"L’exercice des pouvoirs spéciaux du gouvernement Orban est dans le
collimateur de la Commission européenne, qui a par ailleurs ouvert une
nouvelle procédure contre Varsovie.
La
Hongrie, en passe de devenir la première « dictature » dans l’Union
européenne ? C’est l’inquiétude exprimée par de nombreux observateurs,
experts, ONG, académiques, Etats membres de l’UE et même institutions,
depuis que le gouvernement de Viktor Orban a fait voter le 30 mars dans
le cadre de la crise du coronavirus une loi d’état d’urgence. Celle-ci
confère les pleins pouvoirs au Premier ministre – à durée indéterminée –
et menace la presse. La présidente de la Commission européenne Ursula
von der Leyen, gardienne des Traités et donc du respect de l’Etat de
droit, avait mis trois jours pour se déclarer « particulièrement
préoccupée par la situation en Hongrie ». Didier Reynders, le
commissaire en charge de la Justice, avait alors annoncé le
« monitoring » des mesures d’urgence dans les Etats membres de l’UE,
évoquant une « préoccupation forte », s’agissant de Budapest." La suite sur lesoir.be (article payant)
jeudi 30 avril 2020
Orbán et Tusk s’écharpent sans relâche par presse interposée
"Le conflit entre le dirigeant hongrois Viktor Orbán et le président du
Parti Populaire européen Donald Tusk s'est encore envenimé ces dernières
semaines. Tusk veut à nouveau tenter d'exclure le Fidesz des rangs du
PPE. Retour sur leurs passes d'armes sur fond de crise du coronavirus.
Depuis que le parlement hongrois a doté le premier ministre Viktor Orbán de pouvoirs exceptionnels et illimités dans la durée, à la fin du mois de mars, Donald Tusk a dénoncé à plusieurs reprises cette atteinte à la démocratie et réclamé l’exclusion du Fidesz du PPE . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Depuis que le parlement hongrois a doté le premier ministre Viktor Orbán de pouvoirs exceptionnels et illimités dans la durée, à la fin du mois de mars, Donald Tusk a dénoncé à plusieurs reprises cette atteinte à la démocratie et réclamé l’exclusion du Fidesz du PPE . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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mercredi 29 avril 2020
En Hongrie, une décennie d'Orbán et d'autoritarisme
"En dix années de pouvoir, repoussant sans cesse les limites de l'État de droit, le dirigeant a transformé son berceau en forteresse nationale-conservatrice admirée par l'ensemble des populistes.
2010: la «révolution des bureaux de vote»
Depuis huit ans, Viktor Orbán n'avait qu'une seule idée en tête: reprendre le pouvoir perdu d'un cheveu face aux socialistes en 2002 après quatre années à la tête de la Hongrie. Le 25 avril, au second tour des élections législatives, le chef du Fidesz remporte une victoire historique qu'il qualifie lui-même de «révolution dans les bureaux de vote» en glanant 263 sièges sur 386 au Parlement.
Accusé·es d'avoir vendu le pays aux multinationales et aux capitaux étrangers, ses adversaires de centre gauche paient la libéralisation à marche forcée de la Hongrie et les conséquences économiques de la crise financière. Fin 2008, seul un prêt de 20 milliards d'euros accordé par le Fonds monétaire international (FMI) et l'Union européenne (UE) avait sauvé le pays de la faillite. Pour Orbán, la relance du pays passe par la «préférence nationale» et une réforme drastique de l'État." La suite sur slate.fr
2010: la «révolution des bureaux de vote»
Depuis huit ans, Viktor Orbán n'avait qu'une seule idée en tête: reprendre le pouvoir perdu d'un cheveu face aux socialistes en 2002 après quatre années à la tête de la Hongrie. Le 25 avril, au second tour des élections législatives, le chef du Fidesz remporte une victoire historique qu'il qualifie lui-même de «révolution dans les bureaux de vote» en glanant 263 sièges sur 386 au Parlement.
Accusé·es d'avoir vendu le pays aux multinationales et aux capitaux étrangers, ses adversaires de centre gauche paient la libéralisation à marche forcée de la Hongrie et les conséquences économiques de la crise financière. Fin 2008, seul un prêt de 20 milliards d'euros accordé par le Fonds monétaire international (FMI) et l'Union européenne (UE) avait sauvé le pays de la faillite. Pour Orbán, la relance du pays passe par la «préférence nationale» et une réforme drastique de l'État." La suite sur slate.fr
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Tony Curtis, le gamin du Bronx : le documentaire en replay sur Arte
"Acteur emblématique du Hollywood des années 50/60, du petit écran grâce au mythique tandem d'Amicalement vôtre avec Roger Moore, sex-symbol et phénomène de société, Tony Curtis était l'exemple même de la star hollywoodienne par excellence et dans tous les sens du terme. Aussi connu pour ses rôles dans Spartacus, Certains l'aiment chaud ou L'étrangleur de Boston que pour sa vie privée fantasque (il fut six fois marié, en plus de sa relation avec Marilyn Monroe), il resta l'un des derniers représentants de l'âge d'or de Hollywood jusqu'à sa mort le 29 septembre 2010.
Né Bernard Schwartz le 3 juin 1925 et fils d'émigrés juifs hongrois ayant grandi dans la misère auprès d'une mère schizophrène, Tony Curtis est l'exemple même d'une success story comme l'Amérique l'adore, débutée dans le Bronx de son enfance puis sur les champs de bataille de la baie de Tokyo, où il servit pendant la Seconde guerre mondiale (il choisit cette affectation par passion pour Cary Grant), terrifié par l'émergence du nazisme." La suite sur premiere.fr
Né Bernard Schwartz le 3 juin 1925 et fils d'émigrés juifs hongrois ayant grandi dans la misère auprès d'une mère schizophrène, Tony Curtis est l'exemple même d'une success story comme l'Amérique l'adore, débutée dans le Bronx de son enfance puis sur les champs de bataille de la baie de Tokyo, où il servit pendant la Seconde guerre mondiale (il choisit cette affectation par passion pour Cary Grant), terrifié par l'émergence du nazisme." La suite sur premiere.fr
La compagnie aérienne Wizz Air vise un redémarrage ambitieux en mai
"La compagnie hongroise à bas coût Wizz Air, à l'arrêt depuis plus d'un
mois en raison de la crise du coronavirus, compte reprendre ses vols le
1er mai depuis Vienne et Londres, visant la desserte d'une vingtaine de
destinations dans les prochaines semaines, a-t-elle indiqué mardi. Wizz
Air était active à l'aéroport de Charleroi (BSCA) mais ses vols ont été
suspendus à la suite de l'épidémie.
Cinq destinations sont au programme du redémarrage prévu vendredi au
départ de la capitale autrichienne : Thessalonique, Dortmund, Lisbonne,
Oslo et Eindhoven.
La compagnie entend élargir courant mai sa reprise d'activité à une vingtaine de liaisons en Europe, dont l'Italie et l'Espagne, pays les plus touchés par la pandémie de nouveau coronavirus, en adaptant son activité aux règles sanitaires en vigueur." La suite sur lesoir.be
La compagnie entend élargir courant mai sa reprise d'activité à une vingtaine de liaisons en Europe, dont l'Italie et l'Espagne, pays les plus touchés par la pandémie de nouveau coronavirus, en adaptant son activité aux règles sanitaires en vigueur." La suite sur lesoir.be
Le GP de Hongrie ouvert "à toutes sortes de solutions"
"Le Hungaroring pourrait être le troisième circuit visité par la Formule 1 dans le cas où la saison 2020 serait lancée début juillet. Les
organisateurs du Grand Prix de Hongrie insistent sur deux points alors
que la crise du coronavirus ne cesse de remettre en question le
calendrier de la Formule 1 : leur intention de se conformer à la date
initiale du 2 août mais aussi la souplesse dont ils peuvent faire preuve
si nécessaire. Si la F1 peut s'en tenir au plan esquissé en début de semaine,
le rendez-vous de Budapest deviendrait théoriquement le troisième du
calendrier alternatif, après Spielberg et Silverstone. En cas de doubles
manches en juillet, il s'agirait même du cinquième Grand Prix de la
saison 2020." La suite sur motorsport.com
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Hongrie : Le grand journal pro-Orbán publie un pamphlet jugé « nazi » visant une députée
"Le quotidien de droite « Magyar Nemzet » a publié un texte comparant la
députée de gauche Tímea Szabó à une créature inhumaine et nuisible.
On ne sait pas qui est l'auteur de l'article publié le 21 avril dans la « Nation hongroise » et caché derrière le pseudonyme de Fülöp Zummer. Intitulé « Caractérisation scientifique de l'organisme nommé Tímea Szabó », il développe en une quinzaine de lignes une comparaison entre la députée du petit parti Párbeszéd . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
On ne sait pas qui est l'auteur de l'article publié le 21 avril dans la « Nation hongroise » et caché derrière le pseudonyme de Fülöp Zummer. Intitulé « Caractérisation scientifique de l'organisme nommé Tímea Szabó », il développe en une quinzaine de lignes une comparaison entre la députée du petit parti Párbeszéd . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
La Hongrie et la Pologne s’éloignent encore des valeurs communes de l’UE
"L’Union européenne s’inquiète des dérives de l’État de droit et
multiplient les mises en garde face aux tentations autoritaires des deux
États membres.
À la faveur de la pandémie, certains gouvernements européens se dotent de pouvoirs spéciaux. «Assez logique» mais cela doit rester «proportionnel», avertit le commissaire européen à la Justice, Didier Reynders. Un message en direction de Varsovie et de Budapest, dont Bruxelles craint les tentations autoritaires, les éloignant encore davantage des valeurs européennes.
À la faveur de la pandémie, certains gouvernements européens se dotent de pouvoirs spéciaux. «Assez logique» mais cela doit rester «proportionnel», avertit le commissaire européen à la Justice, Didier Reynders. Un message en direction de Varsovie et de Budapest, dont Bruxelles craint les tentations autoritaires, les éloignant encore davantage des valeurs européennes.
Entre Bruxelles et Varsovie, le conflit
est chronique depuis l’arrivée du parti Droit et Justice (PiS) au
pouvoir, en 2015. Régulièrement, les instances européennes se disent «inquiètes»
des dérives de l’État de droit et multiplient les mises en garde. Ce 6
avril, les voyants sont à nouveau passés au rouge. Les
ultraconservateurs ont profité de leur majorité au Parlement pour passer
en force une modification du code électoral. Résultat: les élections
présidentielles du 10 mai sont maintenues, et auront lieu par
correspondance. Une décision prise malgré les inconformités aux règles
constitutionnelles, et qui favorisera le président..." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
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L'école à distance : le difficile apprentissage des enfants roms de Hongrie
"Un reportage de Zoltán Siposhegyi, euronews Budapest
En Hongrie aussi, l'école se passe à la maison. Les établissements scolaires sont fermés depuis un mois et demi a cause du coronavirus. Les enseignants font cours par vidéoconférence et les élèves font leurs devoirs à distance.
Mais dans le quartier de Cinevég à Mátészalka, dans l'est de la Hongrie, étudier est encore plus compliqué. Les habitants appellent ce lieu "le quartier des gitans". La plupart des familles n'ont pas d'ordinateur ou de smartphone ici.
Felicia et Amanda sont des élèves intelligentes. La plus jeune veut être officier de police, la plus âgée, infirmière. Mais elles étudient très lentement sans internet. L'école leur envoie chaque semaine les devoirs, à retourner par la poste le vendredi." La suite sur euronews.com
En Hongrie aussi, l'école se passe à la maison. Les établissements scolaires sont fermés depuis un mois et demi a cause du coronavirus. Les enseignants font cours par vidéoconférence et les élèves font leurs devoirs à distance.
Mais dans le quartier de Cinevég à Mátészalka, dans l'est de la Hongrie, étudier est encore plus compliqué. Les habitants appellent ce lieu "le quartier des gitans". La plupart des familles n'ont pas d'ordinateur ou de smartphone ici.
Felicia et Amanda sont des élèves intelligentes. La plus jeune veut être officier de police, la plus âgée, infirmière. Mais elles étudient très lentement sans internet. L'école leur envoie chaque semaine les devoirs, à retourner par la poste le vendredi." La suite sur euronews.com
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mardi 28 avril 2020
Un train de marchandises chinois chargé de matériel médical arrive à Budapest
"BUDAPEST, 27 avril (Xinhua) -- Un train de transport de marchandises venu de Chine jusqu'en Europe est arrivé lundi à Budapest en Hongrie, transportant du matériel médical dont ce pays a grand besoin.
Parti le 7 avril de Jinan, capitale de la province chinoise du Shandong, ce train de transport de marchandises a apporté des masques chirurgicaux, des gants et d'autres matériels de protection à la Hongrie pour aider à la lutte contre le COVID-19.
