"Dans un livre hybride mêlant journal et roman, le Nobel de littérature 2002, déporté à 15 ans à Auschwitz, radicalise sa recherche de vérité et sa vision du monde d’après la catastrophe.
L’ULTIME AUBERGE
d’Imre Kertész
Traduit du hongrois par Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba,
Éditions Actes Sud, 320 p., 22,80 €
Le titre saisissant de cet
ouvrage âpre et tendu révèle la recherche qui le sous-tend : quelle est
cette auberge où l’écrivain pourrait enfin espérer se reposer ? La mort
elle-même ? La littérature ? Peut-être lisons-nous le dernier livre du
Hongrois Imre Kertész, âgé de 85 ans, très affaibli par la maladie de
Parkinson. Celle-ci surgit au fil du texte comme l’ennemi à terrasser,
dans un combat perdu d’avance et qui, autant que l’expérience de la
Shoah ou les épreuves passées, concourt à la radicalité toujours plus
grande de sa vision du monde." La suite sur la-croix.com
mercredi 28 janvier 2015
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