"Nicolas Schöffer, ça vous dit quelque chose ? Il y a peu de chance. Et pourtant, ce précurseur originaire de Hongrie a imposé, dans les années cinquante, « un art total capable de changer la vie ».
Installé à Paris en 1936, il abandonne surréalisme et lyrisme pour l'abstraction géométrique. Mais avec quelle flamme ! Espace, lumière, temps constituent le socle d'un travail qui utilise les capacités de réflexion, de transparence ou de réfraction de matériaux nouveaux en art (aluminium, plexiglas, acier, laiton, cuivre poli...), mais aussi les techniques électriques et électroniques pour animer ses sculptures.
Rétrospective au musée du Cateau-Cambrésis" La suite sur lavoixdunord.fr
Exposition Herbin, 196, bd Saint-Germain, Paris VIIe, jusqu'au 26 avril.
Exposition Schöffer, espace marais, 22, rue Charlot, Paris IIIe,
jusqu'au 5 mai.
dimanche 15 avril 2012
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