mardi 28 février 2006

Erzsébetváros un article de Magyar Hirlap : Már a bontás sem biztos

"Egyelőre még áll a Hild József építette klasszicista lakóház, ám úgy tűnik, a befektetői érdeknek senki és semmi nem parancsolhat megálljt. A Király utca 40. szám alatt ötezer négyzetméteren idősek otthona, nyugdíjasklub és persze lakóingatlanok épülnek." Magyar Hirlap

Akosh S. et Gildas Etevenard en concert à l'Institut hongrois de Paris vendredi 17 mars 2006 20h00

J'adorrrre Akosh S. Plusieurs fois déjà, je suis allé l'écouter, à chaque fois, j'en sors groggy. Il y a chez Akosh une puissance de jeu et une créativité incroyables. Akosh ne s'écoute pas sur une chaîne, tranquillement installé dans un fauteuil, non, il faut vivre avec lui sa musique, se la prendre en pleine poire, le voir sur scène, "live" comme on dit. C'est un évènement, à chaque fois ! Que dire de plus que ce texte que j'ai trouvé sur le site de l'Institut hongrois ? Tout est exact et fort bien vu par Marie-Sophie Peyre.

"Saxophoniste installé à Marseille, Akosh Szelevényi cultive la liberté comme style musical. Toujours inspiré par sa Hongrie natale, il a fait du jazz sa terre d’adoption. Sur des rythmes d’Europe centrale, lorgnant parfois vers un Orient plus lointain, Akosh joue free. Instruments: ténor & soprano saxophones, clarinette métal et basse; tárogató, bombarde tibétaine, flûtes harmonium, kalimba, madacorde Gildas Etevenard (batterie, gongs, cloches, daf, kalimba, trompette, guimbarde) a largement forgé sa réputation en jouant avec des musiciens bien connus de la scène jazz et musique improvisée française. Il remporte le concours FNAC avec le trio de Sophie Agnel, qui se produira dans différents festivals et clubs de jazz. Il joue également avec Eric Barret, Yves Robert, Philippe Garrell, François Corneloup. De sa rencontre avec Akosh, il dit: "C’est une rencontre tout à fait singulière et exceptionnelle dans ma vie, un "révélateur" qui a mis le doigt sur des choses que je fuyais, m’a aidé à prendre conscience de certains problèmes d’identité. Il est très exigeant, toujours en recherche." „Akosh ressemble à un volcan. Il émane de lui une puissance minérale, appuyée par un regard gris et un flot de paroles rythmé par les r roulés. Sa musique est un cri, mélange de free jazz et d’influences hongroises. Mais la classifier n’a pas de sens: les différents genres sont seulement des outils dont il se sert pour exprimer au plus près ce qui l’habite. La confusion, la colère, mais aussi l’énergie, parlent au travers du free jazz. Les influences traditionnelles, les percussions, la voix, traduisent la douleur, l’espoir, l’intime. Et au-dessus, le sax, comme un hurlement ou un murmure, l’âme, l’énergie vitale de cette musique, de ce qu’elle dit, parle un langage que l’on pensait jusqu’alors ne pas connaître et qui, évident, atteint les tripes, sans détour par le cerveau”.
(Marie-Sophie Peyre)
Au programme: double album «Nem kellett volna», disponible à l’accueil au soir du concert (20 €)
Tarif: 10 € / 5 €
Quelques belles photos de concert et des commentaires sur le site d'un fan d'Akosh S

lundi 27 février 2006

Kajáljon csütörtökön féláron - La bouffe à moitié prix jeudi 2 mars

Jeudi 2 mars, on pourra manger à moitié prix dans près de 500 restaurants en Hongrie.

"A Magyar Turizmus zrt. nagyszabású akciót hirdetett meg: a Nagy Ízutazás elnevezésű programban csaknem ötszáz magyarországi étteremben lehet március 2-án féláron étkezni. A néphagyományban torkos csütörtöknek hívott napon minden étel és ital árából ötven százalékos kedvezményt adnak az akcióban résztvevő éttermek." La suite sur Index.hu

Védelem alá helyeztek VII. kerületi házakat-Les immeubles du VIIè arrondissement placés en secteur sauvegardé

"Sürgősséggel ideiglenes védelem alá helyezett hét házat Budapesten, a Belső-Erzsébetvárosban a Kulturális Örökségvédelmi Hivatal (KÖH), miután a Király utca 40. alatti Hild-ház sorsa nem rendeződött – jelentette be Varga Kálmán KÖH-elnök." selon un article paru le 24 février dans Népszabadság
En procédure d'urgence, le service de sauvegarde du patrimoine culturel (KÖH) a placé 7 immeubles en secteur sauvegardé provisoire, après que le sort du 40 Király utca ne se soit pas arrangé - a déclaré Kálmán Varga le président du KÖH

dimanche 26 février 2006

Roman policier d'Imre Kertész (un article de Télérama)

Sous la plume d'Olivier Pascal-Moussellard, Télérama publie cette semaine un article sur le dernier livre d'Imre Kertész publié chez Actes Sud "Roman policier"*.
"Personne n’a mieux dit la geste cinglée des procès soviétiques qu’Arthur Koestler** dans Le Zéro et l’Infini : l’horreur côté victimes. Avec Roman policier, écrit et publié en Hongrie à la fin des années 70, Imre Kertész entre, lui, dans la tête du bourreau." La suite dans Télérama

*Traduit du hongrois par Charles et Natalia Zaremba, éd. Actes Sud, 118 p., 12,90 €.
** Ecrivain d'origine hongroise, l'un des premiers intellectuels avec Victor Serge (S'il est minuit dans le siècle - 1939) à avoir dénoncé les procès staliniens dés 1940.

