Le groupe à Palotaï est un quintet garage-jazz. Son existence date d'il y a cinq ans, et sa musique se base sur les compositions de Csaba Palotaï, venu directement des Carpates hongroises.
Attention! Attack des Pères Noël Etrangers !
Le 6 décembre c'est le jour du Père Noël Hongrois ! Notre Père Noël Hongrois vous propose un concert de Grupa Palotaï riche en vitamines avec le formidable Fred Pallem à la basse, et à la guitare, et en première partie l'unique duo plein de charme avec Christelle Séry à la guitare et au chant, et Sylvaine Hélary à la flute traversière. et toujours Joe Quitzke batterie Thomas de Pourquery sax Rémi "Wildmimi" Sciuto sax Didier Havet soubassophone Csaba Palotaï guitare. Et si les deux princesses à la batterie dissociée réapparaissaient ?... A cette même occasion je vous annonce que le Père Noël Russe (qui passe en janvier) prépare déja la sortie de notre notre troisième album: "SINGAPORE" (BMC/Abeille) !!! Tarif 8 euros Et, pour toute personne se présentant en bottes rouges, l'entrée passe à 4 euros!
A mercredi !
Csaba Palotaï
Mercredi 6 décembre à 21 h
Studio de l’Ermitage 8, rue de l’Ermitage 75020 Paris
Métro : Pyrénées / Ménilmontant Bus : 26 et 96
Tél. : 01 44 62 02 86 Fax : 01 44 62 09 85
mercredi 29 novembre 2006
mardi 28 novembre 2006
lundi 27 novembre 2006
Bazar magyar de Viviane Chocas - Soirée dédicace Mardis hongrois de Paris - mardi 19 décembre 2006
Français d'origine hongroise, Hongrois émigrés, Hongrois d'adoption, nous avons tous un "Bazar magyar" dans la tête. Nombreux parmi les participants des Mardis hongrois de Paris ont leur propre "Bazar magyar". Mardi 19 décembre 2006 à partir de 20 h, nous mêlerons nos expériences en présence de Viviane Chocas qui dédicacera son livre lors d'un Bazar magyar géant, à la brasserie "A Saint-Jacques" 10, rue Saint Martin 75004 Paris Métro Châtelet.
Bazar magyar de Viviane Chocas est paru aux éditions Héloïse d'Ormesson
« Parfois il suffit de manger pour que tout ou presque, puisse être dit ». Pour la narratrice, Klara Séli c’est une aubaine, car Zsuzsa et Péter, ses parents, ne lui ont rien dit. Ils ne lui ont rien transmis de leur histoire, restée cadenassée derrière le rideau de fer. Même leur langue maternelle, ils l’ont comme oubliée. Seule concession à leurs origines, la cuisine de Zsuzsa entre goulasch et tokaji. Klara va chérir ce lien. Son alphabet intime sera ces voyelles paprika, ces consonnes galuska, ces accents graves au goût âpre de noix, aigus à l’amertume du concombre. Pour le reste, elle devra tout imaginer : la fuite hors de Hongrie en 1956, ses oncles et tantes, les rives du Danube. Aidée par de brefs séjours (l’été de ses 24 ans puis en 1989), elle se construit en hongrois. Peu à peu, pièce par pièce, mot par mot, elle recompose son identité, son « bazar magyar », et s’approprie l’histoire familiale d’avant l’exil. Dernière étape de ce travail, lorsqu’elle est dépêchée comme reporter à Budapest pour suivre la chute du communisme, l’ouverture des frontières, la naissance de la République. Entre plaisir des papilles et plaisir du verbe, Klara dessine un monde sensuel et gourmand. Par petites touches, elle donne envie de ce monde plein de tristesses, de richesses, de ce monde abîmé. Elle nous dit comment la nourriture constitue le lien, si essentiel, avec le passé ; comment les frontières se franchissent grâce aux odeurs quand les mets composent la seule mémoire vive, cédée, concédée. Quête des origines, guidée par les saveurs qui font surgir les souvenirs, Bazar Magyar, manière de Festin de Babeth version hongroise, laisse dans son sillage tout un univers qu’une fois goûté, on garde en mémoire et en bouche.
Photo de la couverture © Getty Images
Bazar magyar de Viviane Chocas est paru aux éditions Héloïse d'Ormesson
« Parfois il suffit de manger pour que tout ou presque, puisse être dit ». Pour la narratrice, Klara Séli c’est une aubaine, car Zsuzsa et Péter, ses parents, ne lui ont rien dit. Ils ne lui ont rien transmis de leur histoire, restée cadenassée derrière le rideau de fer. Même leur langue maternelle, ils l’ont comme oubliée. Seule concession à leurs origines, la cuisine de Zsuzsa entre goulasch et tokaji. Klara va chérir ce lien. Son alphabet intime sera ces voyelles paprika, ces consonnes galuska, ces accents graves au goût âpre de noix, aigus à l’amertume du concombre. Pour le reste, elle devra tout imaginer : la fuite hors de Hongrie en 1956, ses oncles et tantes, les rives du Danube. Aidée par de brefs séjours (l’été de ses 24 ans puis en 1989), elle se construit en hongrois. Peu à peu, pièce par pièce, mot par mot, elle recompose son identité, son « bazar magyar », et s’approprie l’histoire familiale d’avant l’exil. Dernière étape de ce travail, lorsqu’elle est dépêchée comme reporter à Budapest pour suivre la chute du communisme, l’ouverture des frontières, la naissance de la République. Entre plaisir des papilles et plaisir du verbe, Klara dessine un monde sensuel et gourmand. Par petites touches, elle donne envie de ce monde plein de tristesses, de richesses, de ce monde abîmé. Elle nous dit comment la nourriture constitue le lien, si essentiel, avec le passé ; comment les frontières se franchissent grâce aux odeurs quand les mets composent la seule mémoire vive, cédée, concédée. Quête des origines, guidée par les saveurs qui font surgir les souvenirs, Bazar Magyar, manière de Festin de Babeth version hongroise, laisse dans son sillage tout un univers qu’une fois goûté, on garde en mémoire et en bouche.
Photo de la couverture © Getty Images
Libellés :
Littérature,
Soirée des Mardis hongrois
Courts métrages d’animation à L’Institut hongrois de Bruxelles/ Magyar animaciós rövidfilmek a Brüsszeli Magyar Kulturális Intézetben
Magyar animaciós rövidfilmek a Brüsszeli Magyar Kulturális Intézetben 2006 November 30, csütörtök - 20:00 Brüsszeli Magyar Kulturális Intézet 10, rue Treurenberg B-1000 Bruxelles Információ : 02 209 07 50 http://jpsalvadori.free.fr/revelations/hu/events_hu.php
A Brüsszeli Magyar Kulturális Intézet ós a Révélations hongroises bemutat egy 10 rövidfilmből álló 50 perces válogatást fiatal magyar animáciosfilmrendezők munkáiból. A filmek nagyrésze belgiumban most látható először. A vetítés után Jean-Philippe Salvadori a Révélations hongroises elnöke és Kiss Andrea rendező beszelgetésre invitálja Önöket. További információ az alábbi weboldalakon : http://www.revelationshongroises.org
http://www.hungarianinstitute.be
A program megtekintését felnőtt közönségnek ajánljuk! Ez a vetítés a BMKI ós a Révélations hongroises közös programsorozatának első darabja. A jövő óv folyamán felnőtt és gyermekfilm vetítéseket és workshopokat tervezünk.
