lundi 12 juin 2023

Marcel Aymé, Kálmán Mikszáth, deux écrivains en province


"Il n’y a pas besoin de chercher beaucoup plus loin que leurs titres pour savoir que, dans l’un des deux romans d’aujourd’hui, tout repose sur un parapluie et que dans l’autre tout part d’une jument (verte). En ce qui concerne leurs auteurs, Le parapluie de Saint Pierre et La jument verte n’ont rien en commun : lorsque Kálmán Mikszáth, le hongrois, décède en 1910, Marcel Aymé, le français, (né en 1902) était encore en culottes courtes, et je doute fortement que le Français ait lu le Hongrois, dont seules quelques nouvelles avaient paru en traduction de son vivant (dans un recueil publié chez Seghers en 1961).

Pourtant, ces deux auteurs auraient pu avoir bien des choses à se dire, puisque leurs deux romans, parus en 1895 et 1933 respectivement, parlent des gens de la campagne et des petites villes « d’antan », l’un pour en rire, et l’autre plus franchement pour s’en moquer." La suite sur passagealest.wordpress.com

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