vendredi 30 juillet 2010
Orléans, des salariés licenciés priés de former leurs remplaçants hongrois
Pour les anciens salariés de l'usine Lexmark à Orléans, la pilule a du mal à passer. Selon une information de la République du Centre, le fabricant d'imprimantes américain, qui a annoncé en octobre 2009 à ses 117 salariés leur licenciement, vient de leur demander un dernier service." La suite sur lexpansion.com
Et si Nicolas Sarkozy prenait ses vacances chez ses cousins hongrois ?
Il y bénéficiera, de plus, potentiellement d’un avant-goût de 2011, qui pourrait bien nous réchauffer le "goulasch hongrois" de juillet 2010 : un déficit budgétaire à fin juin déjà au-delà de l’objectif à fin décembre ; des projections de croissance de PNB 2011 à plus de +3% reconnues désormais totalement irréalistes ; enfin, la demande d’une ligne de crédit d’urgence au FMI pour un montant de 10 à 20 milliards d’euros." La suite sur lesechos.fr
Hongrie: un accord empêcherait la restitution d'oeuvres à une famille juive
"Un accord de 1973 entre la Hongrie et les Etats-Unis pourrait anéantir les efforts de descendants d'un banquier juif hongrois pour récupérer des oeuvres d'art saisies au cours de la Seconde Guerre mondiale.
"Selon l'accord hongro-américain de 1973, la Hongrie a déjà versé une compensation, et cela signifie que la famille Herzog a perdu ses droits sur les oeuvres d'art", a déclaré jeudi à l'AFP le directeur adjoint du musée national hongrois, Gyorgy Szucs.
En vertu de cet accord, Budapest a versé environ 18,9 millions de dollars (14,4 millions d'euros) d'indemnités et en échange, les Etats-Unis et leurs citoyens devaient abandonner tout droit à d'autres compensations ou à la restitution d'une propriété saisie, comme les oeuvres d'art, a expliqué M. Szucs." La suite sur la-croix.com
jeudi 29 juillet 2010
USA: la famille d'un banquier juif poursuit la Hongrie pour récupérer des oeuvres d'art
Selon la plainte déposée devant le tribunal fédéral de Washington et dont l'AFP s'est procuré copie mercredi, les héritiers du banquier hongrois Baron Mor Lipot Herzog réclament la restitution des oeuvres, estimée à 100 millions de dollars. Ils réclament également l'établissement d'un inventaire des oeuvres confisquées pendant la seconde guerre mondiale et détenue par l'Etat hongrois.
Les oeuvres de la collection Herzog réclamées par les héritiers comprennent des pièces du Greco, de Elder, Zurbaran, Courbet ou encore Van Dyck." La suite sur romandie.com
La Hongrie peut se passer du FMI, affirme le gouvernement
"Nous pouvons nous passer du FMI et c'est mieux ainsi. Nous avons toujours un filet de sécurité jusqu'en octobre mais nous n'en avons pas besoin et pour le moment notre priorité c'est d'arriver à un accord avec l'Union européenne", a souligné M. Csefalvay lors d'une interview à l'AFP.