"En plus du pont aérien, qui est en service depuis plusieurs semaines, la liaison entre la Chine et la Hongrie par voie terrestre a également été restaurée", a déclaré aux médias locaux Laszlo Mosoczi, secrétaire d'Etat aux transports au sein du ministère hongrois de l'Innovation et de la Technologie." La suite sur xinhuanet.com
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Stopper la gangrène de l’autoritarisme en Europe
La prise du pouvoir absolu par Viktor Orbán, début avril – sous prétexte de pandémie de coronavirus – n’est que l’aboutissement d’une décennie de dérive autoritaire. Orbán et son parti au pouvoir, Fidesz, ont progressivement politisé les tribunaux, décimé les médias indépendants, détruit la liberté académique, entravé le travail de la société civile et favorisé la xénophobie. Même après que le Parlement européen a lancé la « procédure de l’Article 7 », qui permet d’infliger des sanctions aux États bafouant les valeurs de l’Union, la Commission et les États membres n’ont pratiquement rien fait pour arrêter Orbán. Ce sont les atermoiements qui ont prévalu." La suite sur hrw.org
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Le Top 10 des meilleurs buteurs en sélection nationale
"Étendard d'un pays, la sélection nationale est l'opportunité d'inscrire son nom aux annales du football. Voici les 10 meilleurs buteurs dans ce registre.
....
8. Sandor Kocsis (Hongrie) - 75 buts
Redoutable
finisseur devant les cages adverses, l'ex-international hongrois (75
buts en 68 sélections) a notamment remporté deux titres de champion
d'Espagne en 1959 et en 1960 sous les couleurs du FC Barcelone.
...
3. Ferenc Puskas (Hongrie) - 84 buts
....
8. Sandor Kocsis (Hongrie) - 75 buts
Meilleur
buteur de la Coupe du monde 1954 avec la sélection hongroise (finaliste
de la compétition), Sandor Kocsis a été sacré aux Jeux Olympiques de
1952 et a formé l'une des plus belles paires d'attaquants avec Ferenc
Puskas.
...
3. Ferenc Puskas (Hongrie) - 84 buts
La
Hongrie avait probablement l'une des plus belles générations en 1954 au
sortir d'un parcours de finaliste malheureux lors de la Coupe du monde
organisée en Suisse.
Battus
par la RFA (3-2), les Hongrois ne se relèveront jamais sur le plan
international. De son côté, Ferenc Puskas entrera dans la légende en
étant élu sixième meilleur joueur du XXe siècle par la FIFA.
Deuxième du Ballon d'Or en 1960, le major galopant a remporté pas moins de trois Coupe d'Europe des clubs champions sous les couleurs du Real Madrid. Il est par ailleurs élu footballeur hongrois du siècle en 2006 (84 buts en 89 sélections). "
Extraits de 90min.com
lundi 27 avril 2020
Le pianiste hongrois Bela Bartok et Biskra : «Le choc artistique»
"Sait-on que c’est à Biskra que Bela Bartok (1881-1945), ce pianiste
compositeur hongrois d’une très grande originalité «rencontra l’Algérie»
? L’expression est de son ami Zoltan Kodaly, compositeur lui aussi.
On se souvient que lors de sa visite d’Etat en Algérie en 2007, l’ancien président hongrois, Laszlo Solyom, avait inauguré à Biskra une plaque commémorative sur le séjour de ce grand pianiste, compositeur et collectionneur de musique d’Europe de l’Est. En effet, Bela Bartok effectua en 1913 un assez long séjour en Algérie, où il recueillit des mélodies dans la région de Biskra, entre autres à Sidi Okda et à El Kantara. Le pianiste y découvre surtout une parenté avec des aspects des musiques d’Europe centrale. Y aurait-il là une origine commune ? Toujours est-il que ce fut, pour le pianiste compositeur européen, un éblouissement physique, intellectuel et artistique. La lumière algérienne, dorée et légère, si différente de sa Hongrie natale, la beauté des paysages, la magie de la Méditerranée le séduisirent totalement. Ses lettres à son ami Zoltan Kodaly nous restituent la profondeur de ce «choc artistique». La séduction, l’envoûtement -le mot est de lui, furent si grands qu’il décida d’étudier la musique locale. " La suite sur elmoudjahid.com
On se souvient que lors de sa visite d’Etat en Algérie en 2007, l’ancien président hongrois, Laszlo Solyom, avait inauguré à Biskra une plaque commémorative sur le séjour de ce grand pianiste, compositeur et collectionneur de musique d’Europe de l’Est. En effet, Bela Bartok effectua en 1913 un assez long séjour en Algérie, où il recueillit des mélodies dans la région de Biskra, entre autres à Sidi Okda et à El Kantara. Le pianiste y découvre surtout une parenté avec des aspects des musiques d’Europe centrale. Y aurait-il là une origine commune ? Toujours est-il que ce fut, pour le pianiste compositeur européen, un éblouissement physique, intellectuel et artistique. La lumière algérienne, dorée et légère, si différente de sa Hongrie natale, la beauté des paysages, la magie de la Méditerranée le séduisirent totalement. Ses lettres à son ami Zoltan Kodaly nous restituent la profondeur de ce «choc artistique». La séduction, l’envoûtement -le mot est de lui, furent si grands qu’il décida d’étudier la musique locale. " La suite sur elmoudjahid.com
dimanche 26 avril 2020
Premier stylo-bille
« Dans un article, vous évoquiez le déclin de la plume Sergent-Major à
l’école dans les années 60 au profit du stylo à bille. Pour autant, je
me rappelle avoir utilisé mon premier stylo-bille chez les frères à
Metz-Queuleu en 1952, mais il ne s’agissait pas de la marque Bic. »
A. L., Pagny-lès-Goin
invention du stylo-bille remonte à la fin du XIXe siècle.
John Loud (1844-1916), un tanneur américain ayant besoin d’écrire sur le cuir et le bois, conçut le premier stylo qui n’exigeait pas d’être régulièrement rechargé ou trempé dans l’encre.
L’objet était muni à son extrémité d’un minuscule roulement à billes en acier avec trois petites billes alignées pour réguler le débit de l’encre. John Loud fit breveter son invention en 1888 mais l’objet ne fut pas commercialisé car l’encre tachait le support.
Stylo-bille des frères BiroBien des années plus tard, c’est en observant des enfants jouer aux billes qu’un journaliste hongrois, José Ladislav Biro imagina le principe du stylo-bille.
Il avait constaté que lors de leur course, les billes imprimaient des traces noires sur le sol. Assisté de son frère György, chimiste, il reprit l’idée du roulement à billes en l’associant à une encre de séchage rapide. Ils enregistrèrent un brevet en Hongrie en 1938." La suite sur estrepublicain.fr
invention du stylo-bille remonte à la fin du XIXe siècle.
John Loud (1844-1916), un tanneur américain ayant besoin d’écrire sur le cuir et le bois, conçut le premier stylo qui n’exigeait pas d’être régulièrement rechargé ou trempé dans l’encre.
L’objet était muni à son extrémité d’un minuscule roulement à billes en acier avec trois petites billes alignées pour réguler le débit de l’encre. John Loud fit breveter son invention en 1888 mais l’objet ne fut pas commercialisé car l’encre tachait le support.
Stylo-bille des frères BiroBien des années plus tard, c’est en observant des enfants jouer aux billes qu’un journaliste hongrois, José Ladislav Biro imagina le principe du stylo-bille.
Il avait constaté que lors de leur course, les billes imprimaient des traces noires sur le sol. Assisté de son frère György, chimiste, il reprit l’idée du roulement à billes en l’associant à une encre de séchage rapide. Ils enregistrèrent un brevet en Hongrie en 1938." La suite sur estrepublicain.fr
Viktor Orban, dix ans d’autoritarisme
"En une décennie aux affaires, le dirigeant ultraconservateur s’est
appliqué à saper les fondements de la démocratie et de l’Etat de droit
en Hongrie. La crise du coronavirus assoit son emprise sur le pays.
Le 25 avril 2010, Viktor Orban remportait les
législatives. Son heure était venue face aux socio-démocrates plombés
par la crise financière et l’austérité. En 2020, une «loi coronavirus»
lui octroyant une gouvernance par ordonnances pour une durée illimitée
couronne sa décennie d’hégémonie incontestée en Hongrie. Parti en
croisade contre Bruxelles, les migrants, Jean-Claude Juncker et le
milliardaire George Soros, l’enfant terrible de l’Union européenne se
sert du Covid-19 pour renforcer sa stature de chef de guerre.
Au début de la pandémie, Viktor Orban et ses lieutenants accusèrent les migrants de véhiculer le coronavirus avant de fermer indéfiniment les zones de transit de la frontière serbe. Des militaires sont déployés auprès de plusieurs entreprises jugées stratégiques et des directeurs d’hôpitaux. Deux d’entre eux ont été limogés sur-le-champ pour avoir résisté au ministère de tutelle ordonnant de libérer 36 000 lits alors que le pays compte «seulement» 2284 cas et 239 décès confirmés au 23 avril." La suite sur letemps.ch (article payant)
Au début de la pandémie, Viktor Orban et ses lieutenants accusèrent les migrants de véhiculer le coronavirus avant de fermer indéfiniment les zones de transit de la frontière serbe. Des militaires sont déployés auprès de plusieurs entreprises jugées stratégiques et des directeurs d’hôpitaux. Deux d’entre eux ont été limogés sur-le-champ pour avoir résisté au ministère de tutelle ordonnant de libérer 36 000 lits alors que le pays compte «seulement» 2284 cas et 239 décès confirmés au 23 avril." La suite sur letemps.ch (article payant)
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Transport ferroviaire.Ligne Budapest-Belgrade : la Chine épaule la Hongrie dans ses ambitions
"Les deux pays ont conclu, vendredi 24 avril, un accord prévoyant la
construction d’une ligne ferroviaire à grande vitesse entre Budapest et
Belgrade dont la livraison est attendue en 2025. Un chantier ambitieux à
2,1 milliards de dollars.
Devenir un pôle du transport de marchandises au cœur du Vieux Continent. Telle est l’ambition affichée par la Hongrie après la signature, vendredi 24 avril, d’un accord validant la construction d’une ligne ferroviaire à grande vitesse entre Budapest et Belgrade financée par la Chine. Pensée surtout pour faciliter l’acheminement des biens vers l’Europe de l’Ouest, cette ligne réduira aussi considérablement le temps de trajet pour les passagers entre les deux capitales. De huit heures aujourd’hui, le voyage pourrait être diminué de moitié." La suite sur courrierinternational.com
Devenir un pôle du transport de marchandises au cœur du Vieux Continent. Telle est l’ambition affichée par la Hongrie après la signature, vendredi 24 avril, d’un accord validant la construction d’une ligne ferroviaire à grande vitesse entre Budapest et Belgrade financée par la Chine. Pensée surtout pour faciliter l’acheminement des biens vers l’Europe de l’Ouest, cette ligne réduira aussi considérablement le temps de trajet pour les passagers entre les deux capitales. De huit heures aujourd’hui, le voyage pourrait être diminué de moitié." La suite sur courrierinternational.com
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samedi 25 avril 2020
« Les Hongrois ont renversé le système ». Il y a dix ans, nous étions sur la place Vörösmarty
"Que faisait la petite équipe de Hulala, l’ancêtre du Courrier d’Europe centrale, il y a dix ans jour pour jour, le 25 avril 2010 ? Facile, comme tous les observateurs de la vie
politique hongroise, et comme tous les journalistes en Hongrie, nous avions les
yeux rivés sur nos écrans d’ordinateurs, dans notre grande colocation sans-dessus-dessous
de l’avenue Rákóczi.
Les mégots s’accumulaient dans le cendrier sur le petit balcon pile en face du cinéma Uránia, à mesure que la commission électorale égrenait les chiffres de la participation : 27 % à 13h, 33 % à 15h, 42 % à 17h30…
Un peu de stress ? Pas franchement. Deux semaines plus tôt, le Fidesz, avait déjà plié l’élection en remportant plus de la moitié des suffrages. Viktor Orbán serait de nouveau premier ministre, huit ans après avoir cédé le pouvoir aux sociaux-libéraux." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
Les mégots s’accumulaient dans le cendrier sur le petit balcon pile en face du cinéma Uránia, à mesure que la commission électorale égrenait les chiffres de la participation : 27 % à 13h, 33 % à 15h, 42 % à 17h30…
Un peu de stress ? Pas franchement. Deux semaines plus tôt, le Fidesz, avait déjà plié l’élection en remportant plus de la moitié des suffrages. Viktor Orbán serait de nouveau premier ministre, huit ans après avoir cédé le pouvoir aux sociaux-libéraux." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
Le confinement vu de Budapest (Hongrie) par un Niçois
"Tous les jours durant le confinement, Eric Thomas passe un coup de fil
aux Provençaux du bout du monde. Direction Budapest en Hongrie pour
savoir comment Lionel, originaire de Nice, vit la situation là-bas." A écouter sur francebleu.fr
Les finales de Coupe du monde : Le miracle de Berne
"La finale de la Coupe du monde 1954, promise à la Hongrie, avait été remportée par la RFA dans les dernières minutes de ce match légendaire, qui n’a pas fini de faire parler.
