mercredi 28 février 2018
Hongrie : les médias publics « lavent le cerveau des gens »
"La chaîne d'informations du Qatar Al Jazeera a réussi à faire témoigner
deux journalistes hongrois sur la censure et la centralisation qui
règnent dans les médias publics en Hongrie. "Vous ne pouvez pas écrire
quoique ce soit de négatif à propos du gouvernement", témoigne l'un des
deux journalistes de la MTVA, à visage couvert et avec une voix
reproduite par un acteur afin d'assurer son anonymat..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Qui a incendié le centre culturel hongrois en Ukraine ?
"Un incendie criminel a partiellement détruit un bâtiment de la minorité
hongroise en Ukraine, à Oujgorod dans l'ouest du pays. Le centre
administratif de l'Association culturelle hongroise de Subcarpatie
(KMKSZ) a été partiellement détruit par un incendie criminel mardi matin
dans le centre-ville d'Oujgorod, une ville d'environ cent mille
habitants, frontalière avec la Slovaquie et appelée Ungvár par les
Hongrois . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Présentation du livre "L’Affaire Wenger" jeudi 22 mars 2018 à 19h30 Mémorial de la Shoah
À l’occasion de la parution de L’Affaire Wenger de Catherine Weinberger-Thomas (Flammarion, 2018)
L’Affaire Wenger n’est pas seulement un ouvrage personnel, intime. Il raconte aussi le combat de ceux qui comprirent, parmi les premiers, ce qui se jouait dans l’URSS de Staline, et furent prêts à en payer le prix pour défendre la liberté à l’ère des totalitarismes.
“ J’aurais dû couler des jours studieux et tranquilles, quand l’histoire de mon père m’a rattrapée. Jean Weinberger, alias Wenger, un père que je n’ai jamais connu. Poète et romancier d’origine juive, journaliste militant au groupe hongrois du PCF, amoureux de la France et de la liberté, il fut déporté à Drancy le 25 septembre 1942, puis assassiné à l’âge de 33 ans par les nazis… De la tragédie qui s’était jouée avant et qui avait précipité sa perte, je ne savais presque rien… Rien de la légende vivante qu’il avait été dans les milieux de l’antifascisme pendant les années 30. Rien des intrigues tramées en haut lieu, de Moscou à Paris, en un engrenage maléfique. Mais assez cependant pour donner à ce récit les accents d’un thriller politique… ”
En présence de Catherine Weinberger-Thomas et d’Annette Wieviorka, historienne, directrice de recherche émérite au CNRS
Animée par Adam Biro, éditeur et écrivain.
Entrée libre sur réservation
Source : memorialdelashoah.org
L’Affaire Wenger n’est pas seulement un ouvrage personnel, intime. Il raconte aussi le combat de ceux qui comprirent, parmi les premiers, ce qui se jouait dans l’URSS de Staline, et furent prêts à en payer le prix pour défendre la liberté à l’ère des totalitarismes.
“ J’aurais dû couler des jours studieux et tranquilles, quand l’histoire de mon père m’a rattrapée. Jean Weinberger, alias Wenger, un père que je n’ai jamais connu. Poète et romancier d’origine juive, journaliste militant au groupe hongrois du PCF, amoureux de la France et de la liberté, il fut déporté à Drancy le 25 septembre 1942, puis assassiné à l’âge de 33 ans par les nazis… De la tragédie qui s’était jouée avant et qui avait précipité sa perte, je ne savais presque rien… Rien de la légende vivante qu’il avait été dans les milieux de l’antifascisme pendant les années 30. Rien des intrigues tramées en haut lieu, de Moscou à Paris, en un engrenage maléfique. Mais assez cependant pour donner à ce récit les accents d’un thriller politique… ”
Catherine Weinberger-Thomas
Animée par Adam Biro, éditeur et écrivain.
Entrée libre sur réservation
Source : memorialdelashoah.org
En direct sur le net : György Vashegyi dirige Rameau : Les Indes Galantes, dès 19h, depuis le MÜPA, Budapest
"Le chef hongrois ne cesse de se dédier à l’interprétation du Baroque français du « grand » XVIIIè. Après avoir ressuscité Isbé de Mondonville dans les mêmes lieux (Concert Hall MÜPA de Budapest, mars 2016), voici ce soir Les Indes Galantes de Rameau
: opéra ballet d’une fantaisie onirique et sentimentale à couper le
souffle, auquel le maestro saura apporter comme dans ses récentes
réalisations, acuité expressive, finesse et vitalité rare, attention à
l’équilibre sonore comme à l’architecture dramatique des quatre tableaux
ou « entrées », de cette partition inclassable (véritable préfiguration
avec Platée, de la comédie musicale à la française). Pour se faire, le
chef réunit autour de lui, des effectifs choraux et surtout orchestraux
(l’Orfeo Orchestra, ensemble exceptionnel sur instruments anciens), d’un
engagement total." La suite sur classiquenews.com
La chef de la diplomatie coréenne parle de dénucléarisation avec ses homologues suisse et hongrois
"SEOUL, 27 fév. (yonhap) -- La ministre des Affaires étrangères Kang
Kyung-wha a discuté des moyens d'ouvrir les dialogues sur la
dénucléarisation de la Corée du Nord avec ses homologues suisse Ignazio
Cassis et hongrois Peter Szijjarto, a fait savoir ce mardi son
ministère.
En marge d'une réunion de haut niveau de la session du Conseil des droits de l'Homme des Nations unies à Genève, Kang a eu des entretiens avec le chef du Département fédéral des affaires étrangères de la Suisse afin de discuter des relations bilatérales et de la situation sécuritaire sur la péninsule coréenne, selon le ministère des Affaires étrangères.
Kang a présenté la situation sur la participation récente de la Corée du Nord aux Jeux olympiques de PyeongChang et a appelé le gouvernement suisse à coopérer pour favoriser le dialogue sur la dénucléarisation avec la Corée du Nord à travers l'élan olympique, a dit le ministère." La suite sur yonhapnews.co.kr
En marge d'une réunion de haut niveau de la session du Conseil des droits de l'Homme des Nations unies à Genève, Kang a eu des entretiens avec le chef du Département fédéral des affaires étrangères de la Suisse afin de discuter des relations bilatérales et de la situation sécuritaire sur la péninsule coréenne, selon le ministère des Affaires étrangères.
Kang a présenté la situation sur la participation récente de la Corée du Nord aux Jeux olympiques de PyeongChang et a appelé le gouvernement suisse à coopérer pour favoriser le dialogue sur la dénucléarisation avec la Corée du Nord à travers l'élan olympique, a dit le ministère." La suite sur yonhapnews.co.kr
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Budapest convoque l'ambassadeur ukrainien après l'incendie d'un centre culturel
"Le gouvernement hongrois a annoncé avoir convoqué mardi
l'ambassadeur d'Ukraine pour lui faire part de son indignation après
l'incendie volontaire dans la nuit d'un centre culturel hongrois dans
l'ouest de ce pays, et que Kiev a également condamné.
"Les positions extrémistes" menaçant la minorité hongroise d'Ukraine gagnent du terrain, une évolution "inacceptable", a déclaré le chef de la diplomatie hongroise, Peter Szijjarto, à la télévision publique.
Le siège de l'association culturelle de la minorité hongroise KMKSZ à Oujhorod, capitale administrative de l'oblast de Transcarpatie, en Ukraine, a été partiellement détruit dans la nuit par un objet incendiaire, selon l'agence hongroise MTI. L'attaque, qui n'a pas fait de blessé et n'a pas été revendiquée, est la deuxième en un mois visant ces locaux, selon cette source." La suite sur lorientlejour.com
"Les positions extrémistes" menaçant la minorité hongroise d'Ukraine gagnent du terrain, une évolution "inacceptable", a déclaré le chef de la diplomatie hongroise, Peter Szijjarto, à la télévision publique.
Le siège de l'association culturelle de la minorité hongroise KMKSZ à Oujhorod, capitale administrative de l'oblast de Transcarpatie, en Ukraine, a été partiellement détruit dans la nuit par un objet incendiaire, selon l'agence hongroise MTI. L'attaque, qui n'a pas fait de blessé et n'a pas été revendiquée, est la deuxième en un mois visant ces locaux, selon cette source." La suite sur lorientlejour.com
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L’Europe centrale fait-elle encore partie de l’Union Européenne ?
"Les tensions sont de plus en plus vives entre Bruxelles et les pays du « V4 », au point que l’on se demande s’ils font encore partie de l’Union Européenne. Travailleurs détachés, migrants et aujourd’hui, contrôle de la traçabilité des cigarettes : la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et la République tchèque restent à la marge.
Le groupe de Visegrád (Hongrie, Pologne, République tchèque, Slovaquie) a-t-il encore une raison d’être ? Ses racines remontent à l’an 1334, lorsque les rois de Bohême, de Pologne et de Hongrie se sont rencontrés dans la ville hongroise de Visegrád pour créer une alliance anti-Habsbourg.
Six siècles et demi plus tard, en 1991, ils ont renouvelé leur partenariat afin d’élaborer une stratégie pour accéder ensemble à l’Union européenne et intégrer l’Otan après la chute de l’empire soviétique. C’est désormais chose faite, comme chacun sait. Les quatre pays ont rejoint un projet autrement plus ambitieux et, du moins théoriquement, plus rassembleur que leur ancienne alliance : l’Union Européenne. Si bien qu’on se demande si leur alliance historique est encore nécessaire." La suite sur myeurop.info
Le groupe de Visegrád (Hongrie, Pologne, République tchèque, Slovaquie) a-t-il encore une raison d’être ? Ses racines remontent à l’an 1334, lorsque les rois de Bohême, de Pologne et de Hongrie se sont rencontrés dans la ville hongroise de Visegrád pour créer une alliance anti-Habsbourg.
Six siècles et demi plus tard, en 1991, ils ont renouvelé leur partenariat afin d’élaborer une stratégie pour accéder ensemble à l’Union européenne et intégrer l’Otan après la chute de l’empire soviétique. C’est désormais chose faite, comme chacun sait. Les quatre pays ont rejoint un projet autrement plus ambitieux et, du moins théoriquement, plus rassembleur que leur ancienne alliance : l’Union Européenne. Si bien qu’on se demande si leur alliance historique est encore nécessaire." La suite sur myeurop.info
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Hongrie. Un revers surprenant pour Orbán
"L’un des poids lourds du gouvernement a été battu lors d’une élection
municipale partielle, le 25 février. Un résultat inattendu pour le parti
du chef de l’État, à quelques semaines des législatives.
“Une énorme surprise” : Index ne mâche pas ses mots après la victoire du candidat indépendant Péter Márki-Zay lors d’une municipale partielle organisée dimanche 25 février à Hódmezővásárhely, fief du ministre de la Chancellerie János Lázár, l’homme fort du président. Soutenu par une alliance d’opposition allant de la gauche au parti d’extrême-droite Jobbik, l’outsider, crédité de 57,6 % des voix (contre 41,4 % à son adversaire Zoltán Hegedűs), inflige un revers inattendu au parti de Viktor Orbán à quarante jours des législatives prévues le 8 avril." La suite sur courrierinternational.com
“Une énorme surprise” : Index ne mâche pas ses mots après la victoire du candidat indépendant Péter Márki-Zay lors d’une municipale partielle organisée dimanche 25 février à Hódmezővásárhely, fief du ministre de la Chancellerie János Lázár, l’homme fort du président. Soutenu par une alliance d’opposition allant de la gauche au parti d’extrême-droite Jobbik, l’outsider, crédité de 57,6 % des voix (contre 41,4 % à son adversaire Zoltán Hegedűs), inflige un revers inattendu au parti de Viktor Orbán à quarante jours des législatives prévues le 8 avril." La suite sur courrierinternational.com
Hongrie: la Banque centrale maintient son taux directeur
"La Banque centrale de Hongrie MNB a annoncé mardi le maintien de son
principal taux directeur au niveau historiquement bas de 0,9%,
conformément aux attentes des analystes." La suite sur lefigaro.fr
Hongrie: le chômage stable
"Le taux de chômage est resté stable en Hongrie à 3,8% de la population
active pour la période allant de novembre à janvier, demeurant à son
plus bas historique atteint en septembre-novembre, a annoncé mardi le
Bureau central des statistiques KSH. Le taux de chômage hongrois s'était
établi à 4,3% à la même période un an plus tôt. KSH ne publie pas de
chiffres mensuels du chômage, estimant qu'ils sont trop volatils. Selon
la norme européenne harmonisée d'Eurostat, le taux de chômage était de
3,9% en novembre, dernier mois disponible." La suite sur lefigaro.fr
mardi 27 février 2018
Hongrie : revers pour le Fidesz, espoir pour l'opposition ?
