mardi 31 août 2010
Zsófi Varró - Exposition d'aquarelles et dessins à la Mission catholique hongroise du 12 septembre à fin novembre 2010
Szeretettel meghívok minden érdeklődőt önálló kiállításom megnyitójára, mely 2010 szeptember 12-én 15 órakor kezdődik, a Magyar Katolikus Misszió ebédlőjében. A képek megtekinthetőek lesznek előre láthatóan november végéig, a Misszió vasárnaponként van nyitva. Főként aquarellek és rajzok, meg egy-két tempera festmény.
Adresse : 42 rue Albert Thomas 75010 Paris, métro : République, Jacques Bonsergent
Üdvözlettel: Varró Zsófi
Un prêtre hongrois, fan de skateboard, veut reconduire les jeunes sur le chemin de l'Eglise.
Star du web
Alors pourquoi ce succès ? Tout simplement parce que Zoltan Lendvai est prêtre de son état. La vidéo le montre pratiquant le skate en soutane sur le parking d'une placette de village, ce qui provoque l'hilarité des ouailles présentes, en l'occurrence des jeunes décontractés assis à même le bitume." La suite sur europe1.fr
lundi 30 août 2010
Des robiniers pour mieux vendre la forêt
Avec 9 000 hectares de robiniers, la Gironde est le premier département français au niveau des superficies occupées par cette essence d'arbre. Le Médoc possède selon les sources, entre 20 et 30 % des peuplements de robiniers du département. Un vrai potentiel économique donc, mais dont l'exploitation est rendue plus difficile ces dernières années. Le bois du robinier est utilisé essentiellement dans la fabrication de piquets de clôture en sylviculture, en raison de ses qualités imputrescibles et de la facilité à le fendre.
En compagnie d'une délégation hongroise, le Groupement de productivité forestière du Médoc (GPF Médoc) a lancé hier, en partenariat avec le Smiddest (1) et le programme Leader (lire ci-dessous), une session de réflexion sur la gestion de cet arbre.
L'une des facettes de la mission d'étude franco hongroise s'appuie sur un point important : la diversification des essences et surtout, la valorisation des productions forestières dans le Médoc. Gérard Larrue, conseiller forestier de la Chambre d'agriculture et membre du GPF Médoc insiste : « Ce programme d'échange permet d'apporter aux producteurs français des informations techniques pour mettre en valeur leur forêt. Mais nous nous projetons dans le long terme, en effet, il ne suffit pas de cultiver, il faut aussi qu'il y ait des débouchés car sans finalité économique la forêt n'a pas d'avenir. »La suite sur sudouest.fr
La droite hongroise vire à l’extrême
Cela a un petit air de déjà-vu qui rappelle les moments les plus absurdes du régime communiste. Leader d’une droite nationaliste et populiste, le premier ministre Viktor Orbán a décrété l’affichage obligatoire de la «Déclaration sur l’entente nationale». Ce texte nébuleux décrit le triomphe de son parti conservateur (Fidesz) aux législatives d’avril comme «une révolution». Le peuple hongrois «a renversé l’ancien régime et créé un nouveau système de coopération nationale»dont les piliers sont «travail, famille, foyer, santé et ordre». Téléchargeable sur Internet, l’affiche doit mesurer «50 sur 70 centimètres et être bien en vue» dans tous les bâtiments publics, dit le décret." La suite sur liberation.fr
Soros critique la France pour les expulsions de Roms
Janos Ber au musée Matisse : les couleurs font bande ensemble
L’hiver est rude, la terre tremble. Janos Ber n’est pas prêt d’oublier l’hiver 1956-1957 à Budapest.
