"De
Gyula Krúdy, je n'avais jusqu'ici lu qu'une petite poignée de nouvelles
très courtes qui m'avaient fait penser que son principal sujet était la
vie nocturne de Budapest, les duels, les cafés, le monde des hommes. En
lisant Pirouette pour le troisième chapitre de mon exploration de la littérature hongroise
du siècle et demi dernier, j'ai donc eu une surprise en découvrant non
seulement l'histoire d'une jeune fille mais aussi un auteur atypique à
l'atmosphère particulière, rêveuse et mélancolique, impression confirmée par le deuxième court roman (Le compagnon de voyage) et la nouvelle (Le secret de Sindbad) qui complétaient le recueil." La suite sur passagealest.wordpress.com
lundi 31 mars 2014
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.