Courts métrages d’animation hongrois "Révélations hongroises" à L’Institut hongrois de Bruxelles Le jeudi 30 novembre 2006 à 20 h - 10, rue Treurenberg B-1000 Bruxelles Information : 02 209 07 50 http://jpsalvadori.free.fr/revelations/fr/events_fr.php
L’Institut culturel hongrois de Bruxelles présente en partenariat avec l’association Révélations hongroises : Un programme de 10 films d’animation de jeunes cinéastes hongrois dont une grande partie sont totalement inédit en Belgique. La projection sera précédée d’une présentation par Jean-Philippe Salvadori, président de Révélations hongroises et Andrea Kiss, cinéaste hongroise et suivie d’une discussion sur le cinéma d’animation en Hongrie. Vous pourrez trouver plus d’information sur les sites web suivants : http://www.revelationshongroises.org
http://www.hungarianinstitute.be
Avertissement : ce programme n'est pas un programme jeunesse. Certains films peuvent heurter la sensibilité des enfants ou de jeunes adolescents. Cette projection de films marque le début d’une collaboration entre l’Institut hongrois de Bruxelles et Révélations hongroises. Différentes manifestations et activités seront proposées durant l’année 2007 : projections adulte et jeune public, ateliers…
A Brüsszeli Magyar Kulturális Intézet ós a Révélations hongroises bemutat egy 10 rövidfilmből álló 50 perces válogatást fiatal magyar animáciosfilmrendezők munkáiból. A filmek nagyrésze belgiumban most látható először. A vetítés után Jean-Philippe Salvadori a Révélations hongroises elnöke és Kiss Andrea rendező beszelgetésre invitálja Önöket. További információ az alábbi weboldalakon : http://www.revelationshongroises.org
http://www.hungarianinstitute.be
A program megtekintését felnőtt közönségnek ajánljuk! Ez a vetítés a BMKI ós a Révélations hongroises közös programsorozatának első darabja. A jövő óv folyamán felnőtt és gyermekfilm vetítéseket és workshopokat tervezünk.
Courts métrages d’animation hongrois "Révélations hongroises" à L’Institut hongrois de Bruxelles Le jeudi 30 novembre 2006 à 20 h - 10, rue Treurenberg B-1000 Bruxelles Information : 02 209 07 50 http://jpsalvadori.free.fr/revelations/fr/events_fr.php
L’Institut culturel hongrois de Bruxelles présente en partenariat avec l’association Révélations hongroises : Un programme de 10 films d’animation de jeunes cinéastes hongrois dont une grande partie sont totalement inédit en Belgique. La projection sera précédée d’une présentation par Jean-Philippe Salvadori, président de Révélations hongroises et Andrea Kiss, cinéaste hongroise et suivie d’une discussion sur le cinéma d’animation en Hongrie. Vous pourrez trouver plus d’information sur les sites web suivants : http://www.revelationshongroises.org
http://www.hungarianinstitute.be
Avertissement : ce programme n'est pas un programme jeunesse. Certains films peuvent heurter la sensibilité des enfants ou de jeunes adolescents. Cette projection de films marque le début d’une collaboration entre l’Institut hongrois de Bruxelles et Révélations hongroises. Différentes manifestations et activités seront proposées durant l’année 2007 : projections adulte et jeune public, ateliers…
L'atelier d'Endre Rozsda
L'Atelier d'Endre Rozsda
L'atelier d'Endre Rozsda se trouve encore au Bateau-Lavoir, là où Picasso, Modigliani et Van Dongen ont travaillé et vécu.
« Pour arriver au Bateau-Lavoir, le promeneur peut emprunter deux itinéraires : en partant du Moulin de la Galette, une petite ruelle, allant de la rue Lepic à la rue d'Orchampt, conduit place Emile-Goudeau , plus connue sous le nom de Ravignan. S'il part du bas, de Pigalle, la rue des Trois-Frères y aboutit aussi » (1). Le Bateau-Lavoir se trouve au n° 13* . Le poète André Salmon qui, comme Max Jacob et Apollinaire, a vécu en étroite communion avec les artistes du Bateau-Lavoir, a décrit ainsi ce lieu qu'il fréquentait souvent : « Au sommet d'un escalier de pierre, la rue Ravignan se termine en prenant la forme d'une placette provençale…» Puis, après avoir poussé la porte : « …Le visiteur a la surprise de descendre des escaliers pour se rendre aux différents paliers au lieu de les monter » (1) comme dans un bateau.
L'atelier n°28, celui de Rozsda se trouve « en descendant » au premier étage et il s'ouvre sur le jardin intérieur.
On peut retrouver dans ce lieu l'espace aménagé par Rozsda qui garde encore son empreinte.
(1) Jannine Warnod
* reconstruit après un incendie
Pour consulter la bibliographie et admirer sa collection personnelle, contacter :
José Mangani : 01 42 51 81 57
Pour commémorer le 50 e anniversaire de la Révolution Hongroise , l'unité de recherche Open Society Archives de Central European University a fait appel à l'Association des Amis d'Endre Rozsda pour présenter un ensemble des dessins inédits de Rozsda découverts après sa mort.
L'exposition se tiendra à la Galeria Centralis de la Maison Goldberger , du 4 novembre 2006 au 17 décembre 2006.
Plus de cent dessins de Rozsda exécutés entre 1948 et 1956 seront exposés. Des archives sonores, enregistrements originaux : interviews, bruits de chars et de batailles de rue, viendront animer ses dessins.
Un catalogue de l'exposition, accompagné d'un DVD, sera publié en hongrois, en français et en anglais.
L'exposition voyagera ensuite à Paris, à Rome, à Bruxelles et à New York.
Le Journal Visuel de Rozsda :
En 1948, les lois staliniennes excluant toute tendance autre que le « réalisme socialiste » empêchent Rozsda de peindre. Il continue cependant à s'exprimer en secret avec des dessins surréalistes.
Il saisit, avec une acuité de portraitiste remarquable le monde qui l'entoure : les gens de la rue, dans les cafés, au concert, au théâtre, dans les bains publics et les piscines. Il fixe avec précision ces moments de « petits bonheurs sans liberté » que vit la société hongroise avant la révolution. De façon quasi obsessionnelle, son crayon s'adapte aux multiples sujets et situations, tantôt acéré, tantôt chargé d'émotion, laissant deviner la création surréaliste qui suivra.
Ce sont ces dessins du quotidien (exposés pour la première fois), qui constituent le « Journal intime » suggéré par le titre de l'exposition.
Exécutés par un artiste hors pair, ces carnets de dessins sont des témoignages sociologiques et historiques très importants.
Source : http://www.rozsda.com/
L'atelier d'Endre Rozsda se trouve encore au Bateau-Lavoir, là où Picasso, Modigliani et Van Dongen ont travaillé et vécu.
« Pour arriver au Bateau-Lavoir, le promeneur peut emprunter deux itinéraires : en partant du Moulin de la Galette, une petite ruelle, allant de la rue Lepic à la rue d'Orchampt, conduit place Emile-Goudeau , plus connue sous le nom de Ravignan. S'il part du bas, de Pigalle, la rue des Trois-Frères y aboutit aussi » (1). Le Bateau-Lavoir se trouve au n° 13* . Le poète André Salmon qui, comme Max Jacob et Apollinaire, a vécu en étroite communion avec les artistes du Bateau-Lavoir, a décrit ainsi ce lieu qu'il fréquentait souvent : « Au sommet d'un escalier de pierre, la rue Ravignan se termine en prenant la forme d'une placette provençale…» Puis, après avoir poussé la porte : « …Le visiteur a la surprise de descendre des escaliers pour se rendre aux différents paliers au lieu de les monter » (1) comme dans un bateau.
L'atelier n°28, celui de Rozsda se trouve « en descendant » au premier étage et il s'ouvre sur le jardin intérieur.
On peut retrouver dans ce lieu l'espace aménagé par Rozsda qui garde encore son empreinte.
(1) Jannine Warnod
* reconstruit après un incendie
Pour consulter la bibliographie et admirer sa collection personnelle, contacter :
José Mangani : 01 42 51 81 57
Pour commémorer le 50 e anniversaire de la Révolution Hongroise , l'unité de recherche Open Society Archives de Central European University a fait appel à l'Association des Amis d'Endre Rozsda pour présenter un ensemble des dessins inédits de Rozsda découverts après sa mort.
L'exposition se tiendra à la Galeria Centralis de la Maison Goldberger , du 4 novembre 2006 au 17 décembre 2006.
Plus de cent dessins de Rozsda exécutés entre 1948 et 1956 seront exposés. Des archives sonores, enregistrements originaux : interviews, bruits de chars et de batailles de rue, viendront animer ses dessins.
Un catalogue de l'exposition, accompagné d'un DVD, sera publié en hongrois, en français et en anglais.
L'exposition voyagera ensuite à Paris, à Rome, à Bruxelles et à New York.
Le Journal Visuel de Rozsda :
En 1948, les lois staliniennes excluant toute tendance autre que le « réalisme socialiste » empêchent Rozsda de peindre. Il continue cependant à s'exprimer en secret avec des dessins surréalistes.