Secoué par l’onde de choc, il peint deux personnages qui marchent dans la neige. Un vieux paysan et une femme âgée qui se tournent le dos, tous deux emmitouflés de noir. Entre eux, un vide terrible, insupportable. Alors, le jeune peintre ajoute le toit d’une maison et le rythme d’une palissade… Un an plus tard, le voilà au Louvre devant les chefs-d'oeuvre des grands maîtres." La suite sur lavoixdunord.fr
Musée départemental Matisse, palais Fénelon, Le Cateau-Cambrésis, jusqu’au 26 septembre. De 10 h à 18 h, sauf le mardi. Entrée : 4,5 ou 3
L’entrée comprend l’exposition temporaire, les collections permanentes, l’audio-guide.
Les adieux de Demszky au Conseil de Budapest
La Hongrie tente de s'affranchir de la rigueur budgétaire et du FMI
Propriétaire d'une boutique de prêt-à-porter, Miklos Balla résume l'état d'esprit général : "Les affaires marchent mal partout. Les gens ont beaucoup payé. Maintenant c'est au tour des banques, et c'est bien." Il approuve à 100 % la mesure emblématique annoncée par le nouveau gouvernement conservateur de Viktor Orban : une taxe sur les actifs des établissements financiers qui doit contribuer à renflouer les caisses de l'Etat à hauteur de 700 millions d'euros par an jusqu'en 2013. Ce projet est l'un des points de friction ayant conduit à la spectaculaire rupture des négociations avec le Fonds monétaire international (FMI) mi-juillet." La suite sur lemonde.fr
La Hongrie doit continuer à réduire son déficit public
"Dans le cadre de la procédure lancée contre Budapest pour déficit excessif, la Hongrie doit maintenir son déficit public sous la limite des 3% du PIB pour 2011", a déclaré le commissaire dans une interview accordé à l'hebdomadaire hongrois "Vasarnapi Hirek"." La suite sur lesechos.fr
jeudi 12 août 2010
De l'Atlantique au Bosphore, l'Union s'élargit en catimini
Soumise à une pression migratoire qui ne se dément pas et à des opinions publiques hantées par le syndrome de l'invasion, l'Union européenne se serait sans doute bien passée des initiatives de trois de ses nouveaux membres. La Hongrie, la Roumanie et la Bulgarie, mandatées par Bruxelles pour sécuriser les frontières orientales de l'UE, ont quelque peu enfreint leur mission en décidant d'ouvrir les portes de la forteresse européenne. Quelque 5 millions de Moldaves, Macédoniens, Serbes, Ukrainiens et Turcs ont ou auront la possibilité d'acquérir un passeport européen en bonne et due forme. L'histoire et ses injustices leur permettent d'emprunter des chemins de traverse. Un cadeau inespéré dont les dirigeants hongrois, roumains et bulgares espèrent secrètement tirer les dividendes politiques. Quitte à faire grincer des dents dans les capitales de la vieille Europe." La suite sur lefigaro.fr
mercredi 11 août 2010
La Hongrie, terre de nageurs
La piscine Alfréd-Hajós, sur l’île Marguerite, à Budapest, est une institution. Son nom symbolise à lui seul l’importance de la natation dans ce pays de dix millions d’habitants. Car Alfréd Hajós n’est pas seulement l’architecte qui réalisa les plans du complexe sportif.
Il reste surtout connu par ses compatriotes comme le premier champion olympique de l’histoire de la natation. D’Athènes, en 1896, il ramena deux médailles d’or. Au roi de Grèce qui lui demandait où il puisait sa réussite, il aurait répondu : « Dans l’eau. »" La suite dans la-croix.com
mardi 10 août 2010
To Viktor go the spoils: how Hungary blazes a trail in Europe
The government of Hungary has taken on a lot of powerful interests in the last couple of months, and so far appears to be winning – despite provoking outrage from everybody who's anybody.
"The IMF should hold the line," shouted the Financial Times in an editorial the day after Hungary sent the IMF packing in July. "With so many countries in vulnerable positions, it cannot be seen to be a soft touch. Showing a few yellow and red cards is a good way to send a signal to other governments that might be tempted to flirt with indiscipline." La suite sur guardian.co.uk
***********
"Úttörő Magyarországról ír, Orbánt dícséri a Guardian
„Aki mer, az nyer: hogyan tölt be úttörő szerepet Magyarország Európában” címmel jelent meg kedden a brit Guardian napilapban Mark Weisbrotnak, a CEPR washingtoni kutatóintézet társigazgatójának terjedelmes írása. Az elemzés egyértelműen dicséri az Orbán-kormányt, amiért szembe mert szállni az IMF-fel.