La Hongrie avait obtenu en octobre 2008 un prêt de 20 milliards d'euros de la part du FMI et de l'Union européenne pour la sauver de la faillite, mais elle n'a eu recours qu'à la première tranche et a renoncé aux autres, la dernière étant disponible jusqu'en octobre." La suite sur lesechos.fr
mercredi 28 juillet 2010
Les Roms hongrois accusés de tous les maux par l'extrême droite
En avril dernier, le parti d’extrême droite Jobbik a fait une entrée en force au Parlement hongrois, obtenant plus de 16 % des suffrages. Parmi les thèmes sur lesquels il a conduit sa campagne, se trouvait une stigmatisation de la minorité rom, qui représente environ 600 000 personnes, soit 6 % de la population du pays. Le chef du parti, Gábor Vona, déclarait ainsi dans ses meetings : « Une majorité de Roms s’est installée dans l’assistanat. Il faut dire la vérité… Nous sommes contre ceux qui font des enfants pour que le facteur arrive à la maison avec un chèque ! »" La suite sur la-croix.com
mardi 27 juillet 2010
Du rififi à Pécs
Fin mai, le Bureau d’enquête national (NNI) a arrêté dix personnes soupçonnées d’avoir collaboré afin de faire bénéficier certaines entreprises de marchés publics portants sur les équipements en informatique de l’Université. Le principal accusé est Gábor Imhof, qui était l’intendant de la PTE depuis 2007. Il est accusé d’avoir orchestré une organisation criminelle et d’avoir lui-même décidé de l’issue de certains marchés publics." La suite sur le Journal francophone de Budapest
Coupes budgétaires - La politique culturelle du nouveau gouvernement
Fin juin, László Harsányi a demandé à quitter ses fonctions de Président du Fond Culturel National (NKA). Il a expliqué sa décision par le fait que le gouvernement avait déclaré vouloir réduire de 2 milliards de HUF le budget de cette organisation. En effet, en juin, le nouveau cabinet a choisi de bloquer 40 milliards de HUF du budget de 2010, somme sur laquelle le Ministère des Ressources Nationales (NEFMI) doit chercher à faire le maximum d’économie, soit au total 11 milliards de HUF, dont les 2 milliards du NKA." La suite sur le Journal francophone de Budapest
Libre comme l’oiseau
"Grâce à une récente modification de la loi, les mairies locales profiteront d’une autonomie jamais vue lors des décisions sur les sculptures publiques. Ainsi le XIIe arrondissement pourra-t-il conserver garder son fameux Turul, objet de plusieurs procès depuis 2005.
L’aigle Totem des Magyars, d’une largeur de 4,4 mètres et portant un sabre dans son bec, domine le paysage à l’angle d’Istenhegyi út et de Böszörményi út depuis l’automne 2005. A l’origine de l’implantation de ce Turul, l’ancien maire de l’arrondissement, György Mitnyán, souhaitait ériger une sculpture à la mémoire des victimes militaires et civiles de la IIe guerre mondiale. Cependant la mairie centrale de Budapest n’était pas d’accord avec le choix de ce symbole, que se sont depuis longtemps approprié les mouvements politiques d’extrême-droite." La suite sur le Journal francophone de BudapestLa Transylvanie, nouveau Kosovo ou future “euro-région” ?
lundi 26 juillet 2010
LES CORBEAUX de Josef Nadj et Akosh S -
Hasard des programmations, le chorégraphe Josef Nadj retrouve en Avignon Miquel Barcelo, le plasticien, mais à distance. Ces deux-là avaient offert en 2006 aux festivaliers une performance mémorable, « Paso Doble », qui les voyait s'ébrouer dans l'argile chérie par l'artiste espagnol jusqu'à ne plus faire qu'un avec cette matière. Cet été, Barcelo est en ville à la Collection Lambert ou sur le parvis du palais des Papes avec une sculpture monumentale, un éléphant tenant sur sa trompe. Nadj, quant à lui, occupe un lieu plus modeste pour une proposition singulière, « Les Corbeaux », où il partage l'affiche avec le multi-instrumentiste et fidèle de ses créations, Akosh S. Josef Nadj a cette fois troqué la couleur chaude de l'argile pour le noir le plus profond, comme une encre rare. Entre danse et dessin, Nadj choisit les deux. Il fait d'ailleurs de son corps un instrument de peintre pour éclabousser des pages blanches ; du bout du nez noirci, il gribouille aussi. Après « Entracte », beau quatuor daté de 2008 déjà éminemment plastique, il remet son ouvrage sur le métier, lui qui a étudié au lycée des beaux-arts de Novi Sad en Voïvodine puis l'histoire de l'art à Budapest." La suite sur lesechos.fr
dimanche 25 juillet 2010
Interrogations sur l'état de santé de Zsa Zsa Gabor
accédez aux archives de dna.fr
samedi 24 juillet 2010
S&P pourrait baisser la note de la Hongrie
Emboîtant le pas à Moody's, l'agence de notation Standard & Poor's (S&P) a assorti vendredi la note de la dette à long terme de la Hongrie d'une perspective négative, estimant que les dernières mesures du gouvernement risquaient de peser sur les perspectives de croissance à moyen terme." La suite sur lapresseaffaires.cyberpresse.ca
Laszlo Moholy-Nagy l'illuminé
Le gouvernement hongrois critique les agences de notation
La nécessité d'une politique budgétaire rigoureuse ne doit pas empêcher le gouvernement de mettre en oeuvre une politique économique indépendante, a fait valoir le ministère." La suite sur investir.fr
vendredi 23 juillet 2010
Moody's menace de revoir sa note sur la Hongrie
Cette "incertitude est le résultat de la rupture des discussions" entre la Hongrie d'une part et l'Union européenne et le Fonds monétaire international (FMI) d'autre part, relève l'agence de notation." La suite sur lemonde.fr
Les objectifs hongrois pour 2020 en matière d'éducation sont "irréalistes"
Un reportage d'EurActiv.hu.