"A Hódmezővásárhely, petite ville du sud-est de la Hongrie, tous les
partis d'opposition se sont alliés pour mettre en échec le maire sortant
lors d'élections municipales partielles. Cette alliance a rassemblé des
formations de gauche (MSZP), d'extrême droite (Jobbik) et écologiste
(LMP). Six semaines avant les législatives du 8 avril, les observateurs s'interrogent sur l'impact que peut avoir ce scrutin." La suite sur eurotopics.net
Des plaisirs dans tous les domaines et en langue française … 18ème Festival de la Francophonie
"Rencontre avec Frédéric Rauser, directeur de l’Institut Français de Budapest
La culture francophone dans toute sa richesse et sous ses multiples facettes sera présentée lors du prochain Festival de la Francophonie qui se tiendra du 28 février au 31 mars en Hongrie. Projections de films à l’Institut Français de Budapest et dans d’autres grandes salles de cinéma, expositions d’architecture et de photographies, présentations de livres à la Librairie Latitudes, soirées de théâtre, journée Portes ouvertes à l’Institut Français et soirée gastronomique marocaine auront lieu. Les plaisirs dans tous les domaines et en langue française – comme le directeur Frédéric Rauser l’a exprimé lors de son entretien donné à la veille du Festival." La suite sur jfb.hu
La culture francophone dans toute sa richesse et sous ses multiples facettes sera présentée lors du prochain Festival de la Francophonie qui se tiendra du 28 février au 31 mars en Hongrie. Projections de films à l’Institut Français de Budapest et dans d’autres grandes salles de cinéma, expositions d’architecture et de photographies, présentations de livres à la Librairie Latitudes, soirées de théâtre, journée Portes ouvertes à l’Institut Français et soirée gastronomique marocaine auront lieu. Les plaisirs dans tous les domaines et en langue française – comme le directeur Frédéric Rauser l’a exprimé lors de son entretien donné à la veille du Festival." La suite sur jfb.hu
En Hongrie, Viktor Orban profite des divisions de ses opposants
"Le Fidesz, le parti au pouvoir, a perdu
une élection locale face à un candidat soutenu par la gauche et
l’extrême droite, mais reste le favori des législatives du 8 avril.
La nouvelle a semblé suffisamment
inquiétante à Viktor Orban pour qu’il se fende d’un entretien à un média
critique et se plie à un exercice de contrition rarement observé en
huit ans de pouvoir. Au micro du site d’information en ligne HVG, le
premier ministre souverainiste hongrois a concédé que la défaite du
candidat qu’il soutenait à une élection municipale, dans un bastion de
sa formation, le Fidesz, dimanche 25 février, devait inciter ses
soutiens à redoubler d’efforts, en vue des législatives du 8 avril.
Le résultat du scrutin, qui s’est
déroulé dans la ville d’Hodmezovasarhely est une surprise, car il a
prouvé qu’une opposition hétéroclite, mais unie, pouvait l’emporter
largement contre le parti au pouvoir, alors que M. Orban brigue un
troisième mandat.
Le candidat indépendant, soutenu à la fois par l’extrême droite du Jobbik, par la gauche et les libéraux, a gagné avec plus de 57 % des voix, alors que le Fidesz avait obtenu 61 % des voix en 2014, dans ce fief d’un homme fort du régime, Janos Lazar. Ceux qui sont contre Viktor Orban n’en restent pas moins divisés, au niveau national, en une kyrielle de formations très éloignées les unes des autres." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Le candidat indépendant, soutenu à la fois par l’extrême droite du Jobbik, par la gauche et les libéraux, a gagné avec plus de 57 % des voix, alors que le Fidesz avait obtenu 61 % des voix en 2014, dans ce fief d’un homme fort du régime, Janos Lazar. Ceux qui sont contre Viktor Orban n’en restent pas moins divisés, au niveau national, en une kyrielle de formations très éloignées les unes des autres." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Jozsef Stadler, l’homme qui a rempli une déclaration d’impots pour La Cène
"Nous remercions vivement Gergely Marosi de nous avoir permis de traduire cet article, écrit en anglais pour le site Hungarian Football et publié sous le titre suivant : « Jozsef Stadler: The Man Who Filed A Tax Return For The Last Supper ».
J’ai le regret de décevoir tout le monde : le titre fait seulement référence à une légende urbaine. Mais cette légende urbaine en dit long au sujet de József Stadler, l’un des plus iconiques propriétaires de club hongrois. Cet homme a grandi dans une ferme isolée, a travaillé comme berger, a baigné dans de multiples magouilles, a mis sur pied son propre club de football, l’a guidé en première division, a fait construire un stade d’une capacité de 12 000 places dans un village de 3 000 habitants. Il a terminé sa vie en prison, le club de football a cessé d’exister, le stade est dans un état de délabrement avancé. L’histoire de Stadler suinte la Hongrie des années 1990.
« Ah, je me souviens quand nous transportions dans une brouette de l’argent destiné à M. Stadler ! Nous avions conclu un accord avantageux, qui consistait à importer des produits d’Ukraine et à les emmener en Allemagne. Nous n’avions pas les infrastructures nécessaires, donc M. Stadler nous a offert son aide et ses camions. En échange, nous devions contribuer au financement de son stade. C’était un type honnête. Et il a toujours été correct avec nous en affaires. » " La suite sur footballski.fr
J’ai le regret de décevoir tout le monde : le titre fait seulement référence à une légende urbaine. Mais cette légende urbaine en dit long au sujet de József Stadler, l’un des plus iconiques propriétaires de club hongrois. Cet homme a grandi dans une ferme isolée, a travaillé comme berger, a baigné dans de multiples magouilles, a mis sur pied son propre club de football, l’a guidé en première division, a fait construire un stade d’une capacité de 12 000 places dans un village de 3 000 habitants. Il a terminé sa vie en prison, le club de football a cessé d’exister, le stade est dans un état de délabrement avancé. L’histoire de Stadler suinte la Hongrie des années 1990.
« Ah, je me souviens quand nous transportions dans une brouette de l’argent destiné à M. Stadler ! Nous avions conclu un accord avantageux, qui consistait à importer des produits d’Ukraine et à les emmener en Allemagne. Nous n’avions pas les infrastructures nécessaires, donc M. Stadler nous a offert son aide et ses camions. En échange, nous devions contribuer au financement de son stade. C’était un type honnête. Et il a toujours été correct avec nous en affaires. » " La suite sur footballski.fr
L'aéroport de Budapest met du Premium dans ses services
"Budapest Airport améliore ses services au sol. Les voyageurs d'affaires peuvent désormais attendre leur vol dans un confortable salon ou encore profiter d'un service de transfert VIP.
aéroport de Budapest se met aux services VIP. Depuis début février, les voyageurs d'affaires peuvent attendre leur vol dans le confort d'un lounge situé dans le Terminal 2A. L'espace offre une connexion internet, un service d'impression et une offre de restauration. Par ailleurs, ils bénéficient alors aussi d'une assistance pendant le check-in, une escorte pendant les contrôles et un transfert vers l'avion." La suite sur deplacementspros.com
aéroport de Budapest se met aux services VIP. Depuis début février, les voyageurs d'affaires peuvent attendre leur vol dans le confort d'un lounge situé dans le Terminal 2A. L'espace offre une connexion internet, un service d'impression et une offre de restauration. Par ailleurs, ils bénéficient alors aussi d'une assistance pendant le check-in, une escorte pendant les contrôles et un transfert vers l'avion." La suite sur deplacementspros.com
La Hongrie réclame la démission du Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme
"Le ministre hongrois des Affaires étrangères a demandé aujourd'hui la
démission du Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, pour
avoir accusé le premier ministre hongrois Viktor Orban de xénophobie et
racisme. "Il est très inapproprié que des responsables de l'ONU accusent
des Etats membres et des leaders élus démocratiquement. Il est évident
que Zeid Ra'ad Al Hussein doit démissionner", a déclaré Peter Szijjarto
dans un discours enflammé devant le Conseil des droits de l'homme à
Genève.
Un peu plus tôt, lors de son discours d'ouverture de la 37e session du Conseil, le Haut-Commissaire avait déclaré que "l'oppression est à la mode, l'état sécuritaire est de retour et les libertés fondamentales sont aux abois", soulignant qu'en Europe les "xénophobes et les racistes étaient dépourvus de tout sentiment de gêne, comme Viktor Orban". Selon M. Zeid, le chef du gouvernement hongrois aurait déclaré début février : "Nous ne voulons pas que notre couleur (...) soit mélangée aux autres"." La suite sur lefigaro.fr
Un peu plus tôt, lors de son discours d'ouverture de la 37e session du Conseil, le Haut-Commissaire avait déclaré que "l'oppression est à la mode, l'état sécuritaire est de retour et les libertés fondamentales sont aux abois", soulignant qu'en Europe les "xénophobes et les racistes étaient dépourvus de tout sentiment de gêne, comme Viktor Orban". Selon M. Zeid, le chef du gouvernement hongrois aurait déclaré début février : "Nous ne voulons pas que notre couleur (...) soit mélangée aux autres"." La suite sur lefigaro.fr
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lundi 26 février 2018
Les partisans du Fidesz veulent montrer les muscles le 15 mars prochain
"Le polémiste Zsolt Bayer vient d'annoncer la tenue d'une grande "marche de la paix" (békemenet)
le 15 mars prochain dans les rues de Budapest. L'enjeu : mobiliser les
partisans du Fidesz de Viktor Orbán et impressionner l'opposition.
"L'espoir est revenu de leur côté et ils pensent qu'ils sont devenus forts et que notre rêve s'est déteint. Montrons leur que nous sommes encore là !" C'est par ces mots que l'éditorialiste Zsolt Bayer, connu pour ses sorties antisémites autant que pour sa dévotion pro-Viktor Orbán, a annoncé la tenue d'une grande "marche de la paix" (békemenet) le 15 mars, à l'occasion de la fête nationale.
Après la très symbolique déroute du Fidesz à Hódmezővásárhely hier lors d'une élection municipale partielle, les partisans du Premier ministre entendent ainsi montrer les muscles dans les rues de Budapest à trois semaines des élections législatives du 8 avril." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
"L'espoir est revenu de leur côté et ils pensent qu'ils sont devenus forts et que notre rêve s'est déteint. Montrons leur que nous sommes encore là !" C'est par ces mots que l'éditorialiste Zsolt Bayer, connu pour ses sorties antisémites autant que pour sa dévotion pro-Viktor Orbán, a annoncé la tenue d'une grande "marche de la paix" (békemenet) le 15 mars, à l'occasion de la fête nationale.
Après la très symbolique déroute du Fidesz à Hódmezővásárhely hier lors d'une élection municipale partielle, les partisans du Premier ministre entendent ainsi montrer les muscles dans les rues de Budapest à trois semaines des élections législatives du 8 avril." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Conférence - Ethnogenèse des conquérants hongrois : une histoire génétique de l'Asie à l'Europe 28 mars 2018 à 19h30 Institut hongrois
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Réservation obligatoire : reservation@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Des théories scientifiques diverses
tentent d’expliquer l'origine des premiers Hongrois. Les sources
historiques et archéologiques témoignent de la mixité qui caractérise la
composition ethnique des conquérants hongrois arrivés dans le bassin
des Carpates en 895 : tout au long de leur chemin qui les a conduit vers
l’ouest à partir de la région de l'Oural, ils se sont mélés à
différents groupes ethniques.
À partir de ce constat, nous avons étudié les populations présentes entre le 7è au 11è siècle dans le bassin des Carpates et la région de l’Oural, dans les territoires qui présentent des liens archéologiques entre eux ou avec les premiers Hongrois identifiés dans les steppes.
À partir de ce constat, nous avons étudié les populations présentes entre le 7è au 11è siècle dans le bassin des Carpates et la région de l’Oural, dans les territoires qui présentent des liens archéologiques entre eux ou avec les premiers Hongrois identifiés dans les steppes.
Intervenant : Veronika Csáky
(Laboratoire d‘archéogénétique, Institut d'archéologie, Centre de
recherche pour les sciences humaines, Académie hongroise des sciences,
Budapest).
