Un billet de Todor Gardos, chercheur sur la Hongrie à Amnesty International.
La
dernière fois que j’ai parlé avec Nadia remonte à un certain temps. Le
soleil de début octobre et la liberté de sortir en profiter ne font que
rendre cet appel plus difficile. Pour elle et son mari, les semaines
passent très lentement. Le soleil est une source de joie qui leur a été
enlevée parmi d’autres. Aucune nouvelle de notre côté, ni du sien." La suite sur amnesty.fr
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