"Les festivités qui ont eu lieu cette semaine en Hongrie à l’occasion du Jour de l’indépendance, ont été pour la première fois marquées par des slogans contre la politique de l’Union européenne et le « capital étranger ». Vu la popularité de l’actuel gouvernement de Viktor Orban et les progrès économiques incontestables accomplis par celui-ci, les tensions entre Budapest et Bruxelles ne vont faire que s’accentuer en entraînant dans leur sillage les autres Etats d’Europe centrale et de l’Est, est convaincu notre observateur Petr Iskanderov.
Face à la vague d’euroscepticisme, les dirigeants des ces pays ont cependant réussi à ne pas revenir en arrière, vers l’Union soviétique, mais à s’engager dans une sorte de « troisième voie » en essayant d’emprunter aux Etats d’Asie du Sud-Est et d’Amérique latine ainsi qu’à la Turquie, c’est-à-dire aux pays non-européens, certains aspects de leur politique, y compris sociale et économique." La suite sur ruvr.ru
samedi 26 octobre 2013
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