Conférence en anglais avec la projection de diapositives en français
Conférence en anglais avec la projection de diapositives en français
Entrée libre
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Ethnologie,
Génétique,
Institut hongrois
La Hongrie dit non aux « consultations citoyennes » de Macron
"Seule la Hongrie refuse de prendre part aux « consultations citoyennes »
sur l'Europe voulues par le président français Emmanuel Macron. Et pour
cause, le gouvernement hongrois organise de son côté sa propre
consultation. Avec le ralliement in extremis des Pays-Bas, la Hongrie
est le seul des 27 Etats membres de l'Union européenne (la
Grande-Bretagne étant sur le départ) qui n'a pas accepté..." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Hongrie: élection partielle rude pour Orban
"Le parti du Premier ministre hongrois Viktor Orban, le Fidesz, a essuyé
dimanche une défaite cuisante lors d'une élection municipale partielle, à quelques semaines des élections législatives du 8 avril où M. Orban tentera d'obtenir un troisième mandat consécutif." La suite sur lefigaro.fr
dimanche 25 février 2018
Hongrie : le Fidesz sèchement battu dans un de ses bastions lors d’une municipale partielle
"La ville de János Lázár, numéro deux du gouvernement Orbán, est
tombée ce dimanche aux mains de Péter Márki-Zay. Ce candidat soutenu par
tous les partis d'opposition, de la gauche à l'extrême-droite, a
rassemblé près de 60% des suffrages lors d'une élection municipale
partielle.
L'opposition vient de s'imposer avec près de 60% à Hódmezővásárhely, citadelle du Fidesz lors d'une élection municipale partielle. Péter Márki-Zay, le candidat soutenu par une large coalition allant des socialistes à l'extrême-droite en passant par les écologistes, a sèchement battu ce soir Zoltán Hegedűs, candidat soutenu par les partis gouvernementaux Fidesz et KDNP.
Hódmezővásárhely est réputée être un bastion de la droite. Depuis 1990, les maires chrétiens-démocrates (KDNP) et Fidesz se succèdent sans discontinuer. Lors des municipales de 2014, le précédent maire István Almási - mort en novembre dernier -, avait réuni 61% des suffrages sur sa liste. Surtout, Hódmezővásárhely est la ville de János Lázár, maire . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
L'opposition vient de s'imposer avec près de 60% à Hódmezővásárhely, citadelle du Fidesz lors d'une élection municipale partielle. Péter Márki-Zay, le candidat soutenu par une large coalition allant des socialistes à l'extrême-droite en passant par les écologistes, a sèchement battu ce soir Zoltán Hegedűs, candidat soutenu par les partis gouvernementaux Fidesz et KDNP.
Hódmezővásárhely est réputée être un bastion de la droite. Depuis 1990, les maires chrétiens-démocrates (KDNP) et Fidesz se succèdent sans discontinuer. Lors des municipales de 2014, le précédent maire István Almási - mort en novembre dernier -, avait réuni 61% des suffrages sur sa liste. Surtout, Hódmezővásárhely est la ville de János Lázár, maire . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Les consultation citoyennes, seule concession de l’UE à Macron
"Tous les pays de l’Union, à l’exception de
la Hongrie, vont organiser des débats publics sur l’avenir de l’Europe,
dans les mois qui viennent.
A ce jour, c’est une des seules idées
d’Emmanuel Macron pour réformer l’Europe à avoir rencontré un écho
franchement favorable à Bruxelles. Vendredi 23 février, à l’issue d’un
conseil des dirigeants de l’Union, le président français a confirmé que
26 pays avaient accepté d’organiser des « consultations citoyennes »
dans leurs territoires respectifs, entre avril et décembre prochain.
Le Royaume-Uni n’ayant pas été convié à la réunion bruxelloise (pour cause de Brexit), seule la Hongrie manque désormais à l’appel, « ce qui doit être une surprise pour vous » a ironisé le président français à l’issue du conseil, faisant allusion aux positions anti-Bruxelles du premier ministre, Viktor Orban. Les Pays-Bas, sceptiques sur la démarche, se sont laissé convaincre à la toute dernière minute. « Une décision doit encore être prise mais de telles consultations, si elles ont lieu, devront se dérouler selon nos critères », soulignait encore une source diplomatique vendredi matin." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Le Royaume-Uni n’ayant pas été convié à la réunion bruxelloise (pour cause de Brexit), seule la Hongrie manque désormais à l’appel, « ce qui doit être une surprise pour vous » a ironisé le président français à l’issue du conseil, faisant allusion aux positions anti-Bruxelles du premier ministre, Viktor Orban. Les Pays-Bas, sceptiques sur la démarche, se sont laissé convaincre à la toute dernière minute. « Une décision doit encore être prise mais de telles consultations, si elles ont lieu, devront se dérouler selon nos critères », soulignait encore une source diplomatique vendredi matin." La suite sur lemonde.fr (article payant)
Macron veut priver Pologne et Hongrie d'aides européennes, car elles «ne respectent pas les valeurs»
"Alors que Bruxelles cherche à
faire des économies pour pallier le départ du Royaume-Uni, le président
français a proposé de conditionner le versement des fonds européens au
respect des «valeurs» de l'UE, pointant du doigt la Hongrie et la
Pologne.
Le
Brexit devrait laisser un trou d'environ 10 à 13 milliards d'euros par
an dans le budget de l'Union européenne : de quoi raviver les tensions
entre les États membres et notamment entre les pays occidentaux et les
pays de l'Est. A l'occasion d'un premier sommet européen consacré à la
question budgétaire post-Brexit qui se tenait le 23 février à Bruxelles,
le président français Emmanuel Macron a brandi la menace d'une
éventuelle diminution des versements de l'UE aux pays ne respectant pas
la ligne politique fixée par les 28 États, qui ne seront bientôt plus
que 27." La suite sur rt.com
Libellés :
Fonds européens,
Justice,
Migrants,
Réfugiés,
Union européenne
samedi 24 février 2018
En Europe, le salaire minimum oscille de 261 euros à 1999 euros
"INFOGRAPHIE
- L'office de statistique de l'Union européenne a publié ce jeudi une
étude sur les salaires minimums des pays européens. Si le SMIC français
est l'un des plus élevés avec celui du Luxembourg ou de l'Irlande,
d'autres pays versent des salaires beaucoup plus faibles, révélant ainsi
de fortes disparités entre l'est et l'ouest de l'Europe.
Le salaire minimal fait le grand écart en Europe.
Eurostat, l'office de statistique de l'Union européenne, a publié ce
jeudi son rapport sur les salaires minimums des pays membres au 1er
janvier 2018, faisant apparaître de très fortes variations sur
l'ensemble du continent. C'est entre le Luxembourg et la Bulgarie que la
différence est la plus grande: dans le Grand-duché, le salaire minimum
s'élève à 1.999€ tandis que dans le pays des Balkans, il est huit fois
inférieur, avec un montant de 261€. Même une fois les différences de
prix prises en compte, l'écart reste considérable avec 546 € en Bulgarie
contre 1597 € au Luxembourg, en parité du pouvoir d'achat (PPA).Entre les deux, le reste des États membres de l'Union européenne peuvent être répartis en trois groupes, d'après Eurostat. En plus de la Bulgarie, huit autres pays ont un salaire minimal mensuel inférieur à 500€: la Lituanie (400€), la Roumanie (408€), la Lettonie (430€), la Hongrie (445€), la Croatie (462€), la République tchèque (478€), la Slovaquie (480€) et l'Estonie (500€). Deux autres pays, non-membres de l'UE, viennent compléter ce tableau: la Serbie (285€) et l'Albanie (181€)." La suite sur lefigaro.fr
L'architecte français Yona Friedman récompensé à Vienne
"L'urbaniste
d'origine hongroise s'est vu décerner le Prix d'architecture et d'art
autrichien Friedrich-Kiesler pour son travail «visionnaire» et son
influence sur la profession.
L'architecte et urbaniste français Yona Friedman s'est vu
décerner le Prix d'architecture et d'art autrichien Friedrich-Kiesler
pour son travail «visionnaire» et son influence sur la profession, a
annoncé le gouvernement autrichien, vendredi." La suite sur lefigaro.fr
Le vice-ministre de la Défense coréen va se rendre aux EAU et en Hongrie
"SEOUL, 23 fév. (Yonhap) -- Le vice-ministre de la Défense Suh
Choo-suk effectuera des visites, à partir de demain, aux Emirats arabes
unis (EAU) et en Hongrie dans le cadre des efforts pour promouvoir les
relations militaires et dans l’armement avec ces pays du Moyen-Orient et
de l’Europe, a annoncé ce vendredi son ministère.
Suh prévoit d’assister à la troisième édition de la Unmanned Systems Exhibitions & Conference (UMEX) qui débutera ce samedi à Abou Dhabi pour quatre jours.
La plus grande exposition dans la région sur les systèmes sans pilote et de simulation verra aussi la participation de six entreprises sud-coréennes de la défense. Elle sera l’occasion pour ces dernières de rencontrer des délégations de haut niveau d’autres pays." La suite sur yonhapnews.co.kr
Suh prévoit d’assister à la troisième édition de la Unmanned Systems Exhibitions & Conference (UMEX) qui débutera ce samedi à Abou Dhabi pour quatre jours.
La plus grande exposition dans la région sur les systèmes sans pilote et de simulation verra aussi la participation de six entreprises sud-coréennes de la défense. Elle sera l’occasion pour ces dernières de rencontrer des délégations de haut niveau d’autres pays." La suite sur yonhapnews.co.kr
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A Budapest, les lycéens se mobilisent pour une «école du XXIe siècle»
"Le Parlement autonome étudiant est parvenu à rassembler aujourd'hui
plus d'un millier de lycéens dans les rues de Budapest. L'objectif :
attirer les projecteurs sur le thème de l'enseignement scolaire à
quelques semaines de l'élection législative le 8 avril prochain.
Plus d'un millier de lycéens se sont rassemblés en fin d'après-midi dans les rues de Budapest pour manifester en faveur de réformes dans l'enseignement scolaire. Clairsemée aux abords de Deák Ferenc tér, la foule s'est peu à peu densifiée le temps du défilé, jusqu'à son arrivée sur l'esplanade du Parlement hongrois à Kossuth Lajos tér. Dans le cortège : des drapeaux européens mêlés aux pancartes anti-Orbán, une sono saturée et quelques banderoles d'organisations venues en soutien, parmi lesquelles le syndicat des enseignants (PSz) et le réseau pour l'enseignement libre (HTSz).
"Nous avons trop d'enseignements, dont beaucoup ne sont pas adaptés à notre époque", nous confie Áron, actuellement en terminale dans un lycée de Budapest. "C'est la politique éducative du gouvernement qui est en cause car . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Plus d'un millier de lycéens se sont rassemblés en fin d'après-midi dans les rues de Budapest pour manifester en faveur de réformes dans l'enseignement scolaire. Clairsemée aux abords de Deák Ferenc tér, la foule s'est peu à peu densifiée le temps du défilé, jusqu'à son arrivée sur l'esplanade du Parlement hongrois à Kossuth Lajos tér. Dans le cortège : des drapeaux européens mêlés aux pancartes anti-Orbán, une sono saturée et quelques banderoles d'organisations venues en soutien, parmi lesquelles le syndicat des enseignants (PSz) et le réseau pour l'enseignement libre (HTSz).
"Nous avons trop d'enseignements, dont beaucoup ne sont pas adaptés à notre époque", nous confie Áron, actuellement en terminale dans un lycée de Budapest. "C'est la politique éducative du gouvernement qui est en cause car . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Migrants: la Hongrie réclame 500 millions d'euros à l'UE
"La Hongrie souhaite que l'Union européenne lui rembourse au moins 500
millions d'euros sur les quelque un milliard que le pays consacre à la
protection de sa frontière sud, a déclaré aujourd'hui le premier
ministre hongrois Viktor Orban. "Nous avons dépensé plus d'un milliard
d'euros pour la protection frontalière. Nous ne nous protégeons pas
seulement nous-mêmes mais également l'Europe. Au moins la moitié de
cette somme devrait être remboursée", a expliqué Viktor Orban dans une
vidéo publiée sur sa page Facebook avant le sommet de Bruxelles." La suite sur lefigaro.fr
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vendredi 23 février 2018
Budapest à la tête d'une alliance contre les quotas de migrants
"Viktor
Orban, premier ministre hongrois, avec le soutien de certains
gouvernements d'Europe de l'Est s'oppose au mécanisme préventif et
permanent de répartition des réfugiés que Bruxelles a prévenu
d'instaurer à la fin du mois de juin.
Au plus fort de l'exil syrien en 2015, Hongrois,
Tchèques, Slovaques et Polonais ont massivement rejeté les «quotas»
temporaires votés sans eux par une majorité de capitales, sous la
houlette de Berlin. Cette polémique empoisonnée va s'enflammer à nouveau
d'ici à l'été: fin juin est la date-butoir que l'UE s'est fixée pour
installer un mécanisme préventif et permanent de répartition des
réfugiés, avec l'espoir de prévenir la sordide défausse d'il y a trente
mois." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
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Peter Bence, le pianiste qui a conquis YouTube
"A 26 ans, le jeune Hongrois cumule plus de 300 millions de vues sur la
plateforme de vidéos en ligne. Sa recette? Reprendre des tubes
populaires au piano...et de manière peu conventionnelle. Dimanche, il
sera en concert au Théâtre du Léman, à Genève.
