" - Les bonnes intentions de justice ont parfois des conséquences imprévisibles comme le démontre astucieusement le premier long métrage du Hongrois Martin Boross
"Ils ont besoin d’un but, d’une mission, comme un secret partagé,
quelque chose qui les libère." Quand une petite équipe de cinéma (un
réalisateur, une autrice et un caméraman), en attente d’un financement
pour un projet, débarque de la capitale pour animer un atelier créatif
estival auprès des jeunes d’un village isolé, c’est à la fois un
environnement banal mais aussi une planète très différente de leurs vies
d’artistes fauchés de Budapest qui se dévoile. "On doit apprendre à se
connaitre, la confiance est indispensable" : la rencontre se révèlera
pourtant de plus en plus complexe au fil des découvertes sur la réalité
de l’endroit et sur l’attitude à adopter. Tel est le sujet nuancé sous
une apparence ordinaire auquel s‘est attaqué le cinéaste hongrois Martin Boross avec son premier long métrage, Raw Material, projeté sans la section Visions de l’Est du 25e Arras Film Festival." La suite sur cineuropa.org
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