Il saisit, avec une acuité de portraitiste remarquable le monde qui l'entoure : les gens de la rue, dans les cafés, au concert, au théâtre, dans les bains publics et les piscines. Il fixe avec précision ces moments de « petits bonheurs sans liberté » que vit la société hongroise avant la révolution. De façon quasi obsessionnelle, son crayon s'adapte aux multiples sujets et situations, tantôt acéré, tantôt chargé d'émotion, laissant deviner la création surréaliste qui suivra.
Ce sont ces dessins du quotidien (exposés pour la première fois), qui constituent le « Journal intime » suggéré par le titre de l'exposition.
Exécutés par un artiste hors pair, ces carnets de dessins sont des témoignages sociologiques et historiques très importants.
Source : http://www.rozsda.com/
Libellés :
Beaux-Arts,
Révolution de 1956
dimanche 26 novembre 2006
Kispipa - Une bonne adresse de restaurant à Budapest
Akácfa utca 38 téléphone 347 2582
Une bonne adresse de restaurant qui figure dans tous les guides et qui le mérite bien. Une excellente table, une cuisine traditionnelle hongroise toute en finesse et des prix tout-à-fait raisonnables. A cela il faut ajouter une ambiance musicale avec un pianiste qui égrène tout au long de la soirée des standards internationaux.
http://www.kispipa.hu/alapoldal.html
Et histoire d'alimenter votre imaginaire, c'est ici que le célèbre Rezső Seress a fait ses armes comme pianiste. Ce n'était pas un musicien, c'était un génie peut-on lire sur Mult-Kor portail d'histoire. Qui était Rezső Seress ? Tout simplement le compositeur de "Sombre dimanche" (Szomorù vasárnap - Gloomy sunday) chantée autrefois par Damia, chanson reprise par Serge Gainsbourg. Cette chanson qui fut interdite sur les ondes en Grande-Bretagne était censée provoquer des vagues de suicides. Elle fut néanmoins reprise par plus de 70 artistes comme Billie Holiday, Sarah Vaughan, Ray Charles, Genesis, et bien d'autres plus ou moins célèbres. Un site est consacré à cette chanson http://szomoruvasarnap.lap.hu/
Le texte de la chanson en hongrois : Szomorù vasárnap de Rezsö Seress
Ôsz van és peregnek a sárgult levelek
Meghalt a földön az emberi szeretet
Bánatos könnyekkel zokog az öszi szél
Szívem már új tavaszt nem vár és nem remél
Hiába sírok és hiába szenvedek
Szívtelen rosszak és kapzsik az emberek...
Meghalt a szeretet!
En français voici la version de Damia :
Sombre Dimanche, les bras tout chargés de fleurs
Je suis entré dans notre chambre le coeur las
Car je savais déjà que tu ne viendrais pas
Et j'ai chanté des mots d'amour et de douleur
Je suis resté tout seul et j'ai pleuré tout bas
En écoutant hurler la plainte des frimas
Sombre Dimanche
Je mourrai un dimanche où j'aurai trop souffert
Alors tu reviendras, mais je serai parti
Des cierges brûleront comme un ardent espoir
Et pour toi, sans effort, mes yeux seront ouverts
N'aie pas peur, mon amour, s'ils ne peuvent te voir
Ils te diront que je t'aimais plus que ma vie
Sombre Dimanche"
Une bonne adresse de restaurant qui figure dans tous les guides et qui le mérite bien. Une excellente table, une cuisine traditionnelle hongroise toute en finesse et des prix tout-à-fait raisonnables. A cela il faut ajouter une ambiance musicale avec un pianiste qui égrène tout au long de la soirée des standards internationaux.
http://www.kispipa.hu/alapoldal.html
Et histoire d'alimenter votre imaginaire, c'est ici que le célèbre Rezső Seress a fait ses armes comme pianiste. Ce n'était pas un musicien, c'était un génie peut-on lire sur Mult-Kor portail d'histoire. Qui était Rezső Seress ? Tout simplement le compositeur de "Sombre dimanche" (Szomorù vasárnap - Gloomy sunday) chantée autrefois par Damia, chanson reprise par Serge Gainsbourg. Cette chanson qui fut interdite sur les ondes en Grande-Bretagne était censée provoquer des vagues de suicides. Elle fut néanmoins reprise par plus de 70 artistes comme Billie Holiday, Sarah Vaughan, Ray Charles, Genesis, et bien d'autres plus ou moins célèbres. Un site est consacré à cette chanson http://szomoruvasarnap.lap.hu/
Le texte de la chanson en hongrois : Szomorù vasárnap de Rezsö Seress
Ôsz van és peregnek a sárgult levelek
Meghalt a földön az emberi szeretet
Bánatos könnyekkel zokog az öszi szél
Szívem már új tavaszt nem vár és nem remél
Hiába sírok és hiába szenvedek
Szívtelen rosszak és kapzsik az emberek...
Meghalt a szeretet!
En français voici la version de Damia :
Sombre Dimanche, les bras tout chargés de fleurs
Je suis entré dans notre chambre le coeur las
Car je savais déjà que tu ne viendrais pas
Et j'ai chanté des mots d'amour et de douleur
Je suis resté tout seul et j'ai pleuré tout bas
En écoutant hurler la plainte des frimas
Sombre Dimanche
Je mourrai un dimanche où j'aurai trop souffert
Alors tu reviendras, mais je serai parti
Des cierges brûleront comme un ardent espoir
Et pour toi, sans effort, mes yeux seront ouverts
N'aie pas peur, mon amour, s'ils ne peuvent te voir
Ils te diront que je t'aimais plus que ma vie
Sombre Dimanche"
samedi 25 novembre 2006
Allers-retours de Ödön von Horváth au Centre dramatique de La Courneuve
Le Centre dramatique de La Courneuve présente une comédie de Ödön von Horváth
traduction Henri Christophe (L'Arche éditeur) mise en scène par Ahmed Khoudi, metteur en scène associé au Théâtre National d'Algérie coopération franco-algérienne avec Marc Allgeyer, Zahir Boukhenak, Dominique Brodin, Damiène Giraud, Maria Gomez, M'Hamed Hadj Messaoud, Stephanie Liesenfeld, Jean-François Maenner, Jean-Luc Mathevet, Jean-Pierre Rouvellat, Lounès Tazaïrt décor et costumes : Loïc Loeiz Hamon • lumière :Eric Fassa
La pièce Allers-retours se présente comme une farce quasi kafkaïenne et se situe sur le pont de bois qui enjambe une rivière tenant lieu de frontière entre deux Etats. Un type est là, en totale errance, expulsé d'un côté, refoulé de l'autre. Lors de ses sempiternels allers et retours, il contribue à l'arrestation de contrebandiers notoires, ce qui lui vaut un laissez-passer lui permettant de retrouver et d'épouser la femme qu'il aime, l'aubergiste d'en face. Le choix de la frontière ne doit rien au hasard : lieu de tous les arbitraires, de tous les trafics et de toutes les intrigues, elle peut être aussi celui de tous les possibles et de toutes les promesses derenouveau. L'exquise politesse de l'humour n'exclut ici ni la pertinence ni la férocité. (…) En demandant à Ahmed Khoudi, metteur en scène associé au Théâtre National d'Algérie, de diriger ce travail avec notre troupe, nous avons fait le choix de renforcer encore l'universalité du propos de Horváth qui se révèle comme un visionnaire. Ce pont, passage symbolique, ne pourrait-on pas imaginer, après tout, qu'il enjambe aussi la Méditerranée ?
