"Dans la Hongrie post-communiste du début des années 90, qui découvre balbutiante la liberté et le capitalisme, Attila Ambrus devient célèbre en quelques mois.
Non par ses «exploits » de gardien de but réserviste d’une équipe de hochey sur glace, mais parce qu’il est l’auteur de 29 braquages de banques et bureaux de poste. Plus proche d’un Arsène Lupin que d’un Mesrine, il n’aura de cesse de ridiculiser les services de police." La suite sur lavenir.net
vendredi 14 mars 2014
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