A propos de Roman policier de Kertész voir aussi ici-même

samedi 25 février 2006

Táncház du 24 février

Hier soir la grande salle du rez-de-chaussée de l'Institut hongrois de Paris était comble pour une première Táncház, qu'on pourrait traduire par "maison de la danse". Cela consiste en fait, à se réunir autour d'un groupe de musiciens et de danseurs professionnels qui vous initient aux rudiments des danses populaires traditionnelles hongroises. Tout le monde était sur la piste, jeunes, vieux, sans âges, ... hommes, femmes et enfants, tantôt par groupes de deux, de quatre ou encore tous se tenant par la main dans une ronde joyeuse à essayer de suivre et d'imiter les danseurs chevronnés qui donnaient les indications et entraînaient la soirée. Et Kati, de sa belle voix, nous enchantait en entonnant les vieilles mélodies paysannes.
Prochaine soirée du genre : le vendredi 24 mars 2006.
Les Mardis hongrois de Paris soutenaient l'initiative, et il y avait bien sûr de très nombreuses têtes connues.
Je me suis laissé dire que ces soirées pourraient se renouveler plus fréquemment, vu le beau succès de cette première.

Des ONG tentent de sauver l'ancien quartier juif de Budapest

Selon un article signé Zoltán Simon dans Cyberpresse "Alors qu'il a survécu à l'occupation nazie et au communisme, l'ancien quartier juif de Budapest est maintenant la proie de la spéculation immobilière mais des ONG s'emploient à le sauver. Depuis 2002, de nombreux bâtiments historiques du septième arrondissement de la capitale hongroise, où se trouve l'ancien quartier juif, ont été démolis pour laisser la place à des immeubles neufs. Ces démolitions sont effectuées avec la complicité de la municipalité qui, au lieu de rénover les vieux bâtiments chargés d'Histoire du quartier juif, préfère les donner à des promoteurs immobiliers, accusent des organisations non-gouvernementales (ONG)." La suite de l'article sur Cyberpresse

vendredi 24 février 2006

Revu et corrigé : Péter Esterházy


Livre difficile, comme toujours avec l'écriture d'Esterházy, mais exigeant, au-delà de la forme, sur les questions éthiques qu'il pose. Comment traiter le passé stalinien des parents et les trahisons longtemps occultées des uns et des autres pendant que les combattants de 56 étaient exécutés ou emprisonnés. Mais aussi, au détour de quelques pages, que faire d'un passé, celui de l'année 44, qui a vu le départ de 600 000 hongrois vers la mort, sous l'oeil au mieux indifférent des grands parents. Telles sont quelques interrogations d'Esterházy. Comment cela a-t-il été possible ? Pourquoi ses compatriotes hongrois éludent-ils ces questions ? Beaucoup d'interrogations, quelques jugements sévères sur son père, beaucoup d'amour aussi pour lui... Mais est-il sûr de l'avoir compris et d'avoir complètement resitué ses "fautes" dans leur contexte social, politique,... Et si, après tout, son père, noble déclassé, ayant épousé la cause du régime stalinien, avait agi avec sincérité, dans la croyance que le régime de l'époque oeuvrait dans le sens de l'Histoire. Voici un extrait des dernières pages du livre.

"Nous - nous, hommes : ceux qu'il a trahis et ceux qu'il n'a pas trahis - ne pouvons pas pardonner à mon père, parce qu'il n'a pas reconnu devant nous son acte et parce qu'il ne l'a pas regretté, il n'a pas regretté que la partie ténébreuse de son âme l'ait vaincu. On peut donc le plaindre, le haïr ou se soucier de lui comme de l'an quarante. Cracher sur lui ou se moquer de lui : voilà le destin de mon père.
Au-delà des possibilités énoncées (et acceptées par moi aussi) ci-dessus, moi, je l'aime aussi cet homme dont je suis le fils aîné..." p. 391

Editions Gallimard du Monde entier source : Chapitre.com

Voir aussi l'article d'Ibolya Virág sur le Blog des Mardis hongrois

Emigrants hongrois : qui se ressemble s'assemble...

"...De toutes ces affections sincères ou intéressées, la plus ancienne demeure celle qui lie Nicolas Sarkozy au maire de Levallois-Perret et député des Hauts-de-Seine Patrick Balkany. Tous deux fils d'émigrants hongrois, ils se connaissent depuis l'âge de 20 ans. M. Balkany ne doute pas non plus de l'affection sans calcul de Nicolas Sarkozy : "Il m'appelle, m'invite à déjeuner à l'improviste, raconte Balkany. Quand j'ai eu quelques problèmes (il a été condamné, en 1997, à quinze mois de prison avec sursis et à deux ans d'inéligibilité pour avoir employé dans sa résidence personnelle des fonctionnaires municipaux rétribués sur fonds publics), j'ai continué à le voir. C'est à ce moment-là qu'on compte ses amis." Source Le Monde du 23 février 2006

Sans commentaire.

mercredi 22 février 2006

Király utca 40 - Chaîne humaine pour sauver la maison Hild - Mentőöv a Hild-háznak