"To Viktor go the spoils: how Hungary blazes a trail in Europe" címmel (a Viktor-victor szóviccet is használva) közöl elemzést a magyar kormány és az IMF konfliktusáról Mark Weisbrot a brit Guardian liberális napilapban. A CEPR társigazgatója szerint Orbán Viktor kormánya úttörőnek számít Európában, hiszen a Nemzetközi Valutaalappal kialakult konfliktus más országokat is arra sarkalhat, hogy szembemenjenek a megszorító intézkedéseket preferáló politikával." La suite sur hvg.hu
54 ans plus tard, l'heure des retrouvailles franco-hongroises
lundi 9 août 2010
Le FMI a contraint la Hongrie
L'Union devrait avoir la correction de nous laisser régler les déficits provoqués par les caisses de retraite privées - a déclaré Mihály Varga [porte-parole du gouvernement hongrois]- selon lequel il est surprenant que la chancelière Angela Merkel ait dit à Berlin que c'était l'affaire des Hongrois. Alors que, selon lui, c'est l'Union européenne et le Fonds monétaire international qui nous a contraint [de ne pas financer les déficits - N.D.T.]...
Mihály Varga a fait un rappel : c'est en 1997 que les caisses de retraites privées sont devenues obligatoires. En raison de cela le système de retraite d'Etat s'est trouvé en déficit - Ainsi, on transfère chaque année 300 à 400 voire 500 milliards de forints (près de 1,8 milliard d'euros) des impôts du budget général de l'Etat vers la caisse de sécurité sociale, pour pouvoir combler les déficits (Mihály Varga évoquait vraisemblablement les caisses de retraites N.D.L.R)
Traduction : JPF
***********
'Az IMF kényszerítette Magyarországot'
Az EU nem tilthatja meg, hogy a pénztárakról döntsön a kormány
Az unió legalább annyira legyen korrekt, hogy a magánnyugdíjpénztárak miatt keletkezett hiányt elszámolhassuk – nyilatkozta Varga Mihály, aki számára megdöbbentő volt Berlinben, hogy Angela Merkel kancellár azt mondta, ez a magyarok ügye. Holott szerinte „az EU és az IMF kényszerítette ránk”...
...Varga Mihály emlékeztetett rá: 1997-ben jöttek létre a kötelező magánnyugdíjpénztárak. Emiatt az állami nyugdíjellátó rendszernek hiánya keletkezett. – Így azóta évente 300-400 milliárd forintot, vagy akár 500 milliárdot is átteszünk a központi költségvetésből az egészségbiztosítási kasszába az adóforintokból, hogy a kieső részt pótolni tudjuk. (Varga vélhetően a nyugdíjkasszára gondolt – A szerk.)" Source Népszabadság
Pal Schmitt, nouveau Président « sur-mesure »
"En tant que président, je travaillerai pour que le pays adopte des lois qui servent la population", a déclaré le double champion olympique par équipe à l'épée en 1968 et 1972, au cours d'une cérémonie retransmise en direct par la télévision depuis le palais présidentiel à Budapest...
