"...M. Gyurcsany, qui gouverne en coalition avec les libéraux, continue de mener une politique largement impopulaire pour réduire le déficit public et se conformer aux critères de Maastricht afin de préparer l'adoption de l'euro. Il bénéficie pour cela du soutien de nombreux acteurs politiques et économiques, chez lui et à l'étranger.
...Ainsi, les Hongrois sont sceptiques sur l'impact économique du ticket de 300 forints (un peu plus d'1 euro) qu'ils doivent désormais régler de leur poche pour une consultation médicale. "J'ai même dû payer 600 forints, la semaine dernière, car ce n'était pas mon médecin de référence", se plaint Attila Csazar, un étudiant budapestois, qui estime que la plupart des "socialement faibles" sont pris à la gorge par les hausses de prix. "Il y a de plus en plus de tensions sociales qui se traduisent par des attaques physiques", constate Sinan Gökcen du Centre européen des droits des Roms à Budapest."
Extraits de l'article paru dans Le Monde du 24 septembre 2007
mardi 25 septembre 2007
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