Sous le titre "Mentőöv a Hild-háznak" le quotidien Népszabadság publie ce jour un article consacré aux démolitions dans le vieux centre de Budapest.
L'assocation ÓVÁS! vient de remporter une bataille juridique, l'autorisation de démolir l'immeuble du 40 Király utca ayant été déclarée illégale. Il est probable que l'immeuble de style classiciste sera sauvé. Mais, comme le montre la photo du journal, l'immeuble n'a déjà plus de toiture... On aperçoit sur l'image une chaîne humaine défendant le bâtiment construit en 1844.
D'autres images et informations sont visibles sur un autre article de Népszabadság de la veille et sur le site Indymédia

"Az ÓVÁS! Egyesületnek adott tegnap igazat a Budapesti Törvényességi Felügyeleti Ügyészség, azaz jogszabályellenesnek minősítette a Király utca 40. alatti épületre kiadott bontási engedélyt, és óvást nyújtott be ellene. Bár az engedélyt jegyző VII. kerületi hivatalnak nyolcnapnyi gondolkodási ideje van, valószínűnek tűnik, hogy a Hild József nevéhez köthető, eredetileg klasszicista ház megmenekül." Source Népszabadság

Centre ancien de Budapest : les démolitions se poursuivent

"Mindenüt óvják a müemlékeket csak nálunk nem" "Partout on préserve les monuments historiques, sauf chez nous" clame la banderole sur la photo de The Budapest Times qui a consacré un article aux destructions du patrimoine architectural du centre ancien de Budapest. Erzsébetváros, arrondissement du centre ancien de Budapest, ainsi que les arrondissements proches comme le VIème recèlent de magnifiques et remarquables bâtiments "sécession" entre autres. C'est tout un patrimoine architectural qui est livré aux appétits des spéculateurs, à la bêtise et à l'inanité des dispositifs juridiques et administratifs. Une association, dénommée Ovás! tente depuis plusieurs années d'arrêter la pioche des démolisseurs, mais il semble que ce soit un combat difficile, car même si elle a obtenu quelques premiers résultats positifs, ceux-ci sont constamment remis en question. L'article de The Budapest Times en témoigne.

Joseph Nadj - Last Landscape du 14 au 26 mars 2006 - Cité internationale


"Last Landscape, autoportrait de l’artiste face à un paysage, est une pièce ouverte, à l’écoute du langage et de son mouvement. Ce duo entre Josef Nadj, chorégraphe et Vladimir Tarasov, percussionniste a été créé comme une performance à partir d’improvisations musicales. La pièce en cristallise l’écriture et donne du jeu au musicien. Le spectacle se déploie dans une poétique du trait et du rythme. Palette de gestes et de sons ciselant autant d’images profondes, drôles et nostalgiques dont la poésie distille ses épures. Tracés évanescents, illusions de scènes aux compositions multiples et minutieusement entrelacées.
Irène Filiberti"
Source le Théâtre de la Ville

Les réservations sont ouvertes dés aujourd'hui. Téléphonez directement à la Cité Internationale 01 43 13 50 50. Dépêchez-vous, les places sont rapidement vendues pour les spectacles de Joseph Nadj. Personnellement, je suis un adepte inconditionnel de ce remarquable chorégraphe.

lundi 20 février 2006

Où trouver du pavot à Paris ?

Pour celles et ceux qui voudraient satisfaire ma passion la plus secrète et la plus coupable, me préparer un mákos beigli (gâteau roulé au pavot), voici quelques adresses utiles...
On y trouve aussi des vins hongrois je pense
Ronalba 60 rue du Faubourg Saint Denis 75010 PARIS tél 01 47 78 98 38
Globus Star 76 r Château d'Eau 75010 PARIS tél 01 47 70 01 06 ou 01 48 24 20 82
Globus Star 50 r Simplon 75018 PARIS tél 01 42 55 23 20
Globus Star 14 av Claude Vellefaux 75010 PARIS tél 01 42 38 30 06 ou 01 42 38 32 06
Izrael 30 r François Miron 75004 PARIS 01 42 72 66 23

Les images étranges des Mardis hongrois (2)

La brume envahit tout, on devine quelques visages rieurs ou étonnés, on aperçoit aussi au loin un couple bavardant comme si le monde n'était pas flou...

Les images étranges des Mardis hongrois

Voici l'une des images de la soirée des Mardis hongrois de Paris du 14 février, auxquelles vous avez échappé. Elle est du meilleur effet non ? Elle a été prise de l'extérieur du café, à travers la vitre. On voit bien évidemment le flash qui se réfléchit dans la vitrine, mais ces lignes décrivant des cercles me laissent perplexes... Quelle en est l'explication ? Le laveur de carreaux qui a laissé des traces visibles grâce au flash ? Un effet optique ? Le flash se réfléchissant sur l'objectif de l'appareil photo, objectif sur lequel seraient restées des traces d'un nettoyage intempestif ?

dimanche 19 février 2006

Szabó, le doulos du cinéma hongrois

"Selon un magazine de droite, le célèbre cinéaste a été indic sous l'ère communiste.
En apprenant que le cinéaste Istvan Szabó avait été indicateur des services secrets sous le communisme, les Hongrois sont tombés de haut. Lui, l'artiste le plus brillant de sa génération, découvert par l'Occident à Cannes et à San Francisco dès l'âge de 25 ans pour son film Toi. Lui dont la vie est une success story, qui a remporté de nombreux prix dont l'oscar du meilleur film étranger en 1982 pour son magistral Méphisto. Lui qui a fait une carrière mondiale tout en restant en Hongrie. Agé de 68 ans, l'homme est une légende vivante que beaucoup auraient même aimé voir président de la République." La suite de l'article dans Libération

samedi 18 février 2006

Joseph Ujlaki - une petite pensée...

