"L’extrême droite est arrivée en tête dans plusieurs pays européens, ces dernières années. Forbes raconte les différentes politiques économiques mises en place par ces gouvernements.
« On a jamais essayé ». Cette petite phrase était devenue récurrente chez les électeurs du Rassemblement national (RN) durant la campagne des élections législatives anticipées de 2024. Si la France n’a finalement pas donné les rênes du pouvoir au parti d’extrême droite, la gauche ayant obtenu la majorité, certains voisins européens ont « déjà essayé » pour reprendre les mêmes termes. Sur un plan strictement économique, le bilan apparaît peu reluisant. Forbes fait un tour d’horizon.
Hongrie
Le premier ministre hongrois, Viktor
Orban, tient le pays d’une main de fer depuis 2010. Sur le papier, il y a
mis en place une politique pro-marché. Mais dans les faits, son parti
politique, le Fidesz, favorise certaines sociétés détenues « alliées »détenues par « des amis d’enfance » ou autres « voisins de village » de l’autocrate. «
Entre 2011 et 2021, les entreprises alliées à Orban ont eu six fois
plus de chances de remporter les appels d’offres publics que dans un
marché réellement concurrentiel » expose la chercheuse Rachel Kleinfeld dans une étude de la Fondation Carnegie pour la paix internationale reprise par l’Express.
A cela s’ajoutent des aides publiques au financement, un accès facilité
à des programmes publics spéciaux, des réglementations mises en place
pour favoriser ces sociétés. En clair, une concurrence faussée qui
favorise la prospérité de quelques-uns au détriment des autres. Une
corruption endémique qui ne favorise pas les investissements étrangers." La suite sur forbes.fr
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