"Présentée à la Berlinale de 1994, la fresque monumentale du Hongrois
Béla Tarr, sombre et impressionnante allégorie de l'écroulement du
modèle soviétique, est ressorti en salle depuis le 12 février dernier, à
la faveur d'une restauration numérique supervisée par son auteur.
C'est un long voyage de 439 minutes auquel nous invite Béla Tarr. Le cinéaste hongrois, avec son film Satantango qui vient de ressortir en salle à l'occasion de sa restauration numérique, plonge aux confins de la nature humaine.
Peu de films méritent autant que celui-ci le terme d'expérience. Satantango
ne peut pas simplement être regardé du coin de l’œil : il faut s'y
engouffrer, plonger dans son cours labyrinthique et lancinant, au risque
peut-être de ne plus jamais en ressortir. D'abord parce que le film
affiche la durée assez inhabituelle de 7h30 (quoique, à l'ère du binge-watching, cela n'a plus grand chose d'impressionnant...), mais aussi parce que chacun de ses plans ressemble à ce que Stéphane Mallarmé écrivait au sujet du tombeau d'Edgar Poe : un « calme bloc ici-bas chu d'un désastre obscur ». " La suite sur franceculture.fr
samedi 29 février 2020
vendredi 28 février 2020
Le roman du siège de Budapest : Libération de Sandor Marai
"Dans son Journal, Sandor Marai décrit les conditions de vie
apocalyptiques des habitants de Budapest durant l’hiver 1944. Cet
hiver-là, les nazis, appuyés par des miliciens hongrois, avaient décidé
de faire de la capitale hongroise une forteresse destinée à enrayer la
progression de l’Armée rouge.
Au cours de cet hiver 1944-1945, Marai vivait caché dans la petite ville de Leanyfalu. Sa femme étant juive, elle aurait risqué d’être déportée à Auschwitz, ou de succomber à l'une de ces « marches de la mort » en direction de l’Autriche au cours desquelles ont été péri plusieurs centaines de milliers de Juifs hongrois.
Mais aussi longtemps que cela fut possible, l’écrivain retournait dans la capitale pour s’assurer que son appartement n’avait pas été bombardé. Hélas, ce fut finalement le cas. Et Marai ne put sauver, dans les décombres, que quelques uns des livres de son imposante bibliothèque – 5 000 volumes.
A la fin du cauchemar, encore sous le coup des témoignages qu’il avait recueilli dans Budapest en ruines, il écrivit un roman qui restitue cet épisode méconnu, chez nous, de la Deuxième guerre mondiale. Et les leçons qu’il en tira valent pour toutes les situations de crise extrême ; pour toutes les transitions d’un monde à l’autre. Ce roman s’intitule Libération." La suite et à écouter (5 mn) sur franceculture.fr
Au cours de cet hiver 1944-1945, Marai vivait caché dans la petite ville de Leanyfalu. Sa femme étant juive, elle aurait risqué d’être déportée à Auschwitz, ou de succomber à l'une de ces « marches de la mort » en direction de l’Autriche au cours desquelles ont été péri plusieurs centaines de milliers de Juifs hongrois.
Mais aussi longtemps que cela fut possible, l’écrivain retournait dans la capitale pour s’assurer que son appartement n’avait pas été bombardé. Hélas, ce fut finalement le cas. Et Marai ne put sauver, dans les décombres, que quelques uns des livres de son imposante bibliothèque – 5 000 volumes.
A la fin du cauchemar, encore sous le coup des témoignages qu’il avait recueilli dans Budapest en ruines, il écrivit un roman qui restitue cet épisode méconnu, chez nous, de la Deuxième guerre mondiale. Et les leçons qu’il en tira valent pour toutes les situations de crise extrême ; pour toutes les transitions d’un monde à l’autre. Ce roman s’intitule Libération." La suite et à écouter (5 mn) sur franceculture.fr
Le légendaire János Göröcs est décédé
"János Göröcs, le talentueux attaquant hongrois qui avait
marqué un but dans le tout premier match de la Coupe d’Europe des
Nations – l’actuel Championnat d’Europe de football de l’UEFA – en 1958,
s’est éteint à l’âge de 80 ans.
Né à Gánt, Göröcs a disputé 62 rencontres avec la Hongrie et remporté une médaille de bronze lors du Tournoi olympique en 1960. Il est devenu une légende grâce à une carrière de quinze ans au sein du club Újpest Dózsa, qu’il a rejoint en 1957, à l’âge de 18 ans, lorsque le club était encore appelé Budapest Dózsa.
Se faisant déjà remarquer comme buteur lors de ses débuts dans le club la même année, Göröcs s’est rapidement frayé un chemin vers l’équipe nationale hongroise. Le 28 septembre 1958 à Moscou, lors du tout premier match de la Coupe d’Europe des Nations, il a marqué le but hongrois lors du huitième de finale aller contre l’URSS, qui s’est soldé par une défaite de la Hongrie 1-3. Ce but a été l’un des 19 qu’il a inscrits pour les Magyars entre 1958 et 1970." La suite sur uefa.com
Né à Gánt, Göröcs a disputé 62 rencontres avec la Hongrie et remporté une médaille de bronze lors du Tournoi olympique en 1960. Il est devenu une légende grâce à une carrière de quinze ans au sein du club Újpest Dózsa, qu’il a rejoint en 1957, à l’âge de 18 ans, lorsque le club était encore appelé Budapest Dózsa.
Se faisant déjà remarquer comme buteur lors de ses débuts dans le club la même année, Göröcs s’est rapidement frayé un chemin vers l’équipe nationale hongroise. Le 28 septembre 1958 à Moscou, lors du tout premier match de la Coupe d’Europe des Nations, il a marqué le but hongrois lors du huitième de finale aller contre l’URSS, qui s’est soldé par une défaite de la Hongrie 1-3. Ce but a été l’un des 19 qu’il a inscrits pour les Magyars entre 1958 et 1970." La suite sur uefa.com
Hongrie : un coach italien écarté à cause du coronavirus
"Les Hongrois n'ont viblement toujours pas digéré la finale de 1938.
Le Budapest Honvéd a annoncé ce jeudi avoir mis à l'écart son entraîneur italien Giuseppe Sannino, ainsi que son assistant, par mesure de sécurité. L'intéressé est soupçonné d'avoir récemment côtoyé des individus vivant dans des zones touchées par le coronavirus. Dans un communiqué, les dirigeants budapestois s'expliquent : « Honvéd s'est engagé à faire face à la crise sanitaire et à limiter la propagation de l'épidémie, explique le club dans un communiqué." La suite sur sofoot.com
Le Budapest Honvéd a annoncé ce jeudi avoir mis à l'écart son entraîneur italien Giuseppe Sannino, ainsi que son assistant, par mesure de sécurité. L'intéressé est soupçonné d'avoir récemment côtoyé des individus vivant dans des zones touchées par le coronavirus. Dans un communiqué, les dirigeants budapestois s'expliquent : « Honvéd s'est engagé à faire face à la crise sanitaire et à limiter la propagation de l'épidémie, explique le club dans un communiqué." La suite sur sofoot.com
A la frontière serbo-hongroise, le business des passeurs
"En principe à leur arrivée en Hongrie, les demandeurs d'asile doivent
être enregistrés par les autorités. Or chaque jour des centaines de
réfugiés passent la frontière serbo-hongroise en contournant la police
pour échapper aux prises d'empreintes. Une situation qui fait le bonheur
des passeurs hongrois, qui arrivent à facturer le passage entre les
deux pays 200 € par personne." Vidéo sur lefigaro.fr
jeudi 27 février 2020
Hongrie : Viktor Orbán cible les Roms
"En Hongrie, Viktor Orbán attise la tension avec les Roms. Le Premier
ministre a critiqué un jugement de la cour suprême hongroise qui
condamne l'Etat à verser des dédommagements à des jeunes sœurs roms
victimes de ségrégation scolaire.
Viktor Orbán est-il en train de lancer une campagne contre les Roms ? Les Roms, qui forment 8% de la population hongroise, sont sédentaires et parlent la langue nationale. Récemment, soixante jeunes, victimes de ségrégation scolaire, ont été indemnisés par la justice. Ce n’est pas le premier procès du genre. Mais le Premier ministre remet en cause cette décision et attise les tensions ethniques.
Tout cela se passe dans un village du Nord où le parti d’extrême-droite Jobbik avait tenté il y a neuf ans de fomenter des troubles inter-ethniques en terrorisant les Roms avec ses milices. Depuis, le Jobbik a abandonné son discours anti-Tziganes. Le parti est devenu plus "centriste", alors qu’Orbán, lui, vire de plus en plus à l’extrême droite.
Florence La Bruyère s’est rendue dans ce village où l’ambiance est tendue, entre les Roms indignés par les propos du dirigeant et les habitants jaloux de l’argent qu’empocheraient les victimes." La suite et reportage à écouter sur franceculture.fr
Viktor Orbán est-il en train de lancer une campagne contre les Roms ? Les Roms, qui forment 8% de la population hongroise, sont sédentaires et parlent la langue nationale. Récemment, soixante jeunes, victimes de ségrégation scolaire, ont été indemnisés par la justice. Ce n’est pas le premier procès du genre. Mais le Premier ministre remet en cause cette décision et attise les tensions ethniques.
Tout cela se passe dans un village du Nord où le parti d’extrême-droite Jobbik avait tenté il y a neuf ans de fomenter des troubles inter-ethniques en terrorisant les Roms avec ses milices. Depuis, le Jobbik a abandonné son discours anti-Tziganes. Le parti est devenu plus "centriste", alors qu’Orbán, lui, vire de plus en plus à l’extrême droite.
Florence La Bruyère s’est rendue dans ce village où l’ambiance est tendue, entre les Roms indignés par les propos du dirigeant et les habitants jaloux de l’argent qu’empocheraient les victimes." La suite et reportage à écouter sur franceculture.fr
Libellés :
Education,
Enseignement,
Extrême-droite,
Racisme,
Roms
Le Fidesz et le Rassemblement national tombent sur la CEDH
"Après un jugement favorable aux détenus dans les prisons en France et
en Hongrie, la Cour européenne des droits de l’Homme se trouve accusée
par les deux partis souverainistes d'être aux mains de George Soros.