Le scénario est tellement incroyable qu’un film lui a même été consacré, en 2003. Et il est évidemment intitulé "Le miracle de Berne", le surnom de cette finale de la Coupe du monde 1954. Car personne ne s’attendait à ce que l’Allemagne de l’Ouest terrasse la grande Hongrie, qui restait sur 31 matchs sans défaite. Et dont le succès était tant attendu que l’ambassadeur de Hongrie en Suisse avait prévu une grande réception le lendemain pour le célébrer. L’impression d’un timbre pour commémorer le triomphe était même déjà lancée, tout comme l’édification d’un monument au stade national de Budapest." La suite sur beinsports.com
Le scénario est tellement incroyable qu’un film lui a même été consacré, en 2003. Et il est évidemment intitulé "Le miracle de Berne", le surnom de cette finale de la Coupe du monde 1954. Car personne ne s’attendait à ce que l’Allemagne de l’Ouest terrasse la grande Hongrie, qui restait sur 31 matchs sans défaite. Et dont le succès était tant attendu que l’ambassadeur de Hongrie en Suisse avait prévu une grande réception le lendemain pour le célébrer. L’impression d’un timbre pour commémorer le triomphe était même déjà lancée, tout comme l’édification d’un monument au stade national de Budapest." La suite sur beinsports.com
Hongrie: la crise du coronavirus, champ de bataille entre Orban et ses opposants
"Dans un foyer de personnes âgées de Budapest, le nouveau coronavirus a
tué plus que n'importe où en Hongrie. L'établissement est devenu le
dernier terrain d'affrontement entre le gouvernement de Viktor Orban,
aux pouvoirs accrus, et son opposition assiégée.
Entre le Premier ministre nationaliste et le maire libéral de la capitale, tous les arguments sont bons pour se renvoyer la responsabilité de ce foyer de contaminations. Sur 1.500 résidents, 284 ont été infectés par le Covid-19 et 28 personnes sont mortes, soit 11% des 239 décès officiellement liés au virus en Hongrie.
La directrice générale de la santé, nommée par le gouvernement, a d'abord accusé l'établissement municipal d'avoir laissé ses pensionnaires sans médecin durant plus d'une semaine. Viktor Orban a menacé d'une action en justice une fois la crise passée." La suite sur tv5monde.com
Entre le Premier ministre nationaliste et le maire libéral de la capitale, tous les arguments sont bons pour se renvoyer la responsabilité de ce foyer de contaminations. Sur 1.500 résidents, 284 ont été infectés par le Covid-19 et 28 personnes sont mortes, soit 11% des 239 décès officiellement liés au virus en Hongrie.
La directrice générale de la santé, nommée par le gouvernement, a d'abord accusé l'établissement municipal d'avoir laissé ses pensionnaires sans médecin durant plus d'une semaine. Viktor Orban a menacé d'une action en justice une fois la crise passée." La suite sur tv5monde.com
Nouveau mandat de cinq ans pour Sándor Csányi en Hongrie
"Sándor Csányi a été réélu à l’unanimité pour un mandat de cinq ans à la
présidence de la Fédération hongroise de football (MLSZ).
Sándor Csányi, vice-président de l’UEFA et de la FIFA, a été confirmé dans ses fonctions lors de l’assemblée générale annuelle de la MLSZ, qui s’est tenue à la date initialement prévue mais par visioconférence, en raison de la pandémie de COVID-19." La suite sur uefa.com
Sándor Csányi, vice-président de l’UEFA et de la FIFA, a été confirmé dans ses fonctions lors de l’assemblée générale annuelle de la MLSZ, qui s’est tenue à la date initialement prévue mais par visioconférence, en raison de la pandémie de COVID-19." La suite sur uefa.com
Hongrie: les demandeurs d’asile en zones de transit traités « illégalement » (avocat général CJUE)
"Les demandeurs d’asile hébergés dans le camp hongrois de Röszke, à la
frontière avec la Serbie, sont en situation de « rétention » et traités
« illégalement » par le gouvernement de Viktor Orban, a estimé jeudi
l’avocat général auprès de la Cour de justice de l’UE." La suite sur mediapart.fr (article payant)
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« Ils sont expulsés, littéralement ». Les hôpitaux hongrois évacués manu militari
"Les directeurs d’hôpitaux ont eu quelques jours pour évacuer les malades
réguliers et faire place à d’hypothétiques malades du Covid-19. Une «
opération militaire » qui a choqué.
Les directeurs des hôpitaux ont eu quelques jours pour faire place nette : renvoyer chez eux ou dans d’autres centres de soins les malades réguliers pour libérer 60% de leurs lits et être prêts à recevoir des malades du Covid-19. Un ordre reçu du super-ministre des Ressources humaines, Miklos Kásler. A la date butoir du 15 avril, ce sont 36 000 de 60 000 lits hospitaliers que compte le pays qui ont été ainsi réquisitionnés pour les besoins de la lutte contre le coronavirus . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Les directeurs des hôpitaux ont eu quelques jours pour faire place nette : renvoyer chez eux ou dans d’autres centres de soins les malades réguliers pour libérer 60% de leurs lits et être prêts à recevoir des malades du Covid-19. Un ordre reçu du super-ministre des Ressources humaines, Miklos Kásler. A la date butoir du 15 avril, ce sont 36 000 de 60 000 lits hospitaliers que compte le pays qui ont été ainsi réquisitionnés pour les besoins de la lutte contre le coronavirus . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
vendredi 24 avril 2020
En Hongrie, le projet de loi transphobe de Viktor Orbán assombrit les espoirs de la communauté
"Un projet de loi, publié au soir de la Journée internationale de la visibilité trans, annulerait la reconnaissance légale du changement d'état civil. Komitid a recueilli en exclusivité le témoignage de personnes trans hongroises très inquiètes.
Depuis le 30 mars et l’adoption d’une « loi coronavirus » en Hongrie par un Parlement majoritairement acquis à sa cause, le Premier ministre national-conservateur Viktor Orbán, tenant le pays d’une main de fer depuis dix ans et critiqué pour son autoritarisme, peut gouverner par décrets pour une durée indéfinie. Officiellement, il s’agit de fournir au gouvernement tous les outils législatifs afin de contenir au mieux l’épidémie, mais l’exécutif utilise parallèlement cette crise pour viser les personnes trans magyars.
Ainsi, un projet de loi du vice-Premier ministre Zsolt Semjén, publié au soir de la journée internationale de la visibilité trans, annulerait la reconnaissance légale du changement d’état civil, considérée comme un droit fondamental par la Cour constitutionnelle hongroise en 2018. Si ce texte était ratifié par l’Assemblée Nationale lors de la session du 4 au 7 mai, la Hongrie serait le cinquième pays européen avec Chypre, l’Albanie, le Kosovo et la Macédoine du Nord à appliquer ce régime discriminatoire." La suite sur komitid.fr
Depuis le 30 mars et l’adoption d’une « loi coronavirus » en Hongrie par un Parlement majoritairement acquis à sa cause, le Premier ministre national-conservateur Viktor Orbán, tenant le pays d’une main de fer depuis dix ans et critiqué pour son autoritarisme, peut gouverner par décrets pour une durée indéfinie. Officiellement, il s’agit de fournir au gouvernement tous les outils législatifs afin de contenir au mieux l’épidémie, mais l’exécutif utilise parallèlement cette crise pour viser les personnes trans magyars.
Ainsi, un projet de loi du vice-Premier ministre Zsolt Semjén, publié au soir de la journée internationale de la visibilité trans, annulerait la reconnaissance légale du changement d’état civil, considérée comme un droit fondamental par la Cour constitutionnelle hongroise en 2018. Si ce texte était ratifié par l’Assemblée Nationale lors de la session du 4 au 7 mai, la Hongrie serait le cinquième pays européen avec Chypre, l’Albanie, le Kosovo et la Macédoine du Nord à appliquer ce régime discriminatoire." La suite sur komitid.fr
Hommage - Péter Esterházy aurait 70 ans
"Il y a dix ans que j’ai donné cette interview,
depuis seul un de ces trois écrivains vit encore parmi nous. Les deux
autres nous ont quittés : Esterházy, il y a bientôt quatre ans, Konrád
il y a six mois. Mais le monde a changé énormément ces six derniers
mois : pas du fait de la modernité, mais en conséquence d’une maladie
autrefois inconnue, terrible, qui touche tous les continents. Seul
Spiró a pu s’exprimer face à cette nouvelle réalité à travers un texte
bouleversant.
Marianna D. Birnbaum "
La suite sur jfb.hu
jeudi 23 avril 2020
En Hongrie, la méthode très militaire de Viktor Orban face au coronavirus
"Le premier ministre nationaliste déploie l’armée, vide les hôpitaux et renforce son contrôle sur l’opposition.
Face au Covid-19, Viktor Orban a pris
pour habitude d’organiser des visites surprises dans les hôpitaux
hongrois et d’en diffuser les images sur Facebook. Cela n’empêche pas
les ratés. Début avril, des images montrant le premier ministre visitant
un hôpital décati avec un masque ultraprotecteur pendant que son
interlocuteur médecin portait de travers un simple masque chirurgical a
ainsi fait le tour du Web en Hongrie. Idem quelques semaines plus tard,
pour une vidéo d’une infirmière mesurant sa température, d’à peine 34,5
degrés… « On a de superbes thermomètres », rit-elle jaune.
Pour
l’instant, comme le reste de l’Europe centrale, la Hongrie bénéficie
d’une situation bien meilleure que l’Europe de l’Ouest : le pays
comptait 225 morts au mercredi 22 avril. Mais plusieurs maisons de
retraite sont récemment devenues des foyers d’infection, et le nombre de
cas quotidien continue d’augmenter. Comme le premier ministre
nationaliste a été accusé au départ d’avoir réagi moins vite que ses
voisins tchèques ou slovaques, il multiplie ces visites surprises pour
vérifier que le pays sera « prêt pour quand les problèmes les plus graves atteindront la Hongrie ». Le déconfinement n’est pas à l’ordre du jour en Hongrie, et M. Orban a fixé la date du 3 mai comme celle du probable « pic » de la maladie." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Visite virtuelle des œuvres d'Alexandre Hollan, peintre des arbres
"Une visite en 3D de ses œuvres récentes.
Présentée
en mars à la galerie La Forest Divonne à Bruxelles, l’exposition
consacrée à Alexandre Hollan se prolonge en ligne. Une visite virtuelle
en 3D est accessible sur le site de la galerie. L’occasion de découvrir
les dernières œuvres d’un artiste bien connu dans la région.Né à Budapest en 1933, installé en France depuis 1956, Alexandre Hollan travaille une partie de l’année à Gignac dans l’Hérault. Il a été exposé deux fois, en 2012 et en 2019, au musée Fabre de Montpellier (auquel il a consenti une donation) et au musée de Lodève en 2016." La suite sur midilibre.fr
Budapest 2023 joue la carte verte
"Les Mondiaux d’athlétisme en plein air en 2023, attribués à Budapest,
s’annoncent comme les plus verts de l’histoire. World Athletics a
profité de la Journée mondiale de la Terre, mercredi 22 avril, pour
dévoiler les grandes lignes du plan durabilité développé par les
organisateurs hongrois. Le terrain sur lequel sera construit le stade
est actuellement toujours en friche, mais l’ensemble de la zone
deviendra après les Mondiaux un vaste parc ouvert au public. « Le
futur parc de sports et de loisirs de South-Pest ne sera pas seulement
utilisé par les athlètes, mais aussi par les familles, les écoles, les
travailleurs de la ville et des environs, explique Marton Gyulai, le directeur général de Budapest 2023." La suite sur francsjeux.com
Saint-Mars-d’Égrenne. Un deuxième roman de Jacques Brochard
"Après avoir écrit son premier roman l’an dernier avec la lanterne
magique, l’écrivain Médardais vous invite à un rendez-vous en Hongrie.
Après la sortie l’an dernier de son premier roman La lanterne magique, surtout écrit à destination de jeunes lecteurs, Jacques Brochard, l’homme de lettres de la commune, récidive avec la parution d’un
second roman, Le rendez-vous de Szentendre.