du 22 novembre au 17 décembre 2006
mercredi, vendredi, samedi à 20h30 • jeudi à 19h • dimanche à 16h30
au Centre culturel Jean-Houdremont de La Courneuve 11, avenue du Général-Leclerc
réservations 01 48 36 11 44
Source Centre dramatique de La Courneuve
traduction Henri Christophe (L'Arche éditeur) mise en scène par Ahmed Khoudi, metteur en scène associé au Théâtre National d'Algérie coopération franco-algérienne avec Marc Allgeyer, Zahir Boukhenak, Dominique Brodin, Damiène Giraud, Maria Gomez, M'Hamed Hadj Messaoud, Stephanie Liesenfeld, Jean-François Maenner, Jean-Luc Mathevet, Jean-Pierre Rouvellat, Lounès Tazaïrt décor et costumes : Loïc Loeiz Hamon • lumière :Eric Fassa
La pièce Allers-retours se présente comme une farce quasi kafkaïenne et se situe sur le pont de bois qui enjambe une rivière tenant lieu de frontière entre deux Etats. Un type est là, en totale errance, expulsé d'un côté, refoulé de l'autre. Lors de ses sempiternels allers et retours, il contribue à l'arrestation de contrebandiers notoires, ce qui lui vaut un laissez-passer lui permettant de retrouver et d'épouser la femme qu'il aime, l'aubergiste d'en face. Le choix de la frontière ne doit rien au hasard : lieu de tous les arbitraires, de tous les trafics et de toutes les intrigues, elle peut être aussi celui de tous les possibles et de toutes les promesses derenouveau. L'exquise politesse de l'humour n'exclut ici ni la pertinence ni la férocité. (…) En demandant à Ahmed Khoudi, metteur en scène associé au Théâtre National d'Algérie, de diriger ce travail avec notre troupe, nous avons fait le choix de renforcer encore l'universalité du propos de Horváth qui se révèle comme un visionnaire. Ce pont, passage symbolique, ne pourrait-on pas imaginer, après tout, qu'il enjambe aussi la Méditerranée ?
du 22 novembre au 17 décembre 2006
mercredi, vendredi, samedi à 20h30 • jeudi à 19h • dimanche à 16h30
au Centre culturel Jean-Houdremont de La Courneuve 11, avenue du Général-Leclerc
réservations 01 48 36 11 44
Source Centre dramatique de La Courneuve
vendredi 24 novembre 2006
4ème Rencontre Européenne de Poésie les 24 et 25 novembre
La Biennale Internationale des Poètes en Val-de-Marne, créée en 1990, organise depuis 2000 les Rencontres Européennes de Poésie. Cette manifestation fait dialoguer des poètes qui écrivent dans des langues différentes mais qui, tous, contribuent à l'élaboration d'une culture européenne. La quatrième édition réunira six poètes des pays « nouveaux entrants dans la communauté européenne » et une poète française : Kriszta Bódis (Hongrie), Mária Ferencuhová (Slovaquie), Marzanna Kielar (Pologne), Boris A. Novak (Slovénie), Pascale Petit (France), Stephanos Stephanides (Chypre), Karl Martin Sinijärv (Estonie). Elle se tiendra le vendredi 24 novembre, à partir de 19 heures, à la Médiathèque de Choisy-le-Roi (14, rue Waldeck-Rousseau - RER C- Tél. : 01 48 92 44 60) et le samedi 25 novembre, à partir de 15 heures, à la Médiathèques d'Ivry-sur-Seine (152 avenue Danielle Casanova - M° Mairie d'Ivry, ligne 7 - Tél. : 01 56 20 25 30)
Contact : Nelly George-PicotBiennale Internationale des Poètes en Val-de-MarneTél. : 01 49 59 88 00 - Email : biennaledespoetes@free.fr
Contact : Nelly George-PicotBiennale Internationale des Poètes en Val-de-MarneTél. : 01 49 59 88 00 - Email : biennaledespoetes@free.fr
mercredi 22 novembre 2006
Festival des musiques d'Europe centrale et orientale Opéra de Bordeaux - Vendredi 24 novembre 2006
FESTIVAL DES MUSIQUES D'EUROPE CENTRALE ET ORIENTALE A L'OPERA DANS LE CADRE DE NOVART BORDEAUX
Le 24 novembre 2006 de 19 h à 00 h
Opéra de Bordeaux - Place de la Comédie
Avec l'effondrement des régimes socialistes, le paysage des musiques actuelles en Europe centrale et orientale a connu un véritable bouleversement : outre la renaissance des musiques traditionnelles, tsiganes, klezmer, mâtinées de nouveaux rythmes rock et jazz, les scènes jazz, électroniques, rock et ska sont sorties de l'ombre, et ont développé une créativité exceptionnelle. Pourtant, mis à part quelques musiciens et chanteuses tsiganes rendus célèbres par les films de Tony Gatlif et d'Emir Kusturica, peu de groupes ont réussi à émerger sur les scènes d'Europe occidentale, malgré le succès récent des Saisons culturelles hongroise (2001), tchèque (2002) et polonaise (2003).
Une nuit de rencontres musicales explorant les différents courants musicaux des Balkans réunit quatre groupes (concerts uniques en France), une exposition, des dégustations de vins et de spécialités culinaires... L'Opéra de Bordeaux sera le lieu de cette première édition.
Avec Mitsoura, Boban Markovic Orchestar, Mihàly Dresh, Muzsikàs et Maria Petra, Franyo Aatoth.
Merci à Kristina Rady pour son aide précieuse dans la réalisation de cette soirée.
Source www.musiques-de-nuit.com
Le 24 novembre 2006 de 19 h à 00 h
Opéra de Bordeaux - Place de la Comédie
Avec l'effondrement des régimes socialistes, le paysage des musiques actuelles en Europe centrale et orientale a connu un véritable bouleversement : outre la renaissance des musiques traditionnelles, tsiganes, klezmer, mâtinées de nouveaux rythmes rock et jazz, les scènes jazz, électroniques, rock et ska sont sorties de l'ombre, et ont développé une créativité exceptionnelle. Pourtant, mis à part quelques musiciens et chanteuses tsiganes rendus célèbres par les films de Tony Gatlif et d'Emir Kusturica, peu de groupes ont réussi à émerger sur les scènes d'Europe occidentale, malgré le succès récent des Saisons culturelles hongroise (2001), tchèque (2002) et polonaise (2003).
Une nuit de rencontres musicales explorant les différents courants musicaux des Balkans réunit quatre groupes (concerts uniques en France), une exposition, des dégustations de vins et de spécialités culinaires... L'Opéra de Bordeaux sera le lieu de cette première édition.
Avec Mitsoura, Boban Markovic Orchestar, Mihàly Dresh, Muzsikàs et Maria Petra, Franyo Aatoth.
Merci à Kristina Rady pour son aide précieuse dans la réalisation de cette soirée.
Source www.musiques-de-nuit.com
Tin Tin quintet mercredi 22 novembre à 20 h à l'Institut hongrois
Dans le cadre du Festival Jazzycolors
Tin Tin quintet
Kaval, bansuri, sansa, kanjira, ghatam, kalimba, mbira, ektar. Voilà un échantillon des instruments que le Tin Tin Quintet, une des formations d'ethno jazz des plus connues et reconnues d'Europe centrale, manie avec brio, mariant ainsi des éléments de musiques non européenne (par exemple indienne) et contemporaine, de musique traditionnelle de l'Europe de l'Est (musique des balkans, klezmer) et de jazz.
Dániel Kardos
(guitare),
András Monori
(kaval, saxopohone, guitare),
Iván Nyusztay
(kanjira, ghatam, percussions),
Péter Szalai
(tabla, kalimba, percussions),
Szabolcs Szõke
(gadulka, kalimba, mbira).
www.tintin.hu
Voir aussi le programme complet de Jazzycolors sur www.jazzycolors.org
Institut Hongrois de Paris - 92, rue Bonaparte 75006 Paris • Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr • http://www.instituthongrois.org/
jeudi 16 novembre 2006
Zsuzsanna Várkonyi mardi 21 novembre au Studio de l'Ermitage
Chanson hongroise.
Accompagnée par Bruno Arnal contrebasse, Fred Norel violon et Csaba Palotai guitare.
Et un invité exceptionnel : Sylvain Lemetre au percussion!!!
Les musiciens préservent le feu de Zsuzsanna, en privilégiant spontanéité et intériorité, sur des arrangements épurés où danse, sensuelle et délicate, la voix de Zsuzsanna Vàrkonyi et son élégante bohême.