Mardi, le parlement hongrois a approuvé la proposition du gouvernement de Viktor Orbán de suspendre le versement des indemnisations à des détenus qui ont subi des mauvaises conditions de détention . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Mardi, le parlement hongrois a approuvé la proposition du gouvernement de Viktor Orbán de suspendre le versement des indemnisations à des détenus qui ont subi des mauvaises conditions de détention . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Libellés :
Antisémitisme,
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Turbulences de David Szalay: comme des oiseaux sans ailes
"Douze avions, douze voyageurs liés entre eux par le hasard dans un monde qui va trop vite et nulle part.
C’était il y a deux ans. On découvrait un
nouvel auteur né à Montréal en 1974, élevé à Londres, vivant à Budapest
et écrivant en anglais. Avec Ce qu’est l’homme, David Szalay
offrait moins un imposant roman qu’un collage très habile de longues
nouvelles. Un vrai grand texte mêlant les destins d’hommes âgés de 17 à
73 ans, de toutes nationalités, croqués dans leur solitude, dans la
banalité de leur quotidien. Un portrait étonnant et féroce de l’Europe
du XXIe siècle en neuf tableaux.
À lire aussi : Ce qu’est l’homme, de David Szalay: belle désolation
Deux ans plus tard, il revient avec Turbulences, un court volume que l’éditeur intitule «roman» même si la construction est identique à celle de Ce qu’est l’homme.
Identique à un détail près: cette fois, les douze textes sont liés les
uns aux autres. Mais foin de technique narrative. L’essentiel est dans
le contenu, cette chaîne de destins qu’une invention magique relie:
l’avion." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
L’avenir du marché hongrois des télécommunications en 2020
"Tendances, perspectives et opportunités de croissance des marchés du mobile, du fixe et du haut débit.
Le rapport sur les télécommunications en Hongrie – 8e série de OGAnalysis fournit une vue complète de l’écosystème des télécommunications en Hongrie ainsi que les tendances et les facteurs de croissance qui façonnent l’avenir du marché.
Demandez un échantillon de ce rapport @ https://www.orbisresearch.com/contacts/request-sample/2723376La future proposition de valeur pour le marché des télécommunications en Hongrie jusqu’en 2025 est détaillée dans le rapport. Elle impose également des impératifs pour gagner des parts de marché dans un secteur des télécommunications hautement compétitif. Il offre une profondeur et une ampleur inégalées dans les moteurs, les défis, les tarifs, la concurrence, le comportement des abonnés, l’infrastructure, le soutien réglementaire et autres." La suite sur journallaction.com
Le rapport sur les télécommunications en Hongrie – 8e série de OGAnalysis fournit une vue complète de l’écosystème des télécommunications en Hongrie ainsi que les tendances et les facteurs de croissance qui façonnent l’avenir du marché.
Demandez un échantillon de ce rapport @ https://www.orbisresearch.com/contacts/request-sample/2723376La future proposition de valeur pour le marché des télécommunications en Hongrie jusqu’en 2025 est détaillée dans le rapport. Elle impose également des impératifs pour gagner des parts de marché dans un secteur des télécommunications hautement compétitif. Il offre une profondeur et une ampleur inégalées dans les moteurs, les défis, les tarifs, la concurrence, le comportement des abonnés, l’infrastructure, le soutien réglementaire et autres." La suite sur journallaction.com
Coronavirus. Deux matchs d’Euroligue féminine de basket annulés en Italie
"Les équipes féminines de basket lettones et hongroises de Riga et Sopron devaient
affronter, mercredi 26 février 2020, les équipes italiennes de Venise et
de Schio en Euroligue. Les matches ont été reportés avant d’être
finalement annulés par la Fédération internationale de basket (Fiba).
Deux matchs d’Euroligue de basket féminine concernant des équipes italiennes, Venise contre les Lettones de Riga et Schio contre les Hongroises de Sopron, ont été annulés en raison du coronavirus, a déclaré, mercredi 26 février 2020, la Fiba Europe. Ces rencontres devaient normalement se dérouler ce même jour à Venise et à Schio, deux villes de Vénétie, province d’Italie du Nord touchée par l’épidémie." La suite sur ouest-france.fr
Deux matchs d’Euroligue de basket féminine concernant des équipes italiennes, Venise contre les Lettones de Riga et Schio contre les Hongroises de Sopron, ont été annulés en raison du coronavirus, a déclaré, mercredi 26 février 2020, la Fiba Europe. Ces rencontres devaient normalement se dérouler ce même jour à Venise et à Schio, deux villes de Vénétie, province d’Italie du Nord touchée par l’épidémie." La suite sur ouest-france.fr
Le musée hongrois des sciences naturelles devra quitter Budapest
"La décision du gouvernement de déménager les collections du musée dans la petite ville de Debrecen ne fait pas l’unanimité.
Le gouvernement veut transférer la collection du musée hongrois des sciences naturelles, qui contient plus de 10 millions d’objets, dans la petite ville de Debrecen à l’est du pays. La collection devra quitter le bâtiment historique du XIXe siècle qui l’abrite, l’Académie Ludovika à Budapest, pour accueillir l’Université nationale de l’administration publique
Mais selon les chercheurs, ce déplacement risquerait d’endommager les spécimens, de perturber des projets de recherche en cours et de rendre les futurs projets difficiles, le nouvel emplacement étant très éloigné, rapporte la revue scientifique Nature. Parmi ses objets les plus précieux figurent des spécimens provenant de Mongolie, d’Asie du Sud-Est et..." La suite sur lejournaldesarts.fr (article payant)
Le gouvernement veut transférer la collection du musée hongrois des sciences naturelles, qui contient plus de 10 millions d’objets, dans la petite ville de Debrecen à l’est du pays. La collection devra quitter le bâtiment historique du XIXe siècle qui l’abrite, l’Académie Ludovika à Budapest, pour accueillir l’Université nationale de l’administration publique
Mais selon les chercheurs, ce déplacement risquerait d’endommager les spécimens, de perturber des projets de recherche en cours et de rendre les futurs projets difficiles, le nouvel emplacement étant très éloigné, rapporte la revue scientifique Nature. Parmi ses objets les plus précieux figurent des spécimens provenant de Mongolie, d’Asie du Sud-Est et..." La suite sur lejournaldesarts.fr (article payant)
Portrait du chef Ferenc Fricsay
Le chef Ferenc Fricsay (1961), © Getty / Erich Auerbach / coll. Hulton Archive |
Ferenc Fricsay est né le 9 août 1914. De manière indirecte, sa vie sera marquée par les deux conflits mondiaux, ou du moins leurs conséquences. Ce chef hongrois a commencé la direction très tôt. Pourtant, sa carrière internationale mettra du temps à prendre son essor. Par ailleurs, alors que la précision et la mise en place ne sont pas toujours des valeurs absolues dans les années 1950, Ferenc Fricsay se démarque par un grand attachement à la technique. Travailleur, il a produit une abondante discographie (symphonies, opéras...). Il meurt en 1963, à seulement 48 ans." A écouter sur francemusique.fr (1 h 58 mn)
mercredi 26 février 2020
"Ecrire pour son tiroir", la malédiction des écrivains d'Europe centrale
"Ecrire pour son tiroir" : l'expression existe dans toutes les langues
d’Europe centrale pour dire que pour un écrivain, il est devenu
matériellement impossible ou moralement indigne de continuer à publier.
Mais qu’est-ce qu’un écrivain dont les écrits ne peuvent plus rencontrer
de lecteurs ?
Le Journal de l'écrivain hongrois Sándor Márai s’ouvre sur sa décision de ne plus écrire pour les journaux.
Aujourd’hui, la liberté de la presse a disparu et l’écriture journalistique s’est avilie jusqu’à ne plus exprimer qu’une opinion insipide et balbutiante sur les événements ; elle humilie et corrompt profondément l’écrivain. (…) A présent, je dois me taire. On ne peut plus vivre en Hongrie autrement que dans une émigration intérieure. Sándor Márai
Désormais, Márai n’écrira plus que "pour son tiroir". " La suite sur franceculture.fr
Le Journal de l'écrivain hongrois Sándor Márai s’ouvre sur sa décision de ne plus écrire pour les journaux.
Aujourd’hui, la liberté de la presse a disparu et l’écriture journalistique s’est avilie jusqu’à ne plus exprimer qu’une opinion insipide et balbutiante sur les événements ; elle humilie et corrompt profondément l’écrivain. (…) A présent, je dois me taire. On ne peut plus vivre en Hongrie autrement que dans une émigration intérieure. Sándor Márai
Désormais, Márai n’écrira plus que "pour son tiroir". " La suite sur franceculture.fr
Les Hongrois se marient à tour de bras
"Plus de 60 000 couples se sont passé la bague au doigt en 2019, soit
presque deux fois plus qu’en 2010, année de l’arrivée au pouvoir du
Fidesz du Premier ministre Viktor Orban. Les chiffres font la fierté du
gouvernement ultraconservateur hongrois, grand défenseur de
« Effet d’aubaine »
Pour Livia Murinko, du bureau central des statistiques,
l’identité chrétiennedu pays : c’est donc que sa politique porte ses fruits !
« Effet d’aubaine »
Pour Livia Murinko, du bureau central des statistiques,
beaucoup de Hongrois qui vivent en concubinage saisissent l’opportunité pour profiter d’un effet d’aubaineque les avantages du mariage procurent désormais. Outre une petite ristourne fiscale d’une vingtaine d’euros par mois, les jeunes mariés qui signent la promesse d’enfanter peuvent espérer une prime, jusqu’à 30 000 € pour trois enfants, et un crédit d’une somme équivalente, à taux préférentiel, pour acheter un logement." La suite sur ouest-france.fr
Libellés :
Démographie,
Famille,
Natalité,
Religion
Crimes, vols, enlèvements : comment l’odorologie vient en aide à la police
"Sidonie Bonnec, Thomas Hugues et leur invité vous emmènent dans les coulisses de l'unique laboratoire d'odorologie en France.