« Tout est parti d’un rêve que j’ai eu il y a trois ans environ. En commençant mes premières lignes d’écriture, je me suis dit qu’il fallait que j’effectue de nombreuses recherches afin de donner une consistance à ce livre. Je savais dans quelle direction aller, mais je n’avais aucune idée pour la fin », note Jacques Brochard." La suite sur ouest-france.fr
Après la sortie l’an dernier de son premier roman La lanterne magique, surtout écrit à destination de jeunes lecteurs, Jacques Brochard, l’homme de lettres de la commune, récidive avec la parution d’un
second roman, Le rendez-vous de Szentendre.
« Tout est parti d’un rêve que j’ai eu il y a trois ans environ. En commençant mes premières lignes d’écriture, je me suis dit qu’il fallait que j’effectue de nombreuses recherches afin de donner une consistance à ce livre. Je savais dans quelle direction aller, mais je n’avais aucune idée pour la fin », note Jacques Brochard." La suite sur ouest-france.fr
Budapest : des écrans de gaz pour projeter de la 3D dans le ciel
"Voici l'allure que pourraient avoir les écrans de demain. .. La société
hongroise CollMot Entertainment propose d'utiliser un essaim de 10 à 50
drones qui relâcheraient du gaz dans le ciel. Ce dernier formerait alors
un écran de 50 à 150 m sur lequel des projecteurs pourraient diffuser
des images en 3D. Avec le risque d'augmenter la pollution lumineuse ?" La suite sur science-et-vie.com (article payant)
mercredi 22 avril 2020
Dans son classement 2020, RSF dénonce « les attaques incessantes contre les médias publics »
"L’ONG Reporters sans frontières (RSF) a publié son classement annuel de
la liberté de la presse dans le monde. En Europe centrale, seule la
Slovaquie s'améliore, tandis que la Hongrie et en Pologne continuent de
sombrer . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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(COVID-19) Quatre avions transportant du matériel de protection arrivent de Chine en Hongrie
"BUDAPEST, 21 avril (Xinhua) -- Quatre avions venus de Chine ont livré mardi 4,9 millions de masques, deux millions de gants, 193.000 combinaisons de protection et 170.000 kits de dépistage à la Hongrie, a rapporté l'agence de presse hongroise MTI.
Ce matériel de protection sera distribué aux hôpitaux, cliniques et autres établissements de santé du pays, a déclaré à MTI le ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce, Peter Szijjarto." La suite sur xinhuanet.com
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Les accusations de dérive autoritaire sont des "mensonges" répond le gouvernement hongrois
"La Hongrie est sur deux fronts. Comme tous les pays européens
Budapest fait face à la pandémie de coronavirus. Mais le Premier
ministre hongrois est aussi sous le flot des critiques de l’Union
européenne. Les pouvoirs supplémentaires à durée indéterminée octroyés à
Viktor Orban pour faire face à l’urgence sanitaire provoquent une levée
de boucliers.
Le ministre hongrois des Affaires étrangères assure que son pays n’est pas un cas isolé en Europe. Péter Szijjártó accuse les eurodéputés de ne pas avoir lu cette loi d’exception. Il reproche aussi à ses homologues de l’Union de colporter des mensonges sur l’action du gouvernement hongrois. "Le Premier ministre hongrois et le gouvernement hongrois ne peuvent agir par ordonnance uniquement pour protéger les citoyens contre la pandémie de coronavirus", insiste-t-il." La suite sur euronews.com
Le ministre hongrois des Affaires étrangères assure que son pays n’est pas un cas isolé en Europe. Péter Szijjártó accuse les eurodéputés de ne pas avoir lu cette loi d’exception. Il reproche aussi à ses homologues de l’Union de colporter des mensonges sur l’action du gouvernement hongrois. "Le Premier ministre hongrois et le gouvernement hongrois ne peuvent agir par ordonnance uniquement pour protéger les citoyens contre la pandémie de coronavirus", insiste-t-il." La suite sur euronews.com
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mardi 21 avril 2020
Coronavirus - Témoignage : « la concurrence sera encore plus rude » (István Szabó, routier hongrois)
"Des collègues en quarantaine
Nous l’avions rencontré peu de temps avant l’épidémie du coronavirus. István Szabó comme tous les conducteurs hongrois a été obligé de rentrer au pays. Depuis, il ne roule plus mais son employeur lui a versé son salaire de mars.István travaille pour un grand groupe, Kaposi International Transport, basé à Egervár, à une cinquantaine de la frontière avec l’Autriche. Le 16 mars, le dirigeant a appelé sa soixantaine de conducteurs en Espagne et en France leur donnant l’ordre de rentrer au plus vite. « Je m’en souviendrai toute ma vie. C’était comme la fin du monde » nous a rapporté le conducteur qui, en 30 ans de métier, n’avait jamais vu son patron dans un tel état. « Il paniquait car il avait peur que nous restions coincés moi en Espagne et mes collègues en France. 2 ont dû être rapatriés en avion, l’entreprise essaie de ramener leur camion immobilisé aux frontières. »
Depuis une dizaine d’années, István Szabó fait ses allers et retours hebdomadaires entre Barcelone et Budapest. Il charge en Espagne son camion de plusieurs tonnes d’huile d’olive pour son pays. « C’était devenu une habitude et je me plaisais dans ce travail. En plus, l’ambiance était plutôt sympa avec les espagnols car il ne me considérait pas comme un routier de l’Est venu faire du cabotage. Moi, j’avais une ligne régulière et je ne faisais pas de transport sur leur territoire. »" La suite sur trm24.fr
Nous l’avions rencontré peu de temps avant l’épidémie du coronavirus. István Szabó comme tous les conducteurs hongrois a été obligé de rentrer au pays. Depuis, il ne roule plus mais son employeur lui a versé son salaire de mars.István travaille pour un grand groupe, Kaposi International Transport, basé à Egervár, à une cinquantaine de la frontière avec l’Autriche. Le 16 mars, le dirigeant a appelé sa soixantaine de conducteurs en Espagne et en France leur donnant l’ordre de rentrer au plus vite. « Je m’en souviendrai toute ma vie. C’était comme la fin du monde » nous a rapporté le conducteur qui, en 30 ans de métier, n’avait jamais vu son patron dans un tel état. « Il paniquait car il avait peur que nous restions coincés moi en Espagne et mes collègues en France. 2 ont dû être rapatriés en avion, l’entreprise essaie de ramener leur camion immobilisé aux frontières. »
Depuis une dizaine d’années, István Szabó fait ses allers et retours hebdomadaires entre Barcelone et Budapest. Il charge en Espagne son camion de plusieurs tonnes d’huile d’olive pour son pays. « C’était devenu une habitude et je me plaisais dans ce travail. En plus, l’ambiance était plutôt sympa avec les espagnols car il ne me considérait pas comme un routier de l’Est venu faire du cabotage. Moi, j’avais une ligne régulière et je ne faisais pas de transport sur leur territoire. »" La suite sur trm24.fr
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Hongrie - Liberté de la presse : la situation ne s'améliore pas
"2019 a été relativement calme
en matière de concentration de la presse. La Fondation de la presse et
des médias d’Europe centrale (KESMA), qui contrôle plus de 500 médias du
pays, domine toujours le paysage, et le gouvernement maintient sa
mainmise sur les médias via ses achats d’espaces publicitaires dans
certains journaux. L’accès à l’information est de plus en plus difficile
pour les journalistes indépendants. Ils ont interdiction de s’adresser
aux députés au Parlement et de participer à certains évènements." La suite sur rsf.org
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Béla Lugosi, le dandy denté
"Infatigable incarnation de Dracula au théâtre puis au cinéma, l'acteur d'origine hongroise a fini par se confondre avec son personnage. Une biographie italienne pleine de poésie revient sur son destin et sa troublante transformation.
Le 16 août 1956, à Los Angeles, les infirmières s'affairent au chevet d'un comédien. À bout de force, Béla Lugosi trouve le souffle d'articuler : « Je suis le comte Dracula, je suis le roi des vampires. » Puis, juste avant de mourir, il ajoute ces trois mots : « Je suis immortel. » Star fauchée, excentrique ou totalement dérangée, Lugosi était une idole. En 1984, l'écrivain italien Edgardo Franzosini lui consacre un essai poétique. Cet ouvrage est pour la première fois traduit en français, sous le titre « Béla Lugosi, biographie d'une métamorphose »." La suite sur lesechos.fr
Le 16 août 1956, à Los Angeles, les infirmières s'affairent au chevet d'un comédien. À bout de force, Béla Lugosi trouve le souffle d'articuler : « Je suis le comte Dracula, je suis le roi des vampires. » Puis, juste avant de mourir, il ajoute ces trois mots : « Je suis immortel. » Star fauchée, excentrique ou totalement dérangée, Lugosi était une idole. En 1984, l'écrivain italien Edgardo Franzosini lui consacre un essai poétique. Cet ouvrage est pour la première fois traduit en français, sous le titre « Béla Lugosi, biographie d'une métamorphose »." La suite sur lesechos.fr
La ville chinoise de Huai'an fait don de fournitures médicales à ses villes jumelles
"La ville de Huai'an dans la province chinoise du Jiangsu (est) a fait
don depuis mars de masques et d'autres fournitures médicales à ses
villes jumelles au Canada, en Hongrie, en Allemagne, au Japon, en
République de Corée et en Slovénie, ont annoncé dimanche les
responsables de la ville.
Depuis fin mars, des fournitures médicales comprenant 12.000 masques de protection et plusieurs thermomètres ont été envoyées en quatre lots à Batonyterenye, sa ville jumelle hongroise. Les trois premiers lots sont déjà arrivés et le dernier attend d'être envoyé à l'aéroport à Shanghai." La suite sur peopledaily.com.cn
Depuis fin mars, des fournitures médicales comprenant 12.000 masques de protection et plusieurs thermomètres ont été envoyées en quatre lots à Batonyterenye, sa ville jumelle hongroise. Les trois premiers lots sont déjà arrivés et le dernier attend d'être envoyé à l'aéroport à Shanghai." La suite sur peopledaily.com.cn
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Coronavirus. En Hongrie, les hôpitaux vidés manu militari
"En Hongrie, des milliers de patients ont été renvoyés chez eux
autoritairement, par le gouvernement de Viktor Orbán, et sans aucune
explication, pour faire place aux malades, pourtant peu nombreux, du
Covid-19.
Espérer le meilleur, mais se préparer au pire.Telle est la devise préférée du Premier ministre hongrois Viktor Orbán en ces temps d’épidémie. Pour préparer le pire, les autorités ont procédé à l’évacuation de milliers de patients hospitalisés, pour réserver la moitié des 68 000 lits aux hypothétiques futurs malades du Covid-19. Les directeurs d’hôpitaux ont eu une semaine pour faire place nette au 15 avril. L’un d’eux, Péter Cserháti, directeur de l’Institut national de rééducation, a été limogé sur-le-champ pour avoir contesté cette mesure." La suite sur ouest-france.fr
Démocratie en Europe : "la question des sanctions se posera" , affirme Le Drian
"Les pays membres de l'UE qui enfreignent l'Etat
de droit au nom de la gestion de la crise du Covid-19 devront rendre des
comptes devant le Conseil européen, a averti le chef de la diplomatie
française, visant notamment la Hongrie.
"Cette question se posera au moment opportun et j'imagine qu'elle pourrait l'être à un prochain Conseil européen",
a déclaré Jean-Yves Le Drian, interrogé par la quotidien Le Monde sur
de possibles sanctions européennes contre la Hongrie et la Pologne en
raison de leur bilan démocratique. "Mais la priorité est de lutter contre la pandémie", a-t-il aussi souligné.
Le
Premier ministre hongrois Viktor Orban s'est arrogé les pleins pouvoirs
à la faveur de l'épidémie de nouveau coronavirus, suscitant une levée
de boucliers en Europe. La Hongrie fait déjà l'objet d'une procédure
dans le cadre de l'article 7 du traité de l'Union pour violation des
valeurs de l'UE, qui peut en théorie déboucher sur des sanctions." La suite sur laprovence.com
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Conseil européen,
Coronavirus,
Démocratie,
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Union européenne
André Kertész : Une vie en photographie
André Kertész, Duna Haraszti (André & his brother), June 1919 © Estate of André Kertész, New York & Stephen Bulger Gallery |
Les voix des poètes mises en couleurs
Copyright: Cécile A. Holdban |
Cécile A. Holdban, qui avait ouvert en septembre la saison poétique et artistique de l’Espace Andrée Chedid avec son exposition « Constellations, mondes flottants, machines », a souhaité créer une oeuvre d’exception, composée de vers, tous illustrés par des peintures réalisées par ses soins.
Une fois rassemblés, ces poèmes et peintures forment une belle mosaïque de mots et de couleurs.
Comment vous est venue l’idée de ce projet ?