...Le préambule de la Constitution devrait, selon lui, inclure une référence à la chrétienté du pays et à la Sainte-couronne et il entend faire une proposition en ce sens. Son brillant passé de sportif l’incite aussi à vouloir enrichir la nouvelle Constitution en préparation de références au sport." Extraits d'un article paru sur hu-lala.org
Chevalier de la pastèque à Medgyesegyhaza
Jozsef Kraller a été déclaré vainqueur à l'issue des quatre épreuves, au cours desquelles les candidats transportent, mangent, emballent des pastèques et devinent leur poids." La suite sur canoe.ca
dimanche 8 août 2010
Hongrie: le gouvernement veut relancer l'économie sans le FMI
"Nous aimerions regagner notre souveraineté économique, prendre nos propres décisions, et nous aimerions que la population puisse comprendre que la croissance économique est due aux décisions de son gouvernement et non pas à toutes sortes de crédits contractés à l'étranger", a déclaré Mihaly Varga, le secrétaire d'Etat dirigeant le cabinet du Premier ministre Viktor Orban, dans une interview accordée vendredi soir à la chaîne privée Hir TV." La suite sur lesechos.fr
samedi 7 août 2010
La Hongrie serre à droite - Une émission sur France Culture le mardi 10 août 2010
Invités :
Miklos Kisari, ministre plénipotentiaire de l'Ambassade de Hongrie
Paul Gradvohl, historien
Catherine Horel, historienne
Contre-expertise, une émission sur France Culture mardi 10 août 2010 de 18 h 15 à 19 h
Source franceculture.com
Le New York Times condamne la politique migratoire de Sarkozy
"...Rappelant qu'aux Etats-Unis la citoyenneté américaine, qu'elle soit de naissance ou acquise, est protégée par le 14e amendement, le New York Times écrit que "Nicolas Sarkozy, qui aime être appelé Sarko l'Américain, attise dangereusement les passions anti-immigrés pour des calculs politiques à court terme".
"Et ce, dans un pays qui a longtemps défendu avec orgueil le principe d'égalité devant la loi de tous les citoyens français", poursuit le journal, rappelant que M. Sarkozy a épousé une Italienne naturalisée Française, Carla Bruni, et a pour père un immigrant Hongrois, Pal, qui a également acquis la citoyenneté française.
Le principe d'égalité devant la loi "s'applique" à l'épouse et au père du président français "et doit s'appliquer à n'importe qui d'autre", tranche le New York Times..." Extrait d'un article de lepoint.fr
vendredi 6 août 2010
Hongrie: Pal Schmitt a pris ses fonctions
"En tant que président, je travaillerai pour que le pays adopte des lois qui servent la population", a-t-il déclaré dans la cour intérieure du palais sous une tente pour protéger de la pluie les quelque 300 invités, membres du corps diplomatique, ministres, représentants des partis politiques, des arts et des communautés religieuses, présents à la cérémonie." La suite sur lefigaro.fr
Le Figaro oublie de préciser que le président de la république hongroise souhaite que la constitution fasse allusion aux racines chrétiennes de la Hongrie. Source hvg.hu
mercredi 4 août 2010
Papa est allé braquer la banque
Apa rabolni ment
Korábban törvénytisztelő családapákból könnyen lehet első bűntényes fegyveres rabló. Rendőri berkekben évek óta ismert jelenségről van szó, újdonság viszont, hogy a kétségbeesett elkövetők ma már a devizahitelekre is hivatkoznak.
L'article en hongrois dans Népszabadság
Limites de l'amour de Éva Almassy
Propos du livre
Ce recueil nous offre onze nouvelles toutes nourries d’une distance amusée qui nous entraîne toujours ailleurs que là où nous avons cru aller. Les personnages de ce livre refusent de concevoir que l’amour, même infini, puisse avoir des limites.Autour de ce thème, Eva Almassy nous conduit dans une grande diversité de lieux et de situations, toujours un peu décalées au regard d’une réalité convenue. Et quelque soit le contexte abordé, son écriture révèle avec précision les détails et les éléments qui fondent l’énergie du récit.
Je vous invite à découvrir sur le site des éditions L'Amourier deux de ces nouvelles en cliquant ici ainsi que la bibliographie de l'auteur en cliquant là.
Vous pourrez aussi l’entendre cet été à Forcalquier, invitée du festival “RENTRÉE nouvelles” les 20, 21 et 22 août 2010. (Voir le programme).