A 21h00 // Tarif plein : 12 Euros / Tarif Réduit : 8 Euros
Studio de l’Ermitage 8, rue de l’ermitage 75020 Paris Métro : Pyrénées / Ménilmontant Bus : 26 et 96
Tél. : 01 44 62 02 86 Fax : 01 44 62 09 85
E-mail : studioermitage@free.fr
Web : http://www.studio-ermitage.com/
mercredi 15 novembre 2006
mardi 14 novembre 2006
László Krasznahorkai : La mélancolie de la résistance
Vient de paraître chez Gallimard
László Krasznahorkai
LA MÉLANCOLIE DE LA RÉSISTANCE
DU MONDE ENTIER 400 pages - 24,00 €
"Quel danger plane sur cette petite ville du sud-est de la Hongrie ? Quelle est la nature du malaise qui l'agite, et quelles sont les raisons de la révolte qui gronde ? Nous suivons Mme Pflaum, une des habitantes de la ville, et nous la voyons se débattre avec une menace jamais nommée. Ni son intérieur petit-bourgeois, ni les opérettes retransmises à la télévision ne peuvent la protéger du désordre ambiant. Son ennemie, Mme Eszter, l'appelle à l'aide pour mener campagne contre la destruction, mais la venue d'un cirque et l'exhibition d'une immense baleine sèment le trouble dans la communauté, puis précipitent la ville dans une explosion de violence. À partir d'un magistral chapitre d'exposition décrivant le voyage en train de Mme Pflaum, La mélancolie de la résistance avance crescendo, telle une plongée hypnotique, dans un monde fascinant et crépusculaire. Les univers de Kafka, de Beckett ou même de Thomas Bernhard ne sont pas loin dans cette œuvre où l'auteur place au centre la question de la condition humaine dans nos sociétés post-nietzschéennes.
LA MÉLANCOLIE DE LA RÉSISTANCE [2006], trad. du hongrois par Joëlle Dufeuilly, 400 pages, 140 x 205 mm. Collection Du monde entier, Gallimard -rom. ISBN 2070767574. Parution : 09-11-2006.
Source : Gallimard.com
lundi 13 novembre 2006
Ödön von Horváth : Jeunesse sans dieu
Vient de paraître chez Christian Bourgois éditeur "Jeunesse sans dieu" de Ödön von Horváth.
Voici ce que dit la quatrième de couverture :
Je viens de relire ce livre et, je dois l'avouer, il me plaît, à moi aussi. Sans en avoir l'intention explicite, j'ai décrit pour la première fois le fasciste, rongé par les doutes - mieux encore : l'homme dans l'Etat fasciste." (Horvath, dans une lettre à un ami, 1937). Un professeur de lycée se voit soudain confronté, dans sa classe, à l’idéologie nazie montante et décide de se ranger de ce côté-là, pour voir. Pour conserver son gagne-pain, aussi. L’un des élèves est tué au cours d’un camp pascal d’entraînement militaire... Un meurtre qui sera le révélateur implacable d’une société tout entière. Il ne trouve qu’une seule issue : accepter un poste dans une mission catholique en Afrique, aller chez les « nègres », lui que ses élèves surnomment justement « le nègre ».
Ödon von Horváth est né en 1901 à Fiume. Il grandit à Budapest avant d’étudier la littérature à Munich. L’Eternel petit bourgeois, son premier roman, paraît en 1930. Mais c’est en 1931 qu’il rencontre son premier succès : Nuit italienne et Légendes de la forêt viennoise, ses deux pièces majeures, sont montées à Berlin et il reçoit le prix Kleist. Horváth quitte l’Allemagne en 1933 et se rend à Budapest afin de conserver sa nationalité hongroise. C’est à Amsterdam, en 1938, qu’il publie Jeunesse sans dieu, qui vise directement le régime nazi et sera très vite traduit en huit langues. Paraît ensuite Un fils de notre temps. Après l’entrée des troupes allemandes en Autriche, Horváth quitte Vienne pour Budapest, puis Prague et Paris. Il est tué en juin 1938 sur les Champs-Élysées pendant une tempête.
Source Christain Bourgois éditeur
Voici ce que dit la quatrième de couverture :
Je viens de relire ce livre et, je dois l'avouer, il me plaît, à moi aussi. Sans en avoir l'intention explicite, j'ai décrit pour la première fois le fasciste, rongé par les doutes - mieux encore : l'homme dans l'Etat fasciste." (Horvath, dans une lettre à un ami, 1937). Un professeur de lycée se voit soudain confronté, dans sa classe, à l’idéologie nazie montante et décide de se ranger de ce côté-là, pour voir. Pour conserver son gagne-pain, aussi. L’un des élèves est tué au cours d’un camp pascal d’entraînement militaire... Un meurtre qui sera le révélateur implacable d’une société tout entière. Il ne trouve qu’une seule issue : accepter un poste dans une mission catholique en Afrique, aller chez les « nègres », lui que ses élèves surnomment justement « le nègre ».
Ödon von Horváth est né en 1901 à Fiume. Il grandit à Budapest avant d’étudier la littérature à Munich. L’Eternel petit bourgeois, son premier roman, paraît en 1930. Mais c’est en 1931 qu’il rencontre son premier succès : Nuit italienne et Légendes de la forêt viennoise, ses deux pièces majeures, sont montées à Berlin et il reçoit le prix Kleist. Horváth quitte l’Allemagne en 1933 et se rend à Budapest afin de conserver sa nationalité hongroise. C’est à Amsterdam, en 1938, qu’il publie Jeunesse sans dieu, qui vise directement le régime nazi et sera très vite traduit en huit langues. Paraît ensuite Un fils de notre temps. Après l’entrée des troupes allemandes en Autriche, Horváth quitte Vienne pour Budapest, puis Prague et Paris. Il est tué en juin 1938 sur les Champs-Élysées pendant une tempête.
Source Christain Bourgois éditeur
dimanche 12 novembre 2006
Fanny Cserba primée au concours photo "Les reporters de la Mémoire"
Le 11 octobre 2006, le jury du concours photo "Les Reporters de la Mémoire" s'est réuni en salle Edmond Michelet, 37 rue de Bellechasse, à Paris et a décerné le premier prix à Fanny Cserba dans la catégorie La Déportation pendant la Seconde Guerre Mondiale :
1er prix : Madame Fanny CSERBA
2ème prix : Madame Josette LALIAUX
3ème prix ex aequo : Mademoiselle Stéphanie RAULT
3ème prix ex aequo : Monsieur Romain VANDARD
Source : http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/
L'une de ces photos a été présentée lors de la Kultur Buli du 8 novembre à l'Institut hongrois.
Merci à Fanny Cserba qui m'a autorisé à publier cette photo.
Colloque Georges Devereux : Une voix dans le monde contemporain
Colloque à l'Institut Hongrois, 92 rue Bonaparte 75006 Paris
Jeudi 16 et Vendredi 17 novembre 2006
sous la présidence du Pr François Fejtö
Entrée gratuite, sur inscription : devereuxcolloq@noos.fr ou : Corinne Daubigny, 7 r. Thuliez, 75019 PARIS
samedi 11 novembre 2006
Bazar magyar de Viviane Chocas un article dans l'Humanité
"Née en France, c’est par les mets de la table qu’elle va faire connaissance avec l’histoire de ses parents hongrois et arriver jusqu’au ventre des origines. Les mets concentraient la mémoire vive, ils étaient roulés dans les consonnes et les voyelles se mastiquaient dans le croquant d’un concombre ou l’épicé d’un goulasch, « parfois, il suffit de manger pour que tout ou presque soit dit ». Chez elle, personne ne parlait hongrois, elle fera sa connaissance plus tard, seule, comme la dégustation d’un fruit défendu et interdit...
Le chemin vers soi se fera dans la clandestinité, au bac, elle choisit le magyar en langue facultative, l’apprend en cachette. Elle fait se rejoindre la langue des saveurs avec la langue du parler, la réminiscence du goût avec la représentation sémantique, un apprentissage volontaire et nécessaire." L'article complet dans l'Humanité du 10 novembre 2006
Rappelons que Viviane Chocas après avoir participé à la Kultur Buli géante du 8 novembre à l'Institut hongrois, sera l'invitée d'une soirée des Mardis hongrois qui lui sera dédiée le 19 décembre 2006 et où elle dédicacera son ouvrage.
Voir aussi l'article sur le présent blog.
Le chemin vers soi se fera dans la clandestinité, au bac, elle choisit le magyar en langue facultative, l’apprend en cachette. Elle fait se rejoindre la langue des saveurs avec la langue du parler, la réminiscence du goût avec la représentation sémantique, un apprentissage volontaire et nécessaire." L'article complet dans l'Humanité du 10 novembre 2006
Rappelons que Viviane Chocas après avoir participé à la Kultur Buli géante du 8 novembre à l'Institut hongrois, sera l'invitée d'une soirée des Mardis hongrois qui lui sera dédiée le 19 décembre 2006 et où elle dédicacera son ouvrage.