Tout le monde se souvient, sans doute un peu trop bien, de l’irrésistible «Despacito». Au printemps 2017, le tube pop-reggaeton des Portoricains Luis Fonsi et Daddy Yankee noyait littéralement les ondes sous ses beats sensuels et balancés. Un triomphe planétaire encore plus flagrant en ligne, où le clip décroche rapidement le titre de vidéo la plus populaire de YouTube, avec plus de 4 milliards de clics. Du jamais-vu.
Mais «Despacito», c’est aussi le morceau de tous les records pour Peter Bence. En juillet, ce jeune Hongrois de 26 ans postait sur la plateforme une version piano du hit latino. Pendant trois minutes, on le voit s’agiter au clavier, en jean slim et canotier, ses doigts virevoltant avec fougue. La «cover» de Peter Bence, comme on dit dans le jargon du Web, dépasse aujourd’hui les 16 millions de vues et sa version Facebook approche des 70 millions. Certes, on est loin du raz-de-marée original, mais à l’échelle d’un simple piano droit, c’est une sacrée prouesse." La suite sur letemps.ch
Tout le monde se souvient, sans doute un peu trop bien, de l’irrésistible «Despacito». Au printemps 2017, le tube pop-reggaeton des Portoricains Luis Fonsi et Daddy Yankee noyait littéralement les ondes sous ses beats sensuels et balancés. Un triomphe planétaire encore plus flagrant en ligne, où le clip décroche rapidement le titre de vidéo la plus populaire de YouTube, avec plus de 4 milliards de clics. Du jamais-vu.
Mais «Despacito», c’est aussi le morceau de tous les records pour Peter Bence. En juillet, ce jeune Hongrois de 26 ans postait sur la plateforme une version piano du hit latino. Pendant trois minutes, on le voit s’agiter au clavier, en jean slim et canotier, ses doigts virevoltant avec fougue. La «cover» de Peter Bence, comme on dit dans le jargon du Web, dépasse aujourd’hui les 16 millions de vues et sa version Facebook approche des 70 millions. Certes, on est loin du raz-de-marée original, mais à l’échelle d’un simple piano droit, c’est une sacrée prouesse." La suite sur letemps.ch
Le Parlement hongrois au secours de la Pologne
"Le Parlement hongrois a adopté ce mercredi une résolution visant à soutenir la Pologne dans son conflit face à la Commission Européenne. Cette dernière, en réponse aux lois controversées sur l’indépendance de la justice polonaise, avait décidé le 20 décembre dernier de déclencher l’article 7 du Traité de l’Union Européenne. Cet article permet de constater l’existence d’une violation grave de l’État de droit dans un pays membre de l’UE et peut aboutir à une suspension du droit de vote de la Pologne au Conseil de l’Union." La suite sur lepetitjournal.com
L'Autriche dépose plainte contre le projet nucléaire hungaro-russe de Paks
"Vienne - L'Autriche a annoncé jeudi avoir déposé comme prévu une plainte
contre le feu vert donné par Bruxelles à la construction par la Hongrie
de deux nouveaux réacteurs nucléaires en grande partie financés par la
Russie.
La démarche a été effectuée dans la journée auprès de la Cour de justice de l'Union européenne, a précisé le ministère autrichien de l'Environnement, qui avait annoncé qu'il mènerait à bien cette procédure lancée par la précédente majorité.
La plainte porte sur la construction de deux nouvelles tranches de 1.200 mégawatts (MW) chacune à la centrale de Paks, près de Budapest, un projet de 12,5 milliards d'euros décidé en janvier 2014 par la Hongrie et la Russie, qui le financera à hauteur de 10 milliards d'euros via un prêt à la Hongrie." La suite sur romandie.com
La démarche a été effectuée dans la journée auprès de la Cour de justice de l'Union européenne, a précisé le ministère autrichien de l'Environnement, qui avait annoncé qu'il mènerait à bien cette procédure lancée par la précédente majorité.
La plainte porte sur la construction de deux nouvelles tranches de 1.200 mégawatts (MW) chacune à la centrale de Paks, près de Budapest, un projet de 12,5 milliards d'euros décidé en janvier 2014 par la Hongrie et la Russie, qui le financera à hauteur de 10 milliards d'euros via un prêt à la Hongrie." La suite sur romandie.com
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«Pourquoi les peuples d'Europe centrale refusent nos leçons de morale»
"TRIBUNE - Polonais, Hongrois et Tchèques sont, tout comme nous, attachés
aux valeurs de l'Europe, mais de quelles valeurs parle-t-on ?,
argumente la professeur de philosophie politique Chantal Delsol.
Le déploiement presque généralisé des démocraties illibérales au centre de l'Europe a de quoi inquiéter. La plupart de ces pays sont concernés (Pologne, Hongrie, République tchèque, Slovaquie), mais dans ces pays mêmes, les partis extrêmes foisonnent au-delà de ceux au pouvoir. En Slovaquie existent plusieurs partis nationalistes dont certains très radicaux. En Hongrie, le parti Jobbik fait passer Orban pour un modéré. Le phénomène est large et profond.
Les dissensions entre l'Europe de l'Ouest et l'Europe centrale s'en accroissent d'autant. L'incompréhension vient de loin, et nous n'y avons pas pris garde." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
Le déploiement presque généralisé des démocraties illibérales au centre de l'Europe a de quoi inquiéter. La plupart de ces pays sont concernés (Pologne, Hongrie, République tchèque, Slovaquie), mais dans ces pays mêmes, les partis extrêmes foisonnent au-delà de ceux au pouvoir. En Slovaquie existent plusieurs partis nationalistes dont certains très radicaux. En Hongrie, le parti Jobbik fait passer Orban pour un modéré. Le phénomène est large et profond.
Les dissensions entre l'Europe de l'Ouest et l'Europe centrale s'en accroissent d'autant. L'incompréhension vient de loin, et nous n'y avons pas pris garde." La suite sur lefigaro.fr (article payant)
PyeongChang 2018 - La Hongrie ouvre son palmarès olympique en patinage de vitesse courte piste !
"Liu Shaoang, Sándor, Liu Shaolin, Viktor Knoch et Csaba Burjan remportent la première médaille, et le premier titre de la Hongrie aux Jeux d'hiver, record olympique à la clé, en finale du relais 5000 m sur piste courte. Jeudi, dans l'arène de glace de Gangneung, la Hongrie a devancé la Chine et le Canada.
Depuis les premiers Jeux d'hiver à Chamonix en 1924, la Hongrie n'avait jamais gagné de médaille d'or. Elle comptait jusqu'à présent deux médailles d"argent et quatre de bronze, toutes gagnées en patinage artistique. Sándor Liu Shaolin et son petit frère Shaoang Liu, nés d'un père chinois et d'un mère hongroise, en équipe avec Viktor Knoch et Csaba Burjan ont ainsi écrit l'histoire ce 22 février à Gangneung." La suite sur olympic.org
Depuis les premiers Jeux d'hiver à Chamonix en 1924, la Hongrie n'avait jamais gagné de médaille d'or. Elle comptait jusqu'à présent deux médailles d"argent et quatre de bronze, toutes gagnées en patinage artistique. Sándor Liu Shaolin et son petit frère Shaoang Liu, nés d'un père chinois et d'un mère hongroise, en équipe avec Viktor Knoch et Csaba Burjan ont ainsi écrit l'histoire ce 22 février à Gangneung." La suite sur olympic.org
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jeudi 22 février 2018
Hongrie : Viktor Orban, le franc-tireur populiste qui défie l'Europe entière
"ENQUÊTE - Le premier ministre hongrois est l'homme politique le plus
clivant de l'après-communisme européen et l'ultra favori à l'approche des
législatives du 8 avril.
Chaque matin, la pile de journaux est posée sur le cuir fauve du minibus noir qui va conduire Viktor Orban au Parlement. En filant vers le Danube, le premier ministre se jette d'abord sur son journal de prédilection: Nemzeti Sport, cousin de L'Équipe et bible magyare du ballon rond. Le choix n'est pas surprenant. À 20 ans, l'étudiant en droit caressa une carrière de professionnel dans le club de Székesfehérvár. Le Videoton FC, c'était la terreur du Paris Saint-Germain, de Manchester United et du Real Madrid. De l'époque, il reste les traits que peignent ses adversaires politiques comme ses coéquipiers d'hier: une tête forte et bien faite, une carrure robuste et le nerf d'un attaquant increvable, celui qui tire au but du côté où on ne l'attend pas. Les Orban portent un prénom de vainqueur de père en fils…" La suite sur lefigaro.fr (article payant)
Chaque matin, la pile de journaux est posée sur le cuir fauve du minibus noir qui va conduire Viktor Orban au Parlement. En filant vers le Danube, le premier ministre se jette d'abord sur son journal de prédilection: Nemzeti Sport, cousin de L'Équipe et bible magyare du ballon rond. Le choix n'est pas surprenant. À 20 ans, l'étudiant en droit caressa une carrière de professionnel dans le club de Székesfehérvár. Le Videoton FC, c'était la terreur du Paris Saint-Germain, de Manchester United et du Real Madrid. De l'époque, il reste les traits que peignent ses adversaires politiques comme ses coéquipiers d'hier: une tête forte et bien faite, une carrure robuste et le nerf d'un attaquant increvable, celui qui tire au but du côté où on ne l'attend pas. Les Orban portent un prénom de vainqueur de père en fils…" La suite sur lefigaro.fr (article payant)
La Hongrie s’enfonce dans la corruption selon Transparency International
"Le rapport annuel de l'ONG Transparency International sur la perception
de la corruption épingle la Hongrie, deuxième pays le plus corrompu de
l'Union européenne derrière la Bulgarie. "La Hongrie est presque le pays
le plus corrompu de l'Union européenne", titre ce jeudi en UNE le
pure-player Index.hu, qui commente abondamment le rapport Corruption
Perceptions Index 2017 . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
La Hongrie gagne le relais du patinage de vitesse
"Jeudi 22 février
La Hongrie, médaille d'or surprise en relais
L'équipe hongroise de patinage de vitesse a créé la sensation, en remportant le 5000m relais, devant la Chine et le Canada." La suite sur lessentiel.lu
La Hongrie, médaille d'or surprise en relais
L'équipe hongroise de patinage de vitesse a créé la sensation, en remportant le 5000m relais, devant la Chine et le Canada." La suite sur lessentiel.lu
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Retour sur quatre années de propagande xénophobe en Hongrie
"L’attentat contre Charlie Hebdo en janvier 2015 a marqué un tournant
dans la vie politique hongroise, avec l’introduction de
thématiques identitaires assez inédites dans le débat public du pays. La
crise des réfugiés de l'été qui a suivi n'a fait que confirmer
l'obsession du Fidesz au pouvoir pour les thèmes de l'immigration
extra-européenne, l’Islam et le terrorisme. Viktor Orbán fait désormais
campagne pour sa réélection en présentant ses adversaires comme les
suppôts d’un complot visant à l’islamisation de la Hongrie et de
l’Europe. Comment en est-on arrivés là ? Retour sur les moments clés
d'un mandat structuré par la propagande . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Le règne de Viktor Orban fait -aussi- rire les Hongrois
""Hongrois, le monde est un endroit très dangereux, une no-go zone!":
le message lancé au mégaphone résonne dans les rues de Budapest, la voix
est alarmiste et suscite la perplexité des passants qui se demandent
s'il faut s'en amuser ou s'inquiéter.
Devant les regards incrédules, le comédien Tibor Bodocs, vêtu d'une tenue folklorique nationale, garde son sérieux et continue de vitupérer dans le mégaphone fixé sur le toit de sa voiture.
La séquence de quelques minutes a été vue des centaines de milliers de fois sur internet, comme la plupart des vidéos du chef de file de la nouvelle vague d'humoristes hongrois qui brocardent la vie politique incarnée par le monolithique Viktor Orban, Premier ministre depuis 2010." La suite sur tv5monde.com
Devant les regards incrédules, le comédien Tibor Bodocs, vêtu d'une tenue folklorique nationale, garde son sérieux et continue de vitupérer dans le mégaphone fixé sur le toit de sa voiture.
La séquence de quelques minutes a été vue des centaines de milliers de fois sur internet, comme la plupart des vidéos du chef de file de la nouvelle vague d'humoristes hongrois qui brocardent la vie politique incarnée par le monolithique Viktor Orban, Premier ministre depuis 2010." La suite sur tv5monde.com
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Le Stabat Mater de Dvořák en concert à Budapest: un chef d’oeuvre empreint d’émotion.