L'auteur
Eva Almassy n’a appris le français qu’à l’âge de vingt-deux ans, après sa venue en France depuis sa Hongrie natale (elle est née à Budapest). Bien des années plus tard, devenue écrivain de langue française, elle a publié trois romans, qui explorent les limites de la proximité des êtres, qu’il s’agisse d’amours impossibles ou de relation entre sœurs (et même de sœurs siamoises). Elle a beaucoup écrit pour la radio et a été plusieurs fois distinguée à ce titre (prix S.A.C.D. nouveau talent radio et meilleur texte aux Radiophonies 2007 pour La dernière nuit d’Erzsébet Bathory). Eva Almassy est aussi une des voix du dimanche à France Culture avec Des papous dans la tête.
Bibliographie
Romans, essais
V.O., éd. Gallimard, 1997
Tous les jours, éd. Gallimard, 1999
Comme deux cerises, éd. Stock, 2001
Petit éloge des petites filles, éd. Folio 2 euros, 2009
Ouvrages collectifs
Carnet de Sarajevo, éd. Gallimard, 2002
De la mémoire du réel à la mémoire de la langue, éd. Cécile Defaut, 2006
Pour une littérature monde, éd. Gallimard, 2007
Le Dictionnaire des Papous, éd. Gallimard, 2007
Jeunesse
Le Vieux Cheval et les poneys de la vallée, éd. L'École des loisirs, Mouche, 2004
Celle qui ne pouvait faire qu'une seule chose par jour, éd. L'École des loisirs, Neuf, 2005
Autobiographie d'un fantôme et autres fictions, éd. L'École des loisirs, Médium, 2007 et éd. de La Loupe, 2009
Les Cheveux de la poupée, éd. L'École des loisirs, Médium, 2009
Autres
Une dizaine de pièces de radio pour France Culture dont
La dernière nuit d'Erzsébet Bàthory, 2007
Les Roms doivent investir le champ politique
mardi 3 août 2010
L'inquiétant héraut de la Grande Hongrie
Cela se passe début juillet, au centre de Budapest, dans l'un de ces cafés dits « nationaux » dont l'existence ne semble plus choquer grand monde en Hongrie. Ici, à deux pas de l'artère principale de la ville, on ne diffuse pas en boucle le dernier clip à la mode à Paris ou à Londres, mais des images en noir et blanc de 1941 : la « libération » de la Transylvanie par les Croix fléchées, les troupes hongroises alliées à Hitler, celles-là mêmes qui ont procédé à des massacres et à des déportations massives à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ici, on ne discute pas du dernier match de foot en Afrique du Sud, mais de la meilleure façon de récupérer les « territoires perdus» au siècle dernier : la Transylvanie (restituée à la Roumanie en 1945) ou la Haute-Hongrie, c'est-à-dire la Slovaquie.
Ici, entre soi, on écoute des chansons ressassant le démantèlement du royaume de Hongrie à la fin du premier conflit mondial, une partition imposée en 1920 par le traité de Trianon qui, assure-t-on, fait toujours « saigner le peuple » quatre-vingt-dix ans après. Dans le café, on croise de drôles de parti culiers : Sándor Jeszenszky par exemple, qui préside l'« association des motards du sentiment national» (sic !). Le 4 juin, ce grand gaillard tatoué est allé à moto, avec trente compères, de Budapest à Versailles, pour commémorer le 90e anniversaire du «diktat» de Trianon. László Gyebnar aussi, un jeune chauffeur qui dirige la « compagnie des taxis nationaux». Dans ses véhicules, on peut voir la vidéo de 1941 et écouter à fond du rock « chrétien et national». Il a démarré son affaire à l'automne dernier avec une seule voiture. Neuf mois plus tard, il en a trente-sept rien qu'à Budapest. A la rentrée, ce businessman extrémiste aura le droit de faire de la publicité à la télévision publique." La suite sur nouvelobs.com
Au tour de Budapest d'avoir sa méga photo
De plus en plus, les grandes villes du monde et même certaines attractions touristiques mettent en ligne des photos panoramas de très haute définition, possédant plusieurs milliards de pixels, qui permettent de faire des rapprochements impressionnants." La suite sur canoe.com
On peut observer la nouvelle photo de la capitale de la Hongrie sur le site 70gigapixel.cloudapp.net.
