"Un match de foot qui dégénère, des drapeaux qui brûlent et le retour des néonazis des deux côtés du Danube... Après une semaine de violences, un journal hongrois de Bratislava tire la sonnette d'alarme.
Un certain György Budaházy, fasciste d'opérette de son état, a déclaré le 4 novembre, devant l'ambassade de Slovaquie à Budapest, qu'il n'était pas ému en voyant un drapeau slovaque brûler, et qu'il ne le serait pas davantage si c'était l'immeuble de l'ambassade qui prenait feu. Le même individu organise des manifestations violentes de l'extrême droite depuis des années en Hongrie sans être inquiété. Il n'a, bien évidemment, pas manqué de se rendre, le 1er novembre, au match de football opposant le club de la minorité hongroise de Slovaquie Dunaszerdahely AC au SK Slovan de Bratislava. Il n'y est pas allé pour l'amour du sport, mais pour semer le trouble. Après la bagarre avec les forces de l'ordre, il est rentré tranquillement à la maison, en s'en prenant aux panneaux de signalisation en slovaque dans les villages hongrois près de la frontière. [La minorité hongroise représente quelque 500 000 personnes, soit 10 % de la population slovaque.] " La suite de l'article sur courrierinternational.com du 10 novembre 2008
mardi 11 novembre 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.