?
Clara Royer, chercheuse au sein du CIRCE (Paris IV) spécialisée sur la culture juive hongroise, Étienne Boisserie, historien spécialiste de la Slovaquie (INALCO), Gábor Fleck, sociologue spécialiste du monde tsigane (contribution écrite), Gábor Szirtes, directeur des éditions Pro- Pannonia de Pécs, éditeur de l’autobiographie Eletemből de Jánosi Engel Adolf (aïeul d’Anna Stein), Rozsa Jakab, directrice du Musée de Komló qui a fait traduire le texte allemand en hongrois et a eu l'idée de son édition, Anna Stein, peintre et sculpteur. Jean-Pierre Frommer, président de l’association des Mardis hongrois de Paris animera la soirée.
http://www.propannonia.hu/
Entrée libre ... Mais libre aussi à chacun, s'il est animé d'une envie de partage et de convivialité, d'apporter une petite bouteille ou quelques amuse-gueules ou pâtisseries de son choix, histoire de montrer à nos invités Hongrois que nous savons les recevoir gauloisement."
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte, 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice ou Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr
http://www.instituthongrois.fr/
mardi 13 octobre 2009
Revolutionary Decadence Foreign Artists in Budapest since 1989 - 16 October - 22 November 2009
16 October - 22 November 2009
Curated by Maja and Reuben Fowkes
Artists: Catherine Bürki, Eike, Yusuke Fukui, Sanna Härkönen, Rodolf Hervé, Dominic Hislop, Diana Kingsley, Claudia Martins, Alexander Schikowski, Katerina Sević, Allan Siegel, Alexander Tinei, Ninni Wager and David WilkinsonRevolutionary Decadence is the last in a trilogy of exhibitions investigating the revolutionary moments of recent history and takes as its subject the contribution of foreign artists to the Hungarian art scene since 1989. While the first show focussed on 1956 as a year of revolutionary insurrection and dealt with artistic reflections on the possibilities of revolution, the second exhibition examined the legacy of the first global protest movement of 1968 for contemporary art. The last exhibition in the revolution trilogy focuses on the effect of the changes of 1989 on a single community in one locality, namely the enclave of foreign artists within the Budapest art world, and examines their participation in libratory forms of sociability, negotiation of the politics of belonging, and contribution to a post-national understanding of contemporary art in post-communist Europe.
Source : translocal.org
Voir aussi http://lucienherve.com/
Petit éloge des petites filles - le blog
Dans L’âge difficile d’Henry James il y a une phrase sur les jeunes filles. Elles sont comme des agneaux avec un ruban autour du cou qu’attendent, «dans leur avenir, les grands abattoirs de la vie ». ...
Source : http://elogedespetitesfilles.blogspot.com/
Éva Almássy vient de publier le blog du livre qu'elle présentera ce soir mardi 13 octobre 2009 lors de la soirée des Mardis hongrois de Paris à la Brasserie Flam's 62, rue des Lombards 75001 Paris métro Châtelet
Paroles d'agriculteurs
Malgré quelques déséquilibres, la Hongrie est dotée d’une agriculture performante ouverte aux investisseurs privés et étrangers. Même si un moratoire sur l’achat de terres court jusqu’en 2011." La suite de l'article sur le-mag.fr
"Paroles d'agriculteurs
À l’instar de ce qui s’est produit dans d’autres pays d’Europe de l’Est, la Hongrie s’est ouverte aux investissements étrangers dès la chute du régime communiste. Une destination que les Français ont quelque peu négligé. Il en est pourtant qui se sont lancés, et en tirent un bilan plutôt positif tant sur le plan économique que sur le plan humain. C’est le cas d’un céréalier français, qui a choisi de rester anonyme, ayant conservé son exploitation en France. Une leçon à tirer cependant : exploiter un ou plusieurs milliers d’hectares ne dispense pas de faire les bons choix stratégiques, c’est même tout l’inverse." La suite de l'article sur le-mag.fr
lundi 12 octobre 2009
Márta Sebestyén et son orchestre le 23 octobre à 19h30 à l'Institut hongrois de Paris
Márta Sebestyén et son orchestre
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte, 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice ou Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr
http://www.instituthongrois.fr/
Une nouvelle miss
dimanche 11 octobre 2009
Prochaine soirée des Mardis hongrois de Paris le 13 octobre 2009 à la brasserie Flam's avec Eva Almássy et Livia Jávor
samedi 10 octobre 2009
Zsuzsanna Várkonyi au Studio de l'Ermitage le mercredi 21 octobre 2009 à 21 h
Fred Norel- violon, Csaba Palotai- guitare, Sylvain Lemêtre- percussion, Jeff Hallam-basse, Zsuzsanna Várkonyi- chant, accordéon
au Studio de L'Ermitage
http://www.studioermitage.com/
en première partie: the great american pop de Jeff Hallam avec Claire Price - vocals and batterie
Voir Naples et mourir selon Sandór Márai
...