Le parlement hongrois a adopté la première partie de la réforme des médias
"Le parlement hongrois a adopté dans la nuit de jeudi à vendredi la première partie de la loi controversée sur la réforme des médias engagée par le gouvernement conservateur et critiquée par l'opposition.
Ce texte, qui change la structure de la supervision des médias publiques, a été adopté par 260 voix contre 86. Les autres mesures prévues dans la réforme du paysage médiatique hongrois seront soumises au vote des députés en septembre." La suite sur lemonde.fr
Hongrie : la taxe sur les banques est "juste et nécessaire" selon le Premier ministre
"La taxe est juste et nécessaire car elle sert les intérêts de la population dans une période très difficile", a déclaré le chef de gouvernement hongrois devant le parlement réuni pour sa dernière session avant la trêve estivale.
"Les banques étaient à l'origine de la crise mondiale, il est normal qu'elles contribuent au rétablissement" d'une situation saine, a-t-il souligné." La suite sur lesechos.fr
jeudi 22 juillet 2010
Tibor Gyenis - Exposition du 23 septembre au 23 octobre 2010 à l'Institut hongrois de Paris
Photographe, peintre et sculpteur hongrois. Il est né à Pécs où il termine ses études sous la direction d’Istvan Bencsik et de Gyula Konkoly à l’Université Janus Pannonius. Il travaille ensuite à Berlin entre 1997-99 et en même temps il expose régulièrement en Hongrie (au Musée Ernst, à la galerie Duna, à l’Université des Beaux-Arts etc.). Dans son travail, il laisse libre cours à son imagination : ses libres associations du quotidien et de la mythologie sont remplies d’humour et reflètent une vision du monde unique.
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
Pécsi Műhely du 23 septembre au 23 octobre 2010 à l'Institut hongrois de Paris
Pour mettre l’accent sur la ville de Pécs, Capitale européenne de la culture 2010, l’Institut hongrois de Paris présente le groupe artistique « Pécsi Műhely ». Le « Pécsi Műhely » (1970-1980), studio artistique de Pécs géré par Ferenc Lantos, regroupait des artistes comme Tamás Aknai, Ferenc Ficzek, Károly Halász, Károly Kismányoki, Sándor Pinczehelyi, Lajos Szelényi et Kálmán Szíjártó. Inspirés par le Bauhaus et les tendences européennes de l’époque: le land art et l’art conceptuel, ils travaillaient sur le renouvellement de la culture visuelle, de la langue visuelle, des traditions avant-garde et constructivistes hongroises.
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
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Chefs d’œuvres de porcelaine et d’argile du 14 au 18 septembre 2010 à l'Institut hongrois de Paris
Centre de création et de formation de réputation internationale, le Studio de céramique de Kecskemét a été fondé il y 35 ans par János Probstner pour se libérer des entraves historico-idéologiques imposées aux artistes de l’Europe de l’Est. Depuis sa création, le studio n'a cessé de collectionner les œuvres contemporaines et rassemble aujourd’hui près de 4000 pièces, créées par plus de 500 artistes originaires de 45 pays différents et des 5 continents. Les meilleures œuvres hongroises et quelques chefs d’œuvres étrangers de cette collection exceptionnelle seront présentés lors de l’assemblée générale de l’Académie internationale de céramique au mois de septembre à Paris.
Vernissage : Mardi 14 septembre 2010 à 19h00
Institut Hongrois de Paris, 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Tél. : 01 43 26 06 44
Métro: Saint-Sulpice ou Mabillon
Bus: 58, 84, 89
info@instituthongrois.fr
http://www.instituthongrois.fr/
Steven Udvar-Hazy, l'homme qui commande des avions à tour de bras
La Hongrie souhaite négocier seulement avec l'UE, écarte le FMI
Le FMI et l'Union européenne ont suspendu le week-end dernier les consultations avec la Hongrie sur le programme d'aide débloqué en 2008 pour aider le pays à surmonter la crise financière en raison d'une impasse sur les réductions de dépenses à prévoir." La suite sur lesechos.fr
mercredi 21 juillet 2010
Hongrie : Le maillon de plus en plus faible
"Confronté à des graves difficultés économiques, le gouvernement de Viktor Orbán ne parvient pas à trouver un accord avec l’Union européenne et le FMI. Même si la situation reste maîtrisée, l’intransigeance des deux parties fragilise l’équilibre de toute l’Europe centrale.
