"Lorsqu'elle est devenue un pays libre et prétendument
démocratique, la Hongrie m'a enfermé dans la case « judéité ». […] Cela
m'a rendu incapable de développer le moindre
sentiment de solidarité nationale. C'est triste, parce que cela
corrobore le vieux préjugé qui veut que le « juif » ne s'intéresse pas
au « Hongrois »".
C'est ainsi que s'exprimait l’écrivain hongrois prix Nobel
de littérature Imre Kertész, dans un récent entretien au « Monde ». En
retour, l’écrivain suscite en Hongrie le mélange de fierté et de mépris
réservé à ceux qui on quitté le pays, pour réussir qui plus est, et sans
se montrer fier de ses racines hongroise, par-dessus le marché." La suite sur hu-lala.org
jeudi 5 avril 2012
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