Par Pierre Waline
"Initialement composé pour solistes, choeur et piano, le Stabat Mater de Dvořák fut créé à Prague - dans sa version orchestrale - en 1880. Sa composition est étroitement liée à un drame familial: la perte coup sur coup de trois de ses enfants. Il s’agit là de sa première oeuvre sacrée, qui contribua à le faire connaître sur la scène internationale. Dvořák avait alors 39 ans. On peut effectivement parler d’un coup de maître, sans nul doute l’un des sommets du genre. A notre sens supérieur au Requiem qu’il allait composer treize ans plus tard... Une oeuvre empreinte d’une grande émotion, et l’on comprendra qu’il y a de quoi. „Confiée plus aux voix qu'à l'orchestre, mais jaillissante et spontanée même dans l'affliction, une oeuvre atteignant ainsi une grandeur universelle.”
Pour cette production donnée dans le merveilleux cadre de l’Académie de Musique (qui, par son intimité, sied idéalement à l’oeuvre), des solistes, un choeur et un orchestre hongrois (à l’exception du ténor tchèque, remplaçant de dernière minute), le tout placé sous la baguette de l’Italien Carlo Montanaro." La suite sur francianyelv.hu
"Initialement composé pour solistes, choeur et piano, le Stabat Mater de Dvořák fut créé à Prague - dans sa version orchestrale - en 1880. Sa composition est étroitement liée à un drame familial: la perte coup sur coup de trois de ses enfants. Il s’agit là de sa première oeuvre sacrée, qui contribua à le faire connaître sur la scène internationale. Dvořák avait alors 39 ans. On peut effectivement parler d’un coup de maître, sans nul doute l’un des sommets du genre. A notre sens supérieur au Requiem qu’il allait composer treize ans plus tard... Une oeuvre empreinte d’une grande émotion, et l’on comprendra qu’il y a de quoi. „Confiée plus aux voix qu'à l'orchestre, mais jaillissante et spontanée même dans l'affliction, une oeuvre atteignant ainsi une grandeur universelle.”
Pour cette production donnée dans le merveilleux cadre de l’Académie de Musique (qui, par son intimité, sied idéalement à l’oeuvre), des solistes, un choeur et un orchestre hongrois (à l’exception du ténor tchèque, remplaçant de dernière minute), le tout placé sous la baguette de l’Italien Carlo Montanaro." La suite sur francianyelv.hu
mercredi 21 février 2018
Discours de M. Viktor Orbán, premier ministre de Hongrie, sur l’état de la Nation - Budapest, le 18 février 2018
Traduction française du discours de M. Viktor Orbán, premier ministre de Hongrie, sur l’état de la Nation (Budapest, le 18 février 2018):
"Monsieur le Premier Ministre Péter Boross [1993-1994, NdT], Monsieur le Maire de Budapest István Tarlós, Monsieur le Président de l’Assemblée nationale László Kövér, Mesdames et Messieurs,
Permettez-moi de vous saluer très chaleureusement. Je me réjouis de me retrouver avec vous. C’est toujours avec excitation que je me prépare à cet exercice. Ce n’est pas le contenu qui a été le vrai problème de mon propos d’aujourd’hui – je n’ai plutôt que l’embarras du choix face aux idées et aux thèmes à aborder –, mais les unités de temps. Il faut savoir que c’est ma vingtième intervention de ce genre. Et aussi, que nous allons bientôt achever le second cycle consécutif de notre présence aux affaires, c’est-à-dire huit ans. Et ce qui tient tout le monde en haleine : encore 49 jours, et ce seront les élections. Et nous fêtons cette année le trentième anniversaire de la création du Fidesz. C’est tout cela qu’il me faudra mettre en harmonie dans les minutes qui viennent. Mais nous ne sommes pas venus ici pour exprimer notre compassion à l’orateur pour ses problèmes intellectuels, mais pour écouter ce qu’il a à dire." La suite sur la Page Facebook de l'Ambassade de Hongrie à Paris
Un centre d’entraînement de tennis prévu sur l’île Marguerite à Budapest
"Le Parlement hongrois a approuvé mardi un projet de loi sur la
construction d'un centre de tennis sur l'île Marguerite. Selon le projet
de loi adopté mardi par une procédure accélérée exceptionnelle, le
centre d'entraînement de tennis sera en mesure d'accueillir les tournois
de tennis de l'ATP World Tour et de la Coupe Davis . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
Le groupe de Visegrad rallie prudemment le projet de consultation citoyenne
"Trois des quatre États membres du groupe de Visegrad vont participer
au projet de consultations citoyennes d’Emmanuel Macron. Seule la
Hongrie réserve encore sa réponse.
Les consultations citoyennes rallient de plus en plus d’États membres. Le 15 février, la ministre française chargée des Affaires européennes, Nathalie Loiseau, a annoncé la participation de 23 pays européens au projet porté par Emmanuel Macron, contre seulement une dizaine début janvier.
Parmi les nouveaux arrivants figure la Pologne, qui aurait récemment confirmé sa participation aux autorités françaises. Avec la Slovaquie et la République tchèque, trois membres du groupe de Visegrad soutiennent donc le projet du président français. La Hongrie, dernier membre du groupe, réserve encore sa réponse." La suite sur euractiv.fr
Les consultations citoyennes rallient de plus en plus d’États membres. Le 15 février, la ministre française chargée des Affaires européennes, Nathalie Loiseau, a annoncé la participation de 23 pays européens au projet porté par Emmanuel Macron, contre seulement une dizaine début janvier.
Parmi les nouveaux arrivants figure la Pologne, qui aurait récemment confirmé sa participation aux autorités françaises. Avec la Slovaquie et la République tchèque, trois membres du groupe de Visegrad soutiennent donc le projet du président français. La Hongrie, dernier membre du groupe, réserve encore sa réponse." La suite sur euractiv.fr
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Violence et racisme: la face sombre de l'Europe de l'Est à la Berlinale
"Le festival du film de Berlin ausculte cette année la face sombre de
l'Europe de l'Est avec des films jetant une lumière crue sur les anciens
pays communistes et leurs mouvements extrémistes et racistes.
"Isolement, refus de partager, rejet des valeurs libérales" et du projet européen, "c'est une vision qui gagne les anciens pays de l'Est", affirme à l'AFP le réalisateur tchèque Jan Gebert, auteur de "When the war comes" ("Quand la guerre arrive"), documentaire glaçant sur un groupe paramilitaire slovaque, présenté à la Berlinale dans la section Panorama, qui regroupe les productions d'art et essai et les films indépendants." La suite sur lanouvellerepublique.fr
"Isolement, refus de partager, rejet des valeurs libérales" et du projet européen, "c'est une vision qui gagne les anciens pays de l'Est", affirme à l'AFP le réalisateur tchèque Jan Gebert, auteur de "When the war comes" ("Quand la guerre arrive"), documentaire glaçant sur un groupe paramilitaire slovaque, présenté à la Berlinale dans la section Panorama, qui regroupe les productions d'art et essai et les films indépendants." La suite sur lanouvellerepublique.fr
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Hongrie: le froid a déjà tué 149 personnes cet hiver
"A la mi-février, 149 personnes étaient déjà mortes de froid en Hongrie,
indique mardi le site 24.hu citant des chiffres du Forum social hongrois
(MSZF), un réseau d'organisations d'aide indépendantes.
Pour 47% des victimes, il s'agissait de personnes vivant dans la pauvreté et qui sont mortes gelées dans leur logement, apprend-on encore. Les autres sont décédées d'hypothermie à l'air libre." La suite sur rtbf.be
Pour 47% des victimes, il s'agissait de personnes vivant dans la pauvreté et qui sont mortes gelées dans leur logement, apprend-on encore. Les autres sont décédées d'hypothermie à l'air libre." La suite sur rtbf.be
mardi 20 février 2018
« Nous sommes solidaires de la société civile en Hongrie »
"Le 13 février 2018, le gouvernement hongrois
a présenté au Parlement un pack législatif comprenant trois projets de
loi, communément appelé « Stop Soros ». Ces nouveaux textes de loi
restreindraient encore davantage la possibilité pour la société civile
hongroise de faire son travail, en exigeant des organisations qui
« soutiennent l’immigration » qu’elles obtiennent un avis favorable des
services de sécurité et une autorisation gouvernementale pour mener à
bien leurs activités de base.
Aux termes de ces nouvelles lois, les organisations devraient par ailleurs s’acquitter d’une taxe de 25 % sur tout financement en provenance de l’étranger destiné à « soutenir l’immigration », sous peine de s’exposer à des mesures extrêmement sévères. Les amendes exorbitantes risqueraient de provoquer leur faillite, puis leur dissolution." La suite sur amnesty.be
Aux termes de ces nouvelles lois, les organisations devraient par ailleurs s’acquitter d’une taxe de 25 % sur tout financement en provenance de l’étranger destiné à « soutenir l’immigration », sous peine de s’exposer à des mesures extrêmement sévères. Les amendes exorbitantes risqueraient de provoquer leur faillite, puis leur dissolution." La suite sur amnesty.be
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ImplantCenter marque une nouvelle ère pour les services dentaires privés en Hongrie
"BUDAPEST, Hongrie, February 20, 2018 /PRNewswire/ --
ImplantCenter a récemment inauguré une toute nouvelle salle d'opération
adaptée aux traitements les plus complexes. Il s'agit de l'un des
nombreux développements qu'a connus la clinique, tels que l'inauguration
de quatre appartements confortables permettant aux patients de se
reposer après y avoir suivi un traitement et celle d'un centre
d'enseignement en implantologie qui élargit l'éventail des services
proposés. Ces développements font partie des améliorations constantes
qui ont été apportées au cours des 15 dernières années, en parallèle à
la fourniture d'un service de haute qualité." La suite sur lelezard.com
WILLY ET LES GARDIENS DU LAC (Saison Printemps- Été) - Bande annonce
Sortie salles 21mars 2018
Un film d'animation de Zsolt Palfi Le plus grand rêve de Willy est de devenir gardien du lac, mais il est encore trop jeune. Mais quand le lac est attaqué, Willy monte un plan afin de sauver sa maison et ses habitants.
Trois films à découvrir en avant-première au 2e Festival cinéma Télérama Enfants
Du 21 février au 6 mars 2018, en plus des meilleurs films de l’année, le festival cinéma Télérama Enfant présente trois œuvres en avant-première : “Willy et les gardiens du lac”, “Le Voyage de Lila” et “Croc-Blanc”. Présentation.
La suite sur telerama.fr
Un film d'animation de Zsolt Palfi Le plus grand rêve de Willy est de devenir gardien du lac, mais il est encore trop jeune. Mais quand le lac est attaqué, Willy monte un plan afin de sauver sa maison et ses habitants.
Trois films à découvrir en avant-première au 2e Festival cinéma Télérama Enfants
Du 21 février au 6 mars 2018, en plus des meilleurs films de l’année, le festival cinéma Télérama Enfant présente trois œuvres en avant-première : “Willy et les gardiens du lac”, “Le Voyage de Lila” et “Croc-Blanc”. Présentation.
La suite sur telerama.fr
JO 2018, halfpipe: avec la Hongroise Swaney, on tient la performance la plus nulle
"Elizabeth Swaney, une Américaine de naissance qui défendait les couleurs de la Hongrie aux JO 2018, a été éliminée des qualifications en ski halfpipe ce lundi à Pyeongchang. Une dernière place obtenue après un run surréaliste réalisé sans la moindre figure, avec une prise de risque minimum. A l'image de la façon dont elle a obtenu son ticket pour les Jeux...Elizabeth Swaney ne participera pas à la
finale olympique de ski halfpipe ce mardi à Pyeongchang. Cette athlète
d'origine américaine, qui défend les couleurs de la Hongrie aux JO 2018,
a terminé à la 24e et dernière place des qualifications. Logique au vu
de sa performance tout simplement surréaliste, presque digne d’une
débutante (à voir ici).
A l’exception d’un alley-oop en fin de run, la Hongroise a pris zéro
risque, ne tentant aucune figure, se contentant simplement de monter et
descendre le pipe à petite vitesse. Le tout réalisé sans talent, ni
classe." La suite sur bfmtv.com
La modernisation va bon train entre Roumanie et Hongrie
"La principale liaison ferroviaire entre la Roumanie et la Hongrie sera modernisée grâce au Fonds de cohésion qui investit rien de moins qu’1,3 milliard d’euros.