Je me rappelle avec une petite émotion, ces moments où avec mon père et mon frère on écoutait les matchs de foot à la radio sur Paris-Inter dans les années 50. Il y avait un certain Joseph Ujlaki qui évoluait au Racing et quand son nom était prononcé par les speakers, on avait un petit sentiment de fierté..., c'était un Hongrois.
Il vient de partir au paradis des footballeurs. Un article hommage lui est rendu sur le blog France football

Miklós Perényi et Dénes Várjon - 11 mars au Théâtre de la Ville

Il se produit rarement à Paris mais vient pour la neuvième fois au Théâtre de la Ville. C’est un signe. Représentant à la fois glorieux et très personnel de la grande école de violoncelle d’Europe centrale, Miklós Perényi reste un personnage à part dans le monde musical contemporain. Loin des feux de la publicité et du carriérisme omniprésents à notre époque, il pratique la musique la plus vraie et la plus authentique.
Chaque concert est pour lui le fruit d’une réflexion longuement menée, un moment d’exception dans sa vie et dans la notre. Avec son compatriote Dénes Várjon au piano, il a choisi cette année un programme regroupant des pages de Beethoven, de Prokofiev, de Saint-Saëns et de Debussy-Kocsis.
Gérard Mannoni
Pour en savoir plus Théâtre de la Ville Les locations sont ouvertes.

jeudi 16 février 2006

Encore des images de la soirée du 14 février 2006


D'autres images de cette belle soirée sont visibles sur le site officiel des Mardis hongrois de Paris

Quelques images d'une soirée musicale














Maria, merveilleuse chanteuse, entonne de sa belle voix quelques airs hongrois, français, latino-américains...

Második Párizsi Magyar Filmhét

Halló-halló-halló!!!!!! Mához pontosan egy hónapra indul a Második Párizsi Magyar Filmhét (2006.március 15-21) 8 nagyjátékfilmmel, rövidfilmekkel, dokumentumfilmekkel, fotókiállításokkal, Kistehén Tánczenekar koncerttel, élő Fekete kefe DJ-show-val, kerekasztal-beszélgetésekkel az ENTREPOT-ban!!!Részleteket, programot olvashattok a folyamatosan újuló, bővülő, szépülő http://www.lahongriefaitsoncinema.com szájton!! Nézzétek meg! Adjátok tovább! Vegyetek bérletet! És nyerjetek egy 2 személyes Budapesti hétvégét az ötcsillagos Westend Hiltonba! Hívjatok jó sok ismerőst, barátot, a filmek mind francia felirattal mennek!!!!Nagggggyon jó lesz!!!!!!

DANSONS ENSEMBLE (Táncház) - vendredi 24 février 2006 à 17 h 30 et à 19 h

A l'Institut hongrois de Paris Atelier de danse traditionnelle de Hongrie Avec: l’ensemble de PÁL PALLAGI, BEA DOBOS et GYÖRGY BOHUS (danse), KATALIN GYENIS (chant) Voulez-vous apprendre les danses traditionnelles hongroises? Un orchestre et un couple de danseurs venus spécialement de Budapest sont prêts à vous faire apprécier les entraînantes danses de Hongrie et de Transylvanie. Préférez-vous les danses de couple ou les danses de solo? Les chants ou les cris? Les danses de quatre ou plus? Les danses hongroises en offrent pour tous les goûts! Elles sont variées, contrastées et très physiques pour ceux qui le souhaitent. Elles s’improvisent dès que les danseurs ont appris à enchaîner deux pas différents. Nous vous offrons l’enseignement des pas, des séquences de figures à enchaîner et à improviser, la façon hongroise de se tenir, mais également des styles de danse qui correspondent à chacune des régions qui les ont vues naître...
Les musiques et les danses hongroises sont aujourd’hui enseignées à un large public de tous âges au cours de stages et de soirées dansantes avec music live (táncház) qui, elles aussi, sont devenues une tradition en Hongrie. Des enfants, des jeunes et des moins jeunes découvrent avec enthousiasme des danses typiques de tel ou tel village de la Hongrie d’antan, ravis par l’incroyable potentiel d’expression personnelle et collective. Chaque rencontre est unique et particulière. Nous serions très heureux d’accueillir un public aussi large et aussi ouvert que possible. En plus de la danse et de la musique, un buffet hongrois vous attend avec ses délices spéciales! VENDREDI 24 FÉVRIER - à 17 heures 30 pour enfants - à 19 heures pour adultes VENDREDI 24 MARS - à 17 heures 30 pour enfants - à 19 heures pour adultes

Psaume rouge de Miklós Jancsó

Du 15 février au 22 mars prochains, Fluctuat.net fait son cinéma à l’Action Christine (Paris 6e). Avec une soirée spéciale "DIY Movies !" le 17 février, et une programmation quotidienne de 8 films culte chaque jour à midi"
Du 15 février au 22 mars à midi : Tous les jours, un film culte et parmi ceux-ci :
"Psaume rouge de Miklós Jancsó (1971) : Aujourd’hui oublié, le Hongrois Miklós Jancsó reçut la palme de la mise en scène pour ce film historique et politique. En d’extraordinaires plans séquences surgit un symbolisme qui n’oublie jamais la réalité concrète de la résistance"