Cécile A. Holdban : Il m’a semblé que c’était la seule possibilité qui s’offrait à moi pour avancer : tisser un lien malgré la distance entre cette communauté d’écrivains, d’artistes ou tout simplement d’amis, et dire ainsi en le recréant ce à quoi il nous est encore possible de rêver, d’espérer, malgré les circonstances. J’ai eu cette idée en écrivant un vers de mon cru sur un petit dessin que j’avais fait sur un sachet de thé rouge séché.
Je me suis dit alors qu’il serait beau de composer un patchwork en images de toutes les voix des poètes, comme une sorte de choeur…
Puis, j’ai pensé au titre d’un des recueils phares de Sándor Weöres, grand poète hongrois du XXème siècle, Tapis de chiffons, dans lequel on trouve une série de poèmes épigrammatiques. J’ai ensuite écrit un petit texte liminaire, envoyé à quelques poètes, à des amis, puis à d’autres encore…" La suite sur issy.com
lundi 20 avril 2020
Multiplication des cas d’influenza en Hongrie
"La Hongrie observe une multiplication des cas d’influenza aviaire hautement pathogène ces dernières semaines. L’Allemagne est aussi touchée dans une moindre mesure. La France reste épargnée.Depuis
le 25 mars, 68 foyers d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) de
sous-type H5 ont été déclarés dans le sud de la Hongrie, correspondant à
2 foyers primaires et 66 secondaires. 28 foyers ont été déclarés pour
la seule journée du 6 avril. Il s’agit principalement d’élevages de
canards ou d’oies dont les effectifs varient de 35 à 142 000 animaux.
Les écarts de mortalité vont de 0 à 21 % dans les 50 élevages dont les
données sont connues. « Au moins pour deux élevages de canards de
respectivement 142 000 et 54 000 canards, les animaux n’ont présenté
aucun symptôme. Ces deux détections ont eu lieu suite à des prélèvements
effectués dans le cadre de la surveillance mise en place autour des
foyers », précise le bulletin d’information envoyé par le GDS Bretagne." La suite sur paysan-breton.fr
Coronavirus en Europe centrale : Jusqu’ici tout va bien
"Le nombre de morts du Covid-19 reste très peu élevé en Pologne, en
Hongrie, en Slovaquie, en Tchéquie et dans les autres pays d'Europe
centrale et orientale. Et leurs gouvernements se montrent confiants
voire optimistes.
Bien sûr, la pandémie causée par le virus SARS-CoV-2 concerne aussi les populations de l'Europe centrale et orientale. Mais celles-ci restent - pour l'heure tout du moins - largement épargnées du point de vue sanitaire, surtout en comparaison d'autres pays européens tels que l'Italie, la France ou la Grande-Bretagne . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Bien sûr, la pandémie causée par le virus SARS-CoV-2 concerne aussi les populations de l'Europe centrale et orientale. Mais celles-ci restent - pour l'heure tout du moins - largement épargnées du point de vue sanitaire, surtout en comparaison d'autres pays européens tels que l'Italie, la France ou la Grande-Bretagne . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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dimanche 19 avril 2020
Carte blanche: «En cédant à l’autocratie dans la lutte contre le Covid-19, la Hongrie empoisonne les idéaux européens»
"Dénoncer et sanctionner l’attaque de Viktor Orbán contre la démocratie
est aujourd’hui plus crucial que jamais, affirment dans une carte
blanche des hommes et femmes politiques ainsi que des intellectuels
européens.
Nous, Européens, devons combattre deux virus simultanément et avec la même détermination : le Covid-19, qui s’attaque à nos corps, mais aussi une autre infection grave qui affecte nos idéaux et nos démocraties.
Le 30 mars 2020, le Parlement hongrois a adopté une loi qui permet au gouvernement de suspendre l’application de certaines lois, de s’écarter de certaines dispositions législatives ou réglementaires en vigueur et de prendre des mesures extraordinaires par décret pour une durée pratiquement illimitée. Avec de nouvelles restrictions s’appliquant à l’information et aux médias." La suite sur lesoir.be
Nous, Européens, devons combattre deux virus simultanément et avec la même détermination : le Covid-19, qui s’attaque à nos corps, mais aussi une autre infection grave qui affecte nos idéaux et nos démocraties.
Le 30 mars 2020, le Parlement hongrois a adopté une loi qui permet au gouvernement de suspendre l’application de certaines lois, de s’écarter de certaines dispositions législatives ou réglementaires en vigueur et de prendre des mesures extraordinaires par décret pour une durée pratiquement illimitée. Avec de nouvelles restrictions s’appliquant à l’information et aux médias." La suite sur lesoir.be
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Saint-Clar. Un médecin hongrois pour le centre municipal de santé
"Geza Barna commence sa carrière de
médecin municipal dans le Gers. Il exerce à Saint-Clar, dans le centre
médical monté par la municipalité pour remédier aux problèmes des soins
en milieu rural.
À 44 ans, Geza Barna a vu du pays avant de poser sa mallette de médecin généraliste à Saint-Clar. Ce médecin, né en Hongrie, à Miskolc, a quitté très tôt son pays pour la Grande-Bretagne. Là, il suit le parcours d’un futur généraliste. Il passe enfin ces trois dernières années en Australie, à Melbourne et Sydney. Aujourd’hui, il s’est installé en France pour raison familiale.
Comment arrive-t-on d’Australie à Saint-Clar ? "Nous avions lancé une offre d’emploi par un cabinet de recrutement, explique le maire, David Taupiac. Et ça a fonctionné !" La suite sur ladepeche.fr
À 44 ans, Geza Barna a vu du pays avant de poser sa mallette de médecin généraliste à Saint-Clar. Ce médecin, né en Hongrie, à Miskolc, a quitté très tôt son pays pour la Grande-Bretagne. Là, il suit le parcours d’un futur généraliste. Il passe enfin ces trois dernières années en Australie, à Melbourne et Sydney. Aujourd’hui, il s’est installé en France pour raison familiale.
Comment arrive-t-on d’Australie à Saint-Clar ? "Nous avions lancé une offre d’emploi par un cabinet de recrutement, explique le maire, David Taupiac. Et ça a fonctionné !" La suite sur ladepeche.fr
samedi 18 avril 2020
L'ambassade de Chine fait don de masques à une école de Budapest
"BUDAPEST, 17 avril (Xinhua) -- L'ambassade de Chine en Hongrie a fait don de 2.750 masques chirurgicaux à l'école bilingue sino-hongroise de Budapest, selon un communiqué de presse publié vendredi sur le site officiel de l'ambassade.
Ce don permettra aux enseignants et aux élèves de l'école de lutter contre le nouveau coronavirus, a indiqué le communiqué.
Erdelyi Zsuzsanna, présidente de l'école, a remercié l'ambassade de Chine d'avoir apporté ces fournitures d'urgence en ce moment crucial et a exprimé sa certitude de remporter la guerre contre la pandémie de COVID-19." La suite sur xinhuanet.com
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En Hongrie, des cas graves expulsés des hôpitaux pour faire de la place aux patients Covid
"Le pays, officiellement peu touché par la pandémie, est prêt à tout pour libérer près de 40 000 lits afin d'accueillir de futurs malades du coronavirus. Quitte à jeter dehors des personnes ayant de lourdes pathologies.
Le samedi de Pâques, le téléphone a sonné chez Csaba (1), à Budapest. Au bout du fil, une infirmière de l’hôpital où se trouve son père de 70 ans, amputé d’une jambe le 20 mars : «Nous ne pouvons pas le garder.» Rentré chez lui deux jours plus tard, le malade n’a plus de séances de rééducation, pourtant essentielles. Sa femme change ses pansements et la famille espère trouver une infirmière pour enlever les fils chirurgicaux." La suite sur liberation.fr
Le samedi de Pâques, le téléphone a sonné chez Csaba (1), à Budapest. Au bout du fil, une infirmière de l’hôpital où se trouve son père de 70 ans, amputé d’une jambe le 20 mars : «Nous ne pouvons pas le garder.» Rentré chez lui deux jours plus tard, le malade n’a plus de séances de rééducation, pourtant essentielles. Sa femme change ses pansements et la famille espère trouver une infirmière pour enlever les fils chirurgicaux." La suite sur liberation.fr
G. M. Tamas : « En Hongrie, la seule source de la loi est désormais Orban lui-même »
"Pour le philosophe hongrois G. M. Tamas, grande figure intellectuelle
de la gauche hongroise, l’épidémie de Covid-19 a renforcé la dimension «
post-fasciste » du régime de Viktor Orbàn. Ce concept, qu’il a
développé il y a une vingtaine d’année, désigne une forme de pouvoir
autoritaire qui n’a plus besoin de répression massive pour contourner la
démocratie. La gestion de la pandémie fonctionne ici comme un puissant
révélateur.
Né en 1948 à Cluj (Roumanie) au sein de la minorité hungarophone, le philosophe, G. M. Tamas est l’un des grands intellectuels de la gauche hongroise, au sein de laquelle il est respecté et écouté. Passé par la phénoménologie et le libéralisme politique, il a ensuite développé une approche marxiste issue de la théorie critique. Il doit à ce riche parcours d’avoir été dissident sous le règne de Janos Kadar, au temps du socialisme réel, et exclu de son poste de directeur de l’Institut de recherche de l’Académie hongroise des sciences sous le gouvernement de Viktor Orban. Il est l’un des fondateurs du groupe ATTAC en Hongrie et a participé à de nombreux mouvements d..." La suite sur aoc.media (article payant)
Né en 1948 à Cluj (Roumanie) au sein de la minorité hungarophone, le philosophe, G. M. Tamas est l’un des grands intellectuels de la gauche hongroise, au sein de laquelle il est respecté et écouté. Passé par la phénoménologie et le libéralisme politique, il a ensuite développé une approche marxiste issue de la théorie critique. Il doit à ce riche parcours d’avoir été dissident sous le règne de Janos Kadar, au temps du socialisme réel, et exclu de son poste de directeur de l’Institut de recherche de l’Académie hongroise des sciences sous le gouvernement de Viktor Orban. Il est l’un des fondateurs du groupe ATTAC en Hongrie et a participé à de nombreux mouvements d..." La suite sur aoc.media (article payant)
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Politique
Communiqué de la délégation France insoumise au Parlement européen | Hongrie : le crépuscule de la démocratie
"Depuis plusieurs années les atteintes aux droits fondamentaux en
Hongrie se multiplient : lois restrictives sur la justice, musellement
de la presse, mise sous contrôle des organisations alternatives,
intimidation des opposants. Les protestations, les communiqués de presse
et les rappels à l’ordre, en tout genre, des différents organes de
l’Union européenne n’y ont rien changé. Ce lundi 30 mars et l’adoption
par le Parlement hongroise de la loi sur la protection contre le
coronavirus marque un tournant.
Un tournant car la nature démocratique même du régime hongrois est remise en question. Remise en question par l’attribution des pleins pouvoirs* au gouvernement d’Orbán. Remise en question par la suspension de toutes les élections et leur non-report. Remise en question par la criminalisation de comportements comme le refus de se soumettre à des mesures de confinement. Remise en question par la criminalisation de l’action de se réclamer ou de répandre une « vérité déformée ». Remise en question enfin par l’absence de limite dans le temps à toutes les mesures précédemment évoquées." La suite sur d-fi.lafranceinsoumise.fr
Un tournant car la nature démocratique même du régime hongrois est remise en question. Remise en question par l’attribution des pleins pouvoirs* au gouvernement d’Orbán. Remise en question par la suspension de toutes les élections et leur non-report. Remise en question par la criminalisation de comportements comme le refus de se soumettre à des mesures de confinement. Remise en question par la criminalisation de l’action de se réclamer ou de répandre une « vérité déformée ». Remise en question enfin par l’absence de limite dans le temps à toutes les mesures précédemment évoquées." La suite sur d-fi.lafranceinsoumise.fr
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Taux d'inflation en baisse dans la zone euro en mars
"Le taux d'inflation annuel de la zone euro s'est établi à 0,7% en mars
2020, contre 1,2% en février, annonce vendredi Eurostat. Un an
auparavant, il était de 1,4%. Le taux d'inflation annuel de l'Union
européenne s'est établi à 1,2% en mars, contre 1,6% en février et 1,6%
également en mars 2019.
Le mois dernier, les taux annuels les plus faibles ont été observés en Espagne, en Italie, à Chypre et au Portugal (0,1% chacun). Les taux annuels les plus élevés ont quant à eux été enregistrés en Hongrie, en Pologne (3,9% chacun) et en Tchéquie (3,6%). Par rapport à février, l'inflation annuelle a baissé dans 26 États membres et a augmenté dans un seul, précise l'office européen de statistiques.
En Belgique, l'inflation est tombée à 0,4% le mois passé, contre 2,2% un an auparavant et 1% en février 2020." Source : lesoir.be
Le mois dernier, les taux annuels les plus faibles ont été observés en Espagne, en Italie, à Chypre et au Portugal (0,1% chacun). Les taux annuels les plus élevés ont quant à eux été enregistrés en Hongrie, en Pologne (3,9% chacun) et en Tchéquie (3,6%). Par rapport à février, l'inflation annuelle a baissé dans 26 États membres et a augmenté dans un seul, précise l'office européen de statistiques.