Plus spécifiquement, la somme sera investie dans la modernisation du corridor ferroviaire de la ville de Curtici, le long de la frontière entre la Roumanie et la Hongrie, à la ville Constanța, sur la mer Noire. Les travaux porteront essentiellement sur l’amélioration significative de la vitesse et de la sécurité sur le tronçon entre Curtici et Simeria, la mise à niveau de 13 gares sur la ligne, l’amélioration des systèmes de signalisation et d’information des passagers et la construction d’infrastructure adjacentes, tels que des ponts et des tunnels." La suite sur constructioncayola.com
Plus spécifiquement, la somme sera investie dans la modernisation du corridor ferroviaire de la ville de Curtici, le long de la frontière entre la Roumanie et la Hongrie, à la ville Constanța, sur la mer Noire. Les travaux porteront essentiellement sur l’amélioration significative de la vitesse et de la sécurité sur le tronçon entre Curtici et Simeria, la mise à niveau de 13 gares sur la ligne, l’amélioration des systèmes de signalisation et d’information des passagers et la construction d’infrastructure adjacentes, tels que des ponts et des tunnels." La suite sur constructioncayola.com
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Hongrie : «La chrétienté est le dernier espoir de l'Europe», Orban brocarde l'UE (VIDEO)
"Viktor Orban, le Premier
ministre hongrois en lice pour un troisième mandat consécutif, s'est
livré à son exercice favori : la déclaration musclée. A la tribune d'un
meeting il a averti : «La chrétienté est le dernier espoir de l'Europe.»
Le Premier ministre hongrois
livrait en public son traditionnel discours sur l'état de la nation, le
18 février à Budapest. L'occasion pour le tonitruant chef d'Etat de
tirer à boulets rouges sur l'Union européenne (UE) et en particulier sur
les responsables politiques de «Bruxelles, Berlin et Paris»." La suite sur rt.com
Libellés :
Migrants,
Racisme,
Réfugiés,
Religion,
Union européenne,
Xénophobie
lundi 19 février 2018
László Krasznahorkai, invité par la librairie Ombres Blanches à Toulouse le jeudi 5 avril à 18 h
Je suis heureuse de vous annoncer la venue à Toulouse de László Krasznahorkai, invité par la librairie Ombres Blanches, le jeudi 5 avril à 18 h, à l’occasion de son livre à paraître le 21 mars 2018 : « Seiobo est descendue sur terre », aux éditions Cambourakis, traduit du hongrois par Joëlle Dufeuilly (Titre original : Seiobo járt odalent)
C’est un véritable événement de recevoir ce grand écrivain hongrois contemporain, dont l’œuvre a reçu les plus hautes distinctions dans son pays et à l’étranger. Il a remporté en 2015 le Man Booker International Prize, le prestigieux prix britannique décerné tous les deux ans à un auteur étranger pour l’ensemble de son œuvre. « László Krasznahorkai est un écrivain visionnaire d’une extraordinaire intensité et dont la tessiture capte le moment présent dans des scènes terrifiantes, étranges, épouvantablement comiques et souvent d’une beauté bouleversante », a commenté la présidente du jury.
Sept de ses livres ont été traduits en français, « Le Tango de Satan », « La Mélancolie de la résistance», « Au nord par une montagne, au sud par un lac, à l’ouest par des chemins, à l’est par un cours d’eau », « Thésée universel », « La venue d’Isaïe », « Guerre et guerre », traduits par Joëlle Dufeuilly qui a reçu le grand prix SGDL de la traduction en 2014, et «Sous le coup de la grâce », traduit par Marc Martin.
Il a lui-même adapté pour le cinéma, avec le grand réalisateur Béla Tarr, Le Tango de Satan, Les Harmonies Werckmeister (à partir de La Mélancolie de la résistance), et on lui doit le scénario du Cheval de Turin, et auparavant de Damnation et de L’Homme de Londres.
« Ses longues phrases tortueuses m’enchantent, et même si son univers apparaît ténébreux, toujours nous faisons l’expérience de cette transcendance synonyme selon Nietzsche de consolation métaphysique », écrivait Imre Kertész lors de la publication de « Guerre et guerre ». « Un écrivain grandiose et tout à fait prodigieux. Un des plus grands auteurs européens vivant. » Sabine Audrerie, France Culture
Les 17 histoires qui constituent « Seiobo » (paru en 2008 en Hongrie), remarquablement traduites, ont chacune trait à une aventure artistique accompagnée d’une émotion esthétique bouleversante, et traversent en tous sens l’espace et le temps. Avec une écriture somptueuse, à la mesure des chefs d’œuvres dont il nous conte, avec une infinie précision, la genèse et la réalisation périlleuse, László Krasznahorkai nous propulse dans le Japon du XVe siècle auprès des acteurs de Nô, à la découverte du sanctuaire d’Ise, à Florence dans l’Italie du Quattrocento où nous croisons Raphaël et Botticelli, en Espagne avec une enquête minutieuse sur la construction de l’Alhambra, en Grèce à la conquête d'une inaccessible Acropole, auprès des charmes irrésistibles de la Vénus de Milo au Louvre, jusque dans les dessous terrifiants de la croûte terrestre en Chine et vers l’univers de paix de la déesse Seiobo descendue des cieux auprès d’un acteur de Nô. Il est impossible d’énumérer les épisodes et les œuvres au cœur desquelles il nous conduit en cherchant à transmettre leur beauté fascinante et parfois leurs pièges. Après la première histoire qui est un véritable tableau japonais, un plan fixe parcouru de lumière et de frémissements, László Krasznahorkai nous entraîne dans les vertiges de la création artistique, savante et toujours risquée. Il mêle le suspense aux descriptions minutieuses longuement détaillées, pousse le sublime et l'horreur jusqu'à la fascination, et donne une vie magique et angoissante à de mystérieuses œuvres d’art, qui transgressent les lois humaines en surgissant dans la réalité.
C’est une occasion exceptionnelle qui nous est offerte, grâce à l'invitation d'Ombres Blanches, de rencontrer cet écrivain majeur, trop peu connu en France.
J’aurai l’honneur et le plaisir d’animer cette rencontre avec László Krasznahorkai. Daniel Huber en sera l’interprète.
Jeudi 5 avril à 18h, Librairie Ombres Blanches, salle des débats, rue Mirepoix
Yvette Goldberger-Joselzon
László Krasznahorkai
par la création ou la contemplation d’œuvres d'art. Déployant une nouvelle fois sa prose au rythme si particulier, Krasznahorkai impressionne et touche dans cette œuvre où il interroge à la fois le rôle des artistes, des spectateurs et l'émotion que peuvent susciter les œuvres d'art sur tous les êtres humains, qu'il s'agisse d'un modeste paysan hongrois ou d'un conservateur français résolument urbain
C’est un véritable événement de recevoir ce grand écrivain hongrois contemporain, dont l’œuvre a reçu les plus hautes distinctions dans son pays et à l’étranger. Il a remporté en 2015 le Man Booker International Prize, le prestigieux prix britannique décerné tous les deux ans à un auteur étranger pour l’ensemble de son œuvre. « László Krasznahorkai est un écrivain visionnaire d’une extraordinaire intensité et dont la tessiture capte le moment présent dans des scènes terrifiantes, étranges, épouvantablement comiques et souvent d’une beauté bouleversante », a commenté la présidente du jury.
Sept de ses livres ont été traduits en français, « Le Tango de Satan », « La Mélancolie de la résistance», « Au nord par une montagne, au sud par un lac, à l’ouest par des chemins, à l’est par un cours d’eau », « Thésée universel », « La venue d’Isaïe », « Guerre et guerre », traduits par Joëlle Dufeuilly qui a reçu le grand prix SGDL de la traduction en 2014, et «Sous le coup de la grâce », traduit par Marc Martin.
Il a lui-même adapté pour le cinéma, avec le grand réalisateur Béla Tarr, Le Tango de Satan, Les Harmonies Werckmeister (à partir de La Mélancolie de la résistance), et on lui doit le scénario du Cheval de Turin, et auparavant de Damnation et de L’Homme de Londres.
« Ses longues phrases tortueuses m’enchantent, et même si son univers apparaît ténébreux, toujours nous faisons l’expérience de cette transcendance synonyme selon Nietzsche de consolation métaphysique », écrivait Imre Kertész lors de la publication de « Guerre et guerre ». « Un écrivain grandiose et tout à fait prodigieux. Un des plus grands auteurs européens vivant. » Sabine Audrerie, France Culture
Les 17 histoires qui constituent « Seiobo » (paru en 2008 en Hongrie), remarquablement traduites, ont chacune trait à une aventure artistique accompagnée d’une émotion esthétique bouleversante, et traversent en tous sens l’espace et le temps. Avec une écriture somptueuse, à la mesure des chefs d’œuvres dont il nous conte, avec une infinie précision, la genèse et la réalisation périlleuse, László Krasznahorkai nous propulse dans le Japon du XVe siècle auprès des acteurs de Nô, à la découverte du sanctuaire d’Ise, à Florence dans l’Italie du Quattrocento où nous croisons Raphaël et Botticelli, en Espagne avec une enquête minutieuse sur la construction de l’Alhambra, en Grèce à la conquête d'une inaccessible Acropole, auprès des charmes irrésistibles de la Vénus de Milo au Louvre, jusque dans les dessous terrifiants de la croûte terrestre en Chine et vers l’univers de paix de la déesse Seiobo descendue des cieux auprès d’un acteur de Nô. Il est impossible d’énumérer les épisodes et les œuvres au cœur desquelles il nous conduit en cherchant à transmettre leur beauté fascinante et parfois leurs pièges. Après la première histoire qui est un véritable tableau japonais, un plan fixe parcouru de lumière et de frémissements, László Krasznahorkai nous entraîne dans les vertiges de la création artistique, savante et toujours risquée. Il mêle le suspense aux descriptions minutieuses longuement détaillées, pousse le sublime et l'horreur jusqu'à la fascination, et donne une vie magique et angoissante à de mystérieuses œuvres d’art, qui transgressent les lois humaines en surgissant dans la réalité.
C’est une occasion exceptionnelle qui nous est offerte, grâce à l'invitation d'Ombres Blanches, de rencontrer cet écrivain majeur, trop peu connu en France.
J’aurai l’honneur et le plaisir d’animer cette rencontre avec László Krasznahorkai. Daniel Huber en sera l’interprète.
Jeudi 5 avril à 18h, Librairie Ombres Blanches, salle des débats, rue Mirepoix
Yvette Goldberger-Joselzon
László Krasznahorkai
ISBN : 2366243294
Éditeur : Cambourakis (à paraître le 14/03/2018)
Éditeur : Cambourakis (à paraître le 14/03/2018)
Résumé :
Paru
en Hongrie en 2008, «Seiobo »est l'avant-dernier roman en date de
László Krasznahorkai, composé de 17 chapitres qui sont autant de
variations et de réflexions sur l'art, la création, la quête de la
beauté et du sacré. L'auteur nous entraine dans un long voyage à travers
les époques et les lieux, avec le souci constant d'étudier la manière
dont les hommes parviennent à trouver une place dans le mondepar la création ou la contemplation d’œuvres d'art. Déployant une nouvelle fois sa prose au rythme si particulier, Krasznahorkai impressionne et touche dans cette œuvre où il interroge à la fois le rôle des artistes, des spectateurs et l'émotion que peuvent susciter les œuvres d'art sur tous les êtres humains, qu'il s'agisse d'un modeste paysan hongrois ou d'un conservateur français résolument urbain
DJ Clairvo (Budapest) - Hip-hop, funk, breakbeat #wearefamily le 9 mars 2018 de 21 h au 10 mars 2 h au Café Bar Le Téléphone
FR> Dj Clairvo importe les rythmes les plus frais de Budapest, pour une soirée festive avec de la musique hip-hop, funk, breakbeat. Parfaite occasion pour faire connaissance avec la culture électro hongroise, de revoir ou de rencontrer de nouveaux amis Hongrois et Français !
Entrée libre.
HU> DJ Clairvo elhozza nekünk Budapest legfrissebb ütemeit, egy egész éjszakán át tartó zenés-táncos mulatságba, ahol hip-hop, funk, breakbeat zenére mulathatunk rég nem látott ismerősökkel vagy ismerhetünk meg új arcokat francia-magyar társaságban.
A belépés ingyenes!
**************/////
BIO
DJ CLairvo (Budapest)
Dans les années 90, Clairvo était un collectionneur de cassettes enthousiaste. En 1996, sa passion l’a guidé derrière les platines de Süssfelnap (lieu culte de l’époque). Á partir de 2003, il est aussi journaliste spécialisé dans la critique des musiques actuelles, dans des magazines et des sites web reconnus en Hongrie. Plus tard, ses activités musicales s’enrichiront d’une émission de radio sur les ondes de Tilos, la radio underground de la Hongrie.
Il a sorti son premier EP en 2010 chez l’éditeur de disques autrichien Resense, qui a été suivi par deux autres éditions 12’’ sous le nom de Nynfus Corporation en Allemagne et au Danemark. Avec son compatriote Nixon ils ont sorti une dizaine de mix, sous le nom de MustBeat Crew, pour des maisons d’édition basées aux quatres coins du Monde.