Cinéma Action Christine 4, rue Christine 75006 Paris Métro Odéon, Saint-Michel, Paris
7,50 euros la séance du 17 février au soir 4,50 euros la quotidienne à midi Tarif spécial - 26 ans : Carte Ciné-Passion à 2 euros, + 3 euros/séance
Source Fluctuat.net

mercredi 15 février 2006

Mardis hongrois : soirée du 14 février 2006

De notre correspondant permanent.
Une première image de la soirée des Mardis hongrois de Paris vient de parvenir à la rédaction du blog. Ici nous voyons Gyuri Tengernagy entonnant "Az a szép, az a szép, akinek a szeme kék..." D'autres photos de cette mémorable soirée bientôt sur le site des Mardis hongrois de Paris

mardi 14 février 2006

2e Semaine du Cinéma Hongrois à Paris du 15 au 21 mars 2006

Je vous l'avais annoncé il y a quelques semaines. Au fil des informations qui me parviendront dans les prochains jours, vous saurez tout sur la 2e Semaine du Cinéma Hongrois à Paris qui aura lieu du 15 au 21 mars à l’Entrepôt (7/9 rue Francis de Pressensé 75014 Paris)
Bientôt, ici-même, des informations sur la programmation des films !!

Niché au cœur du XIVe arrondissement de Paris, l’Entrepôt ouvre ses portes à la toute récente création cinématographique hongroise à l’occasion de la deuxième édition de la Semaine du Cinéma Hongrois à Paris. Départ donné le mercredi 15 mars, jour de la fête nationale, pour une semaine entièrement consacrée à la culture hongroise sous toutes ses coutures. Un voyage, loin des clichés confortables, durant lequel on pourra découvrir près de 9 films sous-titrés pour la première fois en français ainsi que 12 courts-métrages. Les projections quotidiennes seront suivies de rencontres et de débats animés par les réalisateurs; réactions attendues du public et concours d’universitaires avertis.
Une découverte aussi pour les oreilles où l’on pourra se laisser aller aux rythmes étonnants du groupe Kistehén Tánczenekar (http://www.szajbergyerek.hu/) et aux vibrations des DJ’s, trois éminents représentants de la jeune et tout aussi créative scène musicale de Budapest.
La Semaine du Cinéma Hongrois, c’est aussi, et pendant toute la semaine, une exposition de photographies - images prises sur le tournage du nouveau film de György Pálfi, „Taxidermia” par Viktória Sovák.

lundi 13 février 2006

L'Horloge de Munich de Giorgio Pressburger - Paru chez Actes Sud

Paru aux Editions Actes Sud Romans, nouvelles, récits Textes italiens Traduit de l' italien par Marguerite Pozzoli novembre 2005 prix indicatif : 23,00 €

"Au détour d'un vieux livre, le narrateur se découvre trois ancêtres : Marx, Heine et Mendelssohn - un révolutionnaire, un poète et un musicien. Saisi d'une sorte de vertige, le voilà plongé dans la quête de ses racines ; elle le mènera au centre de la fabuleuse Mitteleuropa, mais aussi au centre de la vie, puisque toutes les existences, même les plus modestes, forment une chaîne qui mêle aux héros célèbres des gens obscurs, mais non moins dignes d'intérêt. Dans la grande tradition hébraïque, Giorgio Pressburger* nous convie à rencontrer des personnages émouvants, créatures à la dérive dans un monde à la dérive, marqué à jamais par le sceau de l'Holocauste, et par la faillite des idéologies. Voici tour à tour l'oncle François, morphinomane excentrique et désespéré, le rabbin de Cifer, qui noue avec Dieu un pacte catastrophique, ou encore l'oncle Gustave, révolutionnaire amoureux de Maupassant. Et même un chien fidèle à ses maîtres morts en déportation, et qui continue à monter la garde devant une maison vide... Mais c'est l'avant-dernière histoire, "L'horloge de Munich", qui livre le sens de l'œuvre : à travers un cadeau fait par une vieille dame à ses quatre neveux, dispersés sur divers continents, le fil de la mémoire et la lueur de l'âme, si ténue soit-elle, s'affirment envers et contre tout."

* Giorgio Pressburger : Ecrivain hongrois, né à Budapest en 1937. Depuis 1956, Giorgio Pressburger, qui a quitté sa Hongrie natale, vit en Italie. Avant de se consacrer à l'écriture, il participe à des émissions de radio, puis devient metteur en scène au cinéma, au théâtre et à l'opéra. Avec Nicola, son frère jumeau décédé en 1985, ils écrivent deux livres ensemble dont 'Histoires du Huitième District'. Seul, il signe de nombreux recueils de nouvelles et des romans comme 'La Loi des espaces blancs' en 1990 et 'Les Jumeaux', paru huit ans plus tard. Giorgio Pressburger, écrivain reconnu, reçoit le prix Viareggio 1998 pour 'La Neige et la Faute', et le prix Elsa Morante pour 'L'Horloge de Munich'. Source : evene.fr

vendredi 10 février 2006

Des DVD ROMs et un site internet pour améliorer sa compréhension du Tchèque, du Polonais et du Hongrois





Les 3 DVD ROMs "Ecouter pour Comprendre" et le site Internet présentent une grande originalité. Ils donnent à un apprenant, quel que soit son niveau, les moyens de construire son propre apprentissage de la compréhension orale du Tchèque, du Polonais et du Hongrois. Chaque DVD-ROM "Ecouter pour Comprendre" (un pour chaque langue) comporte un module méthodologique ("la méthode") et un module de ressources ("les documents"), banque de documents vidéo variés accompagnés de transcriptions et traductions. « La méthode» permet à un apprenant de diagnostiquer ses problèmes de compréhension et de sélectionner les techniques les plus adaptées pour les traiter. Ces techniques peuvent ensuite être appliquées sur les documents vidéo du DVD ROM ou bien sur le matériel (radio, télévision, internet) référencé sur le site internet. Les DVD ROMs sont destinés à être utilisés dans des centres de ressources ou à domicile.