L'odeur humaine est unique et propre à chaque individu. Baptisée « odorologie », cette méthode d’identification, mise au point en Hongrie, est utilisée depuis plus de 10 ans en France par la sous-direction de la police technique et scientifique de la direction centrale de la police judiciaire. Cette technique repose essentiellement sur la performance des chiens qui disposent d’une puissance de détection des odeurs inégalable. On pénètre dans ce laboratoire unique en France avec nos invités Guillaume d’Alessandro journaliste du magazine We Demain et Olivier Bregeras, chef du groupe Odorologie au Service central de la police technique et scientifique (SCPTS)." La suite et à écouter sur rtl.fr
L'odeur humaine est unique et propre à chaque individu. Baptisée « odorologie », cette méthode d’identification, mise au point en Hongrie, est utilisée depuis plus de 10 ans en France par la sous-direction de la police technique et scientifique de la direction centrale de la police judiciaire. Cette technique repose essentiellement sur la performance des chiens qui disposent d’une puissance de détection des odeurs inégalable. On pénètre dans ce laboratoire unique en France avec nos invités Guillaume d’Alessandro journaliste du magazine We Demain et Olivier Bregeras, chef du groupe Odorologie au Service central de la police technique et scientifique (SCPTS)." La suite et à écouter sur rtl.fr
Hongrie : contrôle de température à l'aéroport Franz Liszt
"En Hongrie, aucun cas de coronavirus n’a encore été détecté mais 11
collégiennes, deux professeurs accompagnateurs et deux chauffeurs de bus
partis séjourner plusieurs semaines à Milan ont été officiellement
placés en quarantaine à l’hôpital Szent László de Budapest dès leur
retour d’Italie, dimanche 23 février au soir, relate le portail 444. “Les
élèves étaient logées à treize kilomètres seulement de la zone rouge et
empruntaient fréquemment les transports en commun autour du nord-est de
la ville, d’où le rapatriement immédiat ordonné par les autorités
sanitaires hongroises”, précise le site." La suite sur courrierinternational.com
Une croisière sur le Danube à la découverte des Balkans et de l’Europe centrale !
12 jours et 11 nuits, du 18 au 29 juillet 2020
A bord de l’Amadeus Elegant, un bateau de grand confort pour 148 passagers seulement
9 pays traversés
9 conférences incluses dans le prix de la croisière
5 conférenciers experts à bord avec vous
Une croisière 100% francophone
Un encadrement de qualité
A bord de l’Amadeus Elegant, un bateau de grand confort pour 148 passagers seulement
9 pays traversés
9 conférences incluses dans le prix de la croisière
5 conférenciers experts à bord avec vous
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Un encadrement de qualité
Une extension possible en TransylvanieDepuis des siècles, le Danube est un fleuve qui rassemble des peuples et des cultures multiples. Naviguer entre Roumanie, Bulgarie, Serbie, Croatie, Hongrie, Slovaquie, Autriche et Allemagne est la meilleure manière de comprendre l’importance centrale de ce fleuve non seulement dans l’histoire de notre continent, mais aussi dans les imaginaires européens." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
Katalin Novák : « la politique familiale hongroise est à la fois conservatrice et moderne »
"Viktor Orbán l’a propulsée aux avant-postes de son gouvernement pour
mettre en place une politique familiale nataliste, pierre angulaire de
son programme national-conservateur. Entretien avec Katalin Novák,
secrétaire d’Etat à la famille et à la jeunesse, vice-présidente du
Fidesz, et figure principale du conservatisme à la hongroise à l’heure
actuelle.
Il n’est pas facile de rencontrer la ministre de la famille ! Katalin Novák, officiellement secrétaire d’Etat à la famille et à la jeunesse, a un emploi du temps chargé et voyage beaucoup pour représenter le Fidesz à l’étranger et lui trouver des alliés. Mais après plusieurs mois et quelques rendez-vous manqués, tout juste de retour d’une rencontre à Washington avec des membres de l’administration Trump, elle a accordé une heure d’entretien au Courrier d’Europe centrale, dans son bureau de la rue Szalay, non loin du parlement. Dans un français excellent et montrant un visage plus modéré que les formules choc telles que « nous voulons des bébés hongrois plutôt que des migrants », Katalin Novák a répondu à nos questions portant sur la politique familiale hongroises et ses mesures . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Il n’est pas facile de rencontrer la ministre de la famille ! Katalin Novák, officiellement secrétaire d’Etat à la famille et à la jeunesse, a un emploi du temps chargé et voyage beaucoup pour représenter le Fidesz à l’étranger et lui trouver des alliés. Mais après plusieurs mois et quelques rendez-vous manqués, tout juste de retour d’une rencontre à Washington avec des membres de l’administration Trump, elle a accordé une heure d’entretien au Courrier d’Europe centrale, dans son bureau de la rue Szalay, non loin du parlement. Dans un français excellent et montrant un visage plus modéré que les formules choc telles que « nous voulons des bébés hongrois plutôt que des migrants », Katalin Novák a répondu à nos questions portant sur la politique familiale hongroises et ses mesures . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Natalité
Statu quo pour la Banque centrale de Hongrie
"(AOF) - La Banque centrale de Hongrie (MNB) a maintenu mardi son
principal taux d'intérêt à 0,90%. Cette décision était attendue par les
économistes. « L'orientation de la politique monétaire restera
accommodante et les coûts de financement des agents économiques
demeureront favorables », a de nouveau expliqué l’institution dans un
communiqué." La suite sur capital.fr
mardi 25 février 2020
Sándor Márai, le Stefan Zweig hongrois
"On a souvent comparé l’écrivain hongrois Sándor Márai à Stefan Zweig. La
parenté entre ces deux intellectuels centre-européens est, en effet,
frappante. La publication du journal de Sándor Márai permet de revenir
sur le destin de deux grands esprits chassés de leur pays et morts en
exil.
L'écrivain hongrois Sándor Márai et l'Autrichien Stefan Zweig n’appartenaient pas exactement à la même génération : Zweig est né en 1881, et Márai, dix-neuf ans plus tard, en 1900. Et surtout, Márai est mort très âgé : il s’est suicidé, en exil, à San Diego en Californie, en 1989, à 89 ans. L’année de son propre suicide, accompli au Brésil, en 1942, Zweig, lui, n’en avait que 60.
Hormis le fait d’avoir mis fin à leurs jours en exil, chassés loin de leur patrie, ces deux écrivains ont en commun d’avoir été relativement négligés, puis redécouverts longtemps après leur disparition ; et leurs œuvres, d’avoir fait l’objet d’une réévaluation récente et amplement méritée. Elles s’accordent, l’une et l’autre, à un air du temps fait de nostalgie pour l’époque où l’Europe possédait un certain attrait, un certain charme." La suite sur franceculture.fr
L'écrivain hongrois Sándor Márai et l'Autrichien Stefan Zweig n’appartenaient pas exactement à la même génération : Zweig est né en 1881, et Márai, dix-neuf ans plus tard, en 1900. Et surtout, Márai est mort très âgé : il s’est suicidé, en exil, à San Diego en Californie, en 1989, à 89 ans. L’année de son propre suicide, accompli au Brésil, en 1942, Zweig, lui, n’en avait que 60.
Hormis le fait d’avoir mis fin à leurs jours en exil, chassés loin de leur patrie, ces deux écrivains ont en commun d’avoir été relativement négligés, puis redécouverts longtemps après leur disparition ; et leurs œuvres, d’avoir fait l’objet d’une réévaluation récente et amplement méritée. Elles s’accordent, l’une et l’autre, à un air du temps fait de nostalgie pour l’époque où l’Europe possédait un certain attrait, un certain charme." La suite sur franceculture.fr
En Europe de l’Est, la guerre du genre est déclarée
"ReportageEn
Pologne, Hongrie, Bulgarie ou Roumanie, la question des LGBT est
devenue un cheval de bataille des gouvernements. Dans plusieurs de ces
Etats de l’UE, des alliances anti-LGBT se sont créées entre « illibéraux
», mouvements catholiques ou organisations d’extrême droite.
« Swidnik n’est pas une ville, c’est un état d’esprit », ont
l’habitude de dire les habitants de cette cité ouvrière de 40 000
habitants, située dans l’est de la Pologne, en banlieue de Lublin,
chef-lieu de la région administrative du même nom, réputée parmi les
plus conservatrices du pays. Swidnik est un bastion historique du parti
conservateur nationaliste au pouvoir à Varsovie, Droit et justice (PiS).
Fin
janvier, elle s’est retrouvée au centre de l’attention des réseaux
sociaux et scrutée par toute l’Europe. Une photo du panneau d’entrée de
la ville, accompagné d’un second panneau en quatre langues indiquant
« zone sans LGBT », a fait le tour de la Toile, suscitant un tollé.
Plusieurs
eurodéputés se sont indignés au Parlement européen, à Strasbourg,
appelant la Commission à réagir. En réalité, il s’agissait d’une
performance d’un artiste local pour les droits des homosexuels. Son
objectif était de réagir à l’adoption, par la ville de Swidnik, en
mars 2019, d’une déclaration visant à rendre la commune « libre de l’idéologie LGBT » contre
« les radicaux qui visent à instaurer une révolution culturelle en
Pologne, et qui attaquent la liberté d’expression, l’innocence des
enfants, l’autorité de la famille et de l’école », selon le préambule du texte.
Swidnik
fut la première ville polonaise à adopter une telle déclaration.
