mercredi 31 octobre 2007

Les fiancés de Budapest (Le visage de la révolution) le 8 novembre 2007 à l'Institut hongrois de Paris

Documentaire de 52 mn d'Attila Kékesy sur une idée originale de Phil Casoar et Eszter Balázs en hongrois sous-titré français le 8 novembre à 19 h 30
Soirée spéciale organisée en marge de l'exposition "Traces de mémoire d'Endre Rozsda"
entrée gratuite

Le livre est paru en octobre 2006
Extrait du site de la Fnac

Mot de l'éditeur
C'est l'histoire d'un cliché légendaire de Paris-Match, une icône du photojournalisme et de la révolution hongroise de 1956. Qui était ce couple de jeunes gens révoltés ? Qui les a photographiés ? Que sont-ils devenus ? Les Héros de Budapest sont le récit de six ans de traque sur trois continents pour rassembler les pièces d'un mystère historique aux multiples ombres et facettes : le destin poignant des personnages ; le baroud des photoreporters à Budapest en pleine insurrection ; le sort contradictoire d'une image devenue à l'Ouest emblème de l'héroïsme et à l'Est caricature des " houligans ". Ce reportage rigoureux et inclassable, romantique et prenant, est riche d'une iconographie inédite. II rend hommage à ces Gavroches des faubourgs ouvriers de Budapest qui bravèrent les blindés de l'Armée rouge. Il fait revivre au lecteur la destinée inouïe d'une jeune rebelle bravache et magnétique, dont la vie aura été bouleversée par une photo. Phil Casoar est journaliste. Il a collaboré notamment à Actuel et à Libération. Il est l'auteur des Aventures épatantes et véridiques de Benoît Broutchoux (avec Stéphane Callens), et du documentaire Ortiz, général sans dieu ni maître (réalisé en compagnie d'Ariel Camacho et Laurent Guyot). En 1994, il préface et édite dans la collection " Bouquins " chez Robert Laffont les Œuvres autobiographiques d'Arthur Koestler. A la suite de cette publication, il se rend pour la première fois à Budapest, où il fait la connaissance d'Eszter Balazs. Eszter Balazs travaille aujourd'hui comme historienne à l'institut d'histoire politique de Budapest. Elle termine un doctorat en cotutelle à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, consacré aux rapports des intellectuels hongrois avec la France au tournant du XIXe et du XXe siècle. Elle a publié quelques articles et comptes-rendus dans des revues françaises, notamment la Revue d'histoire culturelle, Communisme, et Arkheia, revue d'histoire. Le n° 88 de la revue Communisme publie une traduction française de son Essai sur Jùlia Sponga du point de vue de l'histoire des femmes.

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