"L’avis du « Monde » - A voir
Ce film hongrois, à l’architecture compliquée, séduit par sa sincérité et sa candeur.
Donner une définition de l’amour, c’est courir le même risque que l’enfant qui démonte une montre pour en comprendre le mécanisme.Ildikó Enyedi, cinéaste hongroise qui débuta il y a vingt-huit ans à Cannes avec Mon vingtième siècle (Caméra d’or), s’engage pourtant sur ce terrain avec Corps et âme, construction à l’architecture
compliquée mais élégante, dissection intellectuelle de sensations
charnelles dont on retient la sincérité et la candeur. Le film a reçu
l’Ours d’or par le jury présidé par Paul Verhoeven au dernier festival
de Berlin." La suite sur lemonde.fr
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