Depuis, près de quatre-vingt-dix collectivités locales lui ont emboîté
le pas, situées essentiellement dans les régions conservatrices du
sud-est du pays." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Libellés :
Extrême-droite,
Homophobie,
Homosexualité,
LGBT
Endre Tót - Exposition du jeudi 20 février 2020 au samedi 25 avril 2020 Salle principale - La galerie
La galerie Salle Principale présente
pour la première fois le travail de l’artiste hongrois Endre Tót. Il est
l'une des figures emblématique de l'art conceptuel et du Mail art à
l'échelle internationale. Tót a développé ses idées conceptuelles avec
les séries de Nothingness, Joy ainsi que Rain à partir de 1971. La
première manifestation du Nothingness est apparue avec l'usage du
caractère Zéro qui s'inscrit sur différents supports et dans différents
médias. Les soi-disants Joysou Gladnesses de Tót étaient des parodies
humoristiques de la culture de l'optimisme qui ont occupé ses séries
d'actions et ses oeuvres durant de très longues années. L'exposition à
la galerie nous en délivre un certain nombre.
salle principale | la galerie
28, rue de Thionville
75019 Paris
+ 33 9 72 30 98 70
gallery@salleprincipale.com
mercredi au vendredi | 14 – 19 h
samedi | 11 – 19 h
et sur rendez-vous
www.salleprincipale.com
salle principale | la galerie
28, rue de Thionville
75019 Paris
+ 33 9 72 30 98 70
gallery@salleprincipale.com
mercredi au vendredi | 14 – 19 h
samedi | 11 – 19 h
et sur rendez-vous
www.salleprincipale.com
Libellés :
Art conceptuel,
Exposition,
Galerie
L’autoportrait au zéro ou le sourire d'Endre Tót
"Figure majeure du Mail art et de l'art conceptuel, l'artiste hongrois
Endre Tót fait l'objet d'une exposition monographique à la Galerie Salle
Principale à Paris, centrée sur les années 1971 à 1978, qui marque son
départ pour l'Allemagne. Pour Tót comme pour nombre d'artistes de l'Est,
le Mail art va être une formidable ouverture sur le monde. Il va faire
de l'optimisme son outil de résistance.
« I'm fed up with painting ». En 1972, considérant la toile comme un espace d'écriture dans lequel il exprime son abattement face à l'impossibilité d'exister en dehors de l'art institutionnel sous le régime dictatorial de Janos Kadar, alors premier secrétaire du parti communiste ouvrier hongrois, Endre Tót [1] (né à Sümeg, Hongrie, en 1937, vit et travaille à Cologne) abandonne la peinture – il la retrouvera bien des années plus tard – avec un tableau barré de ce slogan, sans nul doute le plus iconique de sa carrière, pour se consacrer à une production formellement conceptuelle. La Galerie Salle Principale à Paris revient sur cette période de création intense des années soixante-dix, durant laquelle l'artiste, jusque-là isolé en raison de la situation géopolitique régionale, accède tout à coup au monde, à la faveur d'une pratique nouvelle, simple, légère, rapide et étonnamment plutôt sûre : le Mail art, activité qui lui permet d'entretenir une correspondance avec des artistes du monde entier." La suite sur mediapart.fr
[1] Il est étudiant au Collège hongrois des arts et métiers de 1959 à 1965.
« I'm fed up with painting ». En 1972, considérant la toile comme un espace d'écriture dans lequel il exprime son abattement face à l'impossibilité d'exister en dehors de l'art institutionnel sous le régime dictatorial de Janos Kadar, alors premier secrétaire du parti communiste ouvrier hongrois, Endre Tót [1] (né à Sümeg, Hongrie, en 1937, vit et travaille à Cologne) abandonne la peinture – il la retrouvera bien des années plus tard – avec un tableau barré de ce slogan, sans nul doute le plus iconique de sa carrière, pour se consacrer à une production formellement conceptuelle. La Galerie Salle Principale à Paris revient sur cette période de création intense des années soixante-dix, durant laquelle l'artiste, jusque-là isolé en raison de la situation géopolitique régionale, accède tout à coup au monde, à la faveur d'une pratique nouvelle, simple, légère, rapide et étonnamment plutôt sûre : le Mail art, activité qui lui permet d'entretenir une correspondance avec des artistes du monde entier." La suite sur mediapart.fr
[1] Il est étudiant au Collège hongrois des arts et métiers de 1959 à 1965.
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lundi 24 février 2020
RSF déplore la reprise d’une procédure judiciaire contre un journaliste hongrois
"András Dezső, journaliste pour le site d’information hongrois Index,
doit affronter une procédure judiciaire sans fondement depuis déjà deux
ans. Il risque trois ans de prison. Reporters sans frontières (RSF)
demande plus de transparence dans cette affaire et appelle à la tenue
d’un procès équitable.
L’histoire commence en mars 2018, avec la publication d’un article sur Index, l’un des rares sites d’information indépendants hongrois. Le journaliste d’investigation András Dezső y
rapporte des propos polémiques de l’activiste suédo-hongroise Natalie
Contessa af Sandeberg. Interviewée par la chaîne de télévision publique
M1 - connue pour ses positions anti-migrants -, elle avait
tenu un discours très négatif concernant l’impact des nouveaux migrants
sur la société suédoise.
András Dezső décide alors d’enquêter sur cette
femme. En consultant des documents officiels accessibles à tous, il
découvre qu’en Suède, elle a été condamnée à sept reprises pour
diffamation, harcèlement et “atteinte à la confiance du public”,
et a dû payer de fortes amendes. Le journaliste constate aussi qu’elle
avait menti sur ses conditions de vie en Hongrie et en Suède." La suite sur rsf.org
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Plusieurs milliers de manifestants à Budapest contre la campagne anti-Roms du pouvoir
« Personne n'est au-dessus de la loi », pouvait-on lire sur une pancarte
dans la foule qui s'est rassemblée dimanche pour protester contre le
gouvernement qui bloque l'indemnisation prévue par la justice pour une
soixantaine de jeunes roms.
Dimanche en début d’après-midi, quelques milliers de personnes se sont rassemblées proche de la gare Nyugati, puis se sont déplacées en cortège jusqu'à la Cour Suprême et jusque devant le parlement . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Dimanche en début d’après-midi, quelques milliers de personnes se sont rassemblées proche de la gare Nyugati, puis se sont déplacées en cortège jusqu'à la Cour Suprême et jusque devant le parlement . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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"L’Analphabète" revient à l’Artistic Théâtre
"Après avoir triomphé en novembre et décembre derniers sur la scène de ce
théâtre du XIe arrondissement parisien, le récit autobiographique
d’Agota Kristof y est repris depuis le 25 janvier. Toujours dans la mise
en scène de Catherine Salviat qui en est aussi l'interprète. Les
habitués de cette salle se souviendront qu’il y a deux ans ils avaient
eu le plaisir de retrouver celle qui eut une carrière exceptionnelle à
la Comédie-française et en est maintenant sociétaire honoraire, dans la
pièce du dramaturge britannique Martin Crimp "Probablement les Bahamas".
"L’analphabète" n’est pas une nouveauté pour Catherine Salviat, elle l’a déjà interprétée ces dernières années au théâtre parisien des Déchargeurs dans une mise en scène du franco-libanais Nabil El Azan.
Mais pour elle, "Il ne s’agit pas de rejouer ce très beau spectacle qui a eu sa vie propre, mais de continuer à faire entendre un récit extraordinaire au fil duquel Agota Kristof, en racontant cette irrésistible poussée vers l’écriture, revient à ses années d’enfance, à sa découverte de la lecture et à cet exil politique qui l’a privée des siens, de son pays natal et peu à peu de sa langue maternelle, faisant d’elle, qui était pourtant déjà poète en Hongrie, en Suisse, une analphabète"." La suite sur podcastjournal.net
L'Analphabète
25/11/2019 - 19:00 au 15/03/2020 - 15:00 Artistic Théâtre
45 bis rue Richard Lenoir - 75011 Paris
Pour réserver
"L’analphabète" n’est pas une nouveauté pour Catherine Salviat, elle l’a déjà interprétée ces dernières années au théâtre parisien des Déchargeurs dans une mise en scène du franco-libanais Nabil El Azan.
Mais pour elle, "Il ne s’agit pas de rejouer ce très beau spectacle qui a eu sa vie propre, mais de continuer à faire entendre un récit extraordinaire au fil duquel Agota Kristof, en racontant cette irrésistible poussée vers l’écriture, revient à ses années d’enfance, à sa découverte de la lecture et à cet exil politique qui l’a privée des siens, de son pays natal et peu à peu de sa langue maternelle, faisant d’elle, qui était pourtant déjà poète en Hongrie, en Suisse, une analphabète"." La suite sur podcastjournal.net
L'Analphabète
25/11/2019 - 19:00 au 15/03/2020 - 15:00 Artistic Théâtre
45 bis rue Richard Lenoir - 75011 Paris
Pour réserver
Yona Friedman, l’utopiste des licornes s’est envolé
À quoi ressemble un utopiste? À un homme
infiniment gracieux, courtois gentleman à la douceur Mitteleuropa, à un
exilé rêveur dont l’accent évoquait la lointaine naissance à Budapest en
1923, à un intellectuel qui ne parlait pas pour ne rien dire. Yona
Friedman avait 96 ans et une curiosité d’enfant. Il n’a pas eu besoin de
dessiner une femme licorne, immense extraterrestre, sur les collines de
l’île de Vassivière (Limousin) en 2009 pour toucher du doigt le mythe.
Cet artiste visionnaire de l’«architecture mobile» et de la «ville
spatiale», fut mis à l’honneur sous les voûtes de l’Arsenal, la même
année, à la Biennale de Venise.
«Figure absolument contemporaine, ni architecte, ni artiste, ni théoricien»,
il fut et reste un modèle pour nombre d’artistes, d’architectes et de
jeunes émules, admiratifs de son intellect comme de sa fantaisie. Ce
sont eux, des artistes Mircea Cantor le Franco-Roumain et Camille Henrot la Française au duo d’architectes Jakob & MacFarlane, qui ont annoncé sa mort sur les réseaux sociaux vendredi 21 février." La suite sur lefigaro.fr
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Hongrie: controverse autour du nouveau programme scolaire
"La publication d’un nouveau programme scolaire
suscite une vive polémique à Budapest. L’Union démocratique des
pédagogues, le principal syndicat enseignant, appelle à une
manifestation ce dimanche 23 février, dans la capitale hongroise. Ce
nouveau programme sera valable à partir de la rentrée prochaine et il
provoque une levée de boucliers.