L’échec des négociations entre le gouvernement hongrois, d’un côté, et le FMI et l’UE, de l’autre, [le 17 juillet] est probablement imputable aux deux parties. Avec son programme de gouvernement en 29 points, le gouvernement [dirigé depuis fin mai par le conservateur Viktor Orbán] a mis ses partenaires devant le fait accompli, tandis que le FMI et l’UE ont fait preuve d’une intransigeance extraordinaire. Pourtant, l’enjeu est de taille : il s’agissait d’examiner les échéances du crédit de 20 milliards d’euros [accordé en octobre 2008] et de négocier son prolongement jusqu’en décembre 2010, mais aussi – bien que le FMI le nie – de négocier un nouveau crédit de précaution à partir de 2011." La suite sur presseurop.eu
L'article original en hongrois sur hvg.hu
Hongrie : déficit ramené à 3,8% (PM)
"L'accord signé entre le FMI et la Hongrie en 2008 arrive à échéance en octobre de cette année. Cet accord ne comprend qu'un seul aspect, celui qui exige que la Hongrie doit avoir un déficit budgétaire de 3,8% (du PIB) en 2010", a déclaré Viktor Orban lors d'une conférence de presse." La suite sur lefigaro.fr
mardi 20 juillet 2010
Kubala, un apatride en Catalogne
"Il fut le seul homme à porter le maillot de trois sélections nationales différentes. Il fut l’âme du FC Barcelone pendant onze ans, de 1950 à 1961. Il fut le meilleur joueur du championnat d’Espagne avant qu’Alfredo Di Stefano, le divin chauve du Real Madrid, ne prenne cette place de façon indiscutable. Cet homme, c’est Laszlo Kubala, prodigieux milieu de terrain né en Hongrie en 1927, la même année qu’un certain Ferenc Puskas.
Kubala a joué pour trois nations, la Hongrie, la Tchécoslovaquie puis l’Espagne.
Né en 1927 à Budapest, Lazslo Kubala quitte la Hongrie en 1947, à la mort de son père. Kubala part alors en Tchécoslovaquie et joue pour le Slovan Bratislava, obtenant la double nationalité hongroise et tchécoslovaque. Mais pour avoir fuit la Hongrie sans avoir effectué son service militaire, obligatoire, Kubala fut déchu de son passeport hongrois.Revenu en terre magyar en 1948, Kubala constate l’évolution politique de la Hongrie. Budapest devient le satellite de Moscou. L’emprise de l’Union Soviétique s’accentue sur la Hongrie, dès 1948. Kubala choisit alors de s’exiler et de quitter l’Europe Centrale. En 1949, le footballeur hongrois trouve refuge en Italie. C’est en Lombardie qu’il signe un précontrat avec une équipe locale. Finalement, Kubala rejoint une formation d’exilés magyars, baptisée Hungaria. Lors d’un match amical entre Hungaria et le Real Madrid, Josep Samitier (ancien entraîneur du Barça entre 1944 et 1947) remarque son talent ..." La suite sur sportvox.fr
Bruno Bourel - Exposition de photographies du 8 juillet au 15 août 2010 à Budapest
Synagogue de la rue Rumbach Sebestyén
Le site de Bruno Bourel
Des «Corbeaux» de bon augure
Il y a quatre ans, Josef Nadj, artiste associé au Festival, avait offert, en compagnie du plasticien Miquel Barceló, un duo mémorable baptisé Paso Doble, une heure d’art et de travail dans la glaise. Quatre ans plus tard, c’est aussi en duo qu’il revient à Avignon, partageant la scène de la salle Benoît-XII avec son vieux complice, le musicien Akosh Szelevényi, avec qui il a créé un festival de jazz." La suite sur liberation.fr
Budapest dans la tourmente financière
Après la Grèce, l'Espagne et le Portugal, l'attention redoutable des marchés s'est portée sur la Hongrie hier, après l'annonce samedi de dissensions entre Budapest et ses bailleurs de fonds, Union européenne et Fonds monétaire international (FMI). Ces derniers ont annoncé que, faute d'avoir obtenu des éclaircissements sur la politique suivie par le gouvernement conservateur du Fidesz, ils suspendaient la revue, menée depuis le 6 juillet, du plan d'aide à la Hongrie. Ce plan de 20 milliards de dollars, accordé au tout début de la crise financière mondiale, en octobre 2008, avait permis au pays, lourdement endetté en devise étrangère et qui ne fait pas partie de la zone euro, d'éviter le défaut de paiement. Le FMI et l'Union européenne attendent désormais des engagements fermes et des « décisions difficiles » de Budapest en matière de réduction des dépenses pour ramener le déficit public à 3,8 % du PIB cette année." La suite sur lesechos.fr