En Belgique, l'inflation est tombée à 0,4% le mois passé, contre 2,2% un an auparavant et 1% en février 2020." Source : lesoir.be
vendredi 17 avril 2020
Le PPE décidera dans les prochains mois s’il se sépare du Fidesz d’Orban (Tusk)
"Le Parti populaire européen (PPE) décidera dans les prochains mois s’il
conserve dans ses rangs le parti hongrois Fidesz de Viktor Orban, qui
s’est arrogé les pleins pouvoirs à la faveur de l’épidémie de nouveau
coronavirus." La suite sur mediapart.fr (article payant)
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Le roi du WTCR Michelisz sur le confinement, les courses en ligne et apprendre l’alphabet
"Alors que le WTCR - FIA World Touring Car Cup est à
l'arrêt en raison de l'épidémie de coronavirus, le champion en titre du
WTCR Norbert Michelisz a été invité à prendre part à la séries Home
Shakedown de Hyundai Motorsport. Voici ce que le pilote hongrois avait à
dire.
Norbi, où êtes-vous actuellement et avec qui êtes-vous ?
"Je suis chez moi en Hongrie en ce moment, il est 13h30 et c'est le moment de la journée où ma femme et moi pouvons nous détendre un peu parce que nos filles dorment. D'habitude, pour moi, c'est le moment d'aller faire du jogging"." La suite sur eurosport.fr
jeudi 16 avril 2020
Nulle part par Judith Hervé-Molnar
"Une rescapée d’Auschwitz
se rappelle l’odeur de la fumée des crématoires, la lutte pour la
survie, le néant de sentiments et ses cauchemars.
Mengele était présent à notre descente du wagon,
mais nous ne savions pas qui était ce bel homme, sympathique à première
vue, entouré de soldats, officiers et gardes SS, chiens. On ne
comprenait pas, mais les prisonniers polonais qui nous aidaient à
descendre du wagon nous ont dit : « Vous allez être sélectionnés. Allez à droite, pas à gauche. Dites que vous voulez travailler. »On a compris qu’il y avait un danger de ne pas aller au travail, mais sans savoir encore ce que cela signifiait d’aller à gauche, c’est-à-dire vers les chambres à gaz, tout de suite. Les prisonniers polonais ajoutaient, sans autre explication : « Donnez les petits enfants aux grands-mères et vous, les mères, dites que vous voulez travailler. Donnez vos enfants à vos parents, n’allez pas avec les petits. » Il était déchirant de voir les pauvres femmes qui refusaient de donner leurs enfants, mais on ne savait pas encore que ces mères, qui ne lâchaient pas leurs petits, allaient avec leurs enfants vers les chambres à gaz, en l’ignorant." La suite sur esprit.presse.fr
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Handball - Hon (F) – Siófok J.Fodor : “Ce qui ne tue pas nous rend plus fort”
"Quelques jours après la décision de la Fédération Hongroise de Handball d’annuler la saison en cours, János Fodor, le président de Siófok KC, a publié une vidéo de près de 4 minutes sur les réseaux sociaux pour s’exprimer sur la situation. Pour rappel, suite aux dispositions prises par les instances hongroises, le club de Camille Aoustin et Gnonsiane Niombla est privé de sa deuxième place, qualificative pour la Ligue des Champions (voir ici).
Pour évoquer la situation difficilement compréhensible de la fédération de son pays, l’homme fort du club a choisi la métaphore. “La pandémie du Covid-19 a détruit beaucoup de rêves, y compris les nôtres, explique l’ancien international hongrois devenu président. La décision qu’a pris la fédération est un peu comme celle qu’un mauvais arbitre peut prendre au cours d’un match : vous avez beau être mécontent, vous ne pouvez plus rien faire contre.” La suite sur handnews.fr
Pour évoquer la situation difficilement compréhensible de la fédération de son pays, l’homme fort du club a choisi la métaphore. “La pandémie du Covid-19 a détruit beaucoup de rêves, y compris les nôtres, explique l’ancien international hongrois devenu président. La décision qu’a pris la fédération est un peu comme celle qu’un mauvais arbitre peut prendre au cours d’un match : vous avez beau être mécontent, vous ne pouvez plus rien faire contre.” La suite sur handnews.fr
Des eurodéputés intiment la Hongrie de retirer une proposition de loi transphobe
"En pleine crise du coronavirus, le gouvernement hongrois tente de remettre en cause le droit des personnes transgenres au changement d’état civil. 63 eurodéputés s’en indignent.La Hongrie menace les droits des trans, le Parlement européen réagit.
Mercredi 15 avril, 63 eurodéputés ont cosigné une lettre adressée au
ministre du Bureau du Premier ministre hongrois, Gergely Gulyás, et à la
ministre de la Justice, Judit Varga. « En tant que membre du
Parlement européen, nous sommes gravement préoccupés à propos des
événements actuels concernant l’adoption de la proposition de loi
omnibus T/9934 et les amendements proposés à certaines lois »." La suite sur tetu.com
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Coronavirus - Orban expulse des Iraniens, Téhéran et une ONG protestent
"La Hongrie a annoncé mercredi l'expulsion de 14 Iraniens accusés d'avoir
violé les règles sanitaires d'endiguement du coronavirus, malgré les
protestations de Téhéran et d'une ONG, qui accuse le Premier ministre
Viktor Orban de "mettre en quarantaine l'Etat de droit".Onze étudiants
seront expulsés jeudi et trois autres le 23 avril, après avoir manifesté
un "comportement absolument asocial et violent", a indiqué le
lieutenant-colonel de police Robert Kiss en conférence de presse à
Budapest. Au sein de ce groupe, deux étudiants, bénéficiant d'une bourse
du gouvernement hongrois, ont été présentés par Viktor Orban comme
étant ceux ayant amené le virus en Hongrie. Ils ont été la cible ces
dernières semaines d'une campagne de dénigrement des médias
pro-gouvernementaux, tandis que le Premier ministre a lié la maladie
"aux étrangers chez qui elle se propage et à l'immigration". Viktor
Orban a décrété l'état d'urgence le 30 mars et dispose de pouvoirs
considérablement renforcés, une situation critiquée par l'Union
européenne." La suite sur dhnet.be
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Dopage dans l’haltérophilie : le président de la Fédération démissionne
"(Budapest) Le président de la Fédération internationale d’haltérophilie
(IWF), le Hongrois Tamas Ajan, en retrait depuis fin janvier à la suite
d’une enquête sur des accusations de corruption et de de dopage, a
démissionné, a annoncé mercredi la Fédération.
L’enquête,
initiée à la suite d’un reportage de la chaîne allemande ARD diffusé en
janvier, est toujours en cours, a par ailleurs fait savoir la
Fédération, basée à Budapest.
« L’IWF
remercie Tamas Ajan pour plus de quatre décennies de services rendus à
l’haltérophilie », a déclaré la présidente par intérim de l’IWF, Ursula
Papandrea, dans une déclaration sur le site internet de l’institution.
« Lorsque
les circonstances sanitaires liées à la pandémie (COVID-19) le
permettront, la tenue d’élections permettra à une nouvelle génération de
commencer à travailler dès que possible pour assurer un avenir brillant
au sport que nous aimons », a ajouté Mme Papandrea." La suite sur lapresse.ca
mercredi 15 avril 2020
Confiné, ce couple recrée des scènes de films cultes
"Confiné comme tout le monde, ce couple s’amuse a recréer des photos de films cultes. En cette période de crise du Covid-19,
beaucoup de personnes cherchent des idées pour passer le temps. Certes,
recréer des scènes de films avec ce que l’on a sous la main n’est pas
nouveau. Vous connaissez peut-être Low Cosplay qui est passé maître en la matière. Aujourd’hui, voici les délires d’un couple hongrois retranché dans leur appartement.
Un couple Hongrois
En Hongrie, dans la ville de Pécs, les photos de ce couple font le tour des réseaux sociaux. À force de regarder des séries et des films sur leur ordinateur portable, Fanni et Hosszu ont décidé de passer à l’action. Chaque jour, notre duo s’amuse à imiter un classique du cinéma avec les moyens du bord. Avec un mixeur en guise de sabre laser (Star Wars) ou paquet de rouleaux de Sopalin pour reproduire le lance-roquettes d’Arnold Schwarzenegger dans Commando, les amoureux ne manquent pas d’idées." La suite sur golem13.fr
Un couple Hongrois
En Hongrie, dans la ville de Pécs, les photos de ce couple font le tour des réseaux sociaux. À force de regarder des séries et des films sur leur ordinateur portable, Fanni et Hosszu ont décidé de passer à l’action. Chaque jour, notre duo s’amuse à imiter un classique du cinéma avec les moyens du bord. Avec un mixeur en guise de sabre laser (Star Wars) ou paquet de rouleaux de Sopalin pour reproduire le lance-roquettes d’Arnold Schwarzenegger dans Commando, les amoureux ne manquent pas d’idées." La suite sur golem13.fr
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Hongrie : 30 milliards de forints supplémentaires contre l’immigration
"Le gouvernement a alloué une rallonge de 30 milliards de forints (85
millions d'euros) pour lutter contre l'immigration illégale, rapporte
Népszava . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Ericsson : lancement de la 5G en Hongrie
"Ericsson
et le fournisseur de services de télécommunications hongrois Magyar
Telekom ont lancé la 5G en Hongrie, certaines parties de Budapest étant
les premières à bénéficier des nouveaux services.
Le lancement intervient deux semaines seulement après que Magyar Telekom a obtenu un bloc de fréquence de 3,5 GHz lors d'une vente aux enchères le 26 mars, et à la suite de tests avec Ericsson qui a duré six mois." La suite sur zonebourse.com
Le lancement intervient deux semaines seulement après que Magyar Telekom a obtenu un bloc de fréquence de 3,5 GHz lors d'une vente aux enchères le 26 mars, et à la suite de tests avec Ericsson qui a duré six mois." La suite sur zonebourse.com
Audi rouvre son usine en Hongrie, Suzuki, Mercedes et Opel suivront
"(Budapest) Le travail a repris mardi dans l’usine du constructeur
automobile Audi (groupe Volkswagen) en Hongrie tandis que Suzuki,
Mercedes et Opel ont annoncé l’ouverture prochaine de leurs unités de
production dans ce pays.
Comme dans
toutes ses usines européennes, Audi avait stoppé les chaînes de montage
le 22 mars dans son unité de Györ, qui emploie 13 000 personnes,
invoquant l’incertitude de l’acheminement des pièces et la baisse des
ventes liée à la pandémie de COVID-19. Principale usine automobile du
pays, elle accueille aussi les marques Suzuki et Mercedes.
« Nos
clients du monde entier attendent des voitures et nous devons être un
fournisseur fiable », a déclaré le directeur d’Audi en Hongrie, Alfons
Dintner, dans une vidéo diffusée lundi soir sur un site local
d’information." La suite sur lapresse.ca
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La compagnie hongroise Wizz Air supprime 1000 postes
"Budapest
(awp/afp) - La compagnie hongroise Wizz Air, l'un des acteurs européens
du transport aérien à bas coût, a annoncé mardi la suppression de 1.000
postes et des baisses de salaire pour l'ensemble du personnel, dont le
directeur général, afin d'affronter la crise que traverse le secteur.
"Malgré tous ses efforts, la compagnie prend la décision
difficile de procéder à 1.000 licenciements, soit 19% des effectifs", a
indiqué dans un communiqué l'entreprise basée à Budapest, ajoutant que
"des mesures supplémentaires seront prises à court terme" pour faire
face au choc économique provoqué par le nouveau coronavirus.Par ailleurs, la rémunération du directeur général, du conseil d'administration et de tous les cadres supérieurs sera réduite de 22%, tandis que les salaires des pilotes, du personnel de cabine et du personnel administratif seront abaissés de 14% en moyenne, précise Wizz Air." La suite sur zonebourse.com
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mardi 14 avril 2020
László Krasznahorkai aux éditions Cambourakis
Notre
collection "irodalom" se fait l'écho de l'une des plus saisissantes
voix de la littérature contemporaine hongroise en la personne de Krasznahorkai László.
Grâce au travail de traduction remarquable de Joëlle Dufeuilly, ce sont
trois romans, une novella, et un prologue qu'il vous est possible de
découvrir aux Éditions Cambourakis. En 2021, pour les 15 ans de la maison, nous sommes ravi·es d'annoncer la parution du "Baron", son ouvrage ayant reçu le National Book Awards en 2019.
Pour patienter, nous vous proposons de l'entendre au micro de Marie Richeux dans l'émission Par les temps qui courent sur France Culture, lors de son dernier passage en France : https://bit.ly/34yS2om.