Ce programme suscite l'hostilité des enseignants avant tout parce qu’il inclut une liste d’écrivains à étudier obligatoirement, mais aussi en raison de la nature de certains des écrivains retenus. Certes sur cette liste, on trouve George Orwell, l’auteur du célèbre « 1984 ». Mais le prix Nobel de littérature, l’écrivain juif hongrois Imre Kertész a été retiré de la liste. En revanche, on y trouve désormais des auteurs discutables. Par exemple le Hongrois Albert Wass, qui offre peu d’intérêt du point de vue littéraire et qui est surtout raciste et antisémite. Pour cette raison, Wass a toujours été l’emblème de l’extrême droite hongroise." La suite sur rfi.fr
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Aérien - Wizz Air va desservir Budapest et Varsovie depuis Orly
"La compagnie low cost hongroise Wizz Air débarque à Paris-Orly au printemps 2020 afin de desservir la Pologne et la Hongrie.
Dès le 29 mars, la compagnie va assurer des vols A/R à destination des aéroports de Varsovie-Chopin (Pologne) et Budapest-Ferenc Liszt (Hongrie).
Trois liaisons hebdomadaires sont prévues vers Varsovie et un vol quotidien pour Budapest.
Plus d'infos sur le net : Wizz" Source : routard.com
Dès le 29 mars, la compagnie va assurer des vols A/R à destination des aéroports de Varsovie-Chopin (Pologne) et Budapest-Ferenc Liszt (Hongrie).
Trois liaisons hebdomadaires sont prévues vers Varsovie et un vol quotidien pour Budapest.
Plus d'infos sur le net : Wizz" Source : routard.com
Manifestation à Budapest en soutien aux Roms après des propos de Viktor Orban
"Des milliers de Hongrois ont manifesté ce dimanche
23 février pour manifester leur solidarité avec les Roms après que le
Premier ministre Viktor Orban a critiqué un jugement de la Cour suprême
condamnant l’État à dédommager une soixantaine de jeunes Roms victimes
de ségrégation scolaire.
Le Premier ministre refuse que cette somme soit payée. « Si je vivais dans ce village, je me demanderais comment il est possible que des membres d’un groupe ethnique qui vivent avec moi dans la même communauté reçoivent une telle somme d’argent sans l’avoir gagné, alors que je me tue au travail toute la journée. Je ne sais pas encore exactement quoi faire, mais ça ne peut pas rester comme ça », a-t-il déclaré, provoquant une vive polémique." La suite su rfi.fr
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dimanche 23 février 2020
Ernö Dohnanyi, le dernier des romantiques ?
"DOHNANYI (1877-1960) : Quintettes avec piano n° 1 op. 1 et n° 2 op. 26 ; Quatuor à cordes n° 2 op. 15. Marc-André Hamelin, piano ; Quatuor Takacs. 2019. Livret en anglais, français et allemand. 81.00. Hyperion CDA68238.
Né à Presbourg, actuelle Bratislava, en 1877, Ernö Dohnanyi, pianiste, compositeur et pédagogue apprécié (Georg Solti et Geza Anda ont compté parmi ses élèves) bénéficie depuis une bonne vingtaine d’années d’enregistrements qui ont fait connaître et apprécier sa production. C’est surtout les partitions pour orchestre et de musique de chambre qui ont été ainsi mises en lumière, à juste titre. Après avoir étudié à Budapest, Dohnanyi va suivre en Allemagne l’enseignement d’Eugen D’Albert et donne son premier récital à Berlin en 1897. Il se produit à Londres, puis aux Etats-Unis, devient professeur à Berlin pendant sept ans, avant d’occuper de mêmes fonctions à Budapest." La suite sur crescendo-magazine.be
Né à Presbourg, actuelle Bratislava, en 1877, Ernö Dohnanyi, pianiste, compositeur et pédagogue apprécié (Georg Solti et Geza Anda ont compté parmi ses élèves) bénéficie depuis une bonne vingtaine d’années d’enregistrements qui ont fait connaître et apprécier sa production. C’est surtout les partitions pour orchestre et de musique de chambre qui ont été ainsi mises en lumière, à juste titre. Après avoir étudié à Budapest, Dohnanyi va suivre en Allemagne l’enseignement d’Eugen D’Albert et donne son premier récital à Berlin en 1897. Il se produit à Londres, puis aux Etats-Unis, devient professeur à Berlin pendant sept ans, avant d’occuper de mêmes fonctions à Budapest." La suite sur crescendo-magazine.be
REPORTÉE ! - Fête nationale le 15 mars 2020 à 19h Institut hongrois de Paris
Institut hongrois de Paris 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation indispensable : reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Réservation indispensable : reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Son Excellence Monsieur Georges
Károlyi, ambassadeur de Hongrie en France et Madame Zita Bodnár,
directrice de l’Institut hongrois, conseillère culturelle de l’Ambassade
de Hongrie, vous prient de leur faire l’honneur d’assister à la
commémoration de la révolution et de la guerre d’indépendance de
1848-1849. La célébration de cet évènement historique sera accompagnée
d’une conférence présentée par l’historien József Solymosi et d’un
concert donné par Szilvia Bognár et son groupe.
Programme en langue hongroise
Tenue correcte exigée
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Cinéma - It's not the time of my life, réalisé par Szabolcs Hajdu 6 mars 2020 à 19h30 Institut hongrois de Paris
Institut hongrois de Paris 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation indispensable : reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Fiction,Hongrie,1h21,2016,VOSTFR)
Globe de Cristal au Festival de Karlovy Vary 2016
Réservation indispensable : reservations@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Fiction,Hongrie,1h21,2016,VOSTFR)
Globe de Cristal au Festival de Karlovy Vary 2016
Synopsis : Sous la forme d’un huis-clos
situé en plein cœur de Budapest, le film se déroule dans un unique
appartement. Deux familles, deux jeunes couples avec un enfant chacun
s’y affrontent par le fait des circonstances: l’une s’est vue contrainte
de rentrer à Budapest après quelques temps en Écosse et l’autre
l’accueille provisoirement dans son appartement, tout en faisant face à
ses propres problèmes.
Biographie du réalisateur : Szabolcs
Hajdu, cinéaste, acteur et metteur en scène de théâtre hongrois. Il est
notamment connu pour ses films de fiction : Les paumes blanches (Fehér tenyér), 2006, sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes), Bibliothèque Pascal (2010, Festival de Berlin - Forum) et It’s not the time of my life (Ernelláék Farkaséknál, 2016).
Ce dernier lui a valu le Globe de Cristal au Festival de Karlovy Vary en 2016.
Ce dernier lui a valu le Globe de Cristal au Festival de Karlovy Vary en 2016.
Entrée : 5/3 euros
Saison Française à l'Opéra de Hongrie en 2020/2021
"L'opéra de Budapest place sa prochaine programmation sous le signe de La Muse Française, avec 16 nouvelles productions :
Cocorico ! La majorité des opéras sera non seulement chantée en français mais puisée dans le répertoire de compositeurs internationaux rappelant le rayonnement de la francophonie à travers l’histoire : Le Bourgeois gentilhomme de Molière et le naturalisé Lully, La Fille du Régiment de l'italien Donizetti, Les Contes d'Hoffmann de l'allemand Offenbach, Les Enfants terribles d'après Cocteau de l'américain Philip Glass, Pelléas et Mélisande du français Debussy sur un drame du belge Maeterlinck, Andrea Chénier d'Umberto Giordano est en italien mais il s'agit d'une histoire éminemment française (la Révolution de 1789), Salomé de Richard Strauss en allemand mais d’après le texte en français de l'anglo-saxon Oscar Wilde, enfin Carmen de Bizet inspiré de l'Espagne et mise en scène par l'espagnol Calixto Bieito." La suite sur olyrics.com
samedi 22 février 2020
(COVID-19) Les efforts de la Chine contre l'épidémie du nouveau coronavirus sont impressionnants, selon le MAE hongrois (ENTRETIEN)
"Les efforts actuels de la Chine pour
combattre l'épidémie du nouveau coronavirus sont très impressionnants, a
estimé jeudi le ministre hongrois des Affaires étrangères et du
Commerce, Peter Szijjarto.
"Je ne
suis pas sûr que la construction d'un hôpital en quelques jours pourrait
être accomplie ailleurs dans le monde", a estimé M. Szijjarto dans un
entretien exclusif avec Xinhua, en référence à la construction par la
Chine de deux hôpitaux en deux semaines, pour accroître ses capacités de
traitement des patients atteints par le coronavirus.
"Bien
sûr, il a également été impressionnant de voir la façon dont le système
de santé chinois a géré le déploiement de médecins et d'infirmières
pour traiter ceux qui en ont besoin", a-t-il déclaré.
Notant
que tous les travailleurs médicaux impliqués dans le combat contre la
maladie subissaient une énorme pression, le ministre a estimé que leur
performance était "fantastique", en particulier dans de telles
circonstances." La suite sur china.org.cn
En Hongrie, Orban veut des bébés à tout prix
"Pour lutter contre le vieillissement de la population sans recourir à
l’immigration, le premier ministre hongrois vient de nationaliser
provisoirement plusieurs cliniques spécialisées dans la PMA.
A 75 ans et 9 000 bébés éprouvettes au compteur, le professeur Janos Konc s’apprête à vivre une consécration professionnelle. D’ici mars, ce ponte hongrois de la procréation médicalement assistée (PMA) va inaugurer les locaux du nouvel Institut national de la reproduction humaine dans un des principaux hôpitaux de Budapest, le Szent Janos. « Nous allons avoir 2 400 m² de locaux. Quand j’ai commencé en 1991, on n’en avait que 90 », se réjouit le médecin, qui a revêtu sa blouse blanche pour montrer le chantier en cours dans un des pavillons de cet hôpital délabré. Le gouvernement hongrois a investi 1,2 milliard de forints (3,5 millions d’euros) pour doubler l’activité des équipes du professeur Konc. Et favoriser ce qui est devenu une priorité nationale : les bébés.
A 75 ans et 9 000 bébés éprouvettes au compteur, le professeur Janos Konc s’apprête à vivre une consécration professionnelle. D’ici mars, ce ponte hongrois de la procréation médicalement assistée (PMA) va inaugurer les locaux du nouvel Institut national de la reproduction humaine dans un des principaux hôpitaux de Budapest, le Szent Janos. « Nous allons avoir 2 400 m² de locaux. Quand j’ai commencé en 1991, on n’en avait que 90 », se réjouit le médecin, qui a revêtu sa blouse blanche pour montrer le chantier en cours dans un des pavillons de cet hôpital délabré. Le gouvernement hongrois a investi 1,2 milliard de forints (3,5 millions d’euros) pour doubler l’activité des équipes du professeur Konc. Et favoriser ce qui est devenu une priorité nationale : les bébés.
