mercredi 25 octobre 2017

« Corps et âme » : amour et autisme en Europe de l’Est

"L’avis du « Monde » - A voir
Ce film hongrois, à l’architecture compliquée, séduit par sa sincérité et sa candeur.
Donner une définition de l’amour, c’est courir le même risque que l’enfant qui démonte une montre pour en comprendre le mécanisme.­Ildikó Enyedi, cinéaste hongroise qui débuta il y a vingt-huit ans à Cannes avec Mon vingtième siècle (Caméra d’or), s’engage pourtant sur ce terrain avec Corps et âme, construction à l’architecture compliquée mais élégante, dissection intellectuelle de sensations charnelles dont on retient la sincérité et la candeur. Le film a reçu l’Ours d’or par le jury présidé par Paul Verhoeven au dernier festival de Berlin." La suite sur lemonde.fr

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