Douce écoute à tou·tes !
Pour patienter, nous vous proposons de l'entendre au micro de Marie Richeux dans l'émission Par les temps qui courent sur France Culture, lors de son dernier passage en France : https://bit.ly/34yS2om.
Douce écoute à tou·tes !
La littérature hongroise aux éditions Cambourakis: la déconstruction du mythe d’une culture nationale unie
"La littérature traduite est le plus souvent perçue comme une porte ouverte pour le lecteur vers une culture et un pays étranger : une manière d’accéder à un pays en restant chez soi et sans même devoir apprendre la langue locale. On apprécie certes la singularité d’un auteur, sa « plume », mais surtout le goût d’étrangeté qu’il apporte : on ne lit plus un grand auteur, mais un grand auteur américain, grec ou allemand. On peut donc facilement tomber dans l’écueil d’associer la littérature traduite à une forme de littérature de terroir, la nationalité de l’auteur nous indiquant une destination à découvrir, une société, une culture, un environnement. On lira de la littérature suédoise pour frissonner, de la littérature russe pour vivre de longs voyages en train et des histoires tragiques.
Ce piège est bien difficile à éviter, quelle que soit notre bonne volonté ; les représentations collectives d’un pays ou d’une littérature nationale sont suffisamment prégnantes dans nos esprits pour créer un certain horizon d’attente. C’est pourquoi il est particulièrement intéressant, et même important, de déjouer ces horizons d’attente, et d’offrir au lecteur un texte qui le dépayse vraiment, qui ne lui offre pas ce qu’il attend, qui, parfois, ne l’emmène même pas dans les territoires géographiques qu’il pensait retrouver. C’est précisément ce genre de surprises auxquelles on a le plaisir de se confronter lors de sa lecture des livres de la collection de littérature traduite de Cambourakis, en particulier en ce qui concerne la Hongrie, pays où la question d’une culture nationale est particulièrement problématique." La suite sur mondedulivre.hypotheses.org
Ce piège est bien difficile à éviter, quelle que soit notre bonne volonté ; les représentations collectives d’un pays ou d’une littérature nationale sont suffisamment prégnantes dans nos esprits pour créer un certain horizon d’attente. C’est pourquoi il est particulièrement intéressant, et même important, de déjouer ces horizons d’attente, et d’offrir au lecteur un texte qui le dépayse vraiment, qui ne lui offre pas ce qu’il attend, qui, parfois, ne l’emmène même pas dans les territoires géographiques qu’il pensait retrouver. C’est précisément ce genre de surprises auxquelles on a le plaisir de se confronter lors de sa lecture des livres de la collection de littérature traduite de Cambourakis, en particulier en ce qui concerne la Hongrie, pays où la question d’une culture nationale est particulièrement problématique." La suite sur mondedulivre.hypotheses.org
(COVID-19) Hongrie : une nouvelle livraison d'équipements de protection médicale en provenance de Chine
"Une nouvelle livraison d'équipements de
protection médicale en provenance de Chine a atterri à Budapest, a
annoncé lundi Peter Szijjarto, ministre hongrois des Affaires étrangères
et du Commerce.
"Six avions ont
atterri dans les premières heures de la matinée à Budapest, transportant
5,3 millions de masques, six millions de paires de gants et 86.000
blouses de protection en provenance de Beijing et de Shanghai", a
indiqué le ministre sur sa page Facebook." La suite sur china.org.cn
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Politique étrangère
lundi 13 avril 2020
Face au laisser-faire de l’État, les villages touristiques de Hongrie se barricadent
"Le dirigeant autoritaire Viktor Orbán a décidé…de ne pas décider. Ce sont donc les habitants des communes touristiques qui doivent se protéger eux-mêmes contre l’afflux de touristes à Pâques et la propagation de l’épidémie de coronavirus. En se barricadant s’il le faut. On n’a jamais un village aussi désert un week-end de
Pâques ! Le marchand de glaces est fermé, la pizzéria est fermée, la
Renaissance aussi, ce restaurant où un diplomate marocain plus tard testé
positif au SARS-CoV-2 a festoyé au mois de mars. La route qui monte à la
citadelle qui surplombe le Danube sur son promontoire est bouclée" La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
En Hongrie, pas de confinement mais pas de rituel de Pâques non plus, au grand dam des jeunes
"Si les Hongrois restent libres de se déplacer, les jeunes ont toutefois
été privés d’une tradition de Pâques qu’ils adorent : l’arrosage des
filles.
En Hongrie, où l’on compte 99 morts et 1 400 personnes contaminées par le coronavirus, il n’y a pas de confinement généralisé. Les Hongrois sont libres de se déplacer, tout en limitant leurs sorties et en respectant certaines règles : si tous les magasins sont ouverts jusqu’à 15 heures, le matin est réservé aux plus de 65 ans.
Mais en cette période de Pâques, ils ont dû tout de même renoncer à une coutume qu’ils adorent, un rituel sacré là-bas. Tous les lundis de Pâques, les garçons arrosent les filles." La suite et à écouter sur francetvinfo.fr
En Hongrie, où l’on compte 99 morts et 1 400 personnes contaminées par le coronavirus, il n’y a pas de confinement généralisé. Les Hongrois sont libres de se déplacer, tout en limitant leurs sorties et en respectant certaines règles : si tous les magasins sont ouverts jusqu’à 15 heures, le matin est réservé aux plus de 65 ans.
Mais en cette période de Pâques, ils ont dû tout de même renoncer à une coutume qu’ils adorent, un rituel sacré là-bas. Tous les lundis de Pâques, les garçons arrosent les filles." La suite et à écouter sur francetvinfo.fr
Décoration des œufs de Pâques
Un petit aperçu de la façon dont les familles franco-hongroises se préparent aux fêtes pendant le confinement.
Avec cette vidéo, nous souhaitons à nos visiteurs de très joyeuses Pâques !
Institut hongrois de Paris
Institut hongrois de Paris
Scénario catastrophe pour l'industrie du cinéma en Hongrie
"C'est l'une des grandes perdantes de l'épidémie de coronavirus en
Hongrie : l'industrie cinématographique. Au cours des dix dernières
années, les rues de Budapest sont apparues dans de nombreuses
superproductions hollywoodiennes, et l'on croit être parfois à Paris ou à
Berlin.
L'industrie cinématographique hongroise emploie directement et indirectement au moins 20 000 personnes.
Lorsque l'épidémie a éclaté, les équipes étrangères ont fait leurs valises et sont rentrées chez elles. Visionteam leur louait du matériel technique.
"Comme nous n'avons pas grand-chose à faire, nous raconte Attila Farago, PDG de Visionteam Ltd, nous organisons des événements caritatifs pour les personnes travaillant dans l'industrie cinématographique, et nous participons à l'éducation numérique, pour l'école à la maison. Nous essayons de collecter des ordinateurs pour les écoles défavorisées." La suite sur euronews.com
L'industrie cinématographique hongroise emploie directement et indirectement au moins 20 000 personnes.
Lorsque l'épidémie a éclaté, les équipes étrangères ont fait leurs valises et sont rentrées chez elles. Visionteam leur louait du matériel technique.
"Comme nous n'avons pas grand-chose à faire, nous raconte Attila Farago, PDG de Visionteam Ltd, nous organisons des événements caritatifs pour les personnes travaillant dans l'industrie cinématographique, et nous participons à l'éducation numérique, pour l'école à la maison. Nous essayons de collecter des ordinateurs pour les écoles défavorisées." La suite sur euronews.com
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(COVID-19) La société chinoise CMC fait don de masques médicaux à une ville hongroise
"BUDAPEST, 11 avril (Xinhua) -- La China National Machinery Imp. & Exp. Corporation (CMC) a fait don de 30.000 masques chirurgicaux à Kaposvar, une ville du sud-ouest de la Hongrie, a déclaré samedi la société dans un communiqué de presse.
Le don soutiendra le gouvernement local et les habitants de Kaposvar dans leur lutte contre le nouveau coronavirus, explique le communiqué, ajoutant que la CMC est persuadée que la ville gagnera la guerre contre la pandémie de COVID-19." La suite sur xinhuanet.com
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dimanche 12 avril 2020
Orban réécrit l’histoire de la Shoah en Hongrie
"Le Premier ministre hongrois espère que l’ouverture en 2021 d’un
musée très controversé sur la Shoah à Budapest contribuera à sa
réélection, l’année suivante.
Viktor Orban est accusé d’avoir fait de la Hongrie la première « non-démocratie » de l’Union européenne, depuis que la crise du coronavirus lui a permis de s’attribuer les pleins pouvoirs pour une durée illimitée. Premier ministre depuis 2010, après avoir déjà exercé le pouvoir de 1998 à 2002, Orban s’est posé dès 2014 en chantre de la « démocratie illibérale » et d’un populisme très critique envers ses partenaires européens. Une telle régression démocratique se déroule alors qu’Orban s’est lancé dans une vaste entreprise de révision de l’histoire de la Shoah.
LE PETAIN HONGROIS
Orban s’est employé depuis de longues années à réhabiliter l’amiral Miklos Horthy, régent du royaume de Hongrie de 1920 à 1944. Très proche de l’Italie fasciste, puis de l’Allemagne nazie, Horthy promulgue à partir de 1938 toute une série de lois antisémites. Il participe au dépeçage de la Tchécoslovaquie, en 1938, de la Roumanie, en 1940, et à l’invasion de la Yougoslavie, en 1941, année de son intégration à l’Axe hitlérien. Qualifié par « Le Monde » de « Pétain hongrois », Horthy organise, en mai-juillet 1944, la déportation de 437.000 Juifs de Hongrie, pour la plupart vers Auschwitz-Birkenau." La suite sur lemonde.fr
Viktor Orban est accusé d’avoir fait de la Hongrie la première « non-démocratie » de l’Union européenne, depuis que la crise du coronavirus lui a permis de s’attribuer les pleins pouvoirs pour une durée illimitée. Premier ministre depuis 2010, après avoir déjà exercé le pouvoir de 1998 à 2002, Orban s’est posé dès 2014 en chantre de la « démocratie illibérale » et d’un populisme très critique envers ses partenaires européens. Une telle régression démocratique se déroule alors qu’Orban s’est lancé dans une vaste entreprise de révision de l’histoire de la Shoah.
LE PETAIN HONGROIS
Orban s’est employé depuis de longues années à réhabiliter l’amiral Miklos Horthy, régent du royaume de Hongrie de 1920 à 1944. Très proche de l’Italie fasciste, puis de l’Allemagne nazie, Horthy promulgue à partir de 1938 toute une série de lois antisémites. Il participe au dépeçage de la Tchécoslovaquie, en 1938, de la Roumanie, en 1940, et à l’invasion de la Yougoslavie, en 1941, année de son intégration à l’Axe hitlérien. Qualifié par « Le Monde » de « Pétain hongrois », Horthy organise, en mai-juillet 1944, la déportation de 437.000 Juifs de Hongrie, pour la plupart vers Auschwitz-Birkenau." La suite sur lemonde.fr
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Musée
L’Orchestre du Festival de Budapest optimiste
"En proie à des difficultés financières, l’Orchestre du Festival de Budapest
a finalement trouvé un terrain d’entente et du soutien auprès du
gouvernement hongrois et de la municipalité de Budapest. L’orchestre d’Iván Fischer devrait donc pouvoir appréhender sereinement les quatre années à venir. (JBdLT)" Source : resmusica.com
Le Covid-19 décomplexe les gouvernements autoritaires (et les autres)
"Tandis que le monde regarde ailleurs et que chacun· e se concentre sur sa propre gestion de la crise, des mesures autocratiques sont appliquées là où les démocraties semblaient déjà fragiles.
La pandémie de Covid-19 n'est pas uniquement un fléau pour la santé publique et l'économie mondiale, elle met aussi à mal les démocraties.
Prétextant lutter contre la propagation du coronavirus, certains chefs d'État n'hésitent à pas consolider leur gouvernance, à étendre leur pouvoir exécutif et à restreindre les droits et libertés individuelles.
Si des mesures fortes et inédites paraissent nécessaires pour contenir l'épidémie, leurs lois répressives risquent de devenir un héritage durable de la crise sanitaire, au détriment de populations confinées et impuissantes.
En Hongrie, Viktor Orbán dicte sa loiLe Premier ministre nationaliste n'a pas tardé à voir dans les mesures martiales prises partout en Europe une couverture parfaite pour renforcer son pouvoir politique." La suite sur slate.fr
La pandémie de Covid-19 n'est pas uniquement un fléau pour la santé publique et l'économie mondiale, elle met aussi à mal les démocraties.
Prétextant lutter contre la propagation du coronavirus, certains chefs d'État n'hésitent à pas consolider leur gouvernance, à étendre leur pouvoir exécutif et à restreindre les droits et libertés individuelles.