Les DVDs et le site web sont de très bonne qualité et faciles d'accès, ce qui rend possible l'apprentissage autonome des langues ciblées. (Commission Européenne. Direction générale de l'éducation et de la culture. Culture, Politique audiovisuelle et Sport. Politique des Langues. Commentaire sur le rapport final du projet "Ecouter pour Comprendre".) Le site Internet "Ecouter pour Comprendre" propose des compléments pédagogiques sous la forme de liens vers des ressources nouvelles et un service de conseil méthodologique. Il propose aussi la mise en relation d'apprenants et la constitution de tandems bilingues.
Enfin un site intelligent sur l'apprentissage des langues ! et pour ne rien gâcher magnifique d'un point de vue esthétique. (Hélène De Rosnay, utilisatrice du site)
Prix d'un DVD ROM: 35 euros TTC; 20 euros TTC (étudiants). Plus frais de port.
Voir une démo. du DVD ROM de Tchèque.

Voir une démo. du DVD ROM de Polonais.

Voir une démo du DVD ROM de Hongrois.

Les démos nécessitent le plug-in Shockwave
Cliquez ici pour le télécharger.

Voir le site. http://www.epc.univ-nancy2.fr/
Commander un DVD ROM. http://www.epc.univ-nancy2.fr/pdf/BC_crapel.pdf
Il existe également 3 DVD ROMs Français Langue Etrangère pour Tchèques, Polonais et Hongrois. Pour plus d'information :
Nous écrire http://www.epc.univ-nancy2.fr/EPCT_F/contact_83_TF.html
Téléphoner : 03.83.96.71.30/31
Ce projet a été financé avec le soutien de la Communauté Européenne dans le cadre du programme SOCRATES. Le contenu de ce projet ne reflète pas nécessairement la position de la Communauté Européenne et n'engage en rien sa responsabilité.

jeudi 9 février 2006

Un artisan hongrois au salon de l'agriculture du 26 février au 5 mars 2006

Nous sommes heureux de vous faire savoir la présence d’un artisan Hongrois avec toutes ses spécialités, au Salon International de l’Agriculture de Paris.
Moi même, étant distributeur de produits hongrois depuis maintenant 12 ans, basé a Strasbourg, me tiens a votre entière disposition, pour toutes questions concernant les spécialités de Hongrie.
Bien cordialement.

J.Csoka.

Pour toutes informations :
Tel :03 88 21 06 06
Mobil :06 61 88 78 27
Fax : 03 88 23 57 25
e-mail :csoka@wanadoo.fr

mercredi 8 février 2006

László Fassang en concert à Saint Etienne-du-Mont mardi 21 février à 20 h 30

László Fassang, Hongrie (Grand Prix de Chartres interprétation et prix du public de notre concours 2004) en concert à Saint Etienne-du-Mont. Tarif unique : 20 € tarif réduit 15 € concert organisé dans le cadre de la 3e saison des concerts à Saint-Etienne-du-Mont par le label INTRADA, qui a enregistré le programme du concert au grand orgue de la cathédrale de Chartres. Ce concert est placé sous le haut patronage de l’Institut hongrois. Les œuvres enregistrées comptent parmi les plus belles de la littérature d’orgue, Passacaille de Bach, Carillon de Westminster de Vierne, Litanies de Jehan Alain, etc. Avec bien sûr une improvisation de László Fassang, art qui lui a déjà valu de nombreuses récompenses internationales, ce disque met en valeur le talent éblouissant de l’interprète et la richesse sonore des grandes orgues de la cathédrale de Chartres. László Fassang, a pu enregistrer ce disque grâce à une donation de l’Association "Les amis de l’orgue de St-Jean Lespinasse" et à une subvention du Conseil Général d’Eure-et-Loir, ainsi que de la Ville de Chartres. L’Association des Grandes Orgues de Chartres remercie également pour leur participation financière à la réalisation de cet enregistrement l’Institut hongrois, la SACEM, et les Ets Hébert (Chartres).
Informations : Association des grandes orgues de Chartres : http://orgues.chartres.free.fr
INTRADA : http://www.festival.saint-etienne-du-mont.com/

Imre Kertész: le monde est "difficile à cerner et très dangereux"

L'écrivain hongrois Imre Kertész, prix Nobel de littérature 2002, estime que le monde d'aujourd'hui est "difficile à cerner dans son ensemble et très dangereux", dans un entretien avec l'AFP à l'occasion de la sortie en France de son livre "Roman policier". La suite de l'interview sur le portail Yahoo