Le miracle de San Gennaro constitue un ouvrage semi-autobiographique de Sándor Márai. La fin est en effet imaginaire, ou prémonitoire. L’homme se jette d’une falaise. Le livre bascule du coup, comme l’avait fait auparavant la vie des gens de l’Est. En rupture, la seconde partie du récit se compose de longues confessions, où les personnages se mettent à nu. On reconnaît là un procédé souvent utilisé par Márai pour ses romans de la période hongroise. Les braises, par exemple.
C’est en effet bien une vie bouleversée par le siècle que celle de Márai, destiné à mettre lui-même fin à ses jours en 1989 aux Etats-Unis, après la mort de sa femme et de leur fils adoptif. Né en 1900 dans un territoire aujourd’hui tchèque, Márai participe à la révolution communiste hongroise de Béla Kuhn en 1919. Son échec l’amène à dix ans d’exils en Allemagne et à Paris. Il pense alors à faire sa carrière d’écrivain en allemand, comme Kafka...
Sauvé de l’oubli
Inutile de dire que l’on doit cette traduction tardive à Albin Michel, où l’on ne publie heureusement qu’Amélie Nothomb. C’est d’ailleurs à Ibolya Virag, éditrice dans cette maison parisienne, fascinée par cette œuvre maudite, que l’on doit la résurrection de l’auteur. Longtemps interdit en Hongrie, oublié ailleurs parce qu’il écrivait en hongrois, le Magyar est ainsi devenu depuis dix ans une star internationale. Son succès auprès des Français se révèle tout particulier. Les braises ne viennent-elles pas de faire l’objet d’une adaptation théâtrale?
«Le miracle de San Gennaro», de Sándor Márai aux Editions Albin Michel, 381 pages."
Extraits d'un article paru dans La Tribune de Genève
Voir aussi le Blog des Mardis hongrois
vendredi 9 octobre 2009
Le Canada populaire auprès des Hongrois
C'est bien plus que les 24 enregistrées en 2007, alors que le pays exigeait un visa des voyageurs hongrois. La situation préoccupe Ottawa mais aussi Budapest, qui ne veut pas se voir imposer à nouveau l'obligation de visa, levée en mars 2008." La suite de l'article sur radio-canada.ca
jeudi 8 octobre 2009
Des Hongrois un peu culculs
Des pirates issus des pays de l'Est se font passer pour les allocations familiales ou le fisc et cherchent à récupérer les coordonnées bancaires des internautes.
«Nous avons étudié vos droits. Il apparaît après culcul [sic] que pour Caisse d'Allocations Familiales pour la periode du 01.06.2009 au 30.09.2009, vous n'avez rien recu alors que vous avez droit a 325,54 euro. Cliquez ici.»...
...La syntaxe du soi-disant courriel de la Cnaf est hésitante. De fait, comme beaucoup de courriels suspects, celui-là vient d'un pays de l'Est. Il renvoie à un site hébergé en Hongrie (http://katic.hu/www.caf.fr)." Extraits d'un article paru dans lefigaro.fr
mercredi 7 octobre 2009
Félix Lajko à Bordeaux le 11 octobre 2009 à 17 heures
Les pays de Visegrad soutiennent l'élargissement de l'UE aux Balkans
Les chefs de la diplomatie des pays du V4, tous des ex-Etats communistes membres de l'UE depuis 2004, se sont dits "prêts à favoriser l'intégration des pays de la région occidentale des Balkans lors des prochaines présidences de l'UE, y compris le déroulement de leur demandes d'adhésion."La suite de l'article sur Romandie.com
Katalin Varga - Film de Peter Strickland
Une femme et son enfant arpentent les routes des Carpates en carriole. Elle fuit sa vie, traque son passé : elle a été violée, une dizaine d'années plus tôt, cherche vengeance. Ça se passe aujourd'hui - ou hier : le périple géographique, qui laisse loin derrière les villes et les automobiles et s'enfonce au plus profond des forêts magiques de Transylvanie, est aussi un voyage dans le temps, une fable d'avant la Loi, aux origines du monde et des pulsions humaines... L'auteur de Katalin Varga est un Anglais, Peter Strickland, parti en Roumanie sans comprendre la langue, qui cite Tarkovski ou Paradjanov, deux cinéastes ayant confronté ..." La suite de la critique sur telerama.fr
D'un serveur basé en Hongrie...