Hongrie - Des RH en mutation
La Hongrie promet au FMI de nouveaux efforts
Sommée par le Fonds monétaire international (FMI) et l'Union européenne de réduire des déficits encore «excessifs», la Hongrie a réitéré dimanche son intention de poursuivre les réformes structurelles. Au bord du gouffre en octobre 2008, asphyxiée par la fuite des capitaux étrangers et l'effondrement du forint, la devise nationale, Budapest avait bénéficié à l'époque d'un prêt du FMI et de l'UE, pouvant atteindre 20 milliards d'euros. Elle a utilisé, pour l'heure, moins de la moitié de cette somme, et l'accord expirera en octobre."La suite sur lefigaro.fr
En Hongrie, la droite au pouvoir mène sa "révolution nationale" à marche forcée
Article à lire dans l'édition papier du journal Le Monde d'hier daté du mardi 20 juillet 2010 ou sur l'édition internet payante.
Sur la même page un autre article intitulé "L'opposition dénonce le retour à des pratiques staliniennes".
lundi 19 juillet 2010
Orbán prend ses distances avec l’extrême-droite
Au terme d’une rencontre avec des députés de Jobbik la semaine dernière, le premier ministre Viktor Orbán s’est engagé à prendre des mesures sévères contre la Magyar Garda qui continue de défier la justice hongroise.
"Tout comme les voleurs de poules ne resteront pas impunis, nous ne pouvons pas tolérer des groupes paramilitaires qui veulent faire justice en dehors de la loi, ou que des députés ignorent les tribunaux hongrois et leurs décisions. Quant à moi, je ne donnerai pas mon consentement pour que nous quittions la civilisation.", a déclaré Viktor Orba n aux journalistes présents au sortir de la réunion, ajoutant qu’il "n’aurai pas de repos tant qu’une loi excluant catégoriquement la possibilité de « petites combines » auxquelles nous assistons maintenant ne sera pas votée." La suite sur hu-lala.org
Hongrie: le forint chute face à l'euro
Lire aussi l'article "L'UE et le FMI suspendent les consultations avec la Hongrie" nouvelobs.com
En Hongrie, les curieuses manières de M. Orban
La Hongrie a pu échapper à une situation "à la grecque" qui l'aurait contrainte à verser des intérêts de plus en plus élevés pour financer sa dette. Inutile d'ajouter un drame magyar à la tragédie athénienne !
Les conditions de ce prêt - car il y en a, bien sûr - ont été négociées par l'ancien gouvernement socialiste hongrois. Elles sont dures, mais plutôt moins que celles imposées à certains des pays baltes récemment secourus par le FMI. Pourtant, la nouvelle équipe au pouvoir à Budapest, les conservateurs du Fidesz, semble vouloir s'en libérer. C'est dangereux." La suite sur lemonde.fr
L'homme mouillé - Antoine Senanque
"Le neurologue et romancier Antoine Sénanque présente dans son dernier roman « L’homme mouillé » (Grasset) la douloureuse métamorphose d’un fonctionnaire hongrois qui se met un matin à transpirer des litres d’eau de mer. Mystère pour la science médicale de l’époque, l’homme mouillé et son étrange syndrome dérangent… Un livre juste, médicalement, historiquement et humainement." La suite sur laboiteasorties.com
Budapest, 1938. Fonctionnaire modèle à la poste centrale de Budapest, maniaque de l'ordre et de la propreté, Pal Vadas, dont le père soldat fut tué au combat en 1917, est un homme comme les autres. Sauf qu'il transpire de l'eau : pas un peu, beaucoup, par périodes, et que l'analyse de sa sueur noire révèle une composition proche de celle de l'eau de mer, riche en sel et contenant des algues. Le 12 mars 1938, l'Autriche est annexée par le Reich. Le martyr de Pal Vadas commence. S'engage-t-il pour ou contre le nazisme ? Non. Il ne participe pas, mais bientôt, cette transpiration devient suspecte, inquiétante, signe d'un dérèglement qu'il faut soigner, d'un corps malade, anormal. Alors, le citoyen modèle devient un fugitif, un hors-la-loi, comme les juifs ou les prêtres résistants à l'ordre, et il faut fuir, ou se cacher.