En
déclin démographique ininterrompu depuis 1981, la Hongrie multiplie
depuis des années les mesures natalistes, dans le but d’essayer
d’inverser la tendance. Depuis son arrivée au pouvoir en 2010, le
premier ministre nationaliste Viktor Orban a encore renforcé cette
tendance en annonçant l’instauration d’une exonération totale d’impôts
pour les mères de famille de plus de quatre enfants ou de prêts
hyperavantageux pour les parents… En décembre dernier, cette politique a
franchi un palier supplémentaire avec l’annonce d’une mesure
spectaculaire : la nationalisation de presque toutes les cliniques de
fertilité du pays. A la surprise générale, un décret adopté le 19
décembre 2019 précisait ainsi que six cliniques privées du pays étaient
nationalisées sur-le-champ en raison de « l’exercice d’activités d’importance stratégique nationale ».
Dans la foulée, le gouvernement annonçait que les traitements, déjà
quasiment gratuits jusqu’à cinq tentatives, seraient désormais
totalement couverts par la Sécurité sociale à partir du 1er
février. En plaçant cette décision dans la lignée de sa politique visant
à refuser tout recours à l’immigration, Viktor Orban a expliqué lors de
sa conférence de presse annuelle, le 9 janvier, que « si nous
voulons des enfants hongrois plutôt que des immigrés, la seule solution
est de dépenser autant que possible pour soutenir les familles »." La suite sur lemonde.fr (article payant)
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PMA
Disparition - Yona Friedman, l’architecte qui voulait laisser faire l’habitant
"Le théoricien français d’origine hongroise est décédé à l’âge de 96 ans,
a-t-on appris le 21 février. Partisan d’une ville improvisée et
construite par ses usagers, cet humaniste a exposé cette conception dans
de nombreux ouvrages mais ne l’a concrétisée que dans de rares
constructions. Yona Friedman a néanmoins toujours refusé d’être
considéré comme un utopiste.
Ce jour de mai 2016, Yona Friedman avait apporté «quelque chose à
montrer» à ceux qui assistaient à la présentation à la presse de l’exposition que lui consacrait la Cité de l’architecture et du patrimoine, à Paris.Assis parmi ses maquettes et ses croquis, il avait tiré quelques feuilles d’une chemise verte. L’une montrait l’assemblage de grands anneaux métalliques qui devait être exposés quelques semaines plus tard à Londres. La Serpentine Gallery s’apprêtait en effet à accueillir un de ces fameux Space Chains (chaînes spatiales) que l’architecte avait imaginé dès la fin des années 1950." La suite sur lemoniteur.fr
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Concert | Bartók : de Budapest à Biskra 6 mars 2020 à 20 heures Institut du monde arabe
Dans le cadre des Arabofolies, festival musical, des arts et des idées
Avec l’Ensemble traditionnel de Biskra, le quatuor Béla et le quatuor SOAC.
Ce concert n’est pas seulement un voyage de la Hongrie au Sud algérien, il dessine également une trajectoire historique, des musiques traditionnelles aux plus innovantes via les prémisses de la modernisation du classicisme européen, telle qu’initiée par Béla Bartók.
Pour faire revivre ce parcours, le guitariste et directeur artistique algérien Camel Zekri a réuni l’Ensemble traditionnel de Biskra, le quatuor Béla et le quatuor SOAC, tous imprégnés de l’esprit créatif de l’illustre compositeur hongrois.
En 1913, Béla Bartók entreprend un voyage aux portes du désert, dans la cité oasis de Biskra ; il a emporté avec lui un phonographe Edison et des dizaines de rouleaux vierges afin d’enregistrer les performances d’ensembles populaires de la région. C’est à partir de ces extraits centenaires que l’Ensemble traditionnel de Biskra a recomposé un programme constitué de chants de confréries et de chants festifs, tels que les jouaient leurs ancêtres.
Ce concert n’est pas seulement un voyage de la Hongrie au Sud algérien, il dessine également une trajectoire historique, des musiques traditionnelles aux plus innovantes via les prémisses de la modernisation du classicisme européen, telle qu’initiée par Béla Bartók.
Pour faire revivre ce parcours, le guitariste et directeur artistique algérien Camel Zekri a réuni l’Ensemble traditionnel de Biskra, le quatuor Béla et le quatuor SOAC, tous imprégnés de l’esprit créatif de l’illustre compositeur hongrois.
En 1913, Béla Bartók entreprend un voyage aux portes du désert, dans la cité oasis de Biskra ; il a emporté avec lui un phonographe Edison et des dizaines de rouleaux vierges afin d’enregistrer les performances d’ensembles populaires de la région. C’est à partir de ces extraits centenaires que l’Ensemble traditionnel de Biskra a recomposé un programme constitué de chants de confréries et de chants festifs, tels que les jouaient leurs ancêtres.
De retour en Europe, Bartók, inspiré par ses trouvailles
algériennes, écrit plusieurs pièces dont le quatuor à cordes no 2
op. 17, que s’approprie le Quatuor Béla au milieu de ce concert. Enfin,
c’est un ensemble extrapolant la démarche de Bartók jusqu’à
l’avant-garde contemporaine qui clôt la soirée : le quatuor SOAC, dont
les improvisations prolongent l’esprit des traditions de Biskra et
celui de la musique de Bartók jusqu’aux portes du futur. SOAC est
l’acronyme des prénoms des musiciens voyageurs de l’ensemble : le
maître de la guitare rock française Serge Teyssot-Gay ; le guitariste
Olivier Benoît, ancien directeur de l’Orchestre national de jazz
(2014-2018) et actuel directeur de l’orchestre La Pieuvre ; Akosh S.,
saxophoniste hongrois inventif, célébré à la tête de son quintet
Unit ; et Camel Zekri, membre de la confrérie des musiciens de Biskra,
producteur très demandé et figure des musiques improvisées, dont la
guitare munie de capteurs lui permettra ce soir de modifier les sons par
des mouvements, et de traiter en direct ceux de ses acolytes. Chaque
tableau sera accompagné de vidéos.
Producteur délégué : Les Arts Improvisés
Aide à l’écriture d’une œuvre musicale originale du ministère de la Culture
Une coproduction Villes des Musiques du monde, Studio de L’Ermitage, Césaré
Avec le soutien de la Ville de Paris, Adami et Spedidam
En partenariat avec : DRAC Normandie, Conseil Départemental de l’Orne, Région Normandie, Communauté de commune des Vallées d’Auge et du Merlerault
Auditorium (niveau -2)
Plein tarif : 20 €
Tarif réduit : 16 €
- 26 ans : 12 €
Source : imarabe.org
Producteur délégué : Les Arts Improvisés
Aide à l’écriture d’une œuvre musicale originale du ministère de la Culture
Une coproduction Villes des Musiques du monde, Studio de L’Ermitage, Césaré
Avec le soutien de la Ville de Paris, Adami et Spedidam
En partenariat avec : DRAC Normandie, Conseil Départemental de l’Orne, Région Normandie, Communauté de commune des Vallées d’Auge et du Merlerault
Institut du monde arabe
1 Rue des Fossés Saint-Bernard, 75005 Paris
Plein tarif : 20 €
Tarif réduit : 16 €
- 26 ans : 12 €
Source : imarabe.org
vendredi 21 février 2020
Budapest et les Sicules en appellent à l’UE pour la protection des minorités ethnoculturelles
"Le parlement hongrois a soutenu par une résolution une pétition du
Conseil national sicule pour que les régions abritant des minorités
bénéficient d’un accès direct aux politiques et aux fonds de cohésion de
l’Union européenne.
Les Sicules sont encore à la manœuvre ! Après avoir porté avec succès une pétition réunissant plus d'1,3 millions de signatures en faveur de la protection des minorités nationales et linguistiques dans l'Union européenne, une seconde pétition réclame un meilleur accès aux fonds européens pour les régions abritant des minorités. Cette nouvelle initiative citoyenne européenne a reçu le soutien du parlement hongrois . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Les Sicules sont encore à la manœuvre ! Après avoir porté avec succès une pétition réunissant plus d'1,3 millions de signatures en faveur de la protection des minorités nationales et linguistiques dans l'Union européenne, une seconde pétition réclame un meilleur accès aux fonds européens pour les régions abritant des minorités. Cette nouvelle initiative citoyenne européenne a reçu le soutien du parlement hongrois . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Sicules
Hongrie : l’attentat en Allemagne que le gouvernement n’a pas vu
"Au surlendemain de l’attaque raciste perpétrée par un extrémiste de
droite contre des immigrés kurdes en Allemagne, c’est toujours silence
radio à Budapest, d’habitude prompte à réagir au terrorisme. Quand aux
médias de propagande, ils dissimulent l’information.
Au surlendemain d’un attentat d’extrême-droite prenant pour cible essentiellement des Kurdes, mercredi soir dans la ville de Hanau située dans le Land de Hesse en Allemagne, on attend encore une réaction de la part des autorités hongroises. Etrange, car celles-ci sont d’habitude promptes à réagir au terrorisme . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Au surlendemain d’un attentat d’extrême-droite prenant pour cible essentiellement des Kurdes, mercredi soir dans la ville de Hanau située dans le Land de Hesse en Allemagne, on attend encore une réaction de la part des autorités hongroises. Etrange, car celles-ci sont d’habitude promptes à réagir au terrorisme . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Ils ont visité l’exposition Vasarely au Touquet à la lumière d’une lampe torche
"Mercredi soir, à la nuit tombée, le musée du Touquet a éteint ses
lumières pour une visite insolite de l’exposition « Vasarely, de l’op
art au folklore planétaire ». Équipés d’une lampe torche, les
participants ont découvert les œuvres sous un angle étonnant.
Émilie, la guide de l’exposition, commence par expliquer le déroulement de la visite. Puis les lumières s’éteignent et les chuchotements laissent place au silence. Les vingt personnes présentes avancent prudemment sans savoir où ils mettent les pieds, le parquet craque à chaque pas.
