"Hommage à Giorgio Pressburger, décédé à Trieste le 5 octobre 2017.
Auteur de théâtre, d'opéra, d'opérette, homme de radio, organisateur de
festivals et romancier pétri de culture mitteleuropéenne.
Je l’avais entendu au téléphone quelques jours avant ce 5 octobre, date
de sa mort. Il était fatigué, mais ne voulait pas transmettre
d’inquiétude : sa voix était enjouée, comme toujours, et j’espérais le
voir à Trieste à la fin du mois, pour parler, entre autres, de la
traduction de ses Nouvelles triestines, son avant-dernier livre.
Revoir avec lui les lieux de Trieste dont il est question dans ce
recueil était un rêve ; mais il disait qu’“il faut rêver ses rêves”, et
donc, j’irai quand même à Trieste respirer l’air de sa ville
d’adoption : après tout, le mur qui sépare les vivants et les morts est
poreux." La suite sur mediapart.fr
mercredi 11 octobre 2017
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