"Alors que la Hongrie va une nouvelle fois être auditionnée par le Conseil sur le respect de l’Etat de droit, David Vig, le directeur d’Amnesty International Hongrie, revient sur la lutte acharnée du gouvernement Orbán contre les voix critiques et les minorités.
La situation en Hongrie est grave. » Le constat de David Vig, directeur d’Amnesty International en Hongrie, est sans appel. Après le changement constitutionnel de mi-avril qui acte « la primauté du droit des enfants à un développement physique, mental et moral correct sur tout autre droit » – y compris le droit de réunion pacifique, interdisant de facto la Pride de Budapest prévue le 28 juin – c’est un nouveau projet de loi qui donne au pays de Viktor Orbán des allures plus autoritaires. Appelée « loi sur la transparence de la vie publique », cette initiative législative pourrait priver les organisations critiques – que ce soit des ONG, des médias indépendants ou des entreprises – de tout financement. Pour David Vig, le silence de la Commission face à ces dégradations de l’Etat de droit ne peut plus durer." La suite sur lesoir.be (article payant)
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