Antoine Sénanque, « L’homme mouillé », Grasset, 204 p., 17 euros. Sortie le 1er septembre 2010.
La création de la danse
Par Alena Karas, « Rossiyskaya Gazeta »
Dans le cadre du Festival international de Tchekhov, qui se tient à Moscou depuis le 25 mai jusqu’au 30 juillet, a eu lieu la première mondiale d'un événement très attendu : la mise en scène du chorégraphe et visionnaire français Josef Nadj « Cherry-Brandy » (« La Création »)." La suite sur lefigaro.fr
mardi 6 juillet 2010
Hongrie : des banques internationales se plaignent au FMI d'un projet de taxe bancaire
Dans ce courrier, les banques Raiffeisen International (Autriche), Erste Group Bank (Autriche), KBC (Belgique), UniCredit (Italie), Intesa Sanpaolo (Italie) et BayernLB (Allemagne) affirment être prêtes à reconsidérer leurs investissements dans le pays si ce projet de taxe se concrétise.
Le gouvernement projette de prélever 0,45% de l'actif net des banques pour combler le déficit budgétaire hongrois." La suite sur lesechos.fr
Bruno Bourel - Exposition de photographies du 8 juillet au 15 août 2010 à Budapest Synagogue de la rue Rumbach Sebestyén
Le Musée juif de Hongrie et l'Institut français de Budapest ont le plaisir de vous inviter à l'exposition de photographies dans la synagogue de la rue Rumbach. Les photos visent à présenter la vie quotidienne d'une communauté habitant le cœur même de la métropole et la diversification des cultures juives hongroises actuelles. Le visiteur y trouvera des endroits bien connus, sans toujours reconnaitre ce qui s'y passe.
Les photos de Bruno Bourel sont accompagnées des mots - en vers et en prose - de Péter Závada.
Ces photos représentant le sacrificateur et le superviseur casher, un grand chantre ou un cercueil de bois sont à coup sûr les photos noir et blanc les plus chamarrées que j’aie jamais vues.
En noir et blanc comme le rêve d’un chien–loup. Telle est la couleur de la tristesse des peintres de passages cloutés.
Nous sommes tous sensibles à la lumière. Ce n'est que la façon qui diffère. Ceux-ci de cette façon, ceux-là d’une autre.
Péter Závada
L'exposition sera inaugurée par l'architecte Anna Perczel à 18 heures,
le 8 Juillet 2010 dans la Synagogue 11 rue Rumbach Sebestyén
Le site de Bruno Bourel
lundi 5 juillet 2010
Tom Keve "Trois explications du monde"
Août 1909. Ferenczi accompagne Freud et Jung à New York à l'occasion d'une célèbre conférence à laquelle assiste Rutherford, le père de la physique moderne. Tel est le point de départ - réel - de ce roman aussi émouvant qu'érudit qui réinvente une passionnante aventure humaine et intellectuelle : la rencontre des penseurs qui vont bouleverser en profondeur les esprits. Physicien anglais d'origine hongroise, Tom Keve réalise ainsi le rêve de Ferenczi et de Pauli de faire converger les sciences de la psyché et celles de la nature, dans une étourdissante fresque historique. De Budapest à Londres en passant par la yeshiva de Presbourg, Vienne, Copenhague, Jérusalem, un voyage dans l'effervescence de la Mitteleuropa dont les héros tourmentés sont Chatam Sofer et les grands rabbins d'Europe centrale, mais aussi Niels Bohr, Josef Breuer, Lou-Andreas Salomé...
