"La démission du président plagiaire a été très commentée par la presse de Sofia qui y a vu une "victoire de la société civile sur les politiques". Mais surtout parce que se sont les travaux d'un chercheur bulgare méconnu, Nikolaï Guéorguiev, dans lesquels Pál Schmitt semble avoir largement pompé.
Il n'est jamais trop tard pour devenir ridicule." C'est avec ces mots
que la présentatrice du journal télévisé sur la chaîne publique bulgare
(BNT) lance
le
sujet sur la démission du président hongrois Pál Schmitt, accusé
d'avoir
plagié sa thèse de doctorat. Depuis Budapest, la correspondante
régionale de la
BNT relate cette histoire qui a tenu en haleine les médias hongrois en
la présentant
comme "une victoire de la presse, des universitaires et des libres
penseurs"
dans le pays. Bref, de la "société civile qui fait encore tant défaut en
Bulgarie", conclut la présentatrice." La suite sur courrierinternational.com
vendredi 6 avril 2012
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