"C'est l'un des plus graves problèmes sociaux que connaît la Hongrie : près de la moitié des foyers ont contracté dans les années 2000 des prêts en devises étrangères. L'effondrement économique de 2008 rend aujourd'hui impossible leur remboursement. Le gouvernement Orbán tente de faire payer les banques.
Lundi 13 janvier 2014, une violente explosion souffle la façade d’une
banque dans un quartier résidentiel de la capitale hongroise. C’est une
première dans ce pays où le risque terroriste est proche de zéro.
Quelques semaines plus tard, un groupuscule d’extrême droite revendique
l'attentat et dénonce le chantage des institutions bancaires dans le
pays. Les banques sont devenues les cibles de manifestations récurrentes
depuis plusieurs mois. Car la Hongrie fait face à un dossier social et
économique qui tourne à la catastrophe : près de la moitié des foyers
hongrois (1,8 sur 4 millions) se trouvent pris au piège de prêts
contractés en devises étrangères entre 2004 et 2009." La suite sur mediapart.fr (version payante)
vendredi 28 mars 2014
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