C’est en 2013 qu’ils ont lancé Lack Jemmon, un projet commun avec Kid Panel, avec lequel ils ont signé chez Scour Records, ‘la meilleure maison de disque du monde’ selon Breakspoll.
Sa propre maison d’édition est née sous le nom MustBeat en 2011. Durant les sept dernières années, sa vision a convaincu des artistes d’Australie, d’Europe ou même du Canada. Il surfe sur une échelle large de musiques dansantes aux rythmes cassés. Deux de ces 50 éditions l’ont amené à la 5ème place de la liste Juno Download et à la 15ème place de la liste commerciale de Beatport ‘TOP100 Breaks Releases’.
Café Bar Le Téléphone
54 rue Guy Moquet 75017 Paris
09 81 95 07 95
« Travail, Famille, Patrie », la devise qui tente Viktor Orbán
"Dans son discours annuel sur l'état de la nation prononcé dimanche 18
février, le premier ministre hongrois a entrevu un avenir radieux pour
la Hongrie, marqué du sceau de la "Révolution conservatrice". Candidat à
un troisième mandat d'affilée à la tête du pays, Viktor Orbán a vanté
les succès de ses huit années de gouvernance, notamment la création
d'emplois et la baisse du chômage, qui se trouve aujourd'hui sous la
barre des 5 %." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
Libellés :
Corruption,
Élections,
nationalisme
Hongrie, comment le « système » Orban entend se maintenir au pouvoir
"En course pour les législatives hongroises du 8 avril 2018, dont la campagne a démarré dimanche 18 février, le premier ministre Viktor Orban a toutes les chances de se maintenir.
En huit ans, il a su bâtir « un système » centralisé, à la communication redoutable, avec des alliés qui opèrent dans les secteurs économiques clés.
Surtout, ne pas changer une recette qui marche. Le premier ministre hongrois Viktor Orban est resté fidèle à ses habitudes, dimanche 18 février, pour lancer sa campagne pour briguer un troisième mandat aux législatives d’avril. Il l’a fait lors de son discours politique annuel, en filant la métaphore de la citadelle assiégée. « Nous les Hongrois, nous avons un avenir quand nous sommes Hongrois », a-t-il déclaré, avant de fustiger les « internationalistes » et de claironner que « la muselière a été renvoyée à Bruxelles, la laisse au FMI »." La suite sur la-croix.com
En huit ans, il a su bâtir « un système » centralisé, à la communication redoutable, avec des alliés qui opèrent dans les secteurs économiques clés.
Surtout, ne pas changer une recette qui marche. Le premier ministre hongrois Viktor Orban est resté fidèle à ses habitudes, dimanche 18 février, pour lancer sa campagne pour briguer un troisième mandat aux législatives d’avril. Il l’a fait lors de son discours politique annuel, en filant la métaphore de la citadelle assiégée. « Nous les Hongrois, nous avons un avenir quand nous sommes Hongrois », a-t-il déclaré, avant de fustiger les « internationalistes » et de claironner que « la muselière a été renvoyée à Bruxelles, la laisse au FMI »." La suite sur la-croix.com
Concert - Zsuzsanna Varkonyi + Jeff Hallam Vendredi 2 Mars 20H30 au Café de Paris
Concert Zsuzsanna et Jeff de My Friend Jeff en première partie.
Zsuzsanna Varkonyi :
Avec : Csaba Palotai guitare et Raoul de Valbreuze ( Sébastien Gastine) contrebasse
Polyglotte et voyageuse du monde Zsuzsanna, écrit et chante aujourd’hui en anglais. Sur le fil de ses origines hongroises, elle propose un voyage intérieur par la poésie de ses propres textes et compositions. « Son folk tzigane emmène chaque auditeur vers des contrées intimes et vers de grands espaces spirituels où l'on entend surtout la résonance de l’âme. » Les Inrockuptibles.
www.zsuzsanna-varkonyi.com
Jeff de My Friend Jeff en solo.
- Portland, Oregon sound -
Jeff, c'est Jeff Hallam, l'enfant de Stayton (Oregon), à une heure de route de Portland -"La Mecque de la scène indépendante", dit-il, comme Seattle le fut pour le grunge. Non loin des fermes et des usines de mobil-homes, ce coin aurait pu héberger n’importe quelle nouvelle de Raymond Carver. Une musique délicate, impulsive, obsessionnelle et énergique.
www.jeffhallam.com
Café De Paris
158 rue Oberkampf, 75011 Paris
PAF :
Réduit : 6€
Plein : 8€
Zsuzsanna Varkonyi :
Avec : Csaba Palotai guitare et Raoul de Valbreuze ( Sébastien Gastine) contrebasse
Polyglotte et voyageuse du monde Zsuzsanna, écrit et chante aujourd’hui en anglais. Sur le fil de ses origines hongroises, elle propose un voyage intérieur par la poésie de ses propres textes et compositions. « Son folk tzigane emmène chaque auditeur vers des contrées intimes et vers de grands espaces spirituels où l'on entend surtout la résonance de l’âme. » Les Inrockuptibles.
www.zsuzsanna-varkonyi.com
Jeff de My Friend Jeff en solo.
- Portland, Oregon sound -
Jeff, c'est Jeff Hallam, l'enfant de Stayton (Oregon), à une heure de route de Portland -"La Mecque de la scène indépendante", dit-il, comme Seattle le fut pour le grunge. Non loin des fermes et des usines de mobil-homes, ce coin aurait pu héberger n’importe quelle nouvelle de Raymond Carver. Une musique délicate, impulsive, obsessionnelle et énergique.
www.jeffhallam.com
Café De Paris
158 rue Oberkampf, 75011 Paris
PAF :
Réduit : 6€
Plein : 8€
Orban veut bâtir une grande alliance contre l'immigration
"BUDAPEST (Reuters) - Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a
souhaité la constitution d'une grande alliance de pays contre
l'immigration, dimanche à l'occasion du lancement par son parti, le
Fidesz, de la campagne en vue des élections législatives du 8 avril.
"La chrétienté est le dernier espoir de l'Europe", a lancé le dirigeant nationaliste et conservateur devant des militants lors de son discours annuel sur l'état de la nation.
Viktor Orban, qui est âgé de 54 ans, a estimé qu'une divergence fondamentale séparait les pays d'Europe centrale et l'ouest de l'Europe, devenu selon lui une "zone immigrée, un monde à la population mixte qui prend une direction différente de la nôtre"." La suite sur challenges.fr
"La chrétienté est le dernier espoir de l'Europe", a lancé le dirigeant nationaliste et conservateur devant des militants lors de son discours annuel sur l'état de la nation.
Viktor Orban, qui est âgé de 54 ans, a estimé qu'une divergence fondamentale séparait les pays d'Europe centrale et l'ouest de l'Europe, devenu selon lui une "zone immigrée, un monde à la population mixte qui prend une direction différente de la nôtre"." La suite sur challenges.fr
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Xénophobie
Hongrie: Orban brocarde la "position désespérée" de l'opposition avant les élections
"Budapest - Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a brocardé dimanche la "position désespérée" de l'opposition à l'approche des élections générales du 8 avril, dans un discours lançant sa campagne en vue d'obtenir un troisième mandat d'affilée. "L'opposition ne sent pas l'air du temps", a déclaré le Premier ministre à des militants de son parti lors de son discours annuel sur l'état de la nation à Budapest.
Le Premier ministre de 54 ans mène une politique anti-immigration, symbolisée par la construction de clôtures barbelées le long des frontières, et se livre à de violentes critiques de l'Union européenne." La suite sur lexpress.fr
Le Premier ministre de 54 ans mène une politique anti-immigration, symbolisée par la construction de clôtures barbelées le long des frontières, et se livre à de violentes critiques de l'Union européenne." La suite sur lexpress.fr
dimanche 18 février 2018
Budapest : le référendum local sur le « quartier de la fête » invalidé
"Le référendum local sur la réglementation des débits de boisson dans le 7e arrondissement de Budapest vient d’être invalidé, en raison d’une participation insuffisante des habitants.Les nombreux touristes internationaux qui viennent à Budapest pour y
faire la fête vont être soulagés: le référendum local qui devait
limiter l’ouverture des bars à minuit a été invalidé ce soir, en raison
d’une participation insuffisante. Il fallait que plus de 50% des 43500
habitants du 7e arrondissement se déplacent pour que les votes soient
pris en compte. Ils n’ont été que 10% à glisser un bulletin dans l’urne
ce dimanche.
« Même la majorité des habitants de Belső-Erzsébetváros (nom administratif du « quartier de la fête ») n’ont pas participé au référendum et ont laissé les décisions se prendre à distance. Le message de cette faible participation est clair : la grande majorité des habitants est en désaccord avec l’association des riverains », a déclaré ce soir Bence Molnár, porte-parole de l’Union pour un Erzsébetváros vivable (Élő Erzsébetvárosért Egyesület), à l’origine de la consultation." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
« Même la majorité des habitants de Belső-Erzsébetváros (nom administratif du « quartier de la fête ») n’ont pas participé au référendum et ont laissé les décisions se prendre à distance. Le message de cette faible participation est clair : la grande majorité des habitants est en désaccord avec l’association des riverains », a déclaré ce soir Bence Molnár, porte-parole de l’Union pour un Erzsébetváros vivable (Élő Erzsébetvárosért Egyesület), à l’origine de la consultation." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
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« Dans le punk, on se doit de parler politique »
"Cet article a été publié sur la page Facebook du Budapest Kultur Lab,
sur laquelle vous pouvez retrouver toutes les productions des étudiants
du master 1 de l’Institut de journalisme de Bordeaux-Aquitaine (IJBA),
en immersion à Budapest du 8 au 16 mai 2017.
Balázs Sarkadi est le leader de Bankrupt, un groupe de punk rock hongrois, genre devenu rare dans le pays. Loin de la virulence anti-système de la scène punk de Budapest des années 1980, l’homme n’a pourtant pas sa langue dans sa poche.
Au milieu des années 1990, Balázs cherche désespérément à monter un groupe de punk rock. 20 ans après, il continue d’enchaîner les concerts.
Le tram, arrêté à la station Szent Gellért tér, au pied de la célèbre colline de Budapest, reprend sa route. Seul un voyageur est descendu de la rame. L’homme, blouson en cuir sur le dos, casquette vissée sur la tête, se fait appeler Rocco dans le paysage musical hongrois. Âgé de 42 ans, Balázs Sarkadi, de son vrai nom, est également développeur informatique. Depuis 1996 et après plus de trois-cent concerts et quatre albums publiés, il multiplie les compositions." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
Balázs Sarkadi est le leader de Bankrupt, un groupe de punk rock hongrois, genre devenu rare dans le pays. Loin de la virulence anti-système de la scène punk de Budapest des années 1980, l’homme n’a pourtant pas sa langue dans sa poche.
Au milieu des années 1990, Balázs cherche désespérément à monter un groupe de punk rock. 20 ans après, il continue d’enchaîner les concerts.
Le tram, arrêté à la station Szent Gellért tér, au pied de la célèbre colline de Budapest, reprend sa route. Seul un voyageur est descendu de la rame. L’homme, blouson en cuir sur le dos, casquette vissée sur la tête, se fait appeler Rocco dans le paysage musical hongrois. Âgé de 42 ans, Balázs Sarkadi, de son vrai nom, est également développeur informatique. Depuis 1996 et après plus de trois-cent concerts et quatre albums publiés, il multiplie les compositions." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr
Touches - Le théâtre de marionnettes expérimental de Géza Blattner dans le Paris des avant-gardes Exposition du 22 mars au 26 mai 2018
Vernissage le 21 mars à 19h
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
Institut hongrois 92, rue Bonaparte 75006 Paris
Informations : accueil@instituthongrois.fr
+33 1 43 26 06 44
L’exposition hors du commun que nous
inaugurons au printemps 2018 met à l’honneur Géza Blattner, considéré
comme le fondateur du théâtre de marionnettes moderne en Europe.
Né à Debrecen, installé à Paris avec ses parents en 1925, cet artiste-peintre aux idées progressistes sera fortement influencé par le concept d’œuvre d’art total ; en ce début du 20e siècle, il crée en Hongrie et en France des ateliers d’expérimentation qui réinventent les règles régissant le jeu des marionnettes. Son théâtre Arc-en-Ciel à Paris, constitué principalement de peintres et de sculpteurs, mué en atelier pédagogique, est la première communauté artistique de marionnettistes au monde à renoncer à imiter le théâtre classique pour mettre en valeur les particularités spécifiques du genre, contribuant ainsi à son émancipation et à sa renaissance en France.