À la lueur d’une simple lampe torche, les œuvres de l’artiste d’origine hongroise se révèlent aux spectateurs. « Cette visite permet de mettre en valeur certains détails, parfois anodins pour le public » explique Émilie." La suite sur lavoixdunord.fr (article payant)
Émilie, la guide de l’exposition, commence par expliquer le déroulement de la visite. Puis les lumières s’éteignent et les chuchotements laissent place au silence. Les vingt personnes présentes avancent prudemment sans savoir où ils mettent les pieds, le parquet craque à chaque pas.
À la lueur d’une simple lampe torche, les œuvres de l’artiste d’origine hongroise se révèlent aux spectateurs. « Cette visite permet de mettre en valeur certains détails, parfois anodins pour le public » explique Émilie." La suite sur lavoixdunord.fr (article payant)
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Les artistes hongrois d'après-guerre
"La QG Gallery présente un dialogue passionnant
entre une série d'artistes hongrois d'après-guerre et des artistes
internationaux d'aujourd'hui, qui expérimentent l'abstraction
géométrique pour les uns, et font partie du mouvement Supports/Surfaces
pour les autres.
En Hongrie, l'après-guerre fut marquée par l'exil de plus de 200 000 personnes, dont de nombreux politiques, intellectuels et artistes tels Victor Vasarely, fondateur du mouvement Op Art, ou encore László Moholy-Nagy, qui devint l'une des figures majeures du Bauhaus.
A la même époque, la censure politique et artistique, particulièrement à Budapest, divise l'art en trois catégories : l'art soutenu, l'art toléré et l'art interdit. Dans la ville de Pécs s’établit un collectif qui va profiter des usines spécialisées en plaques émaillées de la ville pour créer le Pécs Workshop. Fondé par l’artiste et professeur Ferenc Lantos, ce collectif de cinq artistes, Ferenc Ficzek (1947-1987), Károly Hopp-Halász (1946-2016), Károly Kismányoky (1943), Sándor Pinczehelyi (1946) et Kálmán Szìjártò (1946) se fait connaître pour ses abstractions géométriques, ses œuvres Land Art et ses performances conceptuelles documentées à travers des photographies et des vidéos. L'abstraction géométrique et l'utilisation de ses plaques émaillées industrielles permettent de détourner l'attention des autorités de leur création. Pécs sera pourtant un foyer important d'activités antigouvernement en Hongrie." La suite sur mu-inthecity.com
Hungary vs The World
QG Gallery
62 rue de la Concorde
1050 Bruxelles
Jusqu'au 28 mars
Du mardi au samedi de 11h à 18h
www.qg-gallery.com
En Hongrie, l'après-guerre fut marquée par l'exil de plus de 200 000 personnes, dont de nombreux politiques, intellectuels et artistes tels Victor Vasarely, fondateur du mouvement Op Art, ou encore László Moholy-Nagy, qui devint l'une des figures majeures du Bauhaus.
A la même époque, la censure politique et artistique, particulièrement à Budapest, divise l'art en trois catégories : l'art soutenu, l'art toléré et l'art interdit. Dans la ville de Pécs s’établit un collectif qui va profiter des usines spécialisées en plaques émaillées de la ville pour créer le Pécs Workshop. Fondé par l’artiste et professeur Ferenc Lantos, ce collectif de cinq artistes, Ferenc Ficzek (1947-1987), Károly Hopp-Halász (1946-2016), Károly Kismányoky (1943), Sándor Pinczehelyi (1946) et Kálmán Szìjártò (1946) se fait connaître pour ses abstractions géométriques, ses œuvres Land Art et ses performances conceptuelles documentées à travers des photographies et des vidéos. L'abstraction géométrique et l'utilisation de ses plaques émaillées industrielles permettent de détourner l'attention des autorités de leur création. Pécs sera pourtant un foyer important d'activités antigouvernement en Hongrie." La suite sur mu-inthecity.com
Hungary vs The World
QG Gallery
62 rue de la Concorde
1050 Bruxelles
Jusqu'au 28 mars
Du mardi au samedi de 11h à 18h
www.qg-gallery.com
Viktor Orbán s’agace de la décision du PPE de suspendre son parti
"Dans une note de service adressée au chef du Parti populaire européen
(PPE), le Premier ministre hongrois appelle à un « débat interne sur la
future mission du PPE », qui depuis les élections européennes a perdu
du terrain.
Le torchon brûle toujours entre Viktor Orbán et le Parti populaire européen. Alors que le président du PPE, Donald Tusk, a décidé il y a un mois de prolonger la suspension du Fidesz, le parti au pouvoir en Hongrie et dirigé par Viktor Orbán, ce dernier d’user d’un droit de réponse à sa famille politique.
Le Premier ministre hongrois appelle le PPE à élever davantage la voix contre les socialistes qui aident « l’extrême gauche anarchiste et communiste à [accéder au] gouvernement ».
« Au lieu de redoubler d’efforts contre le communisme et le marxisme, nous félicitons Fidel Castro et Karl Marx », déplore Viktor Orbán dans sa note." La suite sur euractiv.fr
Le torchon brûle toujours entre Viktor Orbán et le Parti populaire européen. Alors que le président du PPE, Donald Tusk, a décidé il y a un mois de prolonger la suspension du Fidesz, le parti au pouvoir en Hongrie et dirigé par Viktor Orbán, ce dernier d’user d’un droit de réponse à sa famille politique.
Le Premier ministre hongrois appelle le PPE à élever davantage la voix contre les socialistes qui aident « l’extrême gauche anarchiste et communiste à [accéder au] gouvernement ».
« Au lieu de redoubler d’efforts contre le communisme et le marxisme, nous félicitons Fidel Castro et Karl Marx », déplore Viktor Orbán dans sa note." La suite sur euractiv.fr
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Le plus vieux pont de Budapest reçoit le feu vert pour le Giro
"(Reuters) – Le plus vieux pont de Budapest sera traversé par des
coureurs sur la première étape du Giro d’Italia cette année après que
son utilisation a été initialement exclue en raison de travaux de
rénovation prévus.
Un communiqué a indiqué que les organisateurs de la course avaient conclu un accord avec la municipalité de Budapest pour inclure l'emblématique pont à chaînes Szechenyi pour la première étape, un contre-la-montre individuel de 8,6 km.
Le pont sur le Danube a été achevé en 1849 et reste l'un des monuments les plus visibles de la ville, bien que l'augmentation du trafic signifie que des travaux majeurs sont nécessaires." La suite sur news-24.fr
Un communiqué a indiqué que les organisateurs de la course avaient conclu un accord avec la municipalité de Budapest pour inclure l'emblématique pont à chaînes Szechenyi pour la première étape, un contre-la-montre individuel de 8,6 km.
Le pont sur le Danube a été achevé en 1849 et reste l'un des monuments les plus visibles de la ville, bien que l'augmentation du trafic signifie que des travaux majeurs sont nécessaires." La suite sur news-24.fr
jeudi 20 février 2020
Slava ! avec Emmanuelle Moriat et Márta Gődény Samedi 29 Février à 19h00 Église luthérienne Saint-Marcel
Programme : Récital de piano (à quatre mains) par Emmanuelle Moriat et Márta Gődény, au programme : œuvres de Bach/Kurtag, Rachmaninov et Dvorak
Église luthérienne Saint-Marcel
24 rue Pierre-Nicole - 75005 Paris 5e
RER : Port-Royal (B)
Réservation sur offi.fr
Église luthérienne Saint-Marcel
24 rue Pierre-Nicole - 75005 Paris 5e
RER : Port-Royal (B)
Réservation sur offi.fr
Le Kuvasz, chien de grande taille, puissant et musclé
"Le Kuvasz fait partie des chiens de Berger. C’est un chien de grande
taille, puissant et musclé, à l’allure noble et qui a une belle robe
blanche épaisse. Ses qualités de chien de garde, mais aussi de chasse,
en font un animal de compagnie très agréable d’autant qu’il fait preuve
d’un grand attachement à ses maîtres.
La robe du Kuvasz est constituée d’un poil épais, dur, légèrement ondulé et un peu grossier. Son sous-poil abondant est en revanche plus fin et plus doux. La beauté de sa robe est encore davantage révélée par sa couleur unie en principe blanche, même si la couleur ivoire est acceptée. Ses poils sont mi-longs sur une grande partie de son corps, excepté sur ses membres où ils forment des sortes de franges et autour de son cou où ils composent une collerette. Cette dernière est particulièrement marquée chez les mâles." La suite sur lemonde.fr
- Taille : 66 cm à 76 cm
- Poids : 37 kg à 62 kg
- Poil : mi-long à long
- Couleur : blanc, ivoire
- Espérance de vie : 12 à 14 ans
- Durée de gestation : 63 jours
La robe du Kuvasz est constituée d’un poil épais, dur, légèrement ondulé et un peu grossier. Son sous-poil abondant est en revanche plus fin et plus doux. La beauté de sa robe est encore davantage révélée par sa couleur unie en principe blanche, même si la couleur ivoire est acceptée. Ses poils sont mi-longs sur une grande partie de son corps, excepté sur ses membres où ils forment des sortes de franges et autour de son cou où ils composent une collerette. Cette dernière est particulièrement marquée chez les mâles." La suite sur lemonde.fr
Il y a 16 ans le lieutenant Arménien Gourgen Margaryan était sauvagement assassiné à Budapest par le bourreau Azéri Ramil Safarov libéré en 2012 par la Hongrie complice de Bakou
"Aujourd’hui l’Arménie et la diaspora commémorent un triste
anniversaire : celui de l’assassinant sauvage du lieutenant Arménie
Gourgen Margaryan tué à coup de hache dans son sommeil par l’assassin
Azéri Ramil Safarov le 19 février 2004 à Budapest (Hongrie). Les deux
officiers étaient alors en formation dans le cadre de « Coopération pour la Paix » initiée par l’OTAN à laquelle participaient des militaires de l’Arménie et de l’Azerbaïdjan.
