jeudi 14 novembre 2024

ARRAS 2024 Critique : Raw Material

András Pál et Zsolt Dér dans Raw Material

" - Les bonnes intentions de justice ont parfois des conséquences imprévisibles comme le démontre astucieusement le premier long métrage du Hongrois Martin Boross

"Ils ont besoin d’un but, d’une mission, comme un secret partagé, quelque chose qui les libère." Quand une petite équipe de cinéma (un réalisateur, une autrice et un caméraman), en attente d’un financement pour un projet, débarque de la capitale pour animer un atelier créatif estival auprès des jeunes d’un village isolé, c’est à la fois un environnement banal mais aussi une planète très différente de leurs vies d’artistes fauchés de Budapest qui se dévoile. "On doit apprendre à se connaitre, la confiance est indispensable" : la rencontre se révèlera pourtant de plus en plus complexe au fil des découvertes sur la réalité de l’endroit et sur l’attitude à adopter. Tel est le sujet nuancé sous une apparence ordinaire auquel s‘est attaqué le cinéaste hongrois Martin Boross avec son premier long métrage, Raw Material, projeté sans la section Visions de l’Est du 25e Arras Film Festival." La suite sur cineuropa.org

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