A Ivry sur Seine du 24 au 26 février 2006 Week-end hongrois

Après Schubert, Bach et Beethoven, le conservatoire municipal de musique programme cette année un week-end hongrois, autour de neuf concerts qui se présentent comme un temps fort de la programmation musicale de la ville.
Deux grands du répertoire hongrois seront à l'honneur, Bela Bartok et György Ligeti, dont des Oeuvres peu connues ouvriront le week-end à l'hôtel de ville, avec les musiciens du Concert impromptu, en résidence à Ivry. Les deux autres ensembles en résidence, Le Quatuor Rosamonde et Le Quatuor Parisii se lanceront à leur tour sur les traces de Bartok, Ligeti, Kocsar, Eötvös, Kodaly, Kurtag.
A noter, Lux Æterna de Ligeti, Oeuvre phare reprise par Stanley Kubrick dans son Odyssée de l’espace, lors de la soirée de musique chorale a capella avec Musicatreize. Le concert conté du dimanche matin avec Le Quatuor n°44, deux violons classiques, un joueur de vielle et une chanteuse populaire hongroise, juxtaposera chants traditionnels et duos de Bartok inspirés du patrimoine mélodique. Ballade traversée d'allégresse, suivie à 16 h d'un concert commenté par Philippe Boivin, compositeur et directeur du conservatoire de musique.
Eva Lacoste (article paru dans Ivry-ma-Ville, février 2006)
Week-end hongrois
Vendredi 24 février : concert sandwich à 12 h à l'hôtel de ville (3 e sur réservation au 01 49 60 26 95) ; Le Quatuor Rosamonde à 20 h 30 à auditorium Antonin Artaud.
Samedi 25 février : concerts à 14 h, 16 h, 18 h et 20 h 30 à l'auditorium.
Dimanche 26 février : concert conté à 11 h et concert commenté à 16 h à l'auditorium.

Auditorium Antonin Artaud- Médiathèque d'Ivry
152, ave Danielle Casanova (entrée par la place Voltaire)
Métro Mairie d'Ivry
entrée libre sur réservation (0149602695) sauf le concert de vendredi 24 févr. à 12h qui coute 3 € et a lieu à la salle de fêtes de l'Hôtel de Ville d'Ivry (Esplanade Georges Marrane)

4e "week-end" thématique, consacré à la musique hongroise. Au programme du dimanche 26: Concert commenté Bartók.
dimanche 26 février - 11 hAuditorium Antonin Artaud
Concert conté : Sur les traces de BartókLe Quatuor'44 :Benoît Josse, Simon Thierrée (violons)Katalin Gyenis (chant)András Vigh (vielle à roue et paroles)
Un jour, dans un concert où se produisaient séparément d'une part les deux violonistes du Quatuor'44 et d'autre part la chanteuse et le vielliste hongrois, tous découvrirent avec surprise qu'ils avaient programmé le même morceau, La Danse des Moustiques, dans sa version folklorique pour les uns et revu par Bartók pour les autres. Ce fut le début de l'aventure qui devait les mener jusqu'à ce concert-spectacle Sur les traces de Bartók, où s'entrelacent les duos composés par le musicien hongrois avec les chants folkloriques qui les ont inspirés. Une balade pleine d'humour et d'allégresse.
dimanche 26 février - 16 h - 18 h (*)Auditorium Antonin Artaud
(*) Représentation supplémentaire en fonction de l'importance des réservations
Concert commenté Elena Bonnay, Jean-Bernard Dartigolles (piano)Michel Gastaud, Alain Huteau (percussions)
Béla Bartók : Sonate pour deux pianos et percussions Sz.110Igor Stravinski : Le sacre du printemps (2e partie) Version pour 2 pianos
Adaptation pour les percussions : Michel Gastaud
Renseignements et réservations au Conservatoire. Tel 01 49 60 26 95Attention: les places non retirées 20 minutes avant le concert seront redistribuées.
Voir aussi le site de la Ville d'Ivry-sur-Seine

L'orchestre de Paris interprète Bartók et Kodály les 22 et 23 février 2006 à Mogador

L'Orchestre de Paris accueille pour ce concert symphonique le chef estonien Paavo Järvi et Kun Woo Paik, pianiste coréen hors du commun et poète. Deux grands compositeurs représentant l'école hongroise seront à l’honneur Béla Bartók (1881-1945) et Zoltán Kodály (1882-1967). C'est suite à leur rencontre en 1906 qu'ils commencent leur collecte de musiques et chants populaires hongrois, qui influenceront très largement leur œuvre. Les artistes interpréteront le Concerto pour orchestre de Kodály, rarement joué en concert, ainsi que deux œuvres incontournables de Bartók : la Musique pour cordes, percussion et célesta, et le deuxième Concerto pour piano.

Tarifs : 45 € / 35 € / 25 € / 15 €
Théâtre Mogador (caisse ouverte du lundi au samedi, de 11h à 18h) 25 rue de Mogador, 75009 Paris). Renseignements et réservations : 01 56 35 12 12
Retrouvez la saison complète sur http://www.orchestredeparis.com/

mardi 7 février 2006

Rencontre avec Imre kertész à Toulouse - Vendredi 10 février 2006 - 16h

La librairie Ombres Blanches à Toulouse organise une rencontre avec Imre Kertész le vendredi 10 février à 16 h.
Rencontre avec Imre Kertesz : à l’occasion des représentations de « Kaddish pour l’enfant qui ne naîtra pas » au TNT (Imre Kertész / J.-Q. Châtelain / J. Jouanneau) du 7 au 19 février, trois journées autour de l’œuvre de Imre Kertesz, Prix Nobel 2002, sont organisées à Toulouse par Ombres Blanches et Actes Sud avec le soutien du TNT, le Musée de la Résistance et le Conseil Général. Avec le concours de la Mairie de Toulouse, du CRIF/ Toulouse-Midi Pyrénées et de l’Association Franco-Hongroise de Midi Pyrénées.
Pour plus d'information visitez le site d'Ombres Blanches

samedi 4 février 2006

Plusieurs personnalités mises en cause après l'ouverture des Archives historiques de Budapest - (Le Monde)