La justice hongroise avait condamné Ramil Safarov l’assassin Azéri à perpétuité avec une peine minimum incompressible de 30 ans pour ce crime d’une violence inouïe. Mais Budapest avait négocié avec Bakou les conditions de son transfert vers l’Azerbaïdjan, significatif de sa libération !" La suite sur armenews.com
La justice hongroise avait condamné Ramil Safarov l’assassin Azéri à perpétuité avec une peine minimum incompressible de 30 ans pour ce crime d’une violence inouïe. Mais Budapest avait négocié avec Bakou les conditions de son transfert vers l’Azerbaïdjan, significatif de sa libération !" La suite sur armenews.com
Pourquoi une forêt protégée a-t-elle été rasée en Hongrie ?
"En Hongrie, l'autorité de gestion des eaux a rasé une forêt vieille de
90 ans dans le cadre d'un projet de protection contre les inondations, rapporte le site Euronews. Alors que le pays est confronté à des inondations de plus en plus importantes, l'autorité de gestion de l'eau avance qu'il est nécessaire de nettoyer les bassins, c'est-à-dire d'enlever tout ce qui pourrait entraver l'écoulement de l'eau. Le problème est que cette forêt était classée Natura 2000 et protégée dans le cadre d'un programme européen." La suite sur futura-sciences.com
mercredi 19 février 2020
Béla Lugosi, l’acteur vampirisé par Dracula
"Les Editions de la Baconnière font traduire en français un petit essai
sur l’acteur Béla Lugosi, paru en Italie en 1984. Un bijou signé Edgardo
Franzosini qui se lit comme un roman.
«Je suis le comte Dracula, je suis le roi des
vampires, je suis immortel.» Ce sont les derniers mots qu’aurait
prononcés l’acteur Béla Lugosi avant de mourir, le 16 juin 1956, lui que
le cinéma immortalisa sous les traits du comte Dracula dans le film de
Tod Browning, en 1931. Comment peut-on se transformer en vampire, se
demande avec malice l’italien Edgardo Franzosini dans ce bref essai
kaléidoscopique, écrit comme une fable à l’italienne, truffé
d’anecdotes? Franzosini, un ancien employé de banque, excelle dans les
portraits d’excentriques (Rimbaud ou l’artiste Raymond Isidore, dit
Picassiette) et sait montrer ce qu’ils révèlent de la société qui les
entoure.
Nous assistons aux premiers pas au théâtre du Hongrois Béla Blasko, né en 1882 à Lugos, dans des rôles shakespeariens. Puis comme figurant au cinéma, une invention qu’on prétendait à l’époque «sans avenir». S’il tourne pour Murnau en 1920, ce n’est pas dans Nosferatu, première adaptation de Dracula au cinéma, mais dans une relecture de Docteur Jekyll et Mister Hyde. L’épouvante et le fantastique, déjà." La suite sur letemps.ch (article payant)
Nous assistons aux premiers pas au théâtre du Hongrois Béla Blasko, né en 1882 à Lugos, dans des rôles shakespeariens. Puis comme figurant au cinéma, une invention qu’on prétendait à l’époque «sans avenir». S’il tourne pour Murnau en 1920, ce n’est pas dans Nosferatu, première adaptation de Dracula au cinéma, mais dans une relecture de Docteur Jekyll et Mister Hyde. L’épouvante et le fantastique, déjà." La suite sur letemps.ch (article payant)
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Hongrie : le discours d’Orbán à la Nation vu par ses opposants
"Dans son traditionnel discours sur l’état de la nation, prononcé
dimanche 16 février au Várkert Bazár à Budapest, Viktor Orbán a estimé
que la décennie qui s’est écoulée a été la plus florissante depuis cent
ans pour la Hongrie. Ce n’est pas exactement l’avis de ses adversaires
politiques…
« La décennie qui vient de s'écouler a été la plus florissante pour la Hongrie depuis cent ans ». Voici la phrase clé du discours que les médias pro-Fidesz ont retenu pour faire leurs gros titres. Car cette année, il ne s'agissait pas simplement pour Viktor Orbán de dresser le bilan de l'année écoulée, mais celui de toute la décennie 2010 durant laquelle il a gouverné la Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
« La décennie qui vient de s'écouler a été la plus florissante pour la Hongrie depuis cent ans ». Voici la phrase clé du discours que les médias pro-Fidesz ont retenu pour faire leurs gros titres. Car cette année, il ne s'agissait pas simplement pour Viktor Orbán de dresser le bilan de l'année écoulée, mais celui de toute la décennie 2010 durant laquelle il a gouverné la Hongrie . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
En Hongrie, un artiste s’inspire de Banksy et disperse des petites statues
"En Hongrie, un artiste éparpille ses œuvres dans les rues comme sur les quais du Danube : on le surnomme le "Banksy
de Budapest". Ce ne sont pas des graffitis, mais des petites statues en
bronze. Elles font entre 10 et 15 centimètres de hauteur et
représentent des diablotins, des grenouilles, des petites voitures…
L’artiste les installe un peu partout : sur un rempart du Danube par exemple, où il a posé une statuette en forme de ver de terre, joufflu et souriant, auquel des inconnus ont tricoté un bonnet jaune et une écharpe. Sur la colline du château aussi, on voit un lapin malicieux aux oreilles géantes, qui semble observer la ville en contrebas. Ces œuvres sont illégales, car comme Banksy en Angleterre, cet artiste hongrois est un guérillero de l’art urbain, il éparpille ses œuvres dans Budapest sans aucune autorisation." La suite ou à écouter sur francetvinfo.fr
L’artiste les installe un peu partout : sur un rempart du Danube par exemple, où il a posé une statuette en forme de ver de terre, joufflu et souriant, auquel des inconnus ont tricoté un bonnet jaune et une écharpe. Sur la colline du château aussi, on voit un lapin malicieux aux oreilles géantes, qui semble observer la ville en contrebas. Ces œuvres sont illégales, car comme Banksy en Angleterre, cet artiste hongrois est un guérillero de l’art urbain, il éparpille ses œuvres dans Budapest sans aucune autorisation." La suite ou à écouter sur francetvinfo.fr
La Marche des „Busó” (Busójárás), une coutume hongroise bien curieuse… venue des Balkans
Busójárás |
"Chaque année, dans les jours qui précèdent le Mercredi des Cendres, les habitants d´un commune du Sud de la Hongrie, Mohács, ne tiennent plus en place. Portant de grands masques en bois et vêtus d´épaisses fourrures, ils parcourent les rues de la ville, faisant, dans cette tenue terrifiante, le plus de bruit possible en agitant des crécelles. Pour clore ces journées, un grand bûcher est édifié sur la place centrale où l´on immole ce pauvre Hiver dont le cercueil sera ensuite immergé dans le Danube. Coutume bien curieuse et typiquement hongroise (ce que l´on appelle ici „hungaricum”) au point d´avoir été classée au patrimoine de l´UNESCO. Et pourtant, elle nous vient à l´origine non de Hongrie, mais importée par un peuple slave venu de la Croatie voisine, les „Šokci” (en hongrois Sokácok). Le but de l´opération: intimider et chasser l´hiver et hâter du même coup la venue du printemps. Son nom: „Busójárás” ou „Marche des Busó” [prononcer „boucho”], en Croate „Pohod bušara” La suite sur francianyelv.hu
Système de santé et espérance de vie : un combo pas toujours gagnant
"Un système de santé au bord de la crise de nerfs en
Hongrie. Les Hongrois vivent moins longtemps que les Grecs, les Polonais
ou les Tchèques. C'est le constat peu glorieux d'une enquête récente
d'Eurostat, l'organe statistique européen. L'espérance de vie des
Hongrois est parmi la plus basse d'Europe : 72 ans pour les hommes,
79 ans pour les femmes. Principal coupable : le système de santé
délabré.
Bruxelles s'interroge sur le plan hongrois visant à stimuler la natalité du pays
"Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a lancé un plan visant à stimuler le taux de natalité dans son pays. Incitations financières, prêts avantageux et aides accordées aux familles nombreuses pour acquérir une voiture ; tout est fait pour ne pas dépendre de l'immigration.
"En Hongrie, nous disons que nous ne voyons pas l'immigration de masse comme une solution à nos défis démographiques, mais nous voyons la solution dans nos ressources internes" explique la secrétaire d'État hongroise à la famille Katalin Novák face à des députés européens.
"Tant qu'il y a un écart de fécondité, les jeunes auront moins d'enfants qu'ils ne le souhaitent, cela signifie que nous avons un point d'intervention, que nous avons une tâche à accomplir, nous devons donc agir pour permettre à ces jeunes d'avoir une famille" ajoute-t-elle." La suite sur euronews.com
"En Hongrie, nous disons que nous ne voyons pas l'immigration de masse comme une solution à nos défis démographiques, mais nous voyons la solution dans nos ressources internes" explique la secrétaire d'État hongroise à la famille Katalin Novák face à des députés européens.
"Tant qu'il y a un écart de fécondité, les jeunes auront moins d'enfants qu'ils ne le souhaitent, cela signifie que nous avons un point d'intervention, que nous avons une tâche à accomplir, nous devons donc agir pour permettre à ces jeunes d'avoir une famille" ajoute-t-elle." La suite sur euronews.com
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mardi 18 février 2020
Hongrie. Viktor Orban, le brun se drape de vert
"Lors
de son discours annuel à la nation, le premier ministre hongrois,
Viktor Orban, a choisi dimanche 16 février de se draper de vert,
cherchant à marier écologie et nationalisme. Nataliste, il a promis de
planter « dix arbres pour chaque nouveau-né », afin d’accroître la
surface forestière de 27 % d’ici à 2030. En effet, pour le leader des
conservateurs de ce pays qui ne compte plus que 10 millions d’habitants,
« la crise climatique et le déclin démographique sont les menaces
émergentes ». Il compte également, après des années de climato-
scepticisme, favoriser le tri et renforcer les règles contre les
pratiques des multinationales. En réalité, si ce discours met, comme il
l’annonce, « la Hongrie au-dessus de tout », cette Hongrie n’est pas
faite pour tous. La semaine précédente, Viktor Orban a annoncé une
consultation nationale pour mettre fin à l’indemnité que la justice
contraint le gouvernement hongrois à verser aux Roms, victimes de
ségrégation scolaire." La suite sur humanite.fr (article payant)
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