L’élégance à la hongroise
Dans son jardin, François-Xavier Delerce s’amuse avec ses bêtes : Gali, un lévrier hongrois de 28 kg, 70 centimètres au garrot, et son frère Gyapot, carrure similaire. L’allure est digne, la posture élégante et le regard franc. À les voir bouger, on pourrait penser à deux tigres du Bengale. La férocité en moins.
« Ils ont eu un an il y a quelques jours » entame leur propriétaire. Et pour leur anniversaire, les deux animaux ont eu droit à un sacré cadeau, puisqu’au championnat de France des chiens de races, ils ont terminé premier et deuxième de leur catégorie. « C’était le 10 juillet dernier, à Paris. Gali a fini premier des Magyars Agar (nom scientifique des lévriers hongrois) et son frère, deuxième », détaille fièrement Françoix-Xavier." La suite sur bienpublic.com
Rosa Puente et Mária Hegedűs - Exposition Ráday Képesház à Budapest du 9 au 21 août 2010
Rosa Puente
Képzőművész, elsősorban szobrász, a Grenada közelében fekvő Güejar Sierra-ban született. Nyolcévesen a családjával Barcelonában telepedtek le. Miután férjhez ment, Párizs környékére
költözött. Eklektikus, a legkülönfélébb anyagokkal dolgozik: gipsz, agyag és még szokatlanabb anyagokkal is, mint pl. állati csontokkal. Rosa Puente fest is, elsősorban kínai tust használ különböző felületeken. Tanulmányait autodidaktaként kezdte, azután dolgozott Claude Abeille és Robert Nogués műtermeiben. Robert Couturier-vel való találkozása meghatározó volt abban, hogy folytassa a szobrászatot. A „Fűző” című kiállítás a nők létfeltételeiről való elmélkedés eredménye. A vallási szabályok, társadalmi konvenciók közé szorított, a szellemi tápláléktól megfosztott nők, asszonyok között megélt gyermekkor mélyen beléivódott Rosába, nagyon korán megtanulta, hogy lázadjon a nők sorsa ellen. Lázadjon a gondolatszabadságért, olyan életet követeljen a nők számára, ami nem merül ki az anyaságban. Rosa munkáiban arra törekszik, hogy a test által elszenvedett sérülések által megmutassa a lélek szenvedéseit, és arra késztet, hogy be- Fűző és Mátka legondoljunk abba a feneketlen mélységbe, amiben ezek az elnyomott nők élnek. A művész élete szemünk láttára azonosul apránként a műveivel: „átalakítom, művészivé teszem azt, amit átéltem, ami engem alakított – mondja –, még akkor is, ha nagyon fájdalmas, traumatikus”. Így érzéki apoteózisban szabadul meg szorító fűzőitől.
Hegedűs Mária
Hegedűs Mária 2008-ban ismerkedett meg Palaiseau-ban (Párizs) azzal a művészeti társasággal, amelynek Rosa Puente is tagja. Az a tény, hogy mindketten női alkotók önmagában nem indokol alkotómódszeri rezonanciákat. Amikor ezt a rezonanciát kölcsönösen fölfedezték munkáikban Mária Rosa kezdeményezésére elkészített egy fél női és fél férfi gipsz-mellkast, amelyet mátkának nevezett el. Hegedűs Mária ebből alkotta meg 2009-ben Mátka című vizuális költemény-sorozatát. A mátkaság férfi és nő olyan viszonya, amely végtelen közelítés és távolodás folyamata: a költemények ennek dokumentumszerű fölmutatásai. Rosa Puente Fűzőinek és Hegedűs Mária Mátkáinak közös tematikája a nő sorsa, – amely egyben a férfi sorsa, vagyis az ember sorsa.
Exposition Ráday Képesház (Budapest, Ráday utca 27.)