"Peu avant Noël, Paul Lendvaï a reçu un gros paquet contenant les 395 pages de son dossier sorti des Archives historiques de Budapest, l'institution qui trie les documents de la police secrète communiste. Paul Lendvaï, âgé aujourd'hui de 70 ans, est à Vienne un journaliste et essayiste de renom. D'origine hongroise, il est arrivé en Autriche en 1957, après avoir été brièvement emprisonné pour "trotskisme" par le régime stalinien d'alors." La suite dans le quotidien Le Monde du 3 février 2006
Une situation qui nous replonge au coeur du dernier roman de Péter Esterházy, Revu et corrigé.

vendredi 3 février 2006

"Roman policier" d'Imre Kertész paru chez Actes Sud

Ce court roman, écrit en 1976 par le prix Nobel de littérature, brosse le portrait magistral de trois types de "bourreaux" : le cynique, le tortionnaire et le suiveur.
L'avis de la Fnac
« Je m’appelle Martens. Oui, Antonio Rojas Martens, celui-là même qui paraît devant les juges du nouveau régime, les juges du peuple, ainsi qu’ils aiment à se nommer. Vous avez pu lire pas mal de choses à mon propos cet an-ci : les feuilles de chou criardes veillent à ce que mon nom soit connu dans toute l’Amérique Latine, et même au-delà de l’océan, dans la lointaine Europe. Je dois faire vite, mon temps est sans doute compté. »Ancien policier jugé pour sa participation à la dictature qui vient d’être renversée, Antonio Martens a confié à son avocat le dossier Salinas, espérant trouver la paix par son témoignage. Issu de la police criminelle, Martens avait été affecté à la Corporation, une unité d’élite destinée à « sauver la Patrie » et « liquider la subversion ». Comment tout cela a-t-il commencé ? Par le désœuvrement d’un fils de bonne famille, Enrique Salinas, désireux de se lier d’amitié avec les forces terroristes d’opposition au nouveau régime. Le jeune homme a tout juste vingt-deux ans, des cheveux longs, une moustache et une barbiche, ce qui suffit à le rendre suspect aux yeux de la Corporation. Lorsque Federigo Salinas comprend le danger qui menace son utopiste de fils et qu’il lui confie des missions farfelues en lui faisant croire qu’il participe à un complot, la Corporation voit ses soupçons confirmés. Arrêtés et soumis à la torture, père et fils clament sans succès leur innocence. Pour ne pas perdre la face, les services secrets décident de les fusiller… Un roman bouleversant, mené avec une incomparable maestria."
Ce roman peut être commandé à la FNAC

Vendredi 3 février 2006 à 20 heures "L'homme qui voulait sauver les femmes (Semmelweis)"

Théâtre : "L'homme qui voulait sauver les femmes (Semmelweis)" d’après la thèse de médecine de Louis-Ferdinand Céline

Création de la compagnie La Mémoire et l’Instant
vendredi, le 3 février 2006, à 20 heures
Institut Hongrois
92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Mº Saint Sulpice

Adaptation: Michel Sigalla
Avec Christine Lapsca et Michel Sigalla

Participation aux frais: 10 € / 5 €
„Ce spectacle repose sur une étrange idée: porter à la scène la thèse de médecine qui fut la première oeuvre de Céline. La thèse du futur auteur du „Voyage au bout de la nuit” porte sur un médecin hongrois, Semmelweis, qui, le premier, avant Pasteur, comprit que le corps médical transmettait les microbes en oubliant de se laver les mains après les dissections. Mêlant leur propre jeu à celui de marionnettes, Michel Sigalla et Christine Lapsca composent un fascinant théâtre d’ombres et de chair, un spectacle inattendu et fascinant où acteurs, marionnettes et voix off content ce combat épuisant contre l’obscurantisme.”
(Zurban)

jeudi 2 février 2006

26 février 2006 : Farsang (Carnaval) - Association "Pour une école hongroise"

Farsang - Carnaval
Nous vous invitons à notre fête déguisée le 26 février 2006 à partir de 16 heures jusqu’à 17.30 heures à l’adresse suivante :
Maison des Associations 3, rue de la République 78100 Saint Germain en Laye - 1er étage salle n°11 - (1 minute à pied de la gare RER)

Merci d’apporter des gâteaux et boissons.
Un petit message pour les parents : N’hésitez pas à vous déguiser aussi, nous allons faire la fête avec nos enfants.
Participation aux frais (pour la location de la salle)
1,50 Euro par famille pour les adhérents
3 Euro par famille pour les non adhérents

Association "Pour une école hongroise". Siège social : Maison des Associations 3, rue de la République 78100 Saint Germain en Laye
Présidente/Elnök : Hajnalka Boulet-Stefan Tel : 01 34 51 37 75
Trésorière/Kincstárnok : Nora Kunzli Tel : 01 39 21 13 82
Secrétaire Générale/Fötitkár : Krisztina Ginsztler-Bertrand

Tel : 01 39 28 94 36

Puskás sur grand écran

"Un producteur hongrois a annoncé mercredi le prochain tournage d'un film relatant la vie du légendaire footballeur hongrois Ferenc Puskas, qui doit fêter ses 80 ans l'an prochain." La suite sur Sport.fr

mercredi 1 février 2006

Photos de la dernière soirée des Mardis hongrois



Les photos de la dernière soirée sont publiées sur le site des Mardis hongrois de Paris