Vos coordonnées bancaires pour toucher une (fausse) prestation... Des centaines d'allocataires ont reçuce mail séduisant envoyé, dimanche, de Hongrie. En Vendée, hier, ils étaient déjà 200 à s'être manifestés.
« On ne demande jamais les coordonnées bancaires. Ni par téléphone, ni par mail », rappelle Claude Chevalier, le directeur de la Caf (Caisse d'allocations familiales) de Vendée...
Ces messages, intitulés « Notifications de droits et paiements », ont été envoyés, dimanche, à partir d'un serveur basé en Hongrie. Et ils ont touché l'ensemble des Caf." Extraits de l'article paru sur Ouest-France du 6 octobre 2009
mardi 6 octobre 2009
Suez va lancer une procédure contre une municipalité hongroise
La municipalité de Pecz, située dans le sud du pays, a fermé lundi les locaux de Pecz Vizmu Zrt, le réseau de distribution d'eau de la ville, après avoir mis fin le 30 septembre au contrat qui la liait à Suez." La suite de l'article sur nouvelobs.com
Voir aussi les articles en hongrois dans nepszava.hu et dans Népszabadság du 5 octobre 2009
A noter que Pécs devient Pecz dans l'article du Nouvel Observateur :-)
Filles, gnôle, bains, bagarres : les Britanniques à Budapest
Un dimanche matin ordinaire aux bains Széchényi de Budapest. Dans le bassin des eaux thermales, des hommes d'un certain âge jouent aux échecs, d'autres font leurs longueurs dans le grand bassin. Le temps est magnifique, l'ambiance idyllique. Surgit alors un groupe de jeunes Britanniques bruyants, l'un d'eux en maillot de femme. Ils foncent à travers les journaux et les lunettes laissés sur les serviettes et se jettent avec fracas dans le bassin. Le jeune Britannique déguisé est venu enterrer sa vie de garçon, il est fin saoul et il ignore qu'il piétine non seulement les affaires d'autrui mais aussi la renommée de son pays." La suite de l'article sur courrierinternational.com
lundi 5 octobre 2009
Attila, reine des belges ou l'Odyssée d'une mère
Grande Echelle productions tient à vous avertir qu'Attila , plus splendide encore... change de cible!
Pour une représentation exceptionnelle
"ATTILA, REINE DES BELGES" ou l'Odyssée d'une mère
Lundi 19 octobre à 20h30
au théâtre du Splendid
48, rue du Fg Saint Martin
75010 Paris
Co-écrite et mise en scène par Samuel Légitimus et Laurent Dubost
Une Epopée Burlesque et fantastique, avec 67 personnages... purement autobiographique.
Dans une maternité de Belgique, Jacqueline, enceinte de deux ans et demi, refuse d accoucher.
La médecine est impuissante, le mari désespéré... En dernier recours, un médecin fait appel au savoir new-âge d'une chamane Wallone qui va plonger dans la mémoire de la mère et nous faire vivre un voyage magique entre ciel et terre.
LA PRESSE EN PARLE :
"Magma d'existences....malicieux.. le plus incroyable des parcours" Libération
Réservations chaudement recommandées au : 06 89 95 23 00
vendredi 2 octobre 2009
Mon père s'appelle Zoltán - un film d'Agnès Szabó
- le mardi 6 octobre à 20h à l'Institut Hongrois suivi d'un échange avec la salle, en présence de Claude Weisz, cinéaste, David Lengyel, doctorant en cinéma, chargé de cours à l'Inalco, Laurence Berreur, responsable du 3ème cycle de la Femis, Agnès Szabó, réalisatrice du film, Juli Faloux, psychiatre, cinéphile des Mardis hongrois et de Jean-Pierre Frommer, président de l'association des Mardis hongrois
Institut Hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris T. : 01 43 26 06 44
- le vendredi 9 octobre à 17h à la Cinémathèque Française avec d'autres Travaux de Fin d'Études :
Au bout des doigts de Maxime Champesme, TFE son, 16’
Agnès
jeudi 1 octobre 2009
Rozsda peintre et photographe jusqu'au 11 octobre 2009 au Bateau Lavoir
6, rue Garreau - Paris 18ème Tél : 01 42 51 81 57
Visite sur rendez-vous : prolongation jusqu'au 11 octobre 2009
Le blog officiel de l'Atelier "Endre Rozsda"
peintre, dessinateur et photographe (Hongrie 1913 - France 1999).
Le site officiel d'Endre Rozsda