"Trois siècles de l'histoire d'une grande famille consignés par les fils aînés. Douze chapitres, douze destins. Par Miklós Vámos.
TROIS CENTS ANS de batailles, de duels, de pogroms et de razzias. Et pourtant. Les héros du Hongrois Miklós Vámos affrontent toujours leur destin violent avec la même indifférence souriante. Du début du XVIIIe siècle à la veille du nouveau millénaire, les membres de la maison Csillag-Stern meurent rarement dans leur lit. Prompts à se lancer dans de nouvelles entreprises, d'imprimerie, de vignoble ou de verrerie, comme à se laisser bercer par la douceur de la musique ou des études, ses rejetons courent d'un bout à l'autre de ce pays qui n'en est pas un, pris en tenailles, ou en otage, entre les empires. La peur les saisit à peine à l'instant ultime, happés qu'ils sont par leurs étranges visions. Dans les grandes sagas, les destins individuels importent peu. Seule compte la survie de la lignée." Suite de l'article dans Le Figaro du 30 août 2007
Voir aussi l'article paru sur le Blog des Mardis hongrois de Paris
TROIS CENTS ANS de batailles, de duels, de pogroms et de razzias. Et pourtant. Les héros du Hongrois Miklós Vámos affrontent toujours leur destin violent avec la même indifférence souriante. Du début du XVIIIe siècle à la veille du nouveau millénaire, les membres de la maison Csillag-Stern meurent rarement dans leur lit. Prompts à se lancer dans de nouvelles entreprises, d'imprimerie, de vignoble ou de verrerie, comme à se laisser bercer par la douceur de la musique ou des études, ses rejetons courent d'un bout à l'autre de ce pays qui n'en est pas un, pris en tenailles, ou en otage, entre les empires. La peur les saisit à peine à l'instant ultime, happés qu'ils sont par leurs étranges visions. Dans les grandes sagas, les destins individuels importent peu. Seule compte la survie de la lignée." Suite de l'article dans Le Figaro du 30 août 2007
Voir aussi l'article paru sur le Blog des Mardis hongrois de Paris