Si des mesures fortes et inédites paraissent nécessaires pour contenir l'épidémie, leurs lois répressives risquent de devenir un héritage durable de la crise sanitaire, au détriment de populations confinées et impuissantes.
En Hongrie, Viktor Orbán dicte sa loiLe Premier ministre nationaliste n'a pas tardé à voir dans les mesures martiales prises partout en Europe une couverture parfaite pour renforcer son pouvoir politique." La suite sur slate.fr
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samedi 11 avril 2020
Márton Szepsi Csombor – Europica varietas
"Comme Lajos Kassák 300 ans plus tard, Márton Szepsi Csombor est né en Haute Hongrie, dans la Slovaquie d’aujourd’hui. Il tire une partie de son nom de sa petite ville d’origine, Szepsi, aujourd’hui Moldava na Bodvou. Contrairement à Lajos Kassák, né plutôt du côté de Bratislava et gravitant vers l’ouest de la Hongrie (la très catholique Györ, et Budapest), Márton Szepsi Csombor est né du côté de Kassa (aujourd’hui Košice) et son monde est plutôt celui de l’est de l’ancienne Hongrie, région à plus forte identité protestante. Est-ce pour cela, ou parce qu’il venait d’une famille de commerçants, qu’il écrit en hongrois plutôt qu’en latin, langue encore très usitée au cours de sa courte vie (1595-1622) ? Malgré son titre latin, Europica varietas est un tout cas, à sa parution en 1620, le premier livre de voyage à être écrit en hongrois." La suite sur passagealest.wordpress.com
"Lecture à propos" : André Dussollier lit "Semmelweis", de Louis-Ferdinand Céline
"Le mercredi 15 avril, de 19h à 20h, et sur franceculture.fr, le comédien
lit un texte de Céline en écho à la situation si particulière que nous
vivons :" Semmelweiss", du nom de ce médecin hongrois qui batailla pour
imposer le lavage des mains au milieu du XIXe siècle.
L'idole mâle [...] s'implore lui-même et ne peut plus... Il a trop détruit. On commence à ne plus croire à son ingéniosité, il se prend à douter de lui-même. À force de secouer ses plumes, de les trouver admirables, il s'était cru tout permis ; demain il sera ridicule.
Passage de l’œuvre Semmelweis, de Louis-Ferdinand Céline " La suite sur franceculture.fr
L'idole mâle [...] s'implore lui-même et ne peut plus... Il a trop détruit. On commence à ne plus croire à son ingéniosité, il se prend à douter de lui-même. À force de secouer ses plumes, de les trouver admirables, il s'était cru tout permis ; demain il sera ridicule.
Passage de l’œuvre Semmelweis, de Louis-Ferdinand Céline " La suite sur franceculture.fr
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Suite à l'évolution de la pandémie de COVID-19, la Hongrie ferme ses frontières
"Pour cause de COVID-19 la Hongrie a fermé ses frontières aux étrangers
et seuls les résidents pouvant justifier de leur enregistrement auprès
des autorités locales sont susceptibles d'être autorisés à entrer sur le
territoire hongrois.
Les Français actuellement en déplacement temporaire en Hongrie sont invités à prendre les mesures nécessaires pour un retour en France tant que les liaisons commerciales restent ouvertes. Il est ainsi recommandé de prendre l'attache de l'agence de voyage ou la compagnie aérienne concernée." La suite sur mesvaccins.net
Les Français actuellement en déplacement temporaire en Hongrie sont invités à prendre les mesures nécessaires pour un retour en France tant que les liaisons commerciales restent ouvertes. Il est ainsi recommandé de prendre l'attache de l'agence de voyage ou la compagnie aérienne concernée." La suite sur mesvaccins.net
Coronavirus-La Hongrie annonce 210 nouvelles contaminations, record quotidien
"BUDAPEST, 10 avril (Reuters) - La Hongrie a fait état vendredi de 210 contaminations supplémentaires au nouveau coronavirus, la plus forte hausse quotidienne enregistrée à ce stade, portant le total des cas dans le pays à 1.190.
Pour ralentir la propagation du virus, le Premier ministre, Viktor Orban, a décidé jeudi de prolonger le confinement pour une durée indéterminée, demandant notamment à la population de rester chez elle malgré les vacances de Pâques." La suite sur investir.lesechos.fr
Pour ralentir la propagation du virus, le Premier ministre, Viktor Orban, a décidé jeudi de prolonger le confinement pour une durée indéterminée, demandant notamment à la population de rester chez elle malgré les vacances de Pâques." La suite sur investir.lesechos.fr
Hongrie: quand Viktor Orbán joue les mamamouchis…
Par Pierre Waline
"Élève turbulent du fond de la classe, Viktor Orbán fait beaucoup parler de lui par les temps qui courent. Notamment pour s´être fait attribuer par sa majorité les pleins pouvoirs pour une durée illimitée, sorte d´article 16 permanent, prétextant de la crise du Covid-19. Profitant au passage de l´occasion pour renforcer son contrôle sur les médias et l´opinion. Ce qui lui vaut de se trouver une fois de plus sous le feu de la critique. Mais rassurez-vous, il adore çà, pour peu qu´on le place sur le devant de la scène.
Il est, par contre, une information qui est pratiquement passée inaperçue: sa conférence vidéo, vendredi dernier (le Vendredi Saint), avec les dirigeants du „Groupe turcique”. Alias Conseil des États turcs, mis en place pour rassembler, aux côtés de la Turquie, les peuples de l´Azerbaïdjan, du Kazakhstan, du Kirghizistan et de l´Ouzbekistan. Groupe auquel la Hongrie, qui en héberge le siège, s´était jointe en 2018 en tant qu´État observateur." La suite sur francianyelv.hu
"Élève turbulent du fond de la classe, Viktor Orbán fait beaucoup parler de lui par les temps qui courent. Notamment pour s´être fait attribuer par sa majorité les pleins pouvoirs pour une durée illimitée, sorte d´article 16 permanent, prétextant de la crise du Covid-19. Profitant au passage de l´occasion pour renforcer son contrôle sur les médias et l´opinion. Ce qui lui vaut de se trouver une fois de plus sous le feu de la critique. Mais rassurez-vous, il adore çà, pour peu qu´on le place sur le devant de la scène.
Il est, par contre, une information qui est pratiquement passée inaperçue: sa conférence vidéo, vendredi dernier (le Vendredi Saint), avec les dirigeants du „Groupe turcique”. Alias Conseil des États turcs, mis en place pour rassembler, aux côtés de la Turquie, les peuples de l´Azerbaïdjan, du Kazakhstan, du Kirghizistan et de l´Ouzbekistan. Groupe auquel la Hongrie, qui en héberge le siège, s´était jointe en 2018 en tant qu´État observateur." La suite sur francianyelv.hu
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Hongrie: Viktor Orban a-t-il piégé ses adversaires ?
"L’exécutif hongrois n’a pas encore abusé des pouvoirs exceptionnels dont
le Parlement l’a doté à ses propres dépens, suscitant la stupeur dans
l’Union et s’attirant les foudres de la Commission et du Parlement
européen, mais aussi de l’Onu et d’autres organisations internationales.
Mais la société civile reste sur ses gardes." La suite sur lalibre.be (article payant)
Réfugiés: La Pologne, la Tchéquie et la Hongrie sous le coup de la justice européenne
"Varsovie – La Pologne, la République Tchèque et la Hongrie sont sous
le coup de sanctions de la justice de l’Union Européenne en raison de
leur refus des années durant, de respecter leurs quotes-parts relatives à
l’accueil de réfugiés à l’instar des autres Etats membres de l’UE.
Ces trois pays ont tenté en vain de gagner du temps en évitant durant cinq ans, la mise en œuvre de la décision sur le respect de la quote-part de chaque pays membre, d’accueillir des demandeurs d’asile qui s’entassaient dans des centres d’accueil en Grèce et en Italie, mais la décision de la Cour de justice européenne (CJUE) est intervenue pour rappeler à l’ordre les trois Etats quant au nécessaire respect des engagements européens.
La CJUE a rendu récemment une décision contraignant la Pologne, la Hongrie et la République tchèque à se conformer à la décision de Bruxelles en 2015 attribuant à chaque pays membre sa quote-part d’accueil de réfugiés dans le cadre de la solidarité continentale, alors que les pays d’Europe orientale concernés ne s’étaient pas soumis à cette décision, arguant de l’existence de leur propre plan sur cette question notamment celui d’apporter une aide directe aux pays émetteurs de demandeurs d’asile, un argument jugé peu convaincant pour la Commission européenne." La suite sur mapexpress.ma
Ces trois pays ont tenté en vain de gagner du temps en évitant durant cinq ans, la mise en œuvre de la décision sur le respect de la quote-part de chaque pays membre, d’accueillir des demandeurs d’asile qui s’entassaient dans des centres d’accueil en Grèce et en Italie, mais la décision de la Cour de justice européenne (CJUE) est intervenue pour rappeler à l’ordre les trois Etats quant au nécessaire respect des engagements européens.
La CJUE a rendu récemment une décision contraignant la Pologne, la Hongrie et la République tchèque à se conformer à la décision de Bruxelles en 2015 attribuant à chaque pays membre sa quote-part d’accueil de réfugiés dans le cadre de la solidarité continentale, alors que les pays d’Europe orientale concernés ne s’étaient pas soumis à cette décision, arguant de l’existence de leur propre plan sur cette question notamment celui d’apporter une aide directe aux pays émetteurs de demandeurs d’asile, un argument jugé peu convaincant pour la Commission européenne." La suite sur mapexpress.ma
La Hongrie augmente les impôts des grandes entreprises
"La Hongrie a augmenté les impôts des
grandes entreprises pour créer un fonds spécial pour faire face à
l’épidémie de coronavirus.
Plus
précisément, le gouvernement de la Hongrie a annoncé la création d’un
fonds spécial, doté de quelque 1 800 millions d’euros, financé par des
fonds publics et également avec un taux spécial à payer par les entités
financières et les sociétés multinationales, entre autres.
Gergely Gulyás, le ministre de l’Intérieur, a précisé que 1 033 millions d’euros proviendront du budget de l’État." La suite sur breakingnews.fr
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« Une catastrophe sociale se déroule en Hongrie ». Le plan de sauvetage économique d’Orbán critiqué
"Le « plus grand programme de sauvetage économique de tous les temps » annoncé en début de semaine n’est pas à la hauteur pour faire face à la catastrophe sociale qui a déjà débuté, estiment l’ensemble des partis d’opposition et des économistes hongrois. Le premier ministre Orbán a annoncé lundi un programme de sauvetage
de l’économie hongroise et ses ministres de l’Économie et de
l’Innovation en ont précisé les contours mardi. L’État va réunir un
total de 9 200 milliards de forints, soit 25 milliards d’euros, pour
amortir les effets économiques ravageurs de la pandémie causée par le
coronavirus en Hongrie au cours des mois et années à venir. Cela
équivaut à 18-20 % de la richesse produite en Hongrie en un an (PIB), a
précisé le gouvernement. Pour se faire, le budget annuel a été
entièrement retoqué et le déficit public sera porté de 1 % à 2,7 %.
Viktor Orbán s’est refusé à creuser plus profondément la dette publique,
malgré la levée de la règle d’or des 3 % par la Commission européenne
pour laisser la main libre aux États dans cette période de crise." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
vendredi 10 avril 2020
La « Maison de la Terreur » de Budapest, un musée trop politique ?
"Dans le quartier de Terézváros, dans le 6e arrondissement de Budapest,
au croisement des rues Andrássy et Csengery, se dresse un musée qui est
rapidement devenu un passage obligé pour tout visiteur venu passer
quelques jours dans la capitale hongroise : la Maison de la Terreur
(Terror Háza). Associant étroitement et à dessein les deux
totalitarismes que sont le nazisme et le communisme dans son acception
stalinienne, la Maison de la Terreur présente une exposition permanente
efficace, mais relativement sommaire, et surtout non exempte
d’intentions plus politiques . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Covid-19 : "En tuant le coronavirus, nous ne devons pas aussi tuer la démocratie"
"Věra Jourová, vice-présidente de la Commission européenne en charge des valeurs et de la transparence, est l'invitée de The Global Conversation sur euronews. Elle revient sur les mesures d'urgence prises par de nombreux Etats membres pour faire face à la crise du coronavirus, sur la diffusion de fausses informations, mais aussi sur la situation en Hongrie en matière de respect de l'Etat de droit. Věra Jourová prévient : "Il est temps d'utiliser un nouvel instrument la conditionnalité des fonds de l'UE au respect de l'État de droit. Si quelqu'un ne comprend pas l’intérêt de défendre nos valeurs, il comprendra peut-être le langage de l'argent." La suite sur euronews.com
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