Aux éditions Albin Michel 24 €
"Ce roman à la fois historique et analytique commence presque comme les célèbres Conférences sur la psychanalyse de Freud. Pour la série de conférences qu’il vient donner à la Clark University, le père de la psychanalyse n’amène rien d’autre que la peste dans ses bagages. Accompagné de Sandor Ferenczi et de Carl Gustav Jung, deux des plus éminentes personnalités – après lui – de la récente conquête psychanalytique, Freud débarque à New York et descend à l’hôtel Manhattan flanqué de ses deux épigones.
Une grande partie de ce roman se construit comme une autobiographie de Ferenczi, doublée d’un volet historique et critique de la Mitteleuropa du premier tiers du XXe siècle. Le monde traditionnel de la culture juive, ponctué par les divers enseignements rabbiniques et l’influence de la Kabbale, croise le monde nouveau en gestation, marqué notamment par les découvertes de Freud, mais tout autant par les percées décisives de la science moderne, notamment les travaux de chimie sur la radioactivité, les progrès de la physique quantique et des mathématiques." La suite sur espacephilo.cndp.fr
"Tom Keve : « Freud mérite mieux que toutes ces accusations »
Albin Michel a créé une catégorie inédite pour la fresque de Tom Keve, celle du «document entre fiction et non-fiction». Une appellation qui ne devrait guère déplaire à son auteur, «physicien anglais d’origine hongroise». Mais que recèlent exactement ces 560 pages? La réponse est tout simplement contenue dans le titre. Tom Keve propose d’expliquer la marche du monde, à la manière d’un roman policier dont l’intrigue serait le débat d’idées, à travers la psychanalyse, la physique et… la kabbale!" Lire la suite sur magazine-litteraire.com
samedi 3 juillet 2010
Menace de rideau de fer sur les médias hongrois
Josef Nadj - Les Corbeaux - 18 au 26 juillet 2010 Avignon Salle Benoît XII
Tout est né d'une rencontre fortuite avec un corbeau japonais. Il y a quelques années, alors que Josef Nadj répète un solo sur le toit d'un théâtre à Kyoto, un corbeau vient se poser non loin de lui. Dans le regard que le danseur, en plein mouvement, jette sur le sombre volatile, naît en un éclair l'idée d'un spectacle. Le chorégraphe se met à travailler sur cette vision. Les esquisses et les dessins lui permettent de revivre la scène, étape graphique qui l'incite à aller plus loin.
La suite sur paris-art.com
Horaire: 18h. Relâche le 22 juillet.
— Chorégraphie: Josef Nad
— Composition musicale: Akosh Szelevényi
— Lumière: Rémi Nicolas
— Son: Jean-Philippe Dupont
— Décors et accessoires: Alexandre De Monte, Clément Dirat, Julien Fleureau
— Avec: Josef Nadj, Akosh Szelevényi
Hongrie: réforme des médias controversée, un débat est demandé
"Ce que nous voulons, c'est un débat profond où chaque partie concernée serait représentée, incluant des médias publics comme des médias privés, car chaque réforme qui touche les médias doit être discutée avec les membres des médias", a déclaré vendredi à l'AFP Anthony Mills, un responsable de l'IPI." La suite sur lesechos.fr
jeudi 1 juillet 2010
Visages politiques: Géza Szőcs, Secrétaire d'État hongrois à la culture
Bilan très lourd : les conséquences des inondations en Hongrie
"La Hongrie doit faire face à d’importants dégâts dans l’agriculture et dans les exploitations viticoles et forestières suite aux inondations causées par la série d'orages diluviens du mois de mai dernier.
Selon les experts de la Chambre d’Agriculture de Hongrie, le montant des dégâts causés par les récentes inondations peut atteindre les 100 milliards de HUF dans le seul domaine agraire et forestier. Environ 180.000 hectares de terres arables se trouvent sous l’eau, ce qui touche de fait la majorité des différentes filières agricoles. Plus de 5% des cultures de blé sont concernées, soit un territoire de 50.000 hectares, de même que pour les plantations de choux. Les eaux d’infiltration n’ont pas non plus épargné les cultures de tournesol et du maïs, car un territoire de 18.000 hectares se trouve toujours sous l’eau en ce qui concerne chacune de ces cultures." La suite sur le Journal francophone de Budapest