Voir aussi l'article sur le présent blog.
PSEUDO - avec Zsuzsanna Pajor le 24 et 25 novembre 2006
« PSEUDO »
nouveau spectacle musical de ~ et avec ~ Zsuzsanna Pajor,
le vendredi 24, le samedi 25 novembre à 21 heures
Théâtre de la Salle des Fêtes, 2 rue des Anciennes Mairies, Nanterre.
« PSEUDO » traite un sujet très actuel, les rencontres sur internet, avec humour et émotion. L’originalité réside dans la superposition de la luminosité de la musique classique (air et mélodies de Mozart, Rachmaninov, Richard Strauss, Satie) et le « bégayement » des textes cherchant, explorant, approchant l’autre.
ZSUZSANNA crée l’univers de la solitude au quotidien avec ses « gadgets » (un ordinateur dont l’écran est visible grâce à un vidéoprojecteur, un téléphone portable, un vélo d’appartement …).
Virtuel et réel – dialogue sur ordinateur, jeu de scène, chant lyrique - se confondent pour montrer les facettes tantôt poétiques tantôt grotesques de nos relations.
Contact, réservation : 01 47 24 21 70 / 06 62 44 21 70 / e-mail : voix-e@neuf.fr
nouveau spectacle musical de ~ et avec ~ Zsuzsanna Pajor,
le vendredi 24, le samedi 25 novembre à 21 heures
Théâtre de la Salle des Fêtes, 2 rue des Anciennes Mairies, Nanterre.
« PSEUDO » traite un sujet très actuel, les rencontres sur internet, avec humour et émotion. L’originalité réside dans la superposition de la luminosité de la musique classique (air et mélodies de Mozart, Rachmaninov, Richard Strauss, Satie) et le « bégayement » des textes cherchant, explorant, approchant l’autre.
ZSUZSANNA crée l’univers de la solitude au quotidien avec ses « gadgets » (un ordinateur dont l’écran est visible grâce à un vidéoprojecteur, un téléphone portable, un vélo d’appartement …).
Virtuel et réel – dialogue sur ordinateur, jeu de scène, chant lyrique - se confondent pour montrer les facettes tantôt poétiques tantôt grotesques de nos relations.
Contact, réservation : 01 47 24 21 70 / 06 62 44 21 70 / e-mail : voix-e@neuf.fr
jeudi 9 novembre 2006
Kultur Buli des Mardis hongrois de Paris - Magnifique soirée !!
Combien étions-nous hier soir à l'Institut hongrois, pour participer à cette fête magnifique ? Deux cents, trois cents ? L'institut était archi-comble ! Merci encore à tous les participants, au comité d'organisation des Mardis hongrois, aux artistes, Gyenis Kati et sa fille, Flore d'Halluin et Zofi Pesovar et Zsuzsanna Várkonyi qui ont toutes réussi à mettre une ambiance de feu et d'émotion. Et merci encore à toute l'équipe de l'Institut hongrois, techniciens et Direction pour leur travail remarquable. Ce fut un grand moment !!! Ce furent de très belles heures !!!
Bientôt les photos.
Bientôt les photos.
Libellés :
Images,
Institut hongrois,
Soirée des Mardis hongrois
mercredi 8 novembre 2006
Kultur Buli des Mardis hongrois de Paris - Ce soir Mercredi 8 novembre 2006 - Le programme de la soirée
19 h Début de la soirée – Accueil apéritif – Music Mix 100 % hongrois
20 h Kati Gyenis. De sa belle voix, au timbre si particulier, caractéristique des campagnes hongroises, elle nous enchantera en entonnant les vieilles mélodies paysannes.
20 h 30 Quizz avec des prix à gagner dont un week-end à Budapest offert par Sofitel et Skyeurope et d'autres prix offerts par l'Office de tourisme de Hongrie
21 h D’Halluin – Pesovàr (Fest Noz). Deux jeunes femmes, deux belles voix chantent et défendent un riche répertoire à danser de Haute Bretagne. Contrerond, suite de Loudéac, polka, pilé menu… Laissez-vous aller, c’est une danse avec Flore D’Halluin et Zsófia Pesovár (une hongroise qui chante du trad breton mâtiné de folklore hongrois !!??).
21 h 30 Mix 100 % hongrois
22 h Zsuzsanna Várkonyi Avec elle chaque moment est pure magie. Plus belle que jamais, elle chantera avec la grâce et la tendresse qui la caractérisent, ces airs tantôt tristes et envoûtants tantôt gais et enlevés, venus des temps lointains, de l'ancienne Transylvanie, de la campagne hongroise et des Tziganes qui la parcourent ...
22 h 30 Remise des prix du Quizz
22 h 45 Music et dance Mix 100 % magyar
Et pendant la soirée des nourritures spirituelles et terrestres seront disponibles : Exposition de photos : Viktória Sovák, jeune et talentueuse photographe hongroise exposera quelques uns de ses travaux. Il y aura une projection numérique des photos sur la Hongrie d'Alain Dodeler et des amis des Mardis hongrois de Paris.
Stand multimédia avec livres, CD, DVD et notamment les ouvrages présentés aux soirées des Mardis hongrois en présence des auteurs ou éditeurs (sous réserve de leur disponibilité) qui dédicaceront leurs ouvrages :
20 h Kati Gyenis. De sa belle voix, au timbre si particulier, caractéristique des campagnes hongroises, elle nous enchantera en entonnant les vieilles mélodies paysannes.
20 h 30 Quizz avec des prix à gagner dont un week-end à Budapest offert par Sofitel et Skyeurope et d'autres prix offerts par l'Office de tourisme de Hongrie
21 h D’Halluin – Pesovàr (Fest Noz). Deux jeunes femmes, deux belles voix chantent et défendent un riche répertoire à danser de Haute Bretagne. Contrerond, suite de Loudéac, polka, pilé menu… Laissez-vous aller, c’est une danse avec Flore D’Halluin et Zsófia Pesovár (une hongroise qui chante du trad breton mâtiné de folklore hongrois !!??).
21 h 30 Mix 100 % hongrois
22 h Zsuzsanna Várkonyi Avec elle chaque moment est pure magie. Plus belle que jamais, elle chantera avec la grâce et la tendresse qui la caractérisent, ces airs tantôt tristes et envoûtants tantôt gais et enlevés, venus des temps lointains, de l'ancienne Transylvanie, de la campagne hongroise et des Tziganes qui la parcourent ...
22 h 30 Remise des prix du Quizz
22 h 45 Music et dance Mix 100 % magyar
Et pendant la soirée des nourritures spirituelles et terrestres seront disponibles : Exposition de photos : Viktória Sovák, jeune et talentueuse photographe hongroise exposera quelques uns de ses travaux. Il y aura une projection numérique des photos sur la Hongrie d'Alain Dodeler et des amis des Mardis hongrois de Paris.
Stand multimédia avec livres, CD, DVD et notamment les ouvrages présentés aux soirées des Mardis hongrois en présence des auteurs ou éditeurs (sous réserve de leur disponibilité) qui dédicaceront leurs ouvrages :
- Adam Biro, éditeur pour Budapest 1956 La Révolution Photographies d’Erich Lessing - Textes d’Erich Lessing, François Fejtö, György Konrád et Nicolas Bauquet
- Julia Cserba pour son livre en langue hongroise Artistes hongrois en France 1903-2005
- André Farkas pour son livre Budapest 1956 la tragédie telle que je l'ai vue et vécue
- Vali Fekete et Sébastien Péchenart pour RANDEVÚ
- Eva Füzesséry, Benoit Enderlin auteurs de Le Tango de l'Archange
- György Raduly pour Clavis Films avec des DVD des films d'István Szabó, Miklós Jancsó, Béla Tarr, etc.
Quelques auteurs ont bien voulu rejoindre la soirée : - Kathleen Kelley-Lainé pour son livre Peter pan ou l'enfant triste
- Gyula Zaránd pour son livre de photos Pas de parade
- Viviane Chocas pour son livre Bazar magyar
- Henri-Christian Giraud pour son livre Le printemps en octobre. Une histoire de la révolution hongroise
- Eszter Forrai pour son recueil de poésies Collection privée
Buffet campagnard avec des spécialités hongroises.
Minuit Fin de la soirée
Entrée libre (consommations payantes sans obligation)
Institut Hongrois de Paris - 92, rue Bonaparte 75006 Paris • Tél. : 01 43 26 06 44
Métro : Saint-Sulpice • Mabillon Bus : 58, 84, 89
instituthongrois@wanadoo.fr • http://www.instituthongrois.org/
Mardis hongrois de Paris mardishongrois@laposte.net
http://monsite.wanadoo.fr/mardishongrois/
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Adam Biro,
Institut hongrois,
Soirée des Mardis hongrois
mardi 7 novembre 2006
La leçon de Budapest par François Fejtö - un article dans Libération
Cinquante ans après le soulèvement, la jeunesse d'Europe doit prendre son avenir en main.
"Place donc aux jeunes pour assurer l'avenir européen, avec une Hongrie bien placée, stratégiquement, géographiquement, culturellement, et par son histoire, pour jouer un rôle de moyenne puissance, lien Est-Ouest, Nord-Sud, sur notre continent. C'est un vieil Européen qui le dit, qui s'est battu contre les fascismes de gauche et de droite pendant plus d'un demi-siècle...
Allons, la solidarité européenne a de beaux jours devant elle, et bonne célébration aux Hongrois, qui, tous, doivent être fiers de la jeunesse de 1956, et souhaiter le meilleur pour notre magnifique auberge européenne, hors de tout relent passéiste xénophobe." L'article complet est paru dans la rubique Rebonds de Libération daté du 6 novembre 2006
"Place donc aux jeunes pour assurer l'avenir européen, avec une Hongrie bien placée, stratégiquement, géographiquement, culturellement, et par son histoire, pour jouer un rôle de moyenne puissance, lien Est-Ouest, Nord-Sud, sur notre continent. C'est un vieil Européen qui le dit, qui s'est battu contre les fascismes de gauche et de droite pendant plus d'un demi-siècle...
Allons, la solidarité européenne a de beaux jours devant elle, et bonne célébration aux Hongrois, qui, tous, doivent être fiers de la jeunesse de 1956, et souhaiter le meilleur pour notre magnifique auberge européenne, hors de tout relent passéiste xénophobe." L'article complet est paru dans la rubique Rebonds de Libération daté du 6 novembre 2006
lundi 6 novembre 2006
Szabadtéri fotókiállítás Párizsban Pedrazzini 56-os fotóiból
Exposition à Paris en plein air des photos de 1956 de Jean-Pierre Pedrazzini sur les grilles de l’Hôtel des Impôts du 6e arrondissement 9, place Saint-Sulpice 75006 Paris
du 06 novembre 2006 au 30 novembre 2006. À l’initiative de l’Institut Hongrois de Paris, en partenariat avec Paris Match et l’Institut français de Budapest.
Jean-Pierre Pedrazzini, reporter à Paris-Match avait perdu la vie en assurant la couverture photo de l'insurrection hongroise de 1956.
Budapest 1956-2006, Jean-Pierre Pedrazzini, a Paris Match fotóriportere címmel rendezett szabadtéri fotókiállítást a Párizsi Magyar Intézet a Francia fővárosban.
Pedrazzini kiállítás PárizsbanPedrazzini kiállítás PárizsbanPedrazzini kiállítás PárizsbanBő egy hónapon át látogatható Párizsban az 1956-os magyar forradalom egyik, mára világhírűvé vált francia áldozatának, Jean-Pierre Pedrazzininek a munkáiból készült szabadtéri kiállítás. A fotóriporter képei 1956-ban bejárták a világot. Akkor megmutatták a valóságot, azóta szembesítik a nyugati nagyhatalmakat a tétlenségük következményeivel. Ma már az egész világ meghajol az 1956-os forradalom és szabadságharc eszmeisége, hősei előtt. A kicsi magyar nemzet szabadságvágya és kiállása idollá vált. A tárlat azonban nemcsak a magyarok előtt tiszteleg, a harcokban elesett 29 éves fotós életének utolsó napjait is megörökíti. A most kiállított sorozat képei összehasonlíthatatlanok más korabéli riportokkal: ezeken a rombadöntött Budapest képeinek líraisága a felkelő nép tekintetéből sugárzó szolidaritással párosul - egy bátor és merész, s a szabadságért életével is fizetni kész fényképész felvételein. A Párizs belvárosában, a Saint Germain des Pres negyedben, a mindig zsúfolt Luxembourg kert szomszédságában bemutatott kiállítás a Párizsi Magyar Intézet, a Paris Match és a budapesti Francia Intézet összefogásával jött létre.
Kiállítási kurátor: Sarkantyu IllésTechnikai munkatárs: Bánszki Árpád
Source - Forrás artportal.hu
du 06 novembre 2006 au 30 novembre 2006. À l’initiative de l’Institut Hongrois de Paris, en partenariat avec Paris Match et l’Institut français de Budapest.
Jean-Pierre Pedrazzini, reporter à Paris-Match avait perdu la vie en assurant la couverture photo de l'insurrection hongroise de 1956.
Budapest 1956-2006, Jean-Pierre Pedrazzini, a Paris Match fotóriportere címmel rendezett szabadtéri fotókiállítást a Párizsi Magyar Intézet a Francia fővárosban.
Pedrazzini kiállítás PárizsbanPedrazzini kiállítás PárizsbanPedrazzini kiállítás PárizsbanBő egy hónapon át látogatható Párizsban az 1956-os magyar forradalom egyik, mára világhírűvé vált francia áldozatának, Jean-Pierre Pedrazzininek a munkáiból készült szabadtéri kiállítás. A fotóriporter képei 1956-ban bejárták a világot. Akkor megmutatták a valóságot, azóta szembesítik a nyugati nagyhatalmakat a tétlenségük következményeivel. Ma már az egész világ meghajol az 1956-os forradalom és szabadságharc eszmeisége, hősei előtt. A kicsi magyar nemzet szabadságvágya és kiállása idollá vált. A tárlat azonban nemcsak a magyarok előtt tiszteleg, a harcokban elesett 29 éves fotós életének utolsó napjait is megörökíti. A most kiállított sorozat képei összehasonlíthatatlanok más korabéli riportokkal: ezeken a rombadöntött Budapest képeinek líraisága a felkelő nép tekintetéből sugárzó szolidaritással párosul - egy bátor és merész, s a szabadságért életével is fizetni kész fényképész felvételein. A Párizs belvárosában, a Saint Germain des Pres negyedben, a mindig zsúfolt Luxembourg kert szomszédságában bemutatott kiállítás a Párizsi Magyar Intézet, a Paris Match és a budapesti Francia Intézet összefogásával jött létre.
Kiállítási kurátor: Sarkantyu IllésTechnikai munkatárs: Bánszki Árpád
Source - Forrás artportal.hu
Libellés :
Photographie,
Révolution de 1956
dimanche 5 novembre 2006
Exposition du Prix Lucien et Rodolf Hervé
Exposition du Prix Lucien et Rodolf Hervé
Les Dimanches de la vie : Marion Poussier & Szabolcs Barakonyi
L’exposition se tiendra à la galerie du mardi 7 novembre 2006 jusqu’au jeudi 7 décembre 2006.
Ecole spéciale d’architecture 254 boulevard Raspail, Paris 14e Tel : 01 40 47 40 47,
Email : alain-pelissier@esa-pari.fr
Entrée libre. Métro : Raspail
"La deuxième édition du prix Lucien Hervé et Rodolf Hervé aura pour thème « les dimanches de la vie ». À l’initiative de Judith et Lucien Hervé, ce prix de la photographie couronne le travail d’un jeune photographe professionnel, en mémoire de leur fils Rodolf. Il s’agit d’aider un photographe âgé de 25 à 43 ans pour mieux faire connaître son travail artistique. Le concours est ouvert à tout candidat résidant en France ou en Hongrie depuis au moins trois ans, sans distinction de nationalité. " Source Mois de la photo
Les Dimanches de la vie : Marion Poussier & Szabolcs Barakonyi
L’exposition se tiendra à la galerie du mardi 7 novembre 2006 jusqu’au jeudi 7 décembre 2006.
Ecole spéciale d’architecture 254 boulevard Raspail, Paris 14e Tel : 01 40 47 40 47,
Email : alain-pelissier@esa-pari.fr
Entrée libre. Métro : Raspail
"La deuxième édition du prix Lucien Hervé et Rodolf Hervé aura pour thème « les dimanches de la vie ». À l’initiative de Judith et Lucien Hervé, ce prix de la photographie couronne le travail d’un jeune photographe professionnel, en mémoire de leur fils Rodolf. Il s’agit d’aider un photographe âgé de 25 à 43 ans pour mieux faire connaître son travail artistique. Le concours est ouvert à tout candidat résidant en France ou en Hongrie depuis au moins trois ans, sans distinction de nationalité. " Source Mois de la photo
ANNA STEIN a le plaisir de vous inviter dans son atelier lundi 20 novembre 2006
C’EST LA FÊTE
POUR LES DIX ANS DE
L’ASSOCIATION DES AMIS DE L’ATELIER D’ANNA STEIN
ANNA STEIN a le plaisir
de vous inviter dans son atelier
le lundi 20 novembre 2006
à partir de 18 H au 23 Passage de Choiseul 75002 Paris
Métro : 4 septembre ou Pyramides
tel :01 46 22 37 60 ou 06 03 69 71 17
Anna Stein est née en 1936 à Budapest. Formée aux Beaux-Arts de Budapest et de Paris, Anna Stein maîtrise et marie abstraction, figuration et baroque.
L'œuvre d'Anna Stein est ouverte sur l'histoire et la poésie, sur le mythe, le récit et l'émotion, sur la mémoire et l'instinct. Aussi reconnaît-elle que l'histoire de la peinture se confond, avec sa propre histoire, de laquelle ne pouvait éclore qu'une œuvre unique, marquée des fortes empreintes du passé. Le mystère, la joie, le drame, l'attente, l'espoir et la matière picturale sont consubstantiels. L'œuvre d'Anna Stein s'étend aujourd'hui sur quarante ans de création et s'enracine dans la Métamorphose.
POUR LES DIX ANS DE
L’ASSOCIATION DES AMIS DE L’ATELIER D’ANNA STEIN
ANNA STEIN a le plaisir
de vous inviter dans son atelier
le lundi 20 novembre 2006
à partir de 18 H au 23 Passage de Choiseul 75002 Paris
Métro : 4 septembre ou Pyramides
tel :01 46 22 37 60 ou 06 03 69 71 17
Anna Stein est née en 1936 à Budapest. Formée aux Beaux-Arts de Budapest et de Paris, Anna Stein maîtrise et marie abstraction, figuration et baroque.
L'œuvre d'Anna Stein est ouverte sur l'histoire et la poésie, sur le mythe, le récit et l'émotion, sur la mémoire et l'instinct. Aussi reconnaît-elle que l'histoire de la peinture se confond, avec sa propre histoire, de laquelle ne pouvait éclore qu'une œuvre unique, marquée des fortes empreintes du passé. Le mystère, la joie, le drame, l'attente, l'espoir et la matière picturale sont consubstantiels. L'œuvre d'Anna Stein s'étend aujourd'hui sur quarante ans de création et s'enracine dans la Métamorphose.
Libellés :
Beaux-Arts,
Peinture,
Sculpture
samedi 4 novembre 2006
Regards croisés sur la Révolution hongroise de 1956 à la Mairie du 6è le 16 novembre à 18 h 30
CONFÉRENCE-DÉBAT ET EXPOSITION DE PHOTOS
à la Mairie du 6e arrondissement, 78 rue Bonaparte, Paris
Programme proposé par les Amis de l'Institut Culturel Hongrois de Paris
pour commémorer le cinquantième anniversaire de la révolution de 1956 en Hongrie, avec :
• THOMAS SCHREIBER, journaliste et auteur de plusieurs livres consacrés aux problèmes politiques de l'Europe centrale et orientale, sur le thème : "Regards franco - hongrois sur 1956"
• JENÖ SUJÁNSZKY, Président- fondateur de l'Association des Combattants hongrois de la liberté de 56, sur le thème: "Les combats de la place Corvin"
• STÉPHANE DUFOIX, docteur en sciences politiques, maître de conférences à Paris X-Nanterre , journaliste et auteur de l'ouvrage "Politique d'exil : Hongrois, Polonais, et Tchécoslovaques en France" , sur le thème: "1956 en exil"
• PHILIPPE CASOAR, journaliste et reporter, sur le thème : "Les héros de Budapest" et
• HENRI-CHRISTIAN GIRAUD, journaliste, ancien directeur de la rédaction du Figaro Magazine, auteur de plusieurs ouvrages dont : "Le printemps en octobre - une histoire de la révolution hongroise".
Pour clôre la soirée et pour commémorer l'arrivée en France de Georges Cziffra il y a 50 ans, en octobre 1956, il y aura une diffusion des Rhapsodies Hongroises de Liszt jouées par le grand pianiste dans un enregistrement d'EMI.
à la Mairie du 6e arrondissement, 78 rue Bonaparte, Paris
Programme proposé par les Amis de l'Institut Culturel Hongrois de Paris
pour commémorer le cinquantième anniversaire de la révolution de 1956 en Hongrie, avec :
• THOMAS SCHREIBER, journaliste et auteur de plusieurs livres consacrés aux problèmes politiques de l'Europe centrale et orientale, sur le thème : "Regards franco - hongrois sur 1956"
• JENÖ SUJÁNSZKY, Président- fondateur de l'Association des Combattants hongrois de la liberté de 56, sur le thème: "Les combats de la place Corvin"
• STÉPHANE DUFOIX, docteur en sciences politiques, maître de conférences à Paris X-Nanterre , journaliste et auteur de l'ouvrage "Politique d'exil : Hongrois, Polonais, et Tchécoslovaques en France" , sur le thème: "1956 en exil"
• PHILIPPE CASOAR, journaliste et reporter, sur le thème : "Les héros de Budapest" et
• HENRI-CHRISTIAN GIRAUD, journaliste, ancien directeur de la rédaction du Figaro Magazine, auteur de plusieurs ouvrages dont : "Le printemps en octobre - une histoire de la révolution hongroise".
Pour clôre la soirée et pour commémorer l'arrivée en France de Georges Cziffra il y a 50 ans, en octobre 1956, il y aura une diffusion des Rhapsodies Hongroises de Liszt jouées par le grand pianiste dans un enregistrement d'EMI.
jeudi 2 novembre 2006
Randevú : exposition des photos du livre à la librairie Mona Lisait du 17 novembre au 1er décembre 2006
Cliquer sur la photo pour l'agrandir
Jeudi 16 novembre 18 h - présentation du livre de Sébastien Péchenart et de Vali Fekete à la Galerie la Hune-Brenner (14, rue de l'Abbaye 75006 Paris)
Vendredi 17 novembre 18 h - exposition des photos de Sébastien Péchenart à la Librairie Mona Lisait 17 bis, rue Pavée 75004 Paris.
C'est un rendez-vous entre deux personnes, un photographe français (Sébastien Péchenart) et une journaliste hongroise (Vali Fekete) qui se promènent à Budapest. Ils découvrent la vie quotidienne en Hongrie, méconnue en France. La journaliste, en racontant la ville à travers ses expériences, sa vie passée, témoigne de l'histoire récente, commune à toute une génération. Le photographe, à côté de ses images, a ajouté quelques réflexions personnelles. Le texte est complété par des notes, des définitions encyclopédiques. Les photos de Sébastien Péchenart sont des "photos de l'absence" qui portent un regard familier sur la réalité de la vie de la capitale hongroise. Elles viennent en parallèle du texte et en véhiculent les mêmes idées, les mêmes impressions. C'est cette ambiance, propre au ton du livre qui sera montrée dans cette exposition, à travers une sélection issue des pages de "Randevú". Ceci a pour but de faire découvrir au public français une autre Budapest, celle de ses habitants, de leurs vies quotidiennes, de cet héritage de l'Europe de l'Est. C'est un rendez-vous, mais aussi une confrontation entre deux personnes, entre le passé et le présent, entre deux mondes, deux pays qui font à présent partie de l'Europe des 25.
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