Né à Debrecen, installé à Paris avec ses parents en 1925, cet artiste-peintre aux idées progressistes sera fortement influencé par le concept d’œuvre d’art total ; en ce début du 20e siècle, il crée en Hongrie et en France des ateliers d’expérimentation qui réinventent les règles régissant le jeu des marionnettes. Son théâtre Arc-en-Ciel à Paris, constitué principalement de peintres et de sculpteurs, mué en atelier pédagogique, est la première communauté artistique de marionnettistes au monde à renoncer à imiter le théâtre classique pour mettre en valeur les particularités spécifiques du genre, contribuant ainsi à son émancipation et à sa renaissance en France.
Notre exposition intitulée Touches
vous propose une sélection de dessins de marionnettes, de projets de
décors, de documents, de photographies ainsi que des marionnettes
reproduites par impression 3D dont la fameuse marionnette à touches
brevetée par Blattner en 1937.
Entrée libre
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Institut hongrois,
Marionnettes,
Photographie,
Théâtre
Le développement des relations Azerbaïdjan-Hongrie au cœur des discussions à Budapest
"Bakou, 17 février, AZERTAC
Ali Ahmadov, vice-Premier ministre azerbaïdjanais et vice-président du YAP (Parti Nouvel Azerbaïdjan), a rencontré, ce vendredi à Budapest, Viktor Orban, Premier ministre hongrois.
Ali Ahmadov a transmis les salutations du président Ilham Aliyev au Premier ministre hongrois Viktor Orban et l’a invité au nom du président azerbaïdjanais à effectuer une visite en Azerbaïdjan.
Pour sa part, le Premier ministre Viktor Orban a noté qu’il considérait le président Ilham Aliyev comme un ami proche et que le déplacement du chef de l’Etat azerbaïdjanais en Hongrie avait joué un rôle important dans le développement des relations entre les deux pays." La suite sur azertag.az
La Hongrie, l'Estonie et le Danemark sont les pays qui consacrent la plus large part de leur PIB à la culture
"Les moyens alloués à la culture en Europe.
En moyenne, les dépenses publiques des pays de l'Union européenne représentent 47,3% de leur PIB en 2015. Un montant qui va de 29,4% en Irlande jusqu'à… 57% en Finlande et en France. Malgré ce grand écart, les moyens alloués à la culture restent relativement homogènes dans chaque pays, se situant en moyenne autour de 1,1% du PIB.
La Hongrie, l'Estonie et le Danemark sont les pays qui consacrent la plus large part de leur PIB à la culture
Lorsqu'on parle de dépenses en matière de culture en Europe, on englobe aussi bien les services culturels, de radiodiffusion, de télévision et d'édition que les dépenses liées aux cultes et aux loisirs. En moyenne, ces dépenses représentent 1% du PIB des Etats membres : un montant qui paraît dérisoire à côté de ceux dédiés à la protection sociale (19,1%), de la santé (7,2%) ou des services généraux des administrations publiques (6,2%)." La suite sur touteleurope.eu
En moyenne, les dépenses publiques des pays de l'Union européenne représentent 47,3% de leur PIB en 2015. Un montant qui va de 29,4% en Irlande jusqu'à… 57% en Finlande et en France. Malgré ce grand écart, les moyens alloués à la culture restent relativement homogènes dans chaque pays, se situant en moyenne autour de 1,1% du PIB.
La Hongrie, l'Estonie et le Danemark sont les pays qui consacrent la plus large part de leur PIB à la culture
Lorsqu'on parle de dépenses en matière de culture en Europe, on englobe aussi bien les services culturels, de radiodiffusion, de télévision et d'édition que les dépenses liées aux cultes et aux loisirs. En moyenne, ces dépenses représentent 1% du PIB des Etats membres : un montant qui paraît dérisoire à côté de ceux dédiés à la protection sociale (19,1%), de la santé (7,2%) ou des services généraux des administrations publiques (6,2%)." La suite sur touteleurope.eu
samedi 17 février 2018
L'ONU appelle la Hongrie à retirer son projet de loi contre les ONG
"L'ONU dénonce le projet de loi présenté mardi par la Hongrie contre
les ONG qui soutiennent les migrants. Ce dispositif viole les droits
fondamentaux et doit être révisé, a affirmé vendredi à Genève un
porte-parole.
Si la loi est votée, le ministère de l'Intérieur pourra interdire ces ONG qui devront lui demander une autorisation d'activité et seront passées au crible des services de sécurité. Une taxe de 25% serait aussi imposée sur les donations étrangères à ces organisations.
Autre mesure, un Hongrois qui soutiendrait l'entrée illégale d'un ressortissant d'un autre pays pourrait se voir ordonner une interdiction de se rendre à moins de huit kilomètres d'une frontière avec un Etat tiers. Un citoyen étranger pourrait lui dans le même scénario se voir bannir de l'ensemble du territoire hongrois." La suite sur swissinfo.ch
Si la loi est votée, le ministère de l'Intérieur pourra interdire ces ONG qui devront lui demander une autorisation d'activité et seront passées au crible des services de sécurité. Une taxe de 25% serait aussi imposée sur les donations étrangères à ces organisations.
Autre mesure, un Hongrois qui soutiendrait l'entrée illégale d'un ressortissant d'un autre pays pourrait se voir ordonner une interdiction de se rendre à moins de huit kilomètres d'une frontière avec un Etat tiers. Un citoyen étranger pourrait lui dans le même scénario se voir bannir de l'ensemble du territoire hongrois." La suite sur swissinfo.ch
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Hongrie : Orbán présente son projet de loi “Stop Soros”
"Quasiment assuré d’être réélu en avril, le leader “illibéral” renforce
la pression sur le milliardaire américain natif de Budapest et les
organisations dénonçant la politique migratoire hongroise. Présenté
mercredi 14 février au Parlement, le potentiel ensemble de lois visant
le philanthrope polarise l’attention de la presse magyare.
Mi-janvier, la proposition de loi “Stop Soros” entendait obliger les ONG “encourageant l’immigration illégale” à rendre compte régulièrement de leurs activités, imposer 25 % de taxe punitive à celles percevant plus d’argent de l’étranger que de la Hongrie et bannir les Magyars ou les personnes d’autres nationalités aidant les réfugiés à rentrer dans le pays. Cette semaine, Budapest enfonce le clou et contraindrait ses “cibles” à obtenir l’aval du ministère de l’Intérieur sous peine d’interdiction d’exercer, indignant les concernés et le commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, Nils Muiznieks." La suite sur courrierinternational.com
Mi-janvier, la proposition de loi “Stop Soros” entendait obliger les ONG “encourageant l’immigration illégale” à rendre compte régulièrement de leurs activités, imposer 25 % de taxe punitive à celles percevant plus d’argent de l’étranger que de la Hongrie et bannir les Magyars ou les personnes d’autres nationalités aidant les réfugiés à rentrer dans le pays. Cette semaine, Budapest enfonce le clou et contraindrait ses “cibles” à obtenir l’aval du ministère de l’Intérieur sous peine d’interdiction d’exercer, indignant les concernés et le commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe, Nils Muiznieks." La suite sur courrierinternational.com
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vendredi 16 février 2018
Le Fidesz en remet une couche avec son projet « Stop Soros »
"Avec un nouveau projet de loi « Stop Soros » encore plus drastique que
le précédent, le Fidesz suscite la levée de boucliers qu’il espérait. Le
projet de loi promu par le gouvernement comme le projet « Stop Soros »
présenté à la mi-janvier avait suscité une vague d'indignation. Sa
nouvelle mouture de ce mardi 13 février présentée au parlement est encore
plus drastique à l'égard des ONG qui aident les migrants . . ." La suite sur courrierdeuropecentrale.fr (article payant)
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Léa Seydoux dans le prochain film de la réalisatrice hongroise Ildiko Enyedi
"L'actrice française tournerait en 2019 sous la direction
d'Ildiko Enyedi, réalisatrice hongroise nommée cette année aux Oscars
avec "Corps et âme", selon The Hollywood Reporter. Dans "The Story of my
Life", Léa Seydoux incarnerait une épouse volage.
A 32 ans, Léa Seydoux a tourné avec Quentin Tarantino ("Inglourious Basterds"), Sam Mendes ("Spectre"), Woody Allen ("Minuit à Paris"), Ridley Scott ("Robin des bois"), Wes Anderson ("The Grand Budapest Hotel"), Benoit Jacquot ("Les Adieux à la reine", "Le Journal d'une femme de chambre"), Xavier Dolan ("Juste la fin du monde") ou Yorgos Lanthimos ("The Lobster"). Elle a même reçu une Palme d'or à Cannes pour sa prestation dans "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche." La suite sur ladepeche.fr
A 32 ans, Léa Seydoux a tourné avec Quentin Tarantino ("Inglourious Basterds"), Sam Mendes ("Spectre"), Woody Allen ("Minuit à Paris"), Ridley Scott ("Robin des bois"), Wes Anderson ("The Grand Budapest Hotel"), Benoit Jacquot ("Les Adieux à la reine", "Le Journal d'une femme de chambre"), Xavier Dolan ("Juste la fin du monde") ou Yorgos Lanthimos ("The Lobster"). Elle a même reçu une Palme d'or à Cannes pour sa prestation dans "La Vie d'Adèle" d'Abdellatif Kechiche." La suite sur ladepeche.fr
En Hongrie, des habitants de Budapest ne supportent plus les touristes fêtards
"Budapest est la nouvelle coqueluche des fêtards, mais les habitants en
ont ras-le-bol, notamment dans une partie du centre ville qui accueille
500 bars sur 1 km2.
À 5 heures du matin, dans le 7e arrondissement de Budapest, la fête bat son plein. En plein centre-ville de la capitale, les clubs sont ouverts toute la nuit et le quartier attire des fêtards de toute l'Europe venus s'amuser à moindre frais. Les riverains, eux, enragent. Ils vont justement pouvoir s’exprimer, dimanche 18 février, lors d’un référendum local, en répondant à cette question : "Voulez-vous que les bars ferment au plus tard à minuit ?"
Ce qui explique cet engouement des touristes pour Budapest, c’est l'aspect financier. On peut y louer un appartement pour 30 euros la nuit, la bière (ou le verre de vin) coûte 1,5 euro et les concerts sont gratuits dans les clubs. Depuis quelques années, la ville est devenue la capitale des enterrements de vie de garçon, notamment pour les Britanniques. Ces derniers viennent par groupe de 40 personnes." La suite sur francetvinfo.fr
À 5 heures du matin, dans le 7e arrondissement de Budapest, la fête bat son plein. En plein centre-ville de la capitale, les clubs sont ouverts toute la nuit et le quartier attire des fêtards de toute l'Europe venus s'amuser à moindre frais. Les riverains, eux, enragent. Ils vont justement pouvoir s’exprimer, dimanche 18 février, lors d’un référendum local, en répondant à cette question : "Voulez-vous que les bars ferment au plus tard à minuit ?"
Ce qui explique cet engouement des touristes pour Budapest, c’est l'aspect financier. On peut y louer un appartement pour 30 euros la nuit, la bière (ou le verre de vin) coûte 1,5 euro et les concerts sont gratuits dans les clubs. Depuis quelques années, la ville est devenue la capitale des enterrements de vie de garçon, notamment pour les Britanniques. Ces derniers viennent par groupe de 40 personnes." La suite sur francetvinfo.fr
Prélude au Festival de la Francophonie à Budapest
"Du 28 février au 31 mars 2018, se tiendra la 18ème édition
du Festival de la Francophonie. Chaque année, lors cet évènement, les
richesses culturelles francophones sont sur le devant de la scène par le
biais d’actions éducatives et linguistiques, de représentations
théâtrales, de concerts, d’évènements littéraires et de projections
cinématographiques.
Pour cette occasion, une conférence de presse s’est tenue ce lundi 12 février à l’Institut Français de Budapest pour présenter aux journalistes la 8ème édition des Journées du Film Francophone, qui a l’honneur une nouvelle fois d’ouvrir ce mois de la Francophonie, du 28 février au 7 mars. Lors de cet évènement, quelques journalistes ont eu l’opportunité d’assister à la projection du film d’Albert Dupontel : Au Revoir Là-Haut (« Viszontlátásra Odafönt »), oeuvre choisie pour clôturer cette édition le 7 mars." La suite sur jfb.hu
Pour cette occasion, une conférence de presse s’est tenue ce lundi 12 février à l’Institut Français de Budapest pour présenter aux journalistes la 8ème édition des Journées du Film Francophone, qui a l’honneur une nouvelle fois d’ouvrir ce mois de la Francophonie, du 28 février au 7 mars. Lors de cet évènement, quelques journalistes ont eu l’opportunité d’assister à la projection du film d’Albert Dupontel : Au Revoir Là-Haut (« Viszontlátásra Odafönt »), oeuvre choisie pour clôturer cette édition le 